18/02/2025
Trump et la crypto-monnaie
Actuellement, en février 2025, le TRUMP coin, lancé par Donald Trump en janvier, connaît une situation volatile. Après un pic fulgurant à 75 dollars lors de son lancement le 17 janvier, atteignant une capitalisation de 14 milliards de dollars, il a chuté significativement. Il s’échange aujourd’hui autour de 16 à 18 dollars, soit une baisse de plus de 75 % par rapport à son sommet, selon des posts sur X et des analyses récentes. Son indice de force relative (RSI) à 98,88 au lancement indiquait un surachat extrême, préfigurant une correction, qui s’est confirmée. La capitalisation boursière est désormais d’environ 3 à 4 milliards de dollars, bien en deçà de son apogée. Des posts sur le réseau X de l'industriel Elon Musk mentionnent que 810 000 investisseurs auraient perdu plus de 2 milliards de dollars en valeur théorique, tandis que de gros investisseurs auraient vendu, aggravant la chute. Malgré cela, certains analystes restent optimistes, prévoyant un rebond possible vers 30 à 40 dollars à court terme. La volatilité reste élevée, avec un ATR en hausse signalant des fluctuations importantes. Le TRUMP coin, sur la blockchain Solana, continue d’attirer l’attention, mais son avenir reste incertain, marqué par des risques spéculatifs élevés.
Une crypto-monnaie est une monnaie numérique qui repose sur des technologies cryptographiques et un réseau décentralisé pour assurer la sécurité des transactions et contrôler l’émission de nouvelles unités. Contrairement aux monnaies traditionnelles (comme l’euro ou le dollar), elle n’est régulée par aucune autorité centrale (banque centrale ou gouvernement). Son fonctionnement repose principalement sur la blockchain, un registre distribué qui enregistre toutes les transactions de manière transparente et immuable.
Les principes fondamentaux des crypto-monnaies
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Décentralisation
Contrairement aux systèmes bancaires classiques, les crypto-monnaies fonctionnent sur des réseaux pair-à-pair (P2P) sans intermédiaires. Cela signifie qu’aucune entité unique ne contrôle le réseau. Cette décentralisation est généralement assurée par la blockchain et un consensus entre les participants du réseau. -
Blockchain : la technologie sous-jacente
Une blockchain est un registre numérique immuable qui enregistre toutes les transactions effectuées avec une crypto-monnaie. Chaque nouvelle transaction est ajoutée sous forme d’un bloc, relié aux précédents par des algorithmes cryptographiques. Cela garantit l’intégrité et la transparence du système. -
Sécurité et cryptographie
Les transactions en crypto-monnaies sont sécurisées grâce à la cryptographie. Chaque utilisateur possède une clé publique (une sorte d’adresse visible sur le réseau) et une clé privée (qui permet de signer et valider les transactions). Cette double clé garantit que seules les personnes autorisées peuvent dépenser leurs fonds. -
Preuve de travail (Proof of Work) et preuve d’enjeu (Proof of Stake)
Pour valider les transactions et sécuriser le réseau, la blockchain utilise des mécanismes de consensus. Le plus connu est la preuve de travail (PoW) utilisée par le Bitcoin, où des mineurs résolvent des calculs complexes pour ajouter un bloc à la blockchain. Une alternative plus économe en énergie est la preuve d’enjeu (PoS), où la validation est assurée par des participants possédant un certain nombre de jetons.
Les principales crypto-monnaies
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Bitcoin (BTC)
Créé en 2009 par une personne (ou un groupe) sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto, le Bitcoin est la première crypto-monnaie et reste la plus populaire. Il est souvent considéré comme une réserve de valeur, similaire à l’or numérique. -
Ethereum (ETH)
Lancé en 2015 par Vitalik Buterin, Ethereum introduit un concept novateur : les contrats intelligents (smart contracts), des programmes qui s’exécutent automatiquement lorsqu’un ensemble de conditions est rempli. Cela permet le développement d’applications décentralisées (DeFi, NFT, etc.). -
Autres crypto-monnaies
- Ripple (XRP) : axé sur les transactions interbancaires rapides et à faible coût.
- Cardano (ADA) et Solana (SOL) : alternatives plus écologiques à Ethereum.
- Monero (XMR) : met l’accent sur la confidentialité et l’anonymat.
Utilisations des crypto-monnaies
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Moyen de paiement
De nombreuses entreprises acceptent désormais les crypto-monnaies comme moyen de paiement (Tesla, Microsoft, etc.). Elles permettent des transactions rapides, sécurisées et sans intermédiaires. -
Investissement et spéculation
Le marché des crypto-monnaies attire de nombreux investisseurs en raison de sa volatilité. Certains voient les cryptos comme un actif spéculatif, tandis que d’autres les considèrent comme une protection contre l’inflation. -
Finance décentralisée (DeFi)
La DeFi permet d’effectuer des opérations financières (prêts, épargne, échanges) sans passer par une banque, grâce aux contrats intelligents. -
NFT et métavers
Les NFT (Non-Fungible Tokens) sont des actifs numériques uniques basés sur la blockchain, utilisés dans l’art, les jeux vidéo et les mondes virtuels.
Les défis et controverses des crypto-monnaies
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Volatilité
Les prix des crypto-monnaies fluctuent fortement, ce qui peut engendrer des gains mais aussi des pertes importantes. -
Régulation
Certains gouvernements cherchent à encadrer les crypto-monnaies pour lutter contre les fraudes et blanchiments d’argent, ce qui peut affecter leur adoption. -
Impact environnemental
Le minage de Bitcoin consomme beaucoup d’énergie, ce qui suscite des préoccupations écologiques. Certaines crypto-monnaies, comme Ethereum, évoluent vers des modèles plus durables.
Les crypto-monnaies représentent ainsi une révolution financière qui remet en question les modèles économiques traditionnels. Bien qu’elles offrent de nombreux avantages, elles s’accompagnent aussi de défis à relever, notamment en matière de régulation et d’empreinte écologique. Que ce soit comme moyen de paiement, investissement ou outil technologique, elles continuent d’évoluer et de transformer notre rapport à l’argent. il faut cependant eêtre toujours conscient de leurs limites, elles ne remplaceront jamais l'étalon de la valeur d'écahnge qu'est le dollar et elles vont même accélérer sa mort prochaine par leur effet de dédolarisation.
Les crypto-monnaies ont commencé à perdre fortement de la valeur suite à la décision du président américain Donald Trump d'imposer des droits de douane sur les marchandises en provenance du Canada, de Chine et du Mexique. Le même sort est arrivé à la cryptomonnaie « personnelle » de Trump, Official Trump (TRUMP), qu’il a lancée quelques jours avant son investiture. Qu’est-ce qui a changé avec la sortie de la cryptomonnaie « présidentielle »
Plusieurs pièces portant le nom du président américain ont existé, mais aucune n’était directement liée à lui : Doland Tremp (TREMP), Super Trump (STRUMP) et Make America Great Again (MAGA). Beaucoup doutaient que le président ait lui-même émis des cryptomonnaies. L’opinion dominante était qu’il s’agissait d’un Rug Pull, une arnaque où les escrocs gonflent artificiellement la valeur d’une monnaie avant de la revendre au sommet.
Cependant, le 17 janvier, Donald Trump a annoncé sa pièce sur sa page officielle du réseau social X (interdit en Russie), et elle a été lancée le jour même. « Il est temps de célébrer tout ce que nous représentons : la VICTOIRE ! » a-t-il écrit, partageant un lien vers son memecoin personnel. Son logo montre Trump levant le poing après la tentative d’assassinat du 13 juillet 2024. Il a lancé TRUMP avant son investiture, alors qu’il était encore simple citoyen.
Un milliard de jetons TRUMP seront émis. Le premier jour, un cinquième a été mis sur le marché, le reste suivra sur trois ans. Le volume d’échange a atteint 11,17 milliards de dollars le premier jour. En seulement deux jours, son prix a grimpé à 75 dollars et sa capitalisation a dépassé 15 milliards. Melania, la pièce de son épouse Melania Trump, comprend également un milliard de jetons, distribués sur 13 mois.
Dans la nuit, le prix du TRUMP a grimpé de 300 %, atteignant plus de 75 $ l’après-midi du 19 janvier. À son apogée, il figurait à la 19e place des cryptos les plus chères, avec une capitalisation de plus de 15 milliards de dollars. Moins de 24 heures plus tard, Melania Trump a lancé sa propre monnaie (MELANIA), faisant chuter TRUMP à 40 $, les traders vendant pour acheter le nouveau memecoin en pleine croissance.
TRUMP se négocie désormais sous les 20 $, mais sa capitalisation reste au-dessus de 3,4 milliards (34e place). MELANIA, moins prisée, s’échange à moins de 2 $, avec une capitalisation de 680 000 $ (97e place).
Après un début fulgurant, la crypto du couple Trump a chuté, accélérée par les mesures protectionnistes du nouveau président. Un retour aux niveaux initiaux semble improbable à court terme. Certains critiquent Trump pour avoir dénaturé la blockchain, censée symboliser l’indépendance vis-à-vis de l’État. De plus, ces cryptos politiques pourraient devenir un outil de corruption, permettant des transferts d’argent à la famille présidentielle sous couvert d’investissement.
TRUMP pourrait devenir un levier d’influence sur la politique américaine. En achetant massivement cette monnaie, des étrangers pourraient chercher à gagner la faveur du président ou menacer de faire chuter sa valeur, affectant son image et ses finances.
Les memecoins Trump peuvent aussi être vus comme un nouvel actif, reflétant l’approbation politique et la popularité du président. Les jours autour de l’inauguration et du lancement du memecoin ont été parmi les plus actifs de l’histoire de l’échange. Cependant, le discours d’investiture du 20 janvier a déçu les traders : Trump, qui avait évoqué les cryptos en campagne, n’a pas mentionné la réserve stratégique Bitcoin. En conséquence, la valeur de nombreux jetons, y compris TRUMP et MELANIA, s’est effondrée. De plus, ses politiques protectionnistes ont nui au marché. Un décret a instauré des droits de douane : 10 % pour la Chine et le Canada sur l’énergie, 25 % sur les autres importations et le Mexique. Dans ce contexte, Bitcoin a atteint son plus bas niveau en trois semaines, Ethereum en cinq mois, et Toncoin son plus bas depuis mars 2024.
La plupart des portefeuilles contenant TRUMP détiennent moins de 100 $, montrant un intérêt majoritairement populaire. Près de la moitié des acheteurs ont créé leur portefeuille le jour de l’achat, suggérant qu’il s’agit surtout de partisans du président plutôt que de traders expérimentés. Des boutiques en ligne vendant des produits sous la marque Trump acceptent désormais TRUMP comme paiement, proposant montres, parfums et baskets. Ces articles ne sont ni conçus ni vendus par Trump, mais la marque est utilisée sous licence payante. La pièce pourrait rapporter des milliards à Trump et poser un conflit d’intérêts. Depuis son lancement, son trading a généré au moins 11,4 millions de dollars en frais pour des entités liées à lui.
Le président a envisagé des candidats favorables aux crypto-monnaies pour des postes gouvernementaux élevés . Par exemple, Elon Musk a dirigé une nouvelle structure pour lutter contre la bureaucratie et optimiser l’administration gouvernementale aux États-Unis. Il a été nommé DOGE, une référence directe au mème Dogecoin. Cette politique contraste avec le resserrement de la vis sur le marché des cryptomonnaies pendant la présidence de Biden.
Dans le même temps, il convient de rappeler que les memecoins ne sont pas adossés à des actifs tangibles et ne peuvent donc pas être considérés comme un instrument d’investissement. Il s’agit d’un actif extrêmement spéculatif qui ressemble à une pyramide financière : ceux qui y entrent au départ peuvent augmenter leur capital plusieurs fois. À tout moment, la tendance est remplacée par une forte baisse, et de nombreuses personnes subissent des pertes.
Le lancement officiel du Trump Memecoin peut être perçu comme un véritable « changement de paradigme », marquant une transition vers une nouvelle ère où les crypto-monnaies ne sont plus simplement des instruments financiers, mais deviennent des outils d’interaction politique et sociale de masse. Cette évolution s’inscrit dans une tendance plus large où les crypto-actifs ne sont plus uniquement analysés sous l’angle de la spéculation, mais aussi comme des instruments de communication et de mobilisation. Certains analystes considèrent que cela pourrait signaler l’entrée dans un « âge d’or » pour les crypto-monnaies, où leur adoption dépasserait les cercles technophiles et financiers pour s’étendre aux sphères politiques et institutionnelles.
Cette mutation est d’autant plus frappante que Donald Trump, lors de son premier mandat, s’est montré méfiant à l’égard des crypto-monnaies. En 2019, il déclarait sur Twitter : « Je ne suis pas un fan du Bitcoin et des autres crypto-monnaies, qui ne sont pas de l'argent et dont la valeur est très volatile et fondée sur du vent ». Pourtant, en 2024, dans un revirement spectaculaire, il a affirmé vouloir faire des États-Unis la « capitale mondiale des cryptomonnaies », une déclaration qui résonne avec les positions de certains pays comme le Salvador, qui a fait du Bitcoin une monnaie légale en 2021 (Böhme et al., Bitcoin: A Primer for Policymakers, 2021).
Durant sa campagne électorale de 2024, Trump a multiplié les signaux en direction des électeurs favorables aux cryptos, en soulignant son soutien à ce marché, ce qui lui a permis de séduire une partie de l’électorat libertarien et technophile. Ce positionnement contraste nettement avec l’approche réglementaire plus stricte adoptée sous la présidence de Joe Biden, notamment via la Securities and Exchange Commission (SEC), qui a durci son contrôle sur les plateformes d’échange comme Binance et Coinbase (The Cryptopolitics of Regulation, Nakamoto & Greenberg, 2023). En cohérence avec cette nouvelle orientation, Trump a envisagé de nommer des figures favorables aux cryptomonnaies à des postes gouvernementaux clés. Un exemple frappant est Elon Musk, qui a été chargé de diriger une nouvelle structure visant à lutter contre la bureaucratie et à optimiser l'administration gouvernementale aux États-Unis. Cette structure a été baptisée DOGE, une référence directe au Dogecoin, célèbre cryptomonnaie inspirée du mème du chien Shiba Inu. Cette initiative illustre l’évolution du rapport entre gouvernance et crypto-monnaies, où ces dernières ne sont plus simplement tolérées, mais intégrées à la stratégie économique et politique du pays.
Ce virage marque une rupture avec les politiques précédentes : alors que la présidence Biden a multiplié les mesures restrictives à l’encontre du marché des cryptos, la nouvelle administration semble vouloir établir un cadre plus favorable à leur adoption massive. Certains observateurs y voient une tentative d’attirer les entrepreneurs et investisseurs du secteur, qui avaient commencé à fuir les États-Unis pour des juridictions plus accueillantes comme Dubaï ou Singapour (Cryptocurrency and Global Regulation Trends, Lamberton, 2022).
"SCAM Javier Milei just DESTROYED the memecoin market $107 Million SOLANA coin Argentina", le réveil est rude pour ceux qui ne comprennent pas ce qu'est le virtuel.
Toutefois, malgré cet engouement, il est crucial de rappeler que les memecoins ( Un memecoin est une cryptomonnaie qui tire sa popularité et sa valeur principalement de l'humour, des mèmes internet et du buzz sur les réseaux sociaux, plutôt que de fondamentaux économiques solides ou d'une utilité pratique. Ces pièces, comme le Dogecoin ou le Shiba Inu, sont souvent créées comme une blague ou un phénomène viral. Leur valeur peut fluctuer énormément en fonction de la spéculation, des tendances sur X ou autres plateformes, et de l'intérêt des investisseurs. Les memecoins attirent souvent une communauté fidèle, mais ils sont aussi considérés comme très risqués en raison de leur manque de stabilité et de leur dépendance aux émotions du marché. Par exemple, le TRUMP coin, lancé récemment, est un cas typique, ayant connu une montée fulgurante suivie d'une chute importante. En résumé, ce sont des cryptomonnaies amusantes mais spéculatives, portées par la culture internet.), y compris TRUMP, ne sont adossés à aucun actif tangible et ne peuvent donc être considérés comme des instruments d’investissement classiques. Contrairement au Bitcoin, qui peut être perçu comme une réserve de valeur en raison de son offre limitée et de son adoption croissante, un memecoin repose uniquement sur la spéculation et l’effet de mode.
En ce sens, TRUMP partage des caractéristiques avec les pyramides financières : les premiers entrants peuvent réaliser des gains spectaculaires, mais une correction brutale est inévitable lorsque la demande faiblit. Ce phénomène a été observé avec d’autres memecoins comme Dogecoin ou Shiba Inu, dont les prix ont connu des flambées spectaculaires avant de chuter lourdement. Selon une étude de Garry & Fitzpatrick (The Economics of Speculative Assets, 2023), les memecoins ont une volatilité moyenne trois fois supérieure à celle du Bitcoin, rendant leur adoption à long terme extrêmement incertaine.
Ainsi, bien que le lancement du Trump Memecoin représente une avancée symbolique majeure pour l’intégration des cryptos dans le paysage politique, il ne faut pas ignorer les risques élevés associés à ces actifs hautement spéculatifs. À tout moment, une tendance haussière peut être suivie d’une chute brutale, laissant de nombreux investisseurs avec des pertes conséquentes. Ce paradoxe – entre adoption politique et nature instable du memecoin – soulève des questions fondamentales sur l’avenir de ces actifs dans la sphère institutionnelle.
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02/02/2025
Royaume Uni - La dissimulation de la crise
Début 2025, le Royaume-Uni traverse une période de turbulence économique et sociale marquée par une dette publique record, une récession persistante et une précarité croissante. Ces défis s’inscrivent dans un contexte post-Brexit, de relèvement post-pandémique inégal et de chocs énergétiques prolongés, exacerbés par des choix politiques controversés dont la facture du soutien absurde à Kiev et un climat international instable.
La dette publique britannique dépasse 110 % du PIB début 2025, un niveau historiquement élevé, contre environ 100 % en 2023. Cette explosion s’explique par :
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La récession : Le pays est entré en récession fin 2024, avec une contraction du PIB de 1,5 % sur l’année. Les recettes fiscales ont chuté, tandis que les dépenses sociales (allocations chômage, aides énergétiques) ont bondi.
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Les taux d’intérêt élevés : Pour juguler une inflation tenace (encore à 5 % début 2025), la Banque d’Angleterre maintient son taux directeur à 4,5 %, alourdissant le coût de la dette. Le service de la dette absorbe près de 10 % du budget public, limitant les marges de manœuvre.
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L’austérité tardive : Le gouvernement, confronté aux critiques des marchés et à une dégradation de la note souveraine (BBB selon Fitch), a lancé en 2024 un plan d’économies de 30 milliards de livres sur cinq ans, ciblant santé, éducation et infrastructures. Ces coupes freinent la relance et alimentent le mécontentement.
- Le soutien à Kiev : Toujours plus coûteux, il se se traduit sur le terrain par une défaite de l'OTAN, une détérioration de l'image du pays et une explosion des prix à la consommation.
La récession britannique, entamée fin 2023, s’est approfondie en 2024 sous l’effet de :
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La baisse de la consommation : L’inflation cumulative de 15 % depuis 2021 a érodé le pouvoir d’achat. Les ménages réduisent leurs dépenses (-3 % en 2024), notamment dans le logement et les loisirs. Les salaires n'ont jamais suivi les prix.
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L’effondrement de l’investissement : L’incertitude post-Brexit et les coûts élevés du crédit ont conduit à une chute de 12 % de l’investissement des entreprises en 2024. Les secteurs manufacturiers et la construction sont les plus touchés.
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Les faiblesses exportatrices : Malgré une livre faible, les exportations stagnent en raison de barrières douanières avec l’UE et d’une demande mondiale atone. Le déficit commercial atteint 4 % du PIB.
Le chômage, à 6,8 % début 2025 (contre 4,5 % en 2023), reflète ces difficultés. Les jeunes et les travailleurs peu qualifiés sont les premiers affectés, avec un taux de chômage des 18-24 ans dépassant 15 %.
La crise économique aggrave les inégalités et la vulnérabilité d’une partie croissante de la population :
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Appauvrissement des ménages : 30 % des Britanniques vivent sous le seuil de pauvreté relative (revenu inférieur à 60 % du médian), contre 22 % en 2019. Les banques alimentaires distribuent 3 millions de colis mensuels, un record.
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Marché du travail précaire : Le gig economy (livreurs, chauffeurs) représente 20 % des emplois, souvent sans protection sociale. Les contrats zéro heure touchent 1,2 million de personnes.
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Crise du logement : Les loyers ont augmenté de 40 % depuis 2021, poussant 300 000 ménages dans l’insécurité locative. Les expulsions ont bondi de 25 % en 2024.
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Santé publique dégradée : Les listes d’attente dans le NHS dépassent 8 millions de patients, et les dépressions liées au stress économique ont doublé depuis 2022. A ces problèmes structurels et sociétaux s'ajoute le coût du covidisme et des fameux effets secondaires dont les médias refusent de parler.
Le gouvernement conservateur, divisé, mise sur une baisse ciblée des impôts pour relancer l’activité, tout en durcissant les conditions d’accès aux aides sociales. Ces mesures sont critiquées pour leur inefficacité et leur injustice. Les syndicats organisent des grèves massives (transports, enseignement), tandis que le parti travailliste, favori dans les sondages, promet un « New Deal » incluant la renationalisation partielle des énergies et un salaire minimum à 12 £/heure.
La réponse à tout ces problèmes est claire, répression violente des mouvements sociaux, censure de guerre et dissimulation des chiffres.
Le directeur de l'Office for National Statistics sera convoqué à un interrogatoire par les députés la semaine prochaine en raison des inquiétudes selon lesquelles les données économiques britanniques erronées sont devenues « pratiquement inutilisables ».
La commission multipartite du Trésor a demandé au professeur Sir Ian Diamond de comparaître devant elle après que l'ONS a admis en décembre qu'elle pourrait ne pas être en mesure de lancer une nouvelle série pour remplacer l'enquête sur la population active (LFS) en difficulté avant 2027.
Le Royaume-Uni contribue au budget commun de l’OTAN pour environ 300 millions £, on a vu la totale inéfficacité de cette organisation en Ukraine et on constate avec le Groenland qu'elle n'entend pas défendre l'Europe. Il faut ajouter à ce gaspillage suicifaire en pleine crise économique, un fait, Le Royaume-Uni est le 2ᵉ contributeur militaire européen à Kiev après l’Allemagne. et ces aides incluent : Aide militaire : 4,6 milliards £ (équipements, formation de 30 000 soldats, missiles Storm Shadow, blindés). Aide humanitaire : 1,5 milliard £ (santé, logistique, soutien aux réfugiés). Aide économique : 1,2 milliard £ (prêts garantis, fonds de reconstruction). Coûts indirects : ~500 millions £ (accueil de réfugiés, sanctions contre la Russie). Total 2022–2024 : ~7,8 milliards £ (source : UK Government, janvier 2024). Le gouvernement a annoncé en avril 2024 un nouveau paquet d’aide de 2,5 milliards £ pour 2024, portant le total à 10,3 milliards £ fin 2024. Bref, on est dans un masochisme intégral dont la population britannique fait les frais. On n'insistera pas sur la présence de 600 000 clandestins à Londres et le coût de cette présence...
L'apparition de Diamond mardi intervient quelques jours après qu'il soit apparu que l'Office for Statistics Regulation (l'organisme de surveillance qui supervise l'ONS) avait élargi son examen des données économiques pour inclure des séries autres que l'enquête LFS.
Il s’agit notamment de l’Enquête sur le coût de la vie et de l’alimentation et de l’Enquête sur la richesse et les actifs, qui pose des questions aux consommateurs sur leur situation financière et leurs habitudes de dépenses.
Un porte-parole de l'OSR a déclaré : « La réponse aux enquêtes reste un problème clé pour le système statistique britannique. Nous avons entrepris un certain nombre de travaux normatifs pour définir nos attentes à l’égard de l’ONS en ce qui concerne ses travaux sur l’Enquête sur la population active. « Nous tournons désormais notre attention vers une gamme plus large d’enquêtes auprès des ménages. »
Dans une lettre adressée à l'ONS, le régulateur a déclaré qu'il examinerait « dans quelle mesure ces statistiques répondent aux besoins des utilisateurs ».
L’exactitude de l’enquête LFS a été largement remise en question après la forte baisse des taux de réponse ces dernières années, ce taux de déclin s’accélérant pendant et après la pandémie de COVID.
Une analyse réalisée par le groupe de réflexion Resolution Foundation a révélé que LFS aurait pu « perdre » jusqu'à 930 000 travailleurs.
Plus tôt ce mois-ci, le Guardian a rapporté que l'agence gouvernementale des statistiques dépensait 8 millions de livres sterling pour embaucher une armée de travailleurs temporaires à bas salaires dans le cadre des efforts visant à réparer son système LFS, qui a été décrit comme « pratiquement inutilisable ».
L'ONS élabore actuellement une enquête de remplacement, mais Diamond a admis qu'elle ne serait pas lancée avant l'année prochaine. La présidente du comité de sélection, Meg Hiller, a qualifié cela de « coup dur ».
Les décideurs politiques ont exprimé à plusieurs reprises leurs inquiétudes quant à la qualité des données de l'ONS, en particulier de l'enquête LFS, le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Andrew Bailey, la qualifiant de « problème important ».
Le Royaume-Uni est englué dans un cercle vicieux : la dette limite les investissements publics, la récession réduit les recettes, et la précarité mine la cohésion sociale. La sortie de crise nécessiterait un rééquilibrage entre austérité et relance, une réforme du marché du travail et une coopération renouvelée avec l’Europe continentale ( une sortie rapide de l'OTAN serait indispensable ). Sans changement de cap, le risque d’une « décennie perdue » à la japonaise se profile, avec des conséquences durables sur le niveau de vie et la stabilité politique.
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21/01/2025
Investiture Trump 2025 le discours intégral donc non censuré
L'investiture de Donald Trump en tant que 47e Président des États-Unis a lieu le lundi 20 janvier 2025. En raison du froid elle se déroule à l'intérieur de la rotonde du Capitole des États-Unis à Washington DC. Il s'agit de la 60e investiture présidentielle américaine et de la deuxième investiture de Trump en tant que Président des États-Unis, marquant le début de son deuxième et dernier mandat non consécutif ( et il y a là un débat sur la question du vol pur et simple du second mandat ayant permis de porter Biden au pouvoir ) en tant que Président américain, le premier mandat de JD Vance en tant que vice-président.La première investiture de Trump avait eu lieu, en janvier 2017.
L'événement comprent la cérémonie de prestation de serment, la cérémonie de signature, elles sont suivies par un déjeuner inaugural, une première cérémonie de remise des honneurs, puis une procession et un défilé à la Capital One Arena. Des bals inauguraux traditionnels ont lieu après les cérémonies d'investiture.
A noter, si le proche Elon Musk est bien entendu présent en raison de son futur rôle dans le gouvernement, le fondateur de Meta, Mark Zuckerberg, le PDG de Google, Sundar Pichai, le PDG d'Apple, Tim Cook, et Jeff Bezos d'Amazon ouvertement anti Trump depuis des années ont des places de choix à proximité de la famille et des membres du cabinet de Trump lors de la cérémonie. Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis, Francis Ford Coppola, Le Parrain 2.
Discours d'investiture de Donald Trump
Merci. Merci beaucoup à tous. Eh bien, merci beaucoup, beaucoup. Vice-président Vance, président de la Chambre des représentants Johnson, sénateur Thune, juge en chef Roberts, juges de la Cour suprême des États-Unis, président Clinton, président Bush, président Obama, président Biden, vice-président Harris et mes concitoyens.
L’âge d’or de l’Amérique commence dès maintenant. À partir de ce jour, notre pays va prospérer et être à nouveau respecté dans le monde entier. Nous serons l’envie de toutes les nations et nous ne nous laisserons plus exploiter. Chaque jour de l’administration Trump, je ferai tout simplement passer l’Amérique en premier. Notre souveraineté sera reconquise. Notre sécurité sera restaurée. La balance de la justice sera rééquilibrée. La militarisation vicieuse, violente et injuste du ministère de la Justice et de notre gouvernement prendra fin. Et notre priorité absolue sera de créer une nation fière, prospère et libre. L’Amérique sera bientôt plus grande, plus forte et bien plus exceptionnelle que jamais.
Je reviens à la présidence confiant et optimiste, car nous sommes au début d’une nouvelle ère passionnante de réussite nationale, une vague de changement balaie le pays, le soleil se répand sur le monde entier et l’Amérique a la chance de saisir cette opportunité comme jamais auparavant. Mais d’abord, nous devons être honnêtes quant aux défis auxquels nous sommes confrontés. Bien qu’ils soient nombreux, ils seront anéantis par ce formidable élan dont le monde est actuellement témoin aux États-Unis d’Amérique.
Alors que nous nous réunissons aujourd’hui, notre gouvernement est confronté à une crise de confiance. Pendant de nombreuses années, un système radical et corrompu a extrait le pouvoir et la richesse de nos citoyens, tandis que les piliers de notre société étaient brisés et apparemment en décrépitude totale. Nous avons maintenant un gouvernement qui ne peut même pas gérer une simple crise chez lui, tout en trébuchant dans un catalogue continu d’événements catastrophiques à l’étranger. Il ne parvient pas à protéger nos magnifiques citoyens américains respectueux des lois, mais offre un sanctuaire et une protection aux criminels dangereux, dont beaucoup proviennent de prisons et d’institutions psychiatriques et qui sont entrés illégalement dans notre pays depuis le monde entier.
Nous avons un gouvernement qui a accordé des fonds illimités à la défense des frontières étrangères, mais refuse de défendre les frontières américaines ou, plus important encore, son propre peuple. Notre pays n’est plus en mesure de fournir des services de base en cas d’urgence, comme l’ont récemment montré les merveilleux habitants de Caroline du Nord, qui ont été si mal traités. Et d’autres États souffrent encore d’un ouragan qui a eu lieu il y a plusieurs mois. Ou plus récemment à Los Angeles, où nous observons des incendies tragiques qui brûlent encore depuis des semaines sans même un signe de défense. Ils font rage dans les maisons et les communautés, affectant même certains des individus les plus riches et les plus puissants de notre pays, dont certains sont assis ici en ce moment même. Ils n’ont plus de maison. C’est intéressant, mais nous ne pouvons pas laisser cela se produire. Personne ne peut rien faire pour y remédier. Cela va changer.
Nous avons un système de santé publique qui ne répond pas aux besoins en cas de catastrophe, et pourtant, on y dépense plus d’argent que dans n’importe quel autre pays du monde. Et nous avons un système éducatif qui apprend à nos enfants à avoir honte d’eux-mêmes, et dans de nombreux cas, à haïr notre pays malgré l’amour que nous essayons désespérément de leur apporter. Tout cela va changer à partir d’aujourd’hui, et cela va changer très vite.
Ma récente élection a pour mandat de renverser complètement et totalement une horrible trahison, et toutes ces nombreuses trahisons qui ont eu lieu, et de rendre au peuple sa foi, sa richesse, sa démocratie et, bien sûr, sa liberté. À partir de ce moment, le déclin de l’Amérique est terminé. Nos libertés et la destinée glorieuse de notre nation ne seront plus niées, et nous rétablirons immédiatement l’intégrité, la compétence et la loyauté du gouvernement américain.
Au cours des huit dernières années, j’ai été mis à l’épreuve et mis au défi plus que n’importe quel autre président de nos 250 ans d’histoire, et j’ai beaucoup appris en cours de route. Le chemin pour reconquérir notre république n’a pas été facile, je peux vous le dire. Ceux qui souhaitent mettre un terme à notre cause ont essayé de me priver de ma liberté, et même de me tuer. Il y a quelques mois à peine, dans un magnifique champ de Pennsylvanie, une balle d’assassin m’a transpercé l’oreille. Mais j’ai senti alors, et je le crois encore plus aujourd’hui, que ma vie avait été sauvée pour une raison. J’ai été sauvé par Dieu pour rendre à l’Amérique sa grandeur. Merci. Merci beaucoup. C’est pourquoi chaque jour, sous notre administration de patriotes américains, nous travaillerons pour faire face à chaque crise avec dignité, puissance et force.
Le Président Donald Trump a prononcé son premier discours après avoir prêté serment en tant que 47e président. Au cours de son discours, Trump a déclaré : « Beaucoup de gens pensaient qu'il était impossible pour moi d'effectuer un retour politique aussi historique, mais comme vous le voyez ici aujourd'hui, je suis là. », « Je me tiens devant vous maintenant pour prouver que vous ne devez jamais croire qu'il est impossible de faire quelque chose en Amérique », a-t-il poursuivi, ajoutant : « En Amérique, l'impossible est ce que nous faisons le mieux », a-t-il ajouté. Le deuxième discours d'investiture de Trump a pris un ton différent de celui de sa première prestation de serment.
Nous agirons avec détermination et rapidité pour ramener l’espoir, la prospérité, la sécurité et la paix aux citoyens de toutes races, religions, couleurs et croyances. Pour les citoyens américains, le 20 janvier 2025 est le Jour de la Libération.
J’espère que notre récente élection présidentielle restera dans les mémoires comme l’élection la plus importante et la plus importante de l’histoire de notre pays. Comme l’a montré notre victoire, la nation entière s’unifie rapidement derrière notre programme avec une augmentation spectaculaire du soutien de pratiquement tous les éléments de notre société, jeunes et vieux, hommes et femmes, Afro-Américains, Hispano-Américains, Américains d’origine asiatique, urbains, suburbains, ruraux et, très important, nous avons remporté une victoire éclatante dans les sept États clés et le vote populaire que nous avons remporté par des millions de personnes. Aux communautés noires et hispaniques, je tiens à vous remercier pour l’immense élan d’amour et de confiance que vous m’avez témoigné par votre vote. Nous avons établi des records et je ne l’oublierai pas.
J’ai entendu vos voix dans la campagne et j’ai hâte de travailler avec vous dans les années à venir.
Aujourd’hui, c’est la Journée de Martin Luther King et son honneur, ce sera un grand honneur, mais en son honneur, nous nous efforcerons ensemble de faire de son rêve une réalité. Nous ferons de son rêve une réalité. Merci. Merci. L’unité nationale est maintenant de retour en Amérique et la confiance et la fierté s’envolent comme jamais auparavant. Dans tout ce que nous faisons. Mon administration sera inspirée par une forte quête d’excellence et un succès incessant. Nous n’oublierons pas notre pays. Nous n’oublierons pas notre Constitution et nous n’oublierons pas notre Dieu. Nous ne pouvons pas faire ça.
Aujourd’hui, je signerai une série de décrets historiques. Avec ces actions, nous commencerons la restauration complète de l’Amérique et la révolution du bon sens. Tout est une question de bon sens. Tout d’abord, je déclarerai l’état d’urgence national à notre frontière sud. Toutes les entrées illégales seront immédiatement interrompues et nous commencerons le processus de renvoi de millions et de millions d’étrangers criminels vers les lieux d’où ils sont venus. Nous rétablirons ma politique de maintien au Mexique. Je mettrai fin à la pratique de la capture et de la libération. Et j'enverrai des troupes à la frontière sud pour repousser l'invasion désastreuse de notre pays. En vertu des ordres que j'ai signés aujourd'hui, nous désignerons également les cartels comme des organisations terroristes étrangères. Et en invoquant l'Alien Enemies Act de 1798, je demanderai à notre gouvernement d'utiliser pleinement et énormément le pouvoir des forces de l'ordre fédérales et étatiques pour éliminer la présence de tous les gangs et réseaux criminels étrangers qui apportent une criminalité dévastatrice sur le sol américain, y compris dans nos villes et nos centres-villes.
En tant que commandant en chef, je n'ai pas de plus grande responsabilité que de défendre notre pays contre les menaces et les invasions et c'est exactement ce que je vais faire. Nous le ferons à un niveau que personne n'a jamais vu auparavant.
Ensuite, je demanderai à tous les membres de mon cabinet de mobiliser les vastes pouvoirs à leur disposition pour vaincre ce qui était une inflation record et faire baisser rapidement les coûts et les prix. La crise de l'inflation a été provoquée par des dépenses excessives et une escalade des prix de l'énergie et c'est pourquoi aujourd'hui je vais également déclarer une urgence énergétique nationale. Nous allons forer, bébé, forer. L’Amérique redeviendra une nation manufacturière et nous disposons d’une chose qu’aucune autre nation manufacturière n’aura jamais : la plus grande quantité de pétrole et de gaz de tous les pays de la planète. Nous allons l’utiliser, et ils l’utiliseront. Nous ferons baisser les prix, remplirons à nouveau nos réserves stratégiques jusqu’au sommet et exporterons l’énergie américaine dans le monde entier. Nous redeviendrons une nation riche et c’est cet or liquide sous nos pieds qui nous aidera à y parvenir.
Grâce à mes actions d’aujourd’hui, nous mettrons fin au Green New Deal et nous révoquerons l’obligation des véhicules électriques, sauvant ainsi notre industrie automobile et respectant mon engagement sacré envers nos formidables travailleurs américains de l’automobile. En d’autres termes, vous pourrez acheter la voiture de votre choix. Nous construirons à nouveau des automobiles en Amérique à un rythme que personne n’aurait pu rêver possible il y a quelques années à peine et merci aux travailleurs de l’automobile de notre nation pour votre vote de confiance inspirant.
Quelques heures avant la cérémonie, nouveau scandale, nouveau dérapage du gouvernement Biden - Harris avec de nouvelles grâces signées dans l'urgence, elles sont de fait des aveux. Parmi les personnes ayant bénéficié de la grâce préventive figurent le général Mark A. Milley, ancien président des chefs d’état-major interarmées ( manipulation anti Trump du Capitol ), le Dr Anthony S. Fauci, le scientifique de longue date du gouvernement qui a conseillé le gouvernement pendant le scandale covidiste, et tous les membres de la commission bipartite de la Chambre qui a enquêté sur l’attaque du 6 janvier 2021 contre le Capitole, y compris l’ancienne représentante Liz Cheney. Même dans la Sicile des années les plus mafieuses, on n'aurait pas osé !
Nous avons fait un travail formidable avec leur vote. Je vais immédiatement commencer la refonte de notre système commercial pour protéger les travailleurs et les familles américaines. Au lieu de taxer nos citoyens pour enrichir d’autres pays, nous imposerons des droits de douane et des taxes aux pays étrangers pour enrichir nos citoyens. À cette fin, nous mettons en place l’External Revenue Service pour collecter tous les droits de douane, taxes et revenus. Ce seront des sommes massives d’argent qui afflueront dans notre trésorerie en provenance de sources étrangères. Le rêve américain sera bientôt de retour et prospèrera comme jamais auparavant. Pour restaurer la confiance et l’efficacité de notre gouvernement fédéral, mon administration créera le tout nouveau ministère de l’efficacité gouvernementale.
Après des années et des années d’efforts fédéraux illégaux et inconstitutionnels pour restreindre la liberté d’expression, je signerai également un décret exécutif pour mettre immédiatement fin à toute censure gouvernementale et ramener la liberté d’expression en Amérique. Jamais plus l’immense pouvoir de l’État ne sera utilisé comme arme pour persécuter les opposants politiques. C’est quelque chose que je sais, quelque chose à ce sujet. Nous ne permettrons pas que cela se produise. Cela ne se reproduira plus. Sous ma direction, nous rétablirons une justice juste, égale et impartiale dans le cadre de l’État de droit constitutionnel et nous allons rétablir la loi et l’ordre dans nos villes. Cette semaine, je mettrai également fin à la politique gouvernementale qui consiste à essayer d’intégrer socialement la race et le genre dans tous les aspects de la vie publique et privée. Nous forgerons une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est basée sur le mérite. À partir d’aujourd’hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera désormais qu’il n’y ait que deux sexes, l’homme et la femme.
Cette semaine, je réintégrerai tous les militaires qui ont été injustement expulsés de notre armée pour s’être opposés à l’obligation de vaccination contre la COVID, avec une solde rétroactive complète. Et je signerai un ordre pour que nos soldats ne soient plus soumis à des théories politiques radicales et à des expériences sociales pendant leur service. Cela prendra fin immédiatement. Nos forces armées seront libres de se concentrer sur leur seule mission : vaincre les ennemis de l’Amérique. Comme en 2017, nous allons à nouveau bâtir l’armée la plus puissante que le monde ait jamais connue. Nous mesurerons notre succès non seulement par les batailles que nous gagnons, mais aussi par les guerres que nous mettons fin et, peut-être plus important encore, par les guerres dans lesquelles nous ne nous engageons jamais. Mon héritage le plus fier sera celui d’un artisan de paix et d’un rassembleur, c’est ce que je veux être, un artisan de paix et un rassembleur. Je suis heureux de dire qu’hier, un jour avant ma prise de fonctions, les otages du Moyen-Orient sont rentrés chez eux auprès de leurs familles. Merci. L’Amérique retrouvera sa place légitime en tant que nation la plus grande, la plus puissante et la plus respectée de la planète, inspirant l’admiration du monde entier.
Dans quelques temps, nous allons changer le nom du golfe du Mexique en golfe d’Amérique et nous redonnerons le nom d’un grand président, William McKinley, au mont McKinley, là où il devrait être et où il doit être. Le président McKinley a rendu notre pays très riche grâce aux tarifs douaniers et à son talent. C’était un homme d’affaires né et il a donné à Teddy Roosevelt l’argent pour beaucoup des grandes choses qu’il a faites, y compris le canal de Panama, qui a été bêtement donné au pays du Panama après que les États-Unis, je veux dire, les États-Unis, pensez-y, ont dépensé plus d’argent que jamais auparavant pour un projet et ont perdu 38 000 vies dans la construction du canal de Panama. Nous avons été très mal traités avec ce cadeau stupide qui n’aurait jamais dû être fait et la promesse du Panama à notre égard a été rompue. L’objectif de notre accord et l’esprit de notre traité ont été totalement violés. Les navires américains sont surfacturés, facturés et traités de manière injuste sous quelque forme que ce soit. Et cela inclut la marine américaine et surtout, la Chine exploite le canal de Panama et nous ne l’avons pas donné à la Chine, nous l’avons donné au Panama et nous le reprenons.
Par-dessus tout, mon message aux Américains aujourd’hui est qu’il est temps pour nous d’agir une fois de plus avec le courage, la vigueur et la vitalité de la plus grande civilisation de l’histoire. Ainsi, en libérant notre nation, nous la mènerons vers de nouveaux sommets de victoire et de succès. Nous ne nous laisserons pas décourager. Ensemble, nous mettrons fin à l’épidémie de maladies chroniques et garderons nos enfants en sécurité, en bonne santé et sans maladie. Les États-Unis se considéreront à nouveau comme une nation en croissance, une nation qui accroît sa richesse, étend son territoire, construit ses villes, élève ses attentes et porte son drapeau vers de nouveaux et beaux horizons. Et nous poursuivrons notre destinée manifeste dans les étoiles en lançant des astronautes américains pour planter les étoiles et les rayures sur la planète Mars.
L’ambition est l’élément vital d’une grande nation et, à l’heure actuelle, notre nation est plus ambitieuse que toute autre. Il n’y a pas de nation comme la nôtre. Les Américains sont des explorateurs, des bâtisseurs, des innovateurs, des entrepreneurs et des pionniers. L’esprit de la frontière est inscrit dans nos cœurs. L’appel de la prochaine grande aventure résonne au plus profond de nos âmes. Nos ancêtres américains ont transformé un petit groupe de colonies aux confins d’un vaste continent en une puissante république composée des citoyens les plus extraordinaires de la planète. Personne ne peut s’en approcher. Les Américains ont parcouru des milliers de kilomètres à travers une terre sauvage et indomptée. Ils ont traversé des déserts, escaladé des montagnes, bravé des dangers incalculables, conquis le Far West, mis fin à l’esclavage, sauvé des millions de personnes de la tyrannie, sorti des milliards de personnes de la pauvreté, maîtrisé l’électricité, scindé l’atome, propulsé l’humanité vers les cieux et placé l’univers de la connaissance humaine dans la paume de la main humaine.
Si nous travaillons ensemble, il n’y a rien que nous ne puissions faire et aucun rêve que nous ne puissions réaliser. Beaucoup de gens pensaient qu’il était impossible pour moi d’organiser un retour politique aussi historique. Mais comme vous le voyez aujourd’hui, je suis là, le peuple américain a parlé. Je me tiens devant vous aujourd’hui pour prouver qu’il ne faut jamais croire que quelque chose est impossible à faire. En Amérique, l’impossible est ce que nous faisons le mieux. De New York à Los Angeles, de Philadelphie à Phoenix, de Chicago à Miami, de Houston jusqu’ici à Washington, DC, notre pays a été forgé et construit par des générations de patriotes qui ont tout donné pour nos droits et pour notre liberté. Ils étaient agriculteurs et soldats, cow-boys et ouvriers d’usine, ouvriers de l’acier et mineurs de charbon, policiers et pionniers qui ont continué à avancer, à marcher et qui n’ont laissé aucun obstacle vaincre leur courage ou leur fierté.
Ensemble, ils ont posé les voies ferrées, érigé les gratte-ciels, construit de grandes autoroutes, remporté deux guerres mondiales, vaincu le fascisme et le communisme et triomphé de tous les défis auxquels ils ont été confrontés. Après tout ce que nous avons traversé ensemble, nous sommes à l’aube des quatre plus grandes années de l’histoire américaine.
Avec votre aide, nous allons restaurer la promesse de l’Amérique et reconstruire la nation que nous aimons et que nous aimons tant. Nous sommes un seul peuple, une seule famille et une seule nation glorieuse sous l’autorité de Dieu. Alors à chaque parent qui rêve pour son enfant et à chaque enfant qui rêve pour son avenir… Je suis avec vous. Je me battrai pour vous et je gagnerai pour vous. Nous allons gagner comme jamais auparavant. Merci. Merci. Merci. Merci.
Trump a déclaré que Melania Trump et le vice-président JD Vance l'avaient exhorté à éviter les sujets controversés lors de son discours inaugural officiel. Ses adversaires eux ne se gênent pas, le geste de décollage vers Mars de Musk devient immédiatement pour eux un salut fasciste. Pour l'anecdote car la tenue élégante de Melania Trump est très remarquée ( celle de Harris aussi pour des raisons inverses ) précisons que deux designers américains sont à l'origine du manteau bleu marine croisé et du chapeau de style canotier qu'elle portait. Le manteau a été créé sur mesure par Adam Lippes ( boutiques à New York, Houston et Palm Beach ), le chapeau est signé Eric Javits, dont le slogan est le look d’Eric Javits « est immédiatement reconnaissable pour son glamour terre-à-terre. Sa marque de fabrique est l’élégance alliée à la gentillesse et à la fonctionnalité ». Plus intéressant sans doute, Trump a ensuite prêté serment devant le Juge en chef John Roberts. Habituellement, le Président pose sa main gauche sur la Bible, qui doit être tenue à proximité par la première dame. Melania Trump a proposé à son mari deux Bibles à la fois, l'une personnelle, offerte par sa mère, et une autre sur laquelle Abraham Lincoln a prêté serment en 1861. Cependant, Trump n'a pas posé la main sur elles, levant seulement la main droite, comme le Juge Roberts le lui avait demandé. Il ne s'agit toutefois pas d'une violation de son serment en agissant ainsi, puisqu’il n’y a aucune obligation légale d’utiliser la Bible.
Ces dernières années, notre nation a beaucoup souffert. Mais nous allons la ramener et la rendre à nouveau grande, plus grande que jamais auparavant. Nous serons une nation comme aucune autre, pleine de compassion, de courage et d’exceptionnalisme. Notre puissance mettra fin à toutes les guerres et apportera un nouvel esprit d’unité à un monde qui a été en colère, violent et totalement imprévisible. L’Amérique sera à nouveau respectée et admirée, y compris par les personnes de religion, de foi et de bonne volonté.
Nous serons prospères. Nous serons fiers. Nous serons forts et nous gagnerons comme jamais auparavant. Nous ne nous laisserons pas conquérir. Nous ne nous laisserons pas intimider. Nous ne nous laisserons pas briser et nous n’échouerons pas. À partir de ce jour, les États-Unis d’Amérique seront une nation libre, souveraine et indépendante. Nous résisterons courageusement. Nous vivrons fièrement. Nous rêverons avec audace et rien ne nous arrêtera parce que nous sommes Américains. L’avenir nous appartient et notre âge d’or ne fait que commencer. Merci. Que Dieu bénisse l’Amérique. Merci à tous. Merci. Merci beaucoup. Merci beaucoup. Merci. Merci.
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14/01/2025
Energie: le Royaume Uni sombre...
L'avertissement sévère de Centrica (1) vendredi selon lequel les approvisionnements en gaz du Royaume-Uni étaient « alarmants » fait suite à une ruée désespérée vers l'électricité, les ménages payant à un moment donné 2 millions de livres sterling de l'heure aux plus anciennes centrales électriques du pays pour répondre à la demande.
La semaine dernière, le Royaume-Uni a connu sa nuit de janvier la plus froide depuis 15 ans. Il s’agissait du premier véritable test pour le nouvel opérateur national du système énergétique (NESO).
Nous a-t-il convaincu qu’il pouvait fournir des approvisionnements fiables et abordables ?
Pas du tout : il a échoué sur les deux plans. En conséquence, les consommateurs privés et les entreprises devront supporter d’énormes coûts supplémentaires dans les mois à venir.
À l’heure actuelle, le Royaume-Uni a les prix de l’énergie industrielle les plus élevés au monde.
Le pays ne fait plus partie des dix premiers producteurs mondiaux et est de plus en plus confronté au rationnement de l'électricité.
Elle dépense déjà plus de 3 milliards de livres sterling par an pour importer de l’électricité d’Europe. Des politiques énergétiques malavisées depuis une génération ont gravement nui aux consommateurs, et le problème ne fait qu’empirer – malgré la conviction d’Ed Miliband selon laquelle la réponse réside dans la priorité accordée à l’énergie éolienne et solaire plutôt qu’au nucléaire et au gaz.
Les prix au Royaume-Uni sont près de 50 % plus élevés que la médiane de l’Agence internationale de l’énergie pour l’électricité industrielle et 80 % plus élevés pour les clients résidentiels. Nos entreprises paient près de quatre fois ce que les Américains paient pour l’électricité, tandis que les consommateurs ne paient « que » trois fois plus. C’est pourquoi les projets de zéro émission nette du Labour sont si inquiétants : cela signifiera que le Royaume-Uni utilisera beaucoup plus d’électricité pour recharger les voitures et chauffer les maisons, même si cette énergie est beaucoup plus chère que le gaz.
Après son lancement en octobre, NESO a publié un rapport sur les préparatifs pour la saison de chauffage hivernale, dans lequel il prévoyait une demande de pointe en électricité à 44,4 gigawatts (GW). Pourtant, la semaine dernière, il approchait les 50 GW. À ce moment critique, la production des éoliennes a chuté et des problèmes sont apparus pour importer de l’électricité d’Europe, dont le Royaume-Uni est de plus en plus dépendant.
Des chutes de neige et de pluie verglaçante ont balayé certaines régions du Royaume-Uni, alors que des alertes météo orange restent en vigueur pour le nord de l'Angleterre et le Pays de Galles dimanche. Des chutes de neige ont été observées dans certaines régions du sud samedi soir, qui se sont maintenant transformées en pluie - mais de fortes chutes de neige devraient se poursuivre plus au nord. Des conditions glaciales devraient revenir la semaine prochaine, les prévisionnistes avertissant d'un risque de glace provoquant des conditions dangereuses.
La crise a contraint NESO à débourser de l'argent pour lancer des centrales électriques au gaz afin de combler le déficit. Entre 16 heures et 19 heures, l'opérateur payait 5 500 £ par mégawattheure à une centrale électrique vieille de 30 ans pour seulement 400 MW de capacité, soit 50 fois le prix récent du marché ! Collectivement, les mesures d'urgence coûtent 2,3 millions de livres sterling de l'heure.
La pénurie chronique de capacité de stockage de gaz au Royaume-Uni, qui ne dure que 12 jours, constitue un autre échec de la planification nationale.
A titre de comparaison, les installations de stockage françaises dureront 113 jours et celles allemandes 89 jours. Désormais, l'inaction des autorités permettra aux fournisseurs de facturer des prix exorbitants aux consommateurs en période de pointe de demande par temps froid, d'autant plus que le Royaume-Uni est l'un des plus gros consommateurs de gaz par habitant au monde. Pourquoi le stockage n’était-il pas une priorité, surtout après l’opération spéciale russe en Ukraine ?
Il s’agit de l’un des plus grands échecs gouvernementaux depuis la Seconde Guerre mondiale. Les conséquences sont désastreuses, depuis la perte de compétitivité et l’aggravation de la précarité énergétique jusqu’à laisser le Royaume-Uni dangereusement vulnérable aux futures crises énergétiques. Et pour quoi, demandez-vous ?
Faits importants :
De 2004 à 2021, avant le conflit ukrainien, le prix de l’énergie industrielle au Royaume-Uni a triplé en termes nominaux (153 %) ou a doublé par rapport aux prix à la consommation. Les prix de l’électricité ont doublé depuis 2019 seulement. En conséquence, une grande partie de la base manufacturière du Royaume-Uni a déjà décidé de déménager à l’étranger. Plus de 200 000 emplois dans le secteur manufacturier ont été perdus depuis 2010. La part de l’industrie manufacturière dans le PIB a diminué de moitié depuis les années 1990.
Les entreprises ferment et même les pubs ! De 2004 à 2021, avant le conflit ukrainien, le prix de l’énergie industrielle au Royaume-Uni a triplé en termes nominaux (153 %) ou a doublé par rapport aux prix à la consommation. Les prix de l’électricité ont doublé depuis 2019 seulement. En conséquence, une grande partie de la base manufacturière du Royaume-Uni a déjà décidé de s'installer à l'étranger. Plus de 200 000 emplois dans le secteur manufacturier ont été perdus depuis 2010. La part de l’industrie manufacturière dans le PIB a diminué de moitié depuis les années 1990.
L’échec des politiques énergétiques a causé des dommages irréparables aux ménages, à l’industrie et à l’économie dans son ensemble.
Cela limite les investissements, pousse les industries à forte intensité énergétique à l’étranger et empêche la création d’emplois.
Nous devons de toute urgence comprendre comment et pourquoi toute une génération de dirigeants politiques et de responsables gouvernementaux non seulement ont échoué, mais n’ont jamais réussi à se ressaisir.
(1) Centrica est une entreprise énergétique britannique, principalement connue pour être la société mère de British Gas, l'un des plus grands fournisseurs de gaz et d'électricité au Royaume-Uni. Centrica a été créée en 1997 à la suite de la privatisation de British Gas en 1986, où la partie distribution et fourniture au détail a été séparée de la partie infrastructure et production.
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British Gas : Fournit du gaz et de l'électricité à des millions de ménages et d'entreprises au Royaume-Uni.
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Centrica Business Solutions : Offre des services énergétiques aux entreprises, y compris des solutions d'efficacité énergétique, des services d'ingénierie et des installations de production d'énergie renouvelable.
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Centrica Energy : S'occupe de la production d'énergie, incluant l'exploration et la production de gaz et de pétrole, ainsi que des investissements dans les énergies renouvelables. Sur le plan stratégie, Centrica a évolué au fil des années pour se concentrer davantage sur les services énergétiques intégrés, l'efficacité énergétique et une transition vers des sources d'énergie plus durables. Comme beaucoup de grandes entreprises énergétiques, Centrica a été au cœur de débats sur les prix de l'énergie, la politique de rémunération des dirigeants, et les pratiques environnementales.
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