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11/11/2019

Réorganisation démocratique des marchés par l'écologie et la terreur

10:45 Publié dans Actualité | Tags : bolivie, iran, écologie, capitalisme, démocratie, désinformation, terreur | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

16/07/2019

Iran, écologie et autres contes de menterie

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Il y a le faux du vrai des médias présentant l'Iran comme un pays primitif et agressif et il y a le vrai du réel, ici une fête à Téhéran, elles existent aussi mais pas dans la rue.

Après la dislocation de l’Union soviétique et l’élimination des archaïsmes planifiés du capitalisme d’État, les États-Unis sont devenus l’unique superpuissance du théâtre mondial de la marchandise et afin de le demeurer aussi longtemps que possible, ils réalisent leur grand dessein spectaculaire par un effort méthodique de coups tordus et d’intervention secrètes à l’extérieur afin d’y étendre la puissance militaire, économique, financière et politique de leur appareil militaro-terroriste.

Arrangeant en sous-main l’état d’allégeance de la « construction européenne » et la pratique de grignotage de la Russie nouvelle, tenue plus ou moins de « laisser faire », les opérations d’intoxication américaine ont réorganisé militairement et politiquement les Balkans afin de régler à la convenance de leur indistinction despotique, à la fois la guerre, la paix et l’après-guerre…

Installé en Afghanistan et en Irak, l’ordre américain encercle l’Iran et occupe des positions-clefs à l’approche des principales sources d’énergie pétrolière ou gazière.

Les guerres du chaos spectaculaire ont fourni aux États-Unis de précieux emplacements stratégiques puisqu’ils leur permettent à la fois d’affaiblir la Russie et d’encercler la Chine.

Les services parallèles du département d’État ont ainsi placé les États-Unis aux frontières des pays Baltes et en bordure de la Russie pendant qu’ils pénétraient la Roumanie et la Bulgarie membres à venir de l’Union Européenne Américaine et, naturellement, de l’OTAN.

L’intervention massive des multiples filiales ONG de la CIA et consorts en Ukraine a pu détacher Kiev de la Russie pour la réalisation des plans de Washington cherchant ici à visiblement créer une chaîne d’États satellites afin de séparer la Russie de l’Europe.

Pour y parvenir il ne reste plus qu’à faire basculer le maillon manquant que constitue la Biélorussie pour que, de la mer Noire à la mer Baltique, Moscou soit écarté de ses anciennes provinces occidentales et que les deux mers pré-citées deviennent le domaine de l’OTAN alors qu’elles étaient auparavant celui de l’URSS.

Afin d’inaugurer par un acte spectaculairement significatif, les succès de sa stratégie de démantèlement de la « Communauté des États Indépendants » (CEI) qui avait pris la suite de l’Union soviétique, le Pentagone a imaginé une organisation regroupant les États qui furent soviétiques et que les États-Unis sont parvenus à retourner.

Afin d’en faire un signe visible de leur pouvoir de représentation, ils leur ont donc attribué à la fin des années 90, un sigle de présentation et de lisibilité : le GUOAM lequel regroupe la Géorgie, l’Ukraine, l’Ouzbékistan, l’Azerbaïdjan et la Moldavie. Cette association phagocytée par le département d’État américain devrait être renforcée par d’autres ex-provinces de l’URSS et ré-orienter ses échanges principalement vers la zone OTAN.

Autour de l’Iran encerclé, voici venir l’US Air Force au Tadjikistan et au Kirghizstan pendant que le spectacle médiatico-policier de la CIA diffuse partout son indistinction afin de mettre en place des régimes de plus en plus agréables aux États-Unis.

D’où une formidable avancée géo-stratégique de l’ordre américain qui touche désormais les frontières occidentales de la Chine en visant directement le cœur de l’Asie elle-même.

À cette stratégie d’encerclement s’ajoute bien entendu une énorme campagne de perturbation et de noircissement spectacliste visant à dénigrer les pouvoirs russe et chinois selon l’argument classique constamment brandi de la supériorité publicitaire absolue de la dictature démocratique de marché à la sauce wall-streetienne.

Ainsi tout se déroule comme si à l’implosion de l’URSS devait succéder, dans un premier temps, la dislocation de la CEI suivie, dans un second, de la désagrégation de la Russie elle-même avec l’accaparement d’une large fraction des richesses naturelles que détient son vaste territoire.

Si cet objectif était, un jour, atteint, les États-Unis seraient alors, avec l’Europe et l’Afrique sous leur dépendance, en bonne position pour devenir le propriétaire démesuré de la zone Asie-Pacifique, avec la Chine et l’Inde en premier lieu.

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On aimerait savoir pourquoi l'Iran attaquerait les pétroliers de ses clients (ici un Shinzo Abe en rien masochiste). Pour les perdre ?

Les vastes espaces de rentabilité de l’industrie pétrolière sont là au centre de la logique militaro-industrielle américaine qui génère ainsi d’énormes sources financières dont bien des réseaux bénéficient indistinctement y compris bien entendu les multiples boutiques écologistes et vertes coteries qui ont toujours joué la carte de l’or noir.

Les USA ont un intérêt vital à ce que l’Europe abandonne le nucléaire car l’idée d’indépendance énergétique de l’Europe leur est insupportable. Dès lors, priver leurs concurrents de toute compétence nucléaire civile, est décisif puisque c’est simultanément leur interdire (et d’abord à la France) de pouvoir produire du combustible militaire, ce qui signifie leur retirer évidemment toute possibilité de dissuasion indépendante.

Dès 1994, Haroun Tazieff avait dénoncé la thèse officielle d’un trou légendaire dans la couche d’ozone. La menace climatique comme la menace islamiste n’ayant là pour attribution que d’unifier par l’angoisse les spectateurs aliénés derrière le gouvernement mondial de l’indistinction spectaculaire.

Ce sont les mêmes prédicateurs qui dans les années soixante-dix tenaient le discours d’un refroidissement global de la Terre qui aujourd’hui et avec le même aplomb, d’autant plus prétentieux qu’il est vide de tout raisonnement, plaident pour le dogme du réchauffement global en vue d’aboutir à la concentration des matières premières planétaires dans la dépendance des multinationales américaines, promotrices forcenées d’une gouvernance globale pour le développement durable de la marchandise.

Il est donc normal que la chaîne CNN reprenne en boucle les rapports indistincts de l’Académie des sciences américaine qui ne cesse de déclarer avec savante insistance mythologique que « le réchauffement de la planète est le problème fondamental du temps présent » en relayant continuellement le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), docte émanation indistincte du spectacle mondial de l’ONU à qui fait constant écho le Fonds mondial pour la nature sauvage (WWF) et Greenpeace qui dupliquent ainsi la NOAA, agence yankee de recherche environnementale qui dépend, et c’est tout dire, du département US du commerce.


Patrick Moore est un consultant canadien né en 1947. Il est l'un des premiers présidents de l'organisation non gouvernementale Greenpeace, où il dirige l'antenne canadienne pendant sept ans. Il possède un doctorat de l'Université de la Colombie-Britannique pour une thèse de 1974 sur la pollution dans l'industrie minière. Patrick Moore explique pourquoi il a aidé à créer Greenpeace, et pourquoi il a décidé de la quitter. Ce qui a commencé comme une mission visant à améliorer l'environnement pour l'humanité est devenu un mouvement politique dans lequel l'humanité est devenue le méchant et la science pure et dure un non-problème. En passant qui finance Greenpeace ? Pas seulement les membres mais la Fondation des frères Rockfeller, la Fondation Turner (les médias Warner propriétairess de CNN), la Fondation Marisla (propriétaire de Lukoil hmmm le bon pétrole écologique), la Fondation Charles Stewart Mott (de l'homme à l'origine de General Motors)...

Marcel Leroux, climatologue français reconnu, professeur émérite de climatologie à l’Université Jean-Moulin, directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement a pour spécificité de n’être jamais invité dans aucune émission médiatique puisqu’il possède le défaut rédhibitoire d’avoir prouvé que le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles indistincts et strictement fondés sur des relations simplistes qui annoncent une élévation de la température, proclamée mais non démontrée puisque les contradictions sont innombrables entre les prédictions et les faits climatiques directement observés dans le spectacle de l’« ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes » par lequel se constitue l’« imposture scientifique ».

La mystification écologiste des indistinctions officielles est par conséquent avant tout un fonds de commerce propagandiste du gouvernement du spectacle mondial ayant pour objet de parachever la régulation économique et politique de la planète par Washington qui entend là par le détour orchestré de la conservation de la faune, de la réduction de la population mondiale, d’investissements pour promouvoir une marchandisation plus soigneuse et autres billevesées, centraliser sous sa coupe la justification de la vie fausse.

Au moment où la nature tout entière est désormais consommée par la marchandise, l’imposture écologiste qui vient là simplement verdir l’ignoble puanteur de la marchandisation n’est qu’un bricolage réformiste illusoire de plus pour endoctriner les inquiétudes et les craintes montantes du spectateur. Ainsi, après l’ingérence humanitaire, l’ingérence écologique est bien le vecteur privilégié de pénétration de l’impérialisme américain qui vise l’universalité concrète d’un pouvoir mondial de sauvetage environnementalo-sermonnaire du fétichisme de l’indistinction.

08:16 Publié dans Actualité | Tags : iran, écologie, manipulation, capitalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

05/05/2016

Trump, vrai discours et discours vrai

 

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Trump est loin d'être parfait comme l'a démontré sa position dans l'affaire opposant le FBI et Apple mais sa politique étrangère est moins dangereuse que celle garantie par l'élection d'une Clinton ou d'un Cruz.

 Les primaires américaines sont à suivre de près. Elles auront plus d'influence sur notre vie quotidienne que les présidentielles françaises dont le résultat est connu depuis des années car malgré les récentes analyses de Jacques Sapir, la chape médiatique est telle qu'il ne faut rien espérer des urnes. Alors le maître va continuer à régner et de manière plus pressante avec le futur TIPP/TAFTA qui sera la bouffée d'oxygène de son économie mourante.

Le débat électoral, celui qui mobilise l'attention se passe ailleurs, de l'autre coté d el'Atlantique et exclusivement dans le camp républicain du moins en théorie, car l'électron libre officiellement républicain Donald Trump est désormais plus détesté par les dirigeants du parti que les démocrates. Les militants de base eux sont acquis à ce trouble fête virtuose du micro qui profite du rejet des fausses élites par une population lassée des guerres et connaissant la crise au quotidien. La victoire éclatante à New York a sur ce point été décisive et la cerise sur le gâteau confirmant une tendance désormais certaine d'aller au bout. 

Dans ce cas pourquoi une telle haine des médias ? Ce que l'on reproche essentiellement à Donald Trump, c'est son indépendance financière et sa divergence revendiquée (le discours qui suit est une vraie déclaration de guerre à la ligne Bush-Clinton) face au modèle représenté par un Ted Cruz.

Cruz est un golem fabriqué de toutes pièces pour servir le complexe militaro-industriel et sa politique d'interventionnisme permanente, programmée au nom d'un modèle "démocratique" (ne riez pas) calqué sur les institutions américaines et à imposer partout de gré ou de force (voir le résultat en Libye ou Ukraine). Bien entendu, seuls des naïfs, des ahuris ou des escrocs peuvent confondre le modèle républicain avec la Démocratie mais en Occident ils sont nombreux ceux qui gobent cette idée ou ont intérêt à la répandre.

 

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Contrairement à une idée reçue car matraquée par les médias les Israéliens ne sont que minoritairement favorables à un conflit avec l'Iran et seule une minorité extrémiste dans le pays et surtout en Europe ou aux États-Unis soutient une stratégie qui ferait inévitablement un grand nombre de victimes. Malgré des voix qui s'élèvent au sein même de l'armée ou du renseignement les va-t-en guerre font tout pour arriver à leur fin en recherchant l'intégration du pays à l'Union Européenne donc à l'OTAN et en psalmodiant sans cesse l'existence de valeurs communes (on aimerait savoir lesquelles). On imagine sans peine la catastrophe pouvant résulter d'une Europe avec des frontières repoussée au cœur du Moyen-Orient.

Les propos de Trump devant The National Interest ont permis de clarifier une politique étrangère jugée floue et en tout cas particulièrement déformée dans les médias français qui s'amusent à tronquer les propos du candidat et même à inverser ses déclarations (surement au nom de la déontologie) pour le présenter comme un extrémiste populiste voire anti-musulman donc le mal absolu des bien-pensants.

The National Interest est une revue des conservateurs fondée en 1985 dont l'heure de gloire a été l'article Francis Fukuyama sur la fin de l'histoire (c'est loupé !). Depuis 2005, la revue très proche du Nixon Center a perdu ses néo-conservateurs interventionnistes (dont Fukuyama) qui ont créé The American Interest (comme mensonge, ce n'est pas mal). Si elle considère toujours la Russie et la Chine comme des menaces, les actions militaires pour occuper les heures creuses en particulier contre l'Iran sont décrites comme insensées. Trump sur cette ligne ne cesse de marteler le coût exorbitant des opérations en Irak, en Libye. Un message qui porte chez les millions de victimes de la crise et chez les vétérans.

Là se trouve une rupture fondamentale. Car entre une Clinton financée à coups de dizaines de millions de dollars par les saoudiens et favorable au lobby israélien (très ouverte sur le plan financier elle fut même autrefois financée par Trump) ou un Cruz, le Système retrouve les siens mais pas avec Trump qui demande aux donateurs de l'AIPAC de passer leur chemin, il y a une différence inacceptable pour les médias mainstreams occidentaux.

Si Trump se montre sioniste, il n'est pas pour autant d'accord avec un expansionnisme sur le modèle actuel se traduisant par de sanglantes destructions, le morcellement de l'ensemble des pays voisins d'Israël sous couverture de printemps qui ne font que fabriquer de l'instabilité et du terrorisme en détruisant de plus, des modèles laïques et multiconfessionnels fonctionnels.

Si les faits lui donnent raison, cette attitude déplait fortement car on espère bien faire entrer Israël dans l'Union Européenne justement au nom de cette menace terroriste commune (la réalité des faits devrait plutôt justifier celle de la Syrie non ?) et de valeurs qui seraient là encore communes et on souhaite tout autant ces guerre pour faire tourner la seule industrie encore rentable, celle de la guerre.

Trump n'entre pas dans la combine. Il raisonne de manière pragmatique, en homme d'affaire et c'est ce qui plait aux réalistes de The National Interest. Il enfonce même le clou en s'engageant à déclassifier des documents (ces fameuses 28 pages) pouvant mettre en cause les saoudiens à propos du 11 septembre. On imagine la panique du secteur financier déjà sous perfusion de la FED car les saoudiens actuellement excédés par un projet de loi (Obama assure que son veto est déjà prêt) pouvant autoriser une saisie des biens de pays étrangers en liaisons avec des attentats ont clairement laissé entendre qu'il pourraient retirer 750 milliards de dollars des établissements américains à titre préventif avant de demander le paiement du pétrole en une autre devise que le dollar...

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James Mattis, l'alternative du diable ?

Avec le slogan America First Trump tente une opposition frontale avec le complexe militaro-industriel mais aussi le secteur financier. Cela n'a jamais réussi et les aventures Kennedy, Nixon ont vite été raccourcies. Reste que nous vivions actuellement un retournement politique mondial et pour ceux qui ont le pouvoir, le risque de tout perdre dans un rêve de domination mondial pour lequel l'Amérique n'a plus les épaules assez large est évident.

La vieille garde a décidé de siffler la fin de la récréation. 

Quand on entend les déclarations d'un Roland Dumas à propos de Valls ou Macron et celles de ces adeptes de la realpolitik à la Kissinger (donc pour la survie des états nation), on se dit que des deux coté de l'Atlantique certains ont compris les limite de l'aventurisme. La domination russe dans le domaine conventionnel démontrée en Syrie n'est sans doute pas étrangère à ce constat. 

La seule option pour stopper Trump a qui il manquera quelques délégués est pour le parti républicain de lancer dans l’arène et au nom de l'union un candidat de dernière minute épargné dans les débat. Le nom de James "mad dog" Mattis est évoqué même si des proches affirment main sur le cœur qu'il ne veut pas y aller. Des levées de fonds seraient pourtant organisées pour ce général retraité capable de séduire un électorat de plus en plus âgé.

Personne ne sera surpris d'apprendre que ce conférencier ne manque jamais de dénoncer la menace iranienne par exemple au CSIS (Center for Strategic and International Studies de Washington DC think-tank de réflexion et d'influence sur la politique étrangère des États-Unis fondé en 1964 par l'amiral Arleigh Burke, largement bénéficiaire de fonds... saoudiens et comptant dans son conseil d'administration Zbigniew Brzezinski)

Ces prochaines élections sont donc capitales pour notre avenir en raison de l'opposition entre partisans d'une gouvernance mondiale (les adeptes du TIPP) et ceux d'états nations faisant passer dogmes et idéologies après les intérêts des pays, entre ceux pour qui la guerre n'est qu'un moyen et ceux pour qui est elle est la dernière solution.

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Ce n'est rien moins qu'une guerre contre l'Iran qui se joue (on trouvera le prétexte plus tard) car dans une optique de gouvernance mondiale il faut un chaos profond autour du Moyen-Orient pour affaiblir l'Europe mais aussi gêner l'approvisionnement en énergie de la Chine, de l'Inde afin que les États-Unis tournent leurs forces vers l'Asie.

 

 A lire :

Trump on Foreign Policy

America First will be the major and overriding theme of my administration.”

Donald J. Trump 17/04/2016

Editor’s Note: Republican presidential candidate Donald Trump delivered the following speech on foreign policy at an event hosted by the National Interest on Wednesday, April 27.

Thank you for the opportunity to speak to you, and thank you to the Center for the National Interest for honoring me with this invitation.

I would like to talk today about how to develop a new foreign policy direction for our country – one that replaces randomness with purpose, ideology with strategy, and chaos with peace.

It is time to shake the rust off of America’s foreign policy. It's time to invite new voices and new visions into the fold.

The direction I will outline today will also return us to a timeless principle. My foreign policy will always put the interests of the American people, and American security, above all else. That will be the foundation of every decision that I will make. America First will be the major and overriding theme of my administration. But to chart our path forward, we must first briefly look back.

We have a lot to be proud of. In the 1940s we saved the world. The Greatest Generation beat back the Nazis and the Japanese Imperialists. Then we saved the world again, this time from totalitarian Communism. The Cold War lasted for decades, but we won. Democrats and Republicans working together got Mr. Gorbachev to heed the words of President Reagan when he said: “tear down this wall.” History will not forget what we did.

Unfortunately, after the Cold War, our foreign policy veered badly off course. We failed to develop a new vision for a new time. In fact, as time went on, our foreign policy began to make less and less sense. Logic was replaced with foolishness and arrogance, and this led to one foreign policy disaster after another. We went from mistakes in Iraq to Egypt to Libya, to President Obama’s line in the sand in Syria. Each of these actions have helped to throw the region into chaos, and gave ISIS the space it needs to grow and prosper.

It all began with the dangerous idea that we could make Western democracies out of countries that had no experience or interest in becoming a Western democracy. We tore up what institutions they had and then were surprised at what we unleashed. Civil war, religious fanaticism; thousands of American lives, and many trillions of dollars, were lost as a result. The vacuum was created that ISIS would fill. Iran, too, would rush in and fill the void, much to their unjust enrichment.

Our foreign policy is a complete and total disaster. No vision, no purpose, no direction, no strategy.

Today, I want to identify five main weaknesses in our foreign policy.

 

First, Our Resources Are Overextended

 

President Obama has weakened our military by weakening our economy. He’s crippled us with wasteful spending, massive debt, low growth, a huge trade deficit and open borders. Our manufacturing trade deficit with the world is now approaching $1 trillion a year. We’re rebuilding other countries while weakening our own. Ending the theft of American jobs will give us the resources we need to rebuild our military and regain our financial independence and strength. I am the only person running for the Presidency who understands this problem and knows how to fix it.

 

Secondly, our allies are not paying their fair share.

Our allies must contribute toward the financial, political and human costs of our tremendous security burden. But many of them are simply not doing so. They look at the United States as weak and forgiving and feel no obligation to honor their agreements with us. In NATO, for instance, only 4 of 28 other member countries, besides America, are spending the minimum required 2 percent of GDP on defense.

We have spent trillions of dollars over time – on planes, missiles, ships, equipment – building up our military to provide a strong defense for Europe and Asia. The countries we are defending must pay for the cost of this defense – and, if not, the U.S. must be prepared to let these countries defend themselves. The whole world will be safer if our allies do their part to support our common defense and security. A Trump administration will lead a free world that is properly armed and funded.

 

Thirdly, our friends are beginning to think they can’t depend on us.

We’ve had a president who dislikes our friends and bows to our enemies. He negotiated a disastrous deal with Iran, and then we watched them ignore its terms, even before the ink was dry. Iran cannot be allowed to have a nuclear weapon and, under a Trump administration, will never be allowed to have a nuclear weapon. All of this without even mentioning the humiliation of the United States with Iran’s treatment of our ten captured sailors.

In negotiation, you must be willing to walk. The Iran deal, like so many of our worst agreements, is the result of not being willing to leave the table. When the other side knows you’re not going to walk, it becomes absolutely impossible to win. At the same time, your friends need to know that you will stick by the agreements that you have with them.

President Obama gutted our missile defense program, then abandoned our missile defense plans with Poland and the Czech Republic. He supported the ouster of a friendly regime in Egypt that had a longstanding peace treaty with Israel – and then helped bring the Muslim Brotherhood to power in its place.

Lire la suite et l'intégralité du discours sur The National Interest

12:34 Publié dans Actualité | Tags : trump, politique, étrangère, discours, iran | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

15/11/2015

Aux petits-enfants crucifiés de Télémaque

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Les guerres de religion sont toujours une providence pour les criminels. La violence tout à coup devient sainte pourvu qu'ils sachent mimer la dévotion, au moins en paroles, licence leur est donnée par un Dieu d'accomplir les infamies dont ils ont longtemps rêvé. (Rouge Brésil, Jean-Christophe Rufin).
 
Il faudrait vraiment avoir de bien vilaines pensées pour imaginer dans la reprise de liens commerciaux et industriels avec l'Iran, avec une rencontre prévue à Paris le 17 novembre (depuis annulée, birdie), suivant la visite de 150 hommes d'affaires français dans ce pays en septembre un quelconque lien avec les sanglants attentats qui endeuillent la capitale.
Il faudrait imaginer que des menaces aient été portées envers la France dans de telles circonstances et aussi suivies d'effets.
Mais rien de tout cela n'existe, la folie aveugle et fanatique se suffit. Qu'on se le dise.
Alors, doit-on chercher un mobile ? Doit-on chercher des suspects ?
En aucun cas. Car le coupable, chaque fois connu à la seconde, si ce n'est la veille ou les jours précédents, s'agite, revendique et laisse, à son habitude, son passeport sur les lieux du crime.
Doit-on chercher une main qui le commandite, l'entraine, le  soigne ?
Fi, quel complotisme haineux !
Rassurez vous, on cherchera pour vous et plutôt deux fois qu'une.
On vous proposera, de première main, des renseignements.

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L'apparence prend toujours le dessus sur le réel, le masque sur le masqué. On montre pour cacher, mais on montre surtout pour montrer... (Martel)
 
Vous pouvez, en prime, en avoir... l'assurance, aussi solide que celle des fossés de Caylus.
 

Maître Damien Viguier, Docteur en Droit et Avocat aux Barreaux de l'Ain et de Genève pour Agence Info Libre évoque l'actualité juridique.
 

11:11 Publié dans Actualité | Tags : iran, viguier, trahison, paris | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!