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26/02/2021

La pitrerie Gates englobe mensonges sanitaires et climatiques

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La nuisance de Gates de l'informatique au sanitaire en passant par la censure ou le climat semble sans limite

« La vérité n’est-elle pas tout simplement ce que le gouvernement ordonne, la recherche n’étant qu’un tiers superflu et importun, mais qu’il faut se garder de désavouer complètement, à cause de l’étiquette ? »

Karl Marx – Remarques à propos de la récente instruction Prussienne sur la censure -1843

« À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées dominantes ; autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défaut. Les pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie. Les individus qui composent la classe dominante ont, entre autres choses, une conscience aussi, et c’est pourquoi ils pensent. Il va de soi que, dans la mesure où ils dominent en tant que classe et déterminent une époque dans tout son champ, ils le font en tous domaines ; donc, qu’ils dominent, entre autre choses, comme penseurs aussi, comme producteurs de pensées ; bref, qu’ils règlent la production et la distribution des idées de leur temps, si bien que leurs idées sont les idées dominantes de l’époque. »

Karl Marx – L’idéologie Allemande – 1845


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Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations. Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il achève son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, qui sera disponible en décembre. Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.

Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe.
Qu’en pensez-vous ?

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas. Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ? ( Marcel, Leroux, AGRICULTURE & ENVIRONNEMENT N° 18 – OCTOBRE 2004)

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Paul Joseph Watson au sujet de Gates, une synthèse ! Bill is here to save the world. SUBSCRIBE TO NEW SECOND CHANNEL: https://www.youtube.com/AnythingGoesC... NEW MERCH: https://teespring.com/stores/paul-jos... INTRO MUSIC: Sagittarius V - Lucidator: http://sagittariusvmusic.bandcamp.com DONATE: https://www.subscribestar.com/paul-jo... CASH APP: https://cash.app/£pjw123 SUMMIT NEWS: http://summit.news/newsletter

14:17 Publié dans Actualité | Tags : gates, climat, mensonge, propagande, bouffon, manipulation | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

29/01/2021

Délire du masque : Le tête à queue

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L’Université du Texas a suggéré dans une série de tweets que les étudiants devraient porter des masques faciaux pendant la masturbation, en plaisantant même qu’ils devraient «mask-urbate».
Le centre de santé et de bien-être étudiant de l'Université du nord du Texas a renvoyé les tweets, qui ont depuis été supprimés parce qu'ils offraient des conseils contraires à ceux des directives de l'école sur le coronavirus, selon Campus Reform.
 
L'un des tweets a déclaré «Mask-urbate?! Lisez ci-dessous pour en savoir plus », avec une image d'accompagnement suggérant que tous les élèves présentant des symptômes de COVID devraient« ignorer les rapports sexuels et rester à l'intérieur ».
Une infographie arborant le logo de l'université disait «Mask-urbate! Utilisez des couvertures faciales lors de la masturbation mutuelle pour réduire vos risques », tout en suggérant aux élèves de« faire preuve de créativité avec les barrières physiques et les positions sexuelles pour éviter tout contact face à face ».
 
Un autre tweet déclarait que les étudiants devraient porter des masques pendant les rapports sexuels, «choisir un grand espace bien aéré» pour l'enfiler, «éviter de s'embrasser» et «se laver les mains avant et après».
Les tweets auraient été supprimés car l’université ne souhaite même pas que les étudiants se rapprochent.
«Les couvertures faciales ne remplacent pas une distanciation sociale appropriée», déclarent les directives de l'école.
La seule chose que le centre et l'université ne précisent pas, c'est si on doit se laver les cheveux avant ou après leur lavage de cerveau.

06:38 Publié dans Actualité | Tags : covid19, délire, masque, terreur, manipulation, crise, folie | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

19/10/2020

Quotidien de la Terreur du Capital en crise

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Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi, le terrorisme. Elle veut, en effet, être jugée sur ses ennemis plutôt que sur ses résultats. L’histoire du terrorisme est écrite par l’État ; elle est donc éducative. Les populations spectatrices ne peuvent certes pas tout savoir du terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique (Du terrorisme, Guy Debord, Commentaires sur la société du spectacle, Éditions Gérard Lebovici, 1988).

“Le terrorisme spectaculaire n’est pas un ensemble d’attentats isolés, chaotiques, séparés ou insensés, mais le rapport social de signification unitaire par lequel la crise approfondie de l’économie marchande produit sa mondialisation laquelle ne peut mondialiser sa production, qu’indistinctement médiatisée par des attentats justement indistincts.
La terreur ne peut être comprise comme une horreur extérieure à ce monde. Elle est bien plutôt l’effectivité matérielle de son intériorité pleinement objectivée. Le spectacle terroriste de l’indistinction saisi dans sa totalité, est à la fois la résultante dernière et le seul projet d’un mode historique de production qui ne parvient plus à produire sa propre histoire.
Le terrorisme n’est pas un cauchemar irrationnel d’horreur spectaculaire sur-ajouté à la réalité démocratique, il constitue le centre réel de la rationalité du spectacle démocratique lui-même.”

Critique de la société de l’Indistinction


Dans le cadre de la mystification étatique du Coronavirus sans fin, la crise historique de la baisse du taux de profit et l’effondrement de l’économie mondiale de la domestication n’ont qu’un seul véritable ennemi de radicalité profonde ; le prolétariat universel qui s’unit et qui s’insurge en tant que classe qui abolit justement toutes les classes…

Pour essayer de repousser l’échéance cauchemardesque de la guerre sociale qui s’annonce, le spectacle de la marchandise de la servitude durable entend nous jeter dans les grandes diversions contre-révolutionnaires de la guerre des sexes, de la guerre des races et de la guerre des religions…

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Nièvre 2015 : Une femme d'une cinquantaine d'années se dénonce auprès des gendarmes après avoir tué son mari à coups de hache à Guérigny. Elle n’a pas supporté qu’il se moque de sa foi catholique.  Quelqu'un en a entendu parler? Macron va-t-il se déplacer sur place? A t-on eu une hyper médiatisation nationale et jusque dans la presse américaine ? A t-on une manifestation montrant que la menace terroriste ou sanitaire disparaît selon les intérêts politiques du moment ? A t-on exploité le tragique, l'émotion pour réduire encore la liberté d'expression de la population ?

Le vaste remplacement prévu par Marx dans la Septième section du Livre premier du Capital et qui s’est généralisé après la grande grève sauvage de 1968 a permis à la classe capitaliste d’importer massivement une armée de réserve dont les perceptions historiques sont à mille lieux de la pratique sociale insoumise qui a rendu possible le surgissement communard des conseils ouvriers révolutionnaires de Barcelone ou de Budapest…
Des millions d’hommes déracinés et issus d’un monde où la répétition sans fin des normes de soumission sociale est la règle implacable sont ainsi arrivés pour permettre de diviser et de morceler les territoires de la conscience de classe du prolétariat d’Europe qui depuis des siècles n’avait cessé, lui et lui seul, de faire trembler l’ordre mondial des mystifications du fétichisme de la marchandise…
Cette collision délibérément voulue par le patronat et l’État a ainsi construit partout des enclaves sociales et culturelles totalement incapables d’accéder à la perspective subversive de la lutte de classe réfractaire contre l’argent et l’État puisque les populations qui y résident en claustration choisie sont ancestralement arraisonnées par la logique inéluctable de la résignation au travail ou par celle de l’habitude du trafic…
Dès lors, à côté des grandes opérations terroristes de masse planifiées centralement par le haut des services occultes, de l’OTAN, de la CIA et de leurs diverses ramifications, ne cesse de prospérer – sous contrôle déconcentré – un terrorisme de la frustration des désemparés du bas qui sont inaptes à toute intégration à la pensée pensante du doute subversif tel qu’il exprime précisément l’essence spécifique du Logos …

Il y a Notre-Dame de Paris et là c'est un mégot, circulez, il n'y a rien à voir et surtout pas ou va l'argent. Par contre, cette fois, on est invité à manifester, serrés comme des sardines en pleine pandémie, cette menace mortelle imposant un couvre-feu comme pendant la guerre, aller acheter une boîte de petits pois à 21h05, c'est l'amende et la récidive peut mener en prison. Si on ne comprend pas à quoi nous sommes confronté, ce qui autorise même l'exploitation médiatique des enfants comme au temps de la RDA, c'est à désespérer de l'intelligence.

Dans ce cadre, il faut toujours se souvenir que l’Europe des luttes de classe radicales paysannes qui allait ensuite voir naître le prolétariat communiste moderne est le prolongement d’insurrections communeuses permanentes qui produisirent des siècles de reconquête contre le despotisme islamique tant en Espagne que dans les Balkans… Ainsi, et comme le montre bien Engels dans son texte fameux sur le christianisme primitif, la lutte de classe toujours dés-obéissante des vieilles paysanneries christiques qui fut l’invariance européenne de l’insoumission constante aux Églises officielles, à la noblesse, au fisc et à la bourgeoisie constitue bien une antithèse absolue à la Oumma de soumission qui n’est d’ailleurs qu’une Torah de servitude simplement revisitée et simplifiée…
Aujourd’hui, la société multiculturelle qui mélange aliénatoirement en juxtapositions séparées le temps ouvert et révolutionnaire du monde communard européen et le temps fermé et contre-révolutionnaire de l’idolâtrie monothéiste orientale est nécessairement et violemment multi-conflictuelle et c’est pourquoi d’ailleurs le Capital pour se soustraire à sa crise mortelle en voie d’advenir – a massivement investi dans le projet distractif du chaos ethnique et religieux généralisé afin de s’efforcer d’immobiliser le temps dans le seul présent de la dictature interminable du marché…
La décapitation du professeur de Conflans-Sainte-Honorine, c’est d’abord et désormais l’expression possible à chaque coin de rue du spectacle sanglant de la crise mondiale de la valeur d’échange qui se présente comme organisation sociale de l’abomination aliénatoire omni-présente… C’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité partout inversée… C’est le capitalisme drogué et sénile qui n’a plus pour seul horizon que la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, doit s’ériger sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive où le désir, le plaisir et l’insoumission doivent définitivement s’effacer devant l’impératif catégorique d’oublier à jamais le passé glorieux des prolétaires barricadiers de tous les temps d’intelligence et de fracture.

Non ! Nous ne céderons pas !

Nous n’oublierons point notre histoire et notre destination !

Guerre à la guerre des sexes !

Guerre à la guerre des races !

Guerre à la guerre des religions !

07:44 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, terreur, guerre, manipulation | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

14/06/2020

Show antiraciste, mystification et retour au fondamental

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De la légende de Georges Floyd, rédigée et sponsorisée par le gouvernement du spectacle mondial des démocrates de l’État profond de la sphère financière en compétition avec les espaces industriels du gouvernement visible de Trump, à la fable copiée/collée falsifiée d’Adama Traoré sur la Windows du salon – intercepté par deux gendarmes issus eux-mêmes de la diversité – et subventionnée par le gauchisme de la marchandise, il s’agit toujours pour le spectacle de la pourriture marchande de faire écran à la réalité… Afin de tenter d’échapper à la crise mortelle qui se rapproche, le monde des folies de la réification mercantile ne cesse de désespérément créer des diversions susceptibles de mobiliser ses clientèles privilégiées réactionnaires – bobos urbains et banlieusards immigrés – derrière le slogan débile de ce nouveau monde superbement abruti qui déteste la police tout en adorant la circulation marchande de tous les flux morbides de la merde trafiqueuse

Qui se souvient encore aujourd’hui de Tony Timpa, pauvre blanc oublié, décédé en août 2019 à Dallas dans des conditions similaires à celles de Georges Floyd ? La religion du capitalisme dernier accepte tout en matière d’ordurerie sociale et scientifique mais se reconnaît exclusivement à ce fait que ses ultimes totems et tabous tournent tous autour de la mythologie trinitaire du féminisme, de l’homosexualisme et de l’antiracisme afin d’éterniser le capitalisme arc en ciel de tous les hébétements envisageables…

Tous les jours, un noir est tué par un noir à Chicago…
À près de 90 %, les noirs américains sont tués par d’autre noirs…
Près de 80 % des blancs américains sont tués par des noirs…
Les noirs américains représentent 15 % de la population américaine mais 40 % de la population incarcérée…

La délinquance est un rapport social objectif et pour le comprendre, il convient, non pas d’éthniciser le social, mais de socialiser l’ethnique – en fonction de la compréhension des temporalités de longue durée concrète, de l’histoire, de la radicalité et de la capacité à récuser l’excrément marchand ou à l’envers de s’y laisser absorber pour une meilleure profitabilité serviliste

La propriété c’est le vol mais le vol, c’est là encore la propriété qui se prolonge dans ces banlieues de la délinquance favorisée où la contre-révolution est partout puisque la radicalité subversive est nulle part…

Le 93, n’est point le département le plus pauvre de France, c’est l’un des plus riches car en additionnant les milliards des subventions de la politique de la ville – accaparée sur la plus-value prolétaire globale – et les milliards obscurs de l’économie souterraine silencieuse, c’est là un des lieux-majeurs du triomphe de la purulence capitaliste la plus évoluée

Le Capital n’a qu’un ennemi, le Prolétariat communard des vieilles souches de l’histoire réfractaire européenne qui, lui et uniquement lui, sut faire surgir le Manifeste Communiste lequel en phase de contradictions sociales accélérées aura, seul, capacité à permettre d’entre-voir la nécessité de liquider l’argent et l’État. Et il a – en revanche – plein d’alliés et notamment toutes les faunes sociétales mégapolitaines ahuries qui adeptes de toutes les transactions, spéculations et trafics se retrouvent toujours à lécher les bottes de toutes les racailles du haut et pègres du bas, unifiées en la Mafia générale de la dictature démocratique du profit infini…

Les Gilets Jaunes qui se préparent à revenir autrement – après la fin du grand bobard étatique du Coronavirus mythologique – ne s’y sont pas trompés, ils savent bien que le flash ball est leur privilège de classe exclusif et que si les médias du mensonge capitaliste les ont méprisé à l’infini, la discrimination positive des mille diversités marchandes tant chéries – permet, elle, tous les pillages et saccages lorsque ceux-ci sont l’œuvre des mercenaires demeurés de l’ordre capitaliste toujours reconduit…

L’anti-racisme spectaculaire est le stade suprême de la décadence capitaliste lorsqu’il faut à tout prix – pour empêcher le surgissement de la lutte communiste contre l’argent, le salariat et l’État – embrigader la population dans des combats fallacieux de réformation de l’usine globale du rendement concentrationnaire qui visent à perpétuer les duplicités et sournoiseries publicitaires de la saleté marchande…

Nous ne sommes ni blancs, ni noirs, ni jaunes, ni gris, ni bleus… Nous sommes les êtres humains de l’espérance révolutionnaire et nous récusons tous les rackets politiques qui veulent nous assigner à résidence de notre provenance domesticatoire… Nous sommes l’expression du Prolétariat universel qui aspire à sa destination révolutionnaire et nous disons merde au capitalisme qu’il soit blanc, noir ou gris puisque notre seul projet est celui de la communauté humaine universelle sans argent, ni État…

08:39 | Tags : antiracisme, capitalisme, désinformation, crise, manipulation, division | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!