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17/12/2020

Le gauchisme de rue, cette complicité du Système

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Théâtre de l’œuf, c'est déjà un aveu !

 

Restons un pays ouvert, qui accueille de nouvelles cultures et tire un profit du métissage

Laurence Parisot, ancien président du MEDEF, membre de divers conseils d’administration, président de la banque américaine Citi en France et sympathisant véganiste (entre autres ) …

 

En 1871, le prolétariat in-disciplinable des profondeurs historiques françaises voulait – contre la dictature étatique de la valeur d’échange – faire surgir un autre monde débarrassé de toutes les impostures du marché…

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Aujourd’hui, toutes les cliques gouvernementalistes, à la remorque culturelle des rackets sociétaux de l’extrême gauche du Capital, entendent dissoudre le prolétariat des territoires périphériques dans un grand magma arc-en-ciel de soumission consommatoire généralisée, assujetti aux mégapoles mondialistes de l’in-distinction des foules écolos-bobos privilégiées et de leurs clientèles immigrées… 

La mystification anti-raciste des boutiques contre-révolutionnaires du cosmopolitisme capitaliste est le contraire de l’internationalisme prolétarien vers le communisme !

Que faut-il être incultivé et stupide pour beugler À bas l’État policier et non aux lois scélérates ! Comme s’il existait des États non-policiers et des lois non-misérables… Quant aux clowns ignares qui braillent que tout le monde déteste la police, ils ne sont là comme pitoyable diversion contrôlée et protégée que pour empêcher que l’on vomisse l’argent et que l’on exige l’Abolition du salariat et de l’État

Lorsque le Système a mutilé durant de longs mois les Gilets Jaunes, le spectacle médiatique du mensonge marchand ne s’en scandalisait guère. Mais lorsqu’on bouscule des figurants migrateurs dans la machination d’un mauvais film parisien qui veut légitimer le remplacement du prolétariat radical par le réfugié, moderne idole intouchable de toutes les multinationales du profit ou quand l’on rosse un producteur de rap stupéfiant, et qui plus est de couleur, l’ensemble de la caste politico-journalistique du Capital s’indigne en bloc, feint de ne pas connaître le CV judiciaire de ce dernier et nous propose une fois de plus, avant même que toute investigation ait véritablement commencé, l’inepte Union sacrée anti-flics de commande pour farder et rénover l’imposture gouvernementaliste de la domestication démocratique sans fin

Dans la domination désormais pleinement réalisée de la dictature démocratique du faux omni-présent, les journalistes incultes sont devenus les pires flics du monde et les flics les pires sont devenus les journalistes de l’inculture mondaine la plus en vue… Tous les journalistes sont – par essence – larbins étatiques de la marchandise et ne sont reconnus médiatiquement que par cette opération fétichiste d’inversion aliénatoire qui transforme spectaculairement le vrai en faux et le faux en vrai… 

Pour avoir l’attention des réseaux médiatiques de la falsification et autres organes de contrôle du contrôleur troupier de base, il vaut assurément mieux être immigré ou de couleur que banal prolétaire réfractaire de base… C’est normal, le fétichisme de la marchandise soigne et favorise les populations dont il a besoin pour faire fonctionner la servilité des mille commerces et trafics de sa reproduction et gère sans ménagement celles dont la contestation risque de déboucher sur l’insubordination sauvage au règne du marché inéluctable… Ainsi, lorsqu’un clandestin est victime d’un croche-pied ou quand un extra-européen subit des violences durant une intervention policière, l’administration du politiquement correct peut pondre des rapports en moins de 48 heures afin de complaire aux plus hauts sommets de la crapulerie dirigeante et en satisfaisant là aux dogmes commerciaux de promotion et de protection de la diversité. Les Gilets Jaunes, eux,  n’ont point cette chance, ils ne constituent pas un bon produit publicitaire à la mode pour l’institutionnalisation de l’État de droit du fallacieux toujours davantage renforcé… Ils attendent toujours en nombre, deux ans après les faits, alors même que les responsables des tirs qui les ont systématiquement estropiés et éborgnés sont pourtant parfaitement identifiés…

Aujourd’hui, la colère prolétaire ne cesse de monter et elle finira évidemment par s’affirmer de plus en plus comme récusation inévitable, profonde et durable de tous les diktats capitalistes du Ministère de la Vérité Officielle… La crise intensive généralisée de la dictature mondialiste de la marchandise et le dépérissement des machinations répétées de la duperie sanitaire étatiquement orchestrée  – pour dissimuler le vaste effondrement économique en cours – vont progressivement tout faire furieusement vaciller…

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L'imposture marchande dans toute son audace

Le dérivatif des comédies, maquillages et contorsions autour des violences policières toujours mises en scène en permanente géométrie variable pour valoriser l’idéologie de l’anti-racisme de la marchandise et nous éloigner de la sorte du seul terrain qui fasse peur à la classe capitaliste ; celui du surgissement communiste du prolétariat historique, doit être dénoncé radicalement pour ce qu’il est en vérité ; un putride et pitoyable leurre contre-révolutionnaire… 

La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement. Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi, il faut réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement…

Engels, De la réforme sociale sur le continent

La lutte humaine contre la marchandise mondiale, contre les gouvernements de l'imposture corona virale, du mensonge anti-raciste, contre tous les gangs politiques de l'extrême droite à l'extrême gauche du royaume de Mammon n'a jamais été aussi vitale.

 

09:04 Publié dans Actualité | Tags : mensonge, marchandise, crise, capital, revolte, gauchisme, spectacle | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

19/10/2020

Quotidien de la Terreur du Capital en crise

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Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi, le terrorisme. Elle veut, en effet, être jugée sur ses ennemis plutôt que sur ses résultats. L’histoire du terrorisme est écrite par l’État ; elle est donc éducative. Les populations spectatrices ne peuvent certes pas tout savoir du terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique (Du terrorisme, Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle, Éditions Gérard Lebovici, 1988).

“Le terrorisme spectaculaire n’est pas un ensemble d’attentats isolés, chaotiques, séparés ou insensés, mais le rapport social de signification unitaire par lequel la crise approfondie de l’économie marchande produit sa mondialisation laquelle ne peut mondialiser sa production, qu’indistinctement médiatisée par des attentats justement indistincts.
La terreur ne peut être comprise comme une horreur extérieure à ce monde. Elle est bien plutôt l’effectivité matérielle de son intériorité pleinement objectivée. Le spectacle terroriste de l’indistinction saisi dans sa totalité, est à la fois la résultante dernière et le seul projet d’un mode historique de production qui ne parvient plus à produire sa propre histoire.
Le terrorisme n’est pas un cauchemar irrationnel d’horreur spectaculaire sur-ajouté à la réalité démocratique, il constitue le centre réel de la rationalité du spectacle démocratique lui-même.”

Critique de la société de l’Indistinction


Dans le cadre de la mystification étatique du Coronavirus sans fin, la crise historique de la baisse du taux de profit et l’effondrement de l’économie mondiale de la domestication n’ont qu’un seul véritable ennemi de radicalité profonde ; le prolétariat universel qui s’unit et qui s’insurge en tant que classe qui abolit justement toutes les classes…

Pour essayer de repousser l’échéance cauchemardesque de la guerre sociale qui s’annonce, le spectacle de la marchandise de la servitude durable entend nous jeter dans les grandes diversions contre-révolutionnaires de la guerre des sexes, de la guerre des races et de la guerre des religions…

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Nièvre 2015 : Une femme d'une cinquantaine d'années se dénonce auprès des gendarmes après avoir tué son mari à coups de hache à Guérigny. Elle n’a pas supporté qu’il se moque de sa foi catholique.  Quelqu'un en a entendu parler? Macron va-t-il se déplacer sur place? A t-on eu une hyper médiatisation nationale et jusque dans la presse américaine ? A t-on une manifestation montrant que la menace terroriste ou sanitaire disparaît selon les intérêts politiques du moment ? A t-on exploité le tragique, l'émotion pour réduire encore la liberté d'expression de la population ?

Le vaste remplacement prévu par Marx dans la Septième section du Livre premier du Capital et qui s’est généralisé après la grande grève sauvage de 1968 a permis à la classe capitaliste d’importer massivement une armée de réserve dont les perceptions historiques sont à mille lieux de la pratique sociale insoumise qui a rendu possible le surgissement communard des conseils ouvriers révolutionnaires de Barcelone ou de Budapest…
Des millions d’hommes déracinés et issus d’un monde où la répétition sans fin des normes de soumission sociale est la règle implacable sont ainsi arrivés pour permettre de diviser et de morceler les territoires de la conscience de classe du prolétariat d’Europe qui depuis des siècles n’avait cessé, lui et lui seul, de faire trembler l’ordre mondial des mystifications du fétichisme de la marchandise…
Cette collision délibérément voulue par le patronat et l’État a ainsi construit partout des enclaves sociales et culturelles totalement incapables d’accéder à la perspective subversive de la lutte de classe réfractaire contre l’argent et l’État puisque les populations qui y résident en claustration choisie sont ancestralement arraisonnées par la logique inéluctable de la résignation au travail ou par celle de l’habitude du trafic…
Dès lors, à côté des grandes opérations terroristes de masse planifiées centralement par le haut des services occultes, de l’OTAN, de la CIA et de leurs diverses ramifications, ne cesse de prospérer – sous contrôle déconcentré – un terrorisme de la frustration des désemparés du bas qui sont inaptes à toute intégration à la pensée pensante du doute subversif tel qu’il exprime précisément l’essence spécifique du Logos …

Il y a Notre-Dame de Paris et là c'est un mégot, circulez, il n'y a rien à voir et surtout pas ou va l'argent. Par contre, cette fois, on est invité à manifester, serrés comme des sardines en pleine pandémie, cette menace mortelle imposant un couvre-feu comme pendant la guerre, aller acheter une boîte de petits pois à 21h05, c'est l'amende et la récidive peut mener en prison. Si on ne comprend pas à quoi nous sommes confronté, ce qui autorise même l'exploitation médiatique des enfants comme au temps de la RDA, c'est à désespérer de l'intelligence.

Dans ce cadre, il faut toujours se souvenir que l’Europe des luttes de classe radicales paysannes qui allait ensuite voir naître le prolétariat communiste moderne est le prolongement d’insurrections communeuses permanentes qui produisirent des siècles de reconquête contre le despotisme islamique tant en Espagne que dans les Balkans… Ainsi, et comme le montre bien Engels dans son texte fameux sur le christianisme primitif, la lutte de classe toujours dés-obéissante des vieilles paysanneries christiques qui fut l’invariance européenne de l’insoumission constante aux Églises officielles, à la noblesse, au fisc et à la bourgeoisie constitue bien une antithèse absolue à la Oumma de soumission qui n’est d’ailleurs qu’une Torah de servitude simplement revisitée et simplifiée…
Aujourd’hui, la société multiculturelle qui mélange aliénatoirement en juxtapositions séparées le temps ouvert et révolutionnaire du monde communard européen et le temps fermé et contre-révolutionnaire de l’idolâtrie monothéiste orientale est nécessairement et violemment multi-conflictuelle et c’est pourquoi d’ailleurs le Capital pour se soustraire à sa crise mortelle en voie d’advenir – a massivement investi dans le projet distractif du chaos ethnique et religieux généralisé afin de s’efforcer d’immobiliser le temps dans le seul présent de la dictature interminable du marché…
La décapitation du professeur de Conflans-Sainte-Honorine, c’est d’abord et désormais l’expression possible à chaque coin de rue du spectacle sanglant de la crise mondiale de la valeur d’échange qui se présente comme organisation sociale de l’abomination aliénatoire omni-présente… C’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité partout inversée… C’est le capitalisme drogué et sénile qui n’a plus pour seul horizon que la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, doit s’ériger sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive où le désir, le plaisir et l’insoumission doivent définitivement s’effacer devant l’impératif catégorique d’oublier à jamais le passé glorieux des prolétaires barricadiers de tous les temps d’intelligence et de fracture.

Non ! Nous ne céderons pas !

Nous n’oublierons point notre histoire et notre destination !

Guerre à la guerre des sexes !

Guerre à la guerre des races !

Guerre à la guerre des religions !

07:44 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, terreur, guerre, manipulation | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

08/09/2020

Crise du capital de la rentrée sous la loupe de l'analyse radicale car humaine

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

La France, bastion avancé de la lutte de classe prolétarienne est issue d’une longue tradition radicale qui s’inscrit dans la spécificité communeuse de l’espace-temps européen millénaire tel que ce dernier a su faire surgir, de manière pratico-théorique accomplie, le Manifeste Communiste contre l’argent et contre l’Etat… Non, la France n’est point une auberge orientale de transactions commerciales destinée à perpétuer à l’infini, les religions de soumission du pécule qui bouge sans arrêt, non elle n'est pas un  hôtel !  Elle est la terre vivante des insurrections réfractaires qui de la Commune de Paris à l’irruption des Gilets Jaunes en passant par la grève sauvage de 1968, n’a jamais cessé de rappeler que l’émancipation humaine universelle passe par la destruction de l’économie et de la politique…

Le pouvoir totalitaire de la marchandise est exclusivement l’expression unitaire de la conscience fausse, devenue complètement adéquate à la nécessité pour le temps de l’aliénation, de tenter de se rendre définitivement irréversible… Ainsi, le propre du spectacle du fétichisme marchand est-il de toujours s’acharner à démembrer tout ce qui pourrait permettre le surgissement historique d’une conscience susceptible de saisir l’imposture du temps immobilisé par le marché mondial de l’ignardise et de la passivité…

La dictature démocratique de l’histoire réifiée doit donc pour attacher la vie dans la liberté de la reproduction capitaliste sans fin disloquer l’esprit humain pour le rassembler ensuite sous les formes les plus trompeuses telles que le devenir de la marchandise les a fixées comme obligatoires…

C’est évident… La révolution sociale ne viendra jamais des populations immigrées consommatoires qui représentent d’abord les circuits les plus aliénatoires des déplacements serviles du libre-échange capitaliste… Et ce dernier fait tout pour justement ensevelir la radicalité insurrectionnelle du prolétariat européen qui seul, sut faire apparaître les Conseils ouvriers révolutionnaires pour l’abolition du salariat… C’est pourquoi la discrimination positive intensive de tout ce qui contredit l’histoire prolétarienne radicale est bien la norme absolue de cette fade bouillie informe des razzias de la consommation mercantile la plus idiotisante telles qu’elles ne cessent d’étendre l’égalisation marchande du consommer abrutissant… De la sorte, la tyrannie démocratique des grands mélanges abêtissants vise essentiellement à nous faire sortir de l’histoire pour nous figer dans le monothéisme de la marchandise perpétuelle…

Le Capital voudrait tellement enfin déclarer mort le prolétariat révolutionnaire, qu’après avoir systématiquement opéré son grand remplacement cosmopolite par l’immigré pensionné, nouvelle Sainte production de l’économie politique antiraciste à sens unique, il s’essaye désespérément à organiser la substitution du concept historique de lutte de classe contre l’argent par celui de lutte publicitaire des races pour la re-distribution privilégiée des mille prestations possibles…

Désormais, l’immigré naturalisé de papier est intégralement devenu la marchandise de sauvetage prioritaire pour essayer de permettre au Capital d’échapper à la sanction de sa crise historique inévitable… Aussi est-il la marchandise vedette intouchable de la société spectaculaire en crise généralisée… Salarié docile et honnête qui veut s’intégrer à tout prix à la galerie marchande officielle ou profiteur de l’économie souterraine qui fait malversation en tous genres, l’immigré est clairement depuis la grande peur de la grève généralisée de 1968, le seul moyen patronal de faire maillage territorial et historique de contre-révolution pour empêcher le retour de l’insurrection ouvrière joyeuse et érotique qui dit l’amour, les sens, la nature, le vin, la cochonnaille et la jouissante Commune subversive…

Les migrants clandestins, clientèles faciles de l’obéissance au fric, désignés métaphoriquement et indûment comme sans papiers sont – en premier lieu – des chances capitalistes qu’il faut accueillir dans les bas-fonds subventionnés des mégapoles de la marchandise afin que les bobos urbains, écolos hébétés, puissent survivre dans leur misère existentielle de piteuses épaves favorisées et ainsi s’afficher en terrain avantagé, bien loin des prolétaires expulsés des centres-villes et de leurs banlieues désormais livrées au libre-échangisme des migrations exotiques les plus ahuries et les plus accommodantes… Nous sommes ainsi désormais des millions et des millions de prolétaires à être journellement traités comme des moins que rien, comme des « esclaves salariés » de la démocratie de la valeur d’échange, et bien entendu la maladive compassion des classes dirigeantes pourries ne s’occupe et ne s’émeut que de ce qui rime avec l’étranger puisque la gauloiserie de souche réfractaire doit justement être réduite au silence… Cela s’appelle la lutte des classes et contre tous les larbins du progrès mondialiste de la domestication capitaliste, le prolétariat universel devra balayer toutes les réalités systèmo-compatibles qui se dressent entre lui et son émancipation…

Pompier caillassé, chauffeur de bus mis à mort, infirmière violentée, postier dépouillé, passant racketté, petit vieux massacré et cambriolé, piéton écharpé, promeneur lynché … La racaille froussarde, récidiviste et pitoyable s’attaque toujours en nombre et vilement au prolétaire isolé pendant qu’elle adule servilement tous les circuits tarés et véreux du spectacle mortifère de l’accumulation marchande…

Un sauvage est un homme d’émotion d’avant le dressage social de la civilisation de l’argent et de l’État …

À l’envers, une racaille est une ordure mécanique et prédatrice de la grande déchèterie robotique capitaliste… C’est une res, degré ultime de la réification analysée par Marx, chose qui ne voit que des choses dans un monde de chosification exclusive… Un débris haineux, laid et obtus par essence, qui ne pense pas et ne parle pas… Au contraire des blousons noirs des temps passés qui savaient encore manier une langue qui disait un certain mode d’être, les bandes capuchonnées de la banlieue boutiquière d’aujourd’hui ne peuvent plus que réciter les onomatopées de la chose mercantile la plus putridement fermée… C’est donc pourquoi la machine froide, maniaque et malveillante de la déchèterie banlieusarde est bien une merde contre-révolutionnaire qui éructe en permanence son impuissance à ressentir et qui dès lors est condamnée – par compensation maladive – à produire partout le cynisme compulsif de la crapulerie, du gang, de la bassesse et de l’abjection…

Qui sont donc ces abrutis dégénérés de la violence urbaine de la décadence capitaliste dont le prénom est toujours médiatiquement systématiquement occulté ? Non, ce ne sont point des sauvages, ce sont les excréments modernes de toute la décomposition chosifiante et pathologique de la crise historique du spectacle du fétichisme marchand…

Dans le monde de l’in-distinction et de l’inversion universelles, la réalité du vrai n’est plus qu’un moment reconstitué du faux totalitaire qui travestit l’ensemble de l’espace-temps pour que les questions historiques essentielles ne puissent plus être posées… L’État du mensonge Coronaviral est ainsi une monstruosité cybernétique de saloperies policières et despotiques infinies et les banlieues si sales du magouillage sordide constituent évidemment les sanctuaires de la dégueulasserie commerciale la plus protégée…

Voleurs, violeurs, casseurs, pillards, dealers, accapareurs, fricoteurs… Bains de sang, carnages, tueries, sadisme, insensibilité, atrocités, tortures, sévices, cruautés, couardises, indignités et vilénies… C’est tout ceci qui fait la carte d’identité puante de toutes les bandes d’ahuris incultes, immondes et lâches qui errent dans la crasse mentale des banlieues du néant historique et dont le seul motif de pitoyable vie est de faire du shopping de rapine pour toujours s’attaquer en groupe à des cibles isolées et pour aller ensuite – sans aucune dignité – lamentablement pleurnicher la fausse innocence

Dans l’ordre du trafic, de la tune, de la came et de l’ahurissement, du mensonge, de la bassesse, de la pleutrerie et de la veulerie, du vacarme et des rodéos débiles, les racailles du bas sont bien là, la matière fécale cosmopolite la plus concentrée des racailles du haut et c’est pour cela que contrairement aux Gilets Jaunes prolétaires à potentiel communard massivement mutilés, elles bénéficient d’une immunité magique interminable…

Le Lumpenprolétariat, cette lie d´individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l´inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d´un, ce n´était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu´ils savaient très justement qu´il fallait avant tout se débarrasser de ce ramassis.

Engels, La guerre des paysans.

 

Le spectacle de la crise mondiale de la valeur d’échange se présente comme organisation sociale totalement illusoire, c’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité inversée, c’est la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, s’érige sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive. Et là, les actuels domestiques du gauchisme du capitalisme vert de commande ne connaissent plus que trois tabous inattaquables inlassablement réitérés : l’immigrationnisme, le féminisme et les lobbies de toutes les marginalités sexuelles…

… Les hommes de la véritable volupté historique qui démoliront l’ordre de la charogne marchande, les balaieront en faisant renaître l’insoumission totale à la survie des mille abondances de la misère constamment augmentée et toujours recoloriée

Pour un Monde sans argent ni État, Vive la Commune universelle !

La Révolution qui pointe partout avec un esprit communard (à l'opposé du marxisme-léninisme du capitalisme d'état) détruira toutes les polices du Capital… Elle anéantira toutes les vérités officielles de la mystification marchande, celle du Coronavirus comme toutes les autres… Et c’est donc pour cela qu’elle liquidera toutes les bandes armées analphabètes de ces banlieues répugnantes dont la seule ambition est de faire prospérer la spéculation, le tripotage, la combine, le chantage, la mort et l’abêtissement…

08:54 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, covid, mensonge, tendance, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

01/05/2020

La répression confine et frappe l'autochtone en révolte sociale et lui seul

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Les racailles du haut protègent toujours les racailles du bas et on les retrouve d’ailleurs toutes deux aux deux pôles aliénatoires de la chaîne commerciale de la came du Capital…

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« Le Lumpenproletariat, cette lie d’individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l’inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d’un, ce n’était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu’ils savaient très justement qu’il fallait avant tout se débarrasser de cette bande. Tout chef ouvrier qui emploie ces vagabonds comme gardes du corps, ou qui s’appuie sur eux, prouve déjà par là qu’il n’est qu’un traître au mouvement. »

Engels, La guerre des paysans allemands  

« Le  lumpenprolétariat, ce produit passif de la pourriture des couches inférieures de la vieille société, peut certes se trouver, çà et là, entraîné dans le mouvement par une révolution prolétarienne; cependant, ses conditions de vie le disposent bien plutôt à se vendre à la réaction… »

Le manifeste communiste

« La barbarie banlieusarde n’est que la banlieue de la barbarie centrale. Les banquiers cultivés et courtois qui circulent au sommet de l’État et les caïds analphabètes et vulgaires qui rôdent au pied des « cités » ont ceci de commun qu’ils sont tous des professionnels de  l’appropriation.
Les premiers venant d’ailleurs toujours embaucher les seconds pour protéger le monde de la possession lorsque la colère issue du salariat en arrive au point où elle s’organise comme mouvement d’inacceptation radicale de l’indistinction marchande.
Dans l’ordre supérieur de la dictature démocratique de l’indistinct, il y a longtemps que s’est opérée la jonction voluptueuse entre l’argent propre et l’argent sale afin que puisse s’articuler la grande concentration qui universalise l’adéquation entre le spectacle de l’industrie et l’industrie du spectacle.
On commet une lourde erreur lorsque l’on croit que la dynamique de l’argent propre et celle de l’argent sale auraient entre elles quelque incompatibilité fondamentale puisqu’en fait aucun antagonisme ne les oppose quant à l’essentiel et que bien au contraire à l’heure de la domination totale de la marchandise, le structurant des maffia du sale est devenu le paradigme d’indistinction de toutes les grandes références ( bancaires, scientifiques, immobilières, sportives, médicales, éditoriales…) du commerce dit propre. »

06:41 Publié dans Actualité | Tags : diversion, prolétariat, luttes, simulacre, capital, crise | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!