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14/03/2021

Paris hier, la France demain

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En 2021, la Commune est la France périphérique, celle qui produit pour les besoins humains et fait vivre le pays. Elle est la cible prioritaire de la guerre du Capitalisme en crise donc des nouveaux Versaillais de la métropole globalisée hors sol, usant du masque de la guerre sanitaire indiscutée car relevant du tabou dans le cadre des destructions massives économiques, sociales et humaines de la nécessité démocratique soit toujours et uniquement marchande.  

 

Sept pays européens, dont le Danemark et la Norvège, jeudi, ont interrompu l’utilisation d'un lot d'un million de doses du vaccin AstraZeneca, envoyé à 17 pays de l'Union européenne, après avoir détecté des problèmes de circulation sanguine chez plusieurs personnes vaccinées (France24).  

L'Agence européenne des médicaments a recommandé d’inclure des réactions allergiques sévères dans les effets secondaires du vaccin AstraZeneca, suite au signalement de plusieurs cas au Royaume-Uni (AFP 12/03/2021). 

La Bulgarie a annoncé ce 12 mars la suspension du déploiement du vaccin d'AstraZeneca... Auparavant, le Danemark, la Norvège, l’Autriche, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie et le Luxembourg avaient déjà suspendu l’utilisation du médicament. (Sputnik).

La Norvège a suspendu jeudi l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, après une décision similaire du Danemark. L’Islande a aussi fait de même. (L'indépendant 13/03/201)

"Ils présentent des symptômes très inhabituels : des saignements, des caillots sanguins et un faible taux de plaquettes sanguines... Ils sont très malades… Nous prenons cela très au sérieux" (Steinar Madsen, directeur médical de l’Agence norvégienne des médicaments, sur la chaîne de télévision NRK).

Il n’y a pas de raison de suspendre le vaccin anti- Covid AstraZeneca en France, a affirmé Olivier Véran en conférence de presse. Alors que d’autres ont opté pour l’interdiction, le ministre de la Santé a souligné que le rapport bénéfice-risque était positif (Olivier Véran, Ministre de la santé (sic), point presse, BFMTV)

À ce stade, il faut avoir confiance dans ce vaccin et se faire vacciner, je le dis de la façon la plus solennelle, sinon on aura des retards dans la vaccination, les Françaises et Français seront moins protégés et la crise sanitaire durera longtemps (Jean Castex, Premier Ministre, Twitch)


Henri Guillemin, la Commune de Paris, histoire d'une révolte humaine ne pouvant aboutir en phase d'expansion du Capitalisme, ce temps d'expansion est révolu et ne reviendra plus, plus jamais..

 

La Commune a ordonné que les deux guillotines, l’ancienne et la nouvelle, fussent brûlées publiquement.

La Commune ne supprime pas les luttes de classes, par lesquelles la classe ouvrière s’efforce d’abolir toutes les classes et, par suite, toute domination de classe (…) mais elle crée l’ambiance rationnelle dans laquelle cette lutte de classes peut passer par ses différentes phases de la façon la plus rationnelle et la plus humaine.

Tous les fondateurs de sectes socialistes appartiennent à une période où la classe ouvrière elle-même n’était pas suffisamment entraînée et organisée par le développement même de la société capitaliste pour faire sur la scène mondiale une entrée historique, à une période où, d’ailleurs, les conditions matérielles de son émancipation n’étaient pas suffisamment mûres dans le vieux monde lui-même. Sa misère existait, mais les conditions de son propre mouvement n’existaient pas encore. Les fondateurs de sectes utopistes, tout en annonçant, par leur critique de la société de leur temps, le but du mouvement social, l’abolition du salariat et de toutes ses conditions économiques de domination de classe, ne trouvaient ni dans la société même les conditions matérielles de sa transformation, ni dans la classe ouvrière le pouvoir organisé et la conscience du mouvement. Ils essayaient de pallier les conditions historiques du mouvement par des tableaux et des plans chimériques d’une nouvelle société ; en propager l’idée leur paraissait le véritable moyen de salut. A partir du moment où le mouvement de la classe ouvrière devint une réalité, les chimères utopiques s’évanouirent non point parce que la classe ouvrière avait abandonné le but indiqué par ces utopistes, mais parce qu’elle avait découvert les moyens réels d’en faire une réalité.

La classe ouvrière ne peut pas se contenter de prendre telle quelle la machine de l’État et de la faire fonctionner pour son propre compte. L’instrument politique de son asservissement ne peut servir d’instrument politique de son émancipation. L’énorme parasite gouvernemental, qui enserre le corps social comme un boa constrictor dans les mailles universelles de sa bureaucratie, de sa police, de son armée permanente, de son clergé et de sa magistrature, date du temps de la monarchie absolue.

Peut-être la Commune de Paris tombera-t-elle, mais la révolution sociale qu’elle a entreprise triomphera. Son lieu de naissance est partout.

Marx, Travaux préparatoires sur La Guerre civile en France

11:29 Publié dans Actualité | Tags : covid, commune, guerre, sanitaire, capitalisme, dictature, démocratie, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

17/12/2020

Le gauchisme de rue, cette complicité du Système

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Théâtre de l’œuf, c'est déjà un aveu !

 

Restons un pays ouvert, qui accueille de nouvelles cultures et tire un profit du métissage

Laurence Parisot, ancien président du MEDEF, membre de divers conseils d’administration, président de la banque américaine Citi en France et sympathisant véganiste (entre autres ) …

 

En 1871, le prolétariat in-disciplinable des profondeurs historiques françaises voulait – contre la dictature étatique de la valeur d’échange – faire surgir un autre monde débarrassé de toutes les impostures du marché…

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Aujourd’hui, toutes les cliques gouvernementalistes, à la remorque culturelle des rackets sociétaux de l’extrême gauche du Capital, entendent dissoudre le prolétariat des territoires périphériques dans un grand magma arc-en-ciel de soumission consommatoire généralisée, assujetti aux mégapoles mondialistes de l’in-distinction des foules écolos-bobos privilégiées et de leurs clientèles immigrées… 

La mystification anti-raciste des boutiques contre-révolutionnaires du cosmopolitisme capitaliste est le contraire de l’internationalisme prolétarien vers le communisme !

Que faut-il être incultivé et stupide pour beugler À bas l’État policier et non aux lois scélérates ! Comme s’il existait des États non-policiers et des lois non-misérables… Quant aux clowns ignares qui braillent que tout le monde déteste la police, ils ne sont là comme pitoyable diversion contrôlée et protégée que pour empêcher que l’on vomisse l’argent et que l’on exige l’Abolition du salariat et de l’État

Lorsque le Système a mutilé durant de longs mois les Gilets Jaunes, le spectacle médiatique du mensonge marchand ne s’en scandalisait guère. Mais lorsqu’on bouscule des figurants migrateurs dans la machination d’un mauvais film parisien qui veut légitimer le remplacement du prolétariat radical par le réfugié, moderne idole intouchable de toutes les multinationales du profit ou quand l’on rosse un producteur de rap stupéfiant, et qui plus est de couleur, l’ensemble de la caste politico-journalistique du Capital s’indigne en bloc, feint de ne pas connaître le CV judiciaire de ce dernier et nous propose une fois de plus, avant même que toute investigation ait véritablement commencé, l’inepte Union sacrée anti-flics de commande pour farder et rénover l’imposture gouvernementaliste de la domestication démocratique sans fin

Dans la domination désormais pleinement réalisée de la dictature démocratique du faux omni-présent, les journalistes incultes sont devenus les pires flics du monde et les flics les pires sont devenus les journalistes de l’inculture mondaine la plus en vue… Tous les journalistes sont – par essence – larbins étatiques de la marchandise et ne sont reconnus médiatiquement que par cette opération fétichiste d’inversion aliénatoire qui transforme spectaculairement le vrai en faux et le faux en vrai… 

Pour avoir l’attention des réseaux médiatiques de la falsification et autres organes de contrôle du contrôleur troupier de base, il vaut assurément mieux être immigré ou de couleur que banal prolétaire réfractaire de base… C’est normal, le fétichisme de la marchandise soigne et favorise les populations dont il a besoin pour faire fonctionner la servilité des mille commerces et trafics de sa reproduction et gère sans ménagement celles dont la contestation risque de déboucher sur l’insubordination sauvage au règne du marché inéluctable… Ainsi, lorsqu’un clandestin est victime d’un croche-pied ou quand un extra-européen subit des violences durant une intervention policière, l’administration du politiquement correct peut pondre des rapports en moins de 48 heures afin de complaire aux plus hauts sommets de la crapulerie dirigeante et en satisfaisant là aux dogmes commerciaux de promotion et de protection de la diversité. Les Gilets Jaunes, eux,  n’ont point cette chance, ils ne constituent pas un bon produit publicitaire à la mode pour l’institutionnalisation de l’État de droit du fallacieux toujours davantage renforcé… Ils attendent toujours en nombre, deux ans après les faits, alors même que les responsables des tirs qui les ont systématiquement estropiés et éborgnés sont pourtant parfaitement identifiés…

Aujourd’hui, la colère prolétaire ne cesse de monter et elle finira évidemment par s’affirmer de plus en plus comme récusation inévitable, profonde et durable de tous les diktats capitalistes du Ministère de la Vérité Officielle… La crise intensive généralisée de la dictature mondialiste de la marchandise et le dépérissement des machinations répétées de la duperie sanitaire étatiquement orchestrée  – pour dissimuler le vaste effondrement économique en cours – vont progressivement tout faire furieusement vaciller…

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L'imposture marchande dans toute son audace

Le dérivatif des comédies, maquillages et contorsions autour des violences policières toujours mises en scène en permanente géométrie variable pour valoriser l’idéologie de l’anti-racisme de la marchandise et nous éloigner de la sorte du seul terrain qui fasse peur à la classe capitaliste ; celui du surgissement communiste du prolétariat historique, doit être dénoncé radicalement pour ce qu’il est en vérité ; un putride et pitoyable leurre contre-révolutionnaire… 

La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement. Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi, il faut réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement…

Engels, De la réforme sociale sur le continent

La lutte humaine contre la marchandise mondiale, contre les gouvernements de l'imposture corona virale, du mensonge anti-raciste, contre tous les gangs politiques de l'extrême droite à l'extrême gauche du royaume de Mammon n'a jamais été aussi vitale.

 

09:04 Publié dans Actualité | Tags : mensonge, marchandise, crise, capital, revolte, gauchisme, spectacle | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

08/09/2020

Crise du capital de la rentrée sous la loupe de l'analyse radicale car humaine

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

La France, bastion avancé de la lutte de classe prolétarienne est issue d’une longue tradition radicale qui s’inscrit dans la spécificité communeuse de l’espace-temps européen millénaire tel que ce dernier a su faire surgir, de manière pratico-théorique accomplie, le Manifeste Communiste contre l’argent et contre l’Etat… Non, la France n’est point une auberge orientale de transactions commerciales destinée à perpétuer à l’infini, les religions de soumission du pécule qui bouge sans arrêt, non elle n'est pas un  hôtel !  Elle est la terre vivante des insurrections réfractaires qui de la Commune de Paris à l’irruption des Gilets Jaunes en passant par la grève sauvage de 1968, n’a jamais cessé de rappeler que l’émancipation humaine universelle passe par la destruction de l’économie et de la politique…

Le pouvoir totalitaire de la marchandise est exclusivement l’expression unitaire de la conscience fausse, devenue complètement adéquate à la nécessité pour le temps de l’aliénation, de tenter de se rendre définitivement irréversible… Ainsi, le propre du spectacle du fétichisme marchand est-il de toujours s’acharner à démembrer tout ce qui pourrait permettre le surgissement historique d’une conscience susceptible de saisir l’imposture du temps immobilisé par le marché mondial de l’ignardise et de la passivité…

La dictature démocratique de l’histoire réifiée doit donc pour attacher la vie dans la liberté de la reproduction capitaliste sans fin disloquer l’esprit humain pour le rassembler ensuite sous les formes les plus trompeuses telles que le devenir de la marchandise les a fixées comme obligatoires…

C’est évident… La révolution sociale ne viendra jamais des populations immigrées consommatoires qui représentent d’abord les circuits les plus aliénatoires des déplacements serviles du libre-échange capitaliste… Et ce dernier fait tout pour justement ensevelir la radicalité insurrectionnelle du prolétariat européen qui seul, sut faire apparaître les Conseils ouvriers révolutionnaires pour l’abolition du salariat… C’est pourquoi la discrimination positive intensive de tout ce qui contredit l’histoire prolétarienne radicale est bien la norme absolue de cette fade bouillie informe des razzias de la consommation mercantile la plus idiotisante telles qu’elles ne cessent d’étendre l’égalisation marchande du consommer abrutissant… De la sorte, la tyrannie démocratique des grands mélanges abêtissants vise essentiellement à nous faire sortir de l’histoire pour nous figer dans le monothéisme de la marchandise perpétuelle…

Le Capital voudrait tellement enfin déclarer mort le prolétariat révolutionnaire, qu’après avoir systématiquement opéré son grand remplacement cosmopolite par l’immigré pensionné, nouvelle Sainte production de l’économie politique antiraciste à sens unique, il s’essaye désespérément à organiser la substitution du concept historique de lutte de classe contre l’argent par celui de lutte publicitaire des races pour la re-distribution privilégiée des mille prestations possibles…

Désormais, l’immigré naturalisé de papier est intégralement devenu la marchandise de sauvetage prioritaire pour essayer de permettre au Capital d’échapper à la sanction de sa crise historique inévitable… Aussi est-il la marchandise vedette intouchable de la société spectaculaire en crise généralisée… Salarié docile et honnête qui veut s’intégrer à tout prix à la galerie marchande officielle ou profiteur de l’économie souterraine qui fait malversation en tous genres, l’immigré est clairement depuis la grande peur de la grève généralisée de 1968, le seul moyen patronal de faire maillage territorial et historique de contre-révolution pour empêcher le retour de l’insurrection ouvrière joyeuse et érotique qui dit l’amour, les sens, la nature, le vin, la cochonnaille et la jouissante Commune subversive…

Les migrants clandestins, clientèles faciles de l’obéissance au fric, désignés métaphoriquement et indûment comme sans papiers sont – en premier lieu – des chances capitalistes qu’il faut accueillir dans les bas-fonds subventionnés des mégapoles de la marchandise afin que les bobos urbains, écolos hébétés, puissent survivre dans leur misère existentielle de piteuses épaves favorisées et ainsi s’afficher en terrain avantagé, bien loin des prolétaires expulsés des centres-villes et de leurs banlieues désormais livrées au libre-échangisme des migrations exotiques les plus ahuries et les plus accommodantes… Nous sommes ainsi désormais des millions et des millions de prolétaires à être journellement traités comme des moins que rien, comme des « esclaves salariés » de la démocratie de la valeur d’échange, et bien entendu la maladive compassion des classes dirigeantes pourries ne s’occupe et ne s’émeut que de ce qui rime avec l’étranger puisque la gauloiserie de souche réfractaire doit justement être réduite au silence… Cela s’appelle la lutte des classes et contre tous les larbins du progrès mondialiste de la domestication capitaliste, le prolétariat universel devra balayer toutes les réalités systèmo-compatibles qui se dressent entre lui et son émancipation…

Pompier caillassé, chauffeur de bus mis à mort, infirmière violentée, postier dépouillé, passant racketté, petit vieux massacré et cambriolé, piéton écharpé, promeneur lynché … La racaille froussarde, récidiviste et pitoyable s’attaque toujours en nombre et vilement au prolétaire isolé pendant qu’elle adule servilement tous les circuits tarés et véreux du spectacle mortifère de l’accumulation marchande…

Un sauvage est un homme d’émotion d’avant le dressage social de la civilisation de l’argent et de l’État …

À l’envers, une racaille est une ordure mécanique et prédatrice de la grande déchèterie robotique capitaliste… C’est une res, degré ultime de la réification analysée par Marx, chose qui ne voit que des choses dans un monde de chosification exclusive… Un débris haineux, laid et obtus par essence, qui ne pense pas et ne parle pas… Au contraire des blousons noirs des temps passés qui savaient encore manier une langue qui disait un certain mode d’être, les bandes capuchonnées de la banlieue boutiquière d’aujourd’hui ne peuvent plus que réciter les onomatopées de la chose mercantile la plus putridement fermée… C’est donc pourquoi la machine froide, maniaque et malveillante de la déchèterie banlieusarde est bien une merde contre-révolutionnaire qui éructe en permanence son impuissance à ressentir et qui dès lors est condamnée – par compensation maladive – à produire partout le cynisme compulsif de la crapulerie, du gang, de la bassesse et de l’abjection…

Qui sont donc ces abrutis dégénérés de la violence urbaine de la décadence capitaliste dont le prénom est toujours médiatiquement systématiquement occulté ? Non, ce ne sont point des sauvages, ce sont les excréments modernes de toute la décomposition chosifiante et pathologique de la crise historique du spectacle du fétichisme marchand…

Dans le monde de l’in-distinction et de l’inversion universelles, la réalité du vrai n’est plus qu’un moment reconstitué du faux totalitaire qui travestit l’ensemble de l’espace-temps pour que les questions historiques essentielles ne puissent plus être posées… L’État du mensonge Coronaviral est ainsi une monstruosité cybernétique de saloperies policières et despotiques infinies et les banlieues si sales du magouillage sordide constituent évidemment les sanctuaires de la dégueulasserie commerciale la plus protégée…

Voleurs, violeurs, casseurs, pillards, dealers, accapareurs, fricoteurs… Bains de sang, carnages, tueries, sadisme, insensibilité, atrocités, tortures, sévices, cruautés, couardises, indignités et vilénies… C’est tout ceci qui fait la carte d’identité puante de toutes les bandes d’ahuris incultes, immondes et lâches qui errent dans la crasse mentale des banlieues du néant historique et dont le seul motif de pitoyable vie est de faire du shopping de rapine pour toujours s’attaquer en groupe à des cibles isolées et pour aller ensuite – sans aucune dignité – lamentablement pleurnicher la fausse innocence

Dans l’ordre du trafic, de la tune, de la came et de l’ahurissement, du mensonge, de la bassesse, de la pleutrerie et de la veulerie, du vacarme et des rodéos débiles, les racailles du bas sont bien là, la matière fécale cosmopolite la plus concentrée des racailles du haut et c’est pour cela que contrairement aux Gilets Jaunes prolétaires à potentiel communard massivement mutilés, elles bénéficient d’une immunité magique interminable…

Le Lumpenprolétariat, cette lie d´individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l´inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d´un, ce n´était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu´ils savaient très justement qu´il fallait avant tout se débarrasser de ce ramassis.

Engels, La guerre des paysans.

 

Le spectacle de la crise mondiale de la valeur d’échange se présente comme organisation sociale totalement illusoire, c’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité inversée, c’est la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, s’érige sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive. Et là, les actuels domestiques du gauchisme du capitalisme vert de commande ne connaissent plus que trois tabous inattaquables inlassablement réitérés : l’immigrationnisme, le féminisme et les lobbies de toutes les marginalités sexuelles…

… Les hommes de la véritable volupté historique qui démoliront l’ordre de la charogne marchande, les balaieront en faisant renaître l’insoumission totale à la survie des mille abondances de la misère constamment augmentée et toujours recoloriée

Pour un Monde sans argent ni État, Vive la Commune universelle !

La Révolution qui pointe partout avec un esprit communard (à l'opposé du marxisme-léninisme du capitalisme d'état) détruira toutes les polices du Capital… Elle anéantira toutes les vérités officielles de la mystification marchande, celle du Coronavirus comme toutes les autres… Et c’est donc pour cela qu’elle liquidera toutes les bandes armées analphabètes de ces banlieues répugnantes dont la seule ambition est de faire prospérer la spéculation, le tripotage, la combine, le chantage, la mort et l’abêtissement…

08:54 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, covid, mensonge, tendance, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

21/07/2020

Le masque est la porte ouverte à des problèmes de santé

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Le traitement de l'aspergilus fumigatus implique voriconazole et Amphotericin-B et des antifongiques. La prévention passe par le nettoyage régulier des locaux mais aussi une bonne filtration des systèmes de ventilation et là dans les hôpitaux ce n'est plus toujours le cas. 

 

Non au masque, oui au masque, pas de masque, il faut le porter à nouveau ! La parole menteuse de la démocratie capitaliste change à ce sujet toutes les 5 minutes, pourquoi ?

La plus grande section du Commissariat aux Archives, bien plus grande que celle où travaillait Winston, était simplement composée de gens dont la tâche était de rechercher et rassembler toutes les copies de livres, de journaux et autres documents qui avaient été remplacées et qui devaient être détruites. Un numéro du Times pouvait avoir été réécrit une douzaine de fois, soit par suite de changement dans la ligne politique, soit par suite d’erreurs dans les prophéties de Big Brother. Mais il se trouvait encore dans la collection avec sa date primitive. Aucun autre exemplaire n’existait qui pût le contredire. Les livres aussi étaient retirés de la circulation et plusieurs fois ré-écrits. On les rééditait ensuite sans aucune mention de modification. Même les instructions écrites que recevait Winston et dont il se débarrassait invariablement dès qu’il n’en avait plus besoin, ne déclaraient ou n’impliquaient jamais qu’il s’agissait de faire un faux.

Il était toujours fait mention de fautes, d’omissions, d’erreurs typographiques, d’erreurs de citation, qu’il était nécessaire de corriger dans l’intérêt de l’exactitude. À proprement parler, il ne s’agit même pas de falsification, pensa Winston tandis qu’il rajustait les chiffres du ministère de l’Abondance. Il ne s’agit que de la substitution d’un non-sens à un autre. La plus grande partie du matériel dans lequel on trafiquait n’avait aucun lien avec les données du monde réel, pas même cette sorte de lien que contient le mensonge direct. Les statistiques étaient aussi fantaisistes dans leur version originale que dans leur version rectifiée. On comptait au premier chef sur les statisticiens eux-mêmes pour qu’ils ne s’en souvinssent plus.

George Orwell, 1984

 

Derrière les mensonges étatiques du spectacle de la crise marchande drapés dans l’apocalypse sanitaire du Coronavirus, un spectre hante l’Europe: le spectre d'une révolte prolétaire. Toutes les puissances de la vieille Europe se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : le pape et Moscou, Berlin et Paris, toutes les gauches de France et toutes les droites d’Allemagne…


 

 

 

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L'idée de base et de sommet est incompatible avec l'égalité républicaine. Au revers des feintes, des fables et des duplicités sanitaires de la guerre économique se profile – d’abord – l’évidente certitude du retour de la guerre de classe ici avouée et révélée par Macron…

 

 

Présidentielles US: les Démocrates prolongeraient la crise du Covid-19 pour fragiliser Trump. Une crise sanitaire entretenue?

(...)

Le candidat antisystème qui prétendait en 2016 «assécher le marécage» de Washington, combattre le «deep state», l’État profond, a-t-il seulement réussi son pari? Car tout n’est pas à mettre au débit de Donald Trump dans la gestion de la crise sanitaire aux États-Unis. Le chercheur associé à l’IPSE pointe «une gestion politique du virus» par l’ensemble de la classe politique, pour qui «l’objectif unique» est l’élection présidentielle du 3 novembre. Ainsi, Gérald Olivier parle-t-il très clairement d’une «collusion, d’une coalition anti-Trump» fomentée par tout «l’establishment Démocrate et les médias» qui n’hésiteraient pas à entretenir ce marasme politico-sanitaire:

«Il est dans l’intérêt des Démocrates de prolonger cette crise. C’est pour ça qu’aujourd’hui, vous avez des États dirigés par une Administration Démocrate, qui savent très bien que l’objectif, c’est novembre, l’élection présidentielle. Plus ils maintiendront cette atmosphère de crise, plus ils favoriseront la victoire de Biden. Au-delà de la crise sanitaire, cette crise va durer jusqu’à l’élection pour des raisons purement politiques.»
(...)
Interview de Par pour Sputnik 20/07/2020

 

Dernière vidéo du docteur Silvano Trotta. A voir absolument !

Commentaire d'un internaute avisé.

Je suis d'accord avec toi, j'ai bossé pendant +5 ans en salle blanche et en chambre stérile dans la fabrication de médicament, j'ai donc reçu des formations sur l'équipement "médicale". il existe 3000 bactéries par centimètre carré sur une main, c'est pourquoi en lavant ses mains avec des lotions a base d'alcool toute les heures, on réduit les bactéries à environ 2000 au centimètre carré, lorsque l'on s'habille en salle blanche, il existe tout un protocole, désinfection des mains, puis enfilage des gants stériles sans toucher l'extérieur du gant, et ensuite, enfilage de la combinaison, puis du masque chirurgicale, a changer toute les 2 heures. Attention, dans ce cas, on travail dans des "chambres" salles à pression différentiel contrôlé dans lesquels très peu de bactéries existent. Le soucis du masque (dans des lieux ouverts ou en pression atmosphérique non contrôlé) à un effet statique et de ce fait absorbe tout les microbes qui l'entoure. vulgairement parlant pour expliquer au novice, le masque chirurgicale, ou coton lavable, etc.... a le même effet que les lingettes swiffer, qui attire la poussière. Il est donc évident que ces bactéries qui se collent continuellement sur les masques se transformes en champignon, étant donné que les champignons sont les fleurs des bactéries. Donc le fait de porter un masque rend malade, tout comme le fait de mettre son lit dans une pièce humide et pleine de moisissure, en quelques semaines, vous aller faire de l'hyperventilation, vous aller tousser, mal de gorge, vous aller avoir d'énorme soucis de bronche, car vous aller développer un champignon interne du a la respiration de la moisissure. Donc si le covid-19 est dit une maladie respiratoire, il est logique que si tout le monde porte un masque, une nouvelle vague va arriver, mais elle ne sera pas a l'origine d'un virus grippal, mais d'une infection bactériologique des bronches du à une mauvaise respiration.

09:08 Publié dans Actualité | Tags : covid, trump, virus, masque, faillite, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!