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11/11/2019

Réorganisation démocratique des marchés par l'écologie et la terreur

10:45 Publié dans Actualité | Tags : bolivie, iran, écologie, capitalisme, démocratie, désinformation, terreur | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

16/07/2019

Iran, écologie et autres contes de menterie

iran fête teheran.jpg

Il y a le faux du vrai des médias présentant l'Iran comme un pays primitif et agressif et il y a le vrai du réel, ici une fête à Téhéran, elles existent aussi mais pas dans la rue.

Après la dislocation de l’Union soviétique et l’élimination des archaïsmes planifiés du capitalisme d’État, les États-Unis sont devenus l’unique superpuissance du théâtre mondial de la marchandise et afin de le demeurer aussi longtemps que possible, ils réalisent leur grand dessein spectaculaire par un effort méthodique de coups tordus et d’intervention secrètes à l’extérieur afin d’y étendre la puissance militaire, économique, financière et politique de leur appareil militaro-terroriste.

Arrangeant en sous-main l’état d’allégeance de la « construction européenne » et la pratique de grignotage de la Russie nouvelle, tenue plus ou moins de « laisser faire », les opérations d’intoxication américaine ont réorganisé militairement et politiquement les Balkans afin de régler à la convenance de leur indistinction despotique, à la fois la guerre, la paix et l’après-guerre…

Installé en Afghanistan et en Irak, l’ordre américain encercle l’Iran et occupe des positions-clefs à l’approche des principales sources d’énergie pétrolière ou gazière.

Les guerres du chaos spectaculaire ont fourni aux États-Unis de précieux emplacements stratégiques puisqu’ils leur permettent à la fois d’affaiblir la Russie et d’encercler la Chine.

Les services parallèles du département d’État ont ainsi placé les États-Unis aux frontières des pays Baltes et en bordure de la Russie pendant qu’ils pénétraient la Roumanie et la Bulgarie membres à venir de l’Union Européenne Américaine et, naturellement, de l’OTAN.

L’intervention massive des multiples filiales ONG de la CIA et consorts en Ukraine a pu détacher Kiev de la Russie pour la réalisation des plans de Washington cherchant ici à visiblement créer une chaîne d’États satellites afin de séparer la Russie de l’Europe.

Pour y parvenir il ne reste plus qu’à faire basculer le maillon manquant que constitue la Biélorussie pour que, de la mer Noire à la mer Baltique, Moscou soit écarté de ses anciennes provinces occidentales et que les deux mers pré-citées deviennent le domaine de l’OTAN alors qu’elles étaient auparavant celui de l’URSS.

Afin d’inaugurer par un acte spectaculairement significatif, les succès de sa stratégie de démantèlement de la « Communauté des États Indépendants » (CEI) qui avait pris la suite de l’Union soviétique, le Pentagone a imaginé une organisation regroupant les États qui furent soviétiques et que les États-Unis sont parvenus à retourner.

Afin d’en faire un signe visible de leur pouvoir de représentation, ils leur ont donc attribué à la fin des années 90, un sigle de présentation et de lisibilité : le GUOAM lequel regroupe la Géorgie, l’Ukraine, l’Ouzbékistan, l’Azerbaïdjan et la Moldavie. Cette association phagocytée par le département d’État américain devrait être renforcée par d’autres ex-provinces de l’URSS et ré-orienter ses échanges principalement vers la zone OTAN.

Autour de l’Iran encerclé, voici venir l’US Air Force au Tadjikistan et au Kirghizstan pendant que le spectacle médiatico-policier de la CIA diffuse partout son indistinction afin de mettre en place des régimes de plus en plus agréables aux États-Unis.

D’où une formidable avancée géo-stratégique de l’ordre américain qui touche désormais les frontières occidentales de la Chine en visant directement le cœur de l’Asie elle-même.

À cette stratégie d’encerclement s’ajoute bien entendu une énorme campagne de perturbation et de noircissement spectacliste visant à dénigrer les pouvoirs russe et chinois selon l’argument classique constamment brandi de la supériorité publicitaire absolue de la dictature démocratique de marché à la sauce wall-streetienne.

Ainsi tout se déroule comme si à l’implosion de l’URSS devait succéder, dans un premier temps, la dislocation de la CEI suivie, dans un second, de la désagrégation de la Russie elle-même avec l’accaparement d’une large fraction des richesses naturelles que détient son vaste territoire.

Si cet objectif était, un jour, atteint, les États-Unis seraient alors, avec l’Europe et l’Afrique sous leur dépendance, en bonne position pour devenir le propriétaire démesuré de la zone Asie-Pacifique, avec la Chine et l’Inde en premier lieu.

iran,écologie,manipulation,capitalisme

On aimerait savoir pourquoi l'Iran attaquerait les pétroliers de ses clients (ici un Shinzo Abe en rien masochiste). Pour les perdre ?

Les vastes espaces de rentabilité de l’industrie pétrolière sont là au centre de la logique militaro-industrielle américaine qui génère ainsi d’énormes sources financières dont bien des réseaux bénéficient indistinctement y compris bien entendu les multiples boutiques écologistes et vertes coteries qui ont toujours joué la carte de l’or noir.

Les USA ont un intérêt vital à ce que l’Europe abandonne le nucléaire car l’idée d’indépendance énergétique de l’Europe leur est insupportable. Dès lors, priver leurs concurrents de toute compétence nucléaire civile, est décisif puisque c’est simultanément leur interdire (et d’abord à la France) de pouvoir produire du combustible militaire, ce qui signifie leur retirer évidemment toute possibilité de dissuasion indépendante.

Dès 1994, Haroun Tazieff avait dénoncé la thèse officielle d’un trou légendaire dans la couche d’ozone. La menace climatique comme la menace islamiste n’ayant là pour attribution que d’unifier par l’angoisse les spectateurs aliénés derrière le gouvernement mondial de l’indistinction spectaculaire.

Ce sont les mêmes prédicateurs qui dans les années soixante-dix tenaient le discours d’un refroidissement global de la Terre qui aujourd’hui et avec le même aplomb, d’autant plus prétentieux qu’il est vide de tout raisonnement, plaident pour le dogme du réchauffement global en vue d’aboutir à la concentration des matières premières planétaires dans la dépendance des multinationales américaines, promotrices forcenées d’une gouvernance globale pour le développement durable de la marchandise.

Il est donc normal que la chaîne CNN reprenne en boucle les rapports indistincts de l’Académie des sciences américaine qui ne cesse de déclarer avec savante insistance mythologique que « le réchauffement de la planète est le problème fondamental du temps présent » en relayant continuellement le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), docte émanation indistincte du spectacle mondial de l’ONU à qui fait constant écho le Fonds mondial pour la nature sauvage (WWF) et Greenpeace qui dupliquent ainsi la NOAA, agence yankee de recherche environnementale qui dépend, et c’est tout dire, du département US du commerce.


Patrick Moore est un consultant canadien né en 1947. Il est l'un des premiers présidents de l'organisation non gouvernementale Greenpeace, où il dirige l'antenne canadienne pendant sept ans. Il possède un doctorat de l'Université de la Colombie-Britannique pour une thèse de 1974 sur la pollution dans l'industrie minière. Patrick Moore explique pourquoi il a aidé à créer Greenpeace, et pourquoi il a décidé de la quitter. Ce qui a commencé comme une mission visant à améliorer l'environnement pour l'humanité est devenu un mouvement politique dans lequel l'humanité est devenue le méchant et la science pure et dure un non-problème. En passant qui finance Greenpeace ? Pas seulement les membres mais la Fondation des frères Rockfeller, la Fondation Turner (les médias Warner propriétairess de CNN), la Fondation Marisla (propriétaire de Lukoil hmmm le bon pétrole écologique), la Fondation Charles Stewart Mott (de l'homme à l'origine de General Motors)...

Marcel Leroux, climatologue français reconnu, professeur émérite de climatologie à l’Université Jean-Moulin, directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement a pour spécificité de n’être jamais invité dans aucune émission médiatique puisqu’il possède le défaut rédhibitoire d’avoir prouvé que le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles indistincts et strictement fondés sur des relations simplistes qui annoncent une élévation de la température, proclamée mais non démontrée puisque les contradictions sont innombrables entre les prédictions et les faits climatiques directement observés dans le spectacle de l’« ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes » par lequel se constitue l’« imposture scientifique ».

La mystification écologiste des indistinctions officielles est par conséquent avant tout un fonds de commerce propagandiste du gouvernement du spectacle mondial ayant pour objet de parachever la régulation économique et politique de la planète par Washington qui entend là par le détour orchestré de la conservation de la faune, de la réduction de la population mondiale, d’investissements pour promouvoir une marchandisation plus soigneuse et autres billevesées, centraliser sous sa coupe la justification de la vie fausse.

Au moment où la nature tout entière est désormais consommée par la marchandise, l’imposture écologiste qui vient là simplement verdir l’ignoble puanteur de la marchandisation n’est qu’un bricolage réformiste illusoire de plus pour endoctriner les inquiétudes et les craintes montantes du spectateur. Ainsi, après l’ingérence humanitaire, l’ingérence écologique est bien le vecteur privilégié de pénétration de l’impérialisme américain qui vise l’universalité concrète d’un pouvoir mondial de sauvetage environnementalo-sermonnaire du fétichisme de l’indistinction.

08:16 Publié dans Actualité | Tags : iran, écologie, manipulation, capitalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

23/05/2019

Fred vargas, Macron et le degré négatif de la politique

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L'écologie menteuse de l'environnement au secours du Capital

Macron : « Le climat doit être au cœur du projet national et européen »

La panique politique du Système étant plus que palpable et se traduisant par une hystérie n'ayant pas peur de la violence, il devient utile de montrer que le militantisme de classe ne se limite pas à la sphère politique mais que ses ravages autrefois limités à la culture n'épargnent plus les champs scientifiques, juridiques, sociaux...

La guerre menée aux pauvres et aux contestataires de tout poil s'étend comme une moisissure.

Ainsi l'indigence de la sous littérature de gare peut dans la grande peur rejoindre le dogmatisme scientifique le plus marchand pour dissimuler un combat de classe, celui du capital dominant contre ses victimes qu'il faut faire voter et bien entendu en déviant leurs intérêts bien compris.

Exemple.

"On est face à la plus grande tragédie qu’ait jamais vécue l’humanité et les politiques sont absents, impotents, je sais plus quel est le mot, sont inactifs, qu’a employé Antonio Gutierrez le secrétaire général de l’ONU, et au lieu d’aller dans le bon sens on va dans le mauvais sens". On croit rêver devant l'improbable d'une telle croisade dissimulant mal un militantisme de classe.

Plus sérieusement et au sujet du réchauffement climatique d'origine humaine dogme politique intolérant et marchand fond sur une simple théorie scientifique discutable permettant pourtant de harceler et persécuter des dizaines de milliers de scientifiques préférant les faits à la croyance aveugle.

Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique liste les scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.

Le NIPCC (panel d'organisations non-gouvernementales) existe depuis 2003 et tente d'adopter un point de vue plus objectif et plus nuancé que celui, très orienté, du GIEC.

Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes. En 2015, a été également créée la "CO2 Coalition", qui a approuvé le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris en 2017.

Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition.

Merci à Wikibéral pour la documentation.

A

  • Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.
  • Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues ».
  • Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm.
  • Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans fondement. »
  • Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2  ».
  • David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
  • Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande (éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil pour le climat.
  • Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs ».

B

  • Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
  • Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.
  • Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.
  • David Bellamy, botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de Durham : Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l'être.
  • Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare (éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
  • Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.

C

  • Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine ».
  • John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ».
  • Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2 et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
  • Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site www.weatheraction.com.
  • Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
  • Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été découverte.
  • Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d'un projet politique ».

D

  • Dai Davies, physicien à l'Université de Canberra, affirme que le CO2 n’a qu’un effet négligeable sur le climat terrestre et n’est pas toxique mais éminemment bénéfique pour la biosphère. Même si sa quantité était doublée, cela n'aurait aucun effet significatif sur la thermodynamique atmosphérique.
  • Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».
  • Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat.
  • Richard Dronskowski, professeur de chimie-physique à l'Université d'Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l'Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l'American Chemical Society. Il a déclaré que "la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur", "qu'il n'y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]" et qu'il connaît "des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n'ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés".
  • Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l'Université d’Auckland[7]. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on doublait ou triplait la quantité de dioxyde de carbone, cela n'aurait quasiment aucun impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l'effet de serre ».
  • Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien Vice-Président Chargé de la Recherche de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site sceptique de référence francophone pensee-unique.fr.
  • Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l'université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée ».

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12:59 Publié dans Actualité | Tags : écologie, capitalisme, propagande, européennes, mensonge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

08/09/2018

La marche pour le climat ou comment l'avoir dans le baba

 

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Il y a une quinzaine de siècle les Vikings faisaient pousser la vigne et récoltaient du raisin au Groenland, de sales complotistes niant le réchauffement climatique d'origine humaine surement!

L'homme étant privé de mémoire et de compréhension dans l'univers toxique du Capitalisme globalisé, il a déjà oublié comment on l'a toujours trompé en le faisant marcher. Hier en étant Charlie pour lui retirer des droits fondamentaux, aujourd'hui en le baladant au nom du climat. L'écologie politique est une tromperie coûteuse et dangereuse et il ne s'agirait pas malgré les leçons de l'été de passer l'éponge et de recommencer les huloteries.

La croyance dans le réchauffement climatique d'origine humaine est une théorie d'origine politique, fort rentable, mais ce dogme qui a déjà fait les titres de la rubrique judiciaire fait aussi les malheurs de dizaines de milliers de chercheurs sanctionnés, licenciés, privés de budget, de laboratoire ou d'espoir de diplôme s'ils refusent de se soumettre à une vision niée par leurs travaux et leurs constats.

Il existe cependant une Oregon Petition, la déclaration de scientifiques du monde entier, rejetant la thèse  officielle du réchauffement climatique et s'opposant au protocole de Kyoto. Cette démarche a été organisée par l'Oregon Institute of Science and Medicine entre 1999 et 2001, et le document continue à être signé par de nouveaux scientifiques aujourd'hui encore.

Il existe d'autres démarche de ce type comme la déclaration d'Heidelberg (Heidelberg Declaration) ou la déclaration de Leipzig (Leipzig Declaration) et la Manhattan Declaration. Plus de 31.000 scientifiques l'ont signée à ce jour. Parmi les scientifiques ayant signé cette déclaration, on retrouve l'ancien président de l'académie américaine des sciences, Frederick Seitz.

Merci aux Wiki pour les sources.

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Il n'existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l'atmosphère de la Terre et une rupture de son climat. En outre, des preuves scientifiques substantielles montrent que l'augmentation de la concentration en dioxyde de carbone atmosphérique entraine de nombreux effets positifs sur l'environnement de la faune et de la flore de la Terre (Extrait de l'Oregon Petition, Frederick Seitz en photo). 

Quelques noms à connaître :

  • Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.
  • Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues ».
  • Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm.
  • Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans fondement. »
  • Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2  ».


En 2015, où retrouve comme à l'origine de l'histoire (donc celle d'Al Gore, président et un des cofondateurs de la chaîne télévisée américaine Current TV, lancée en 2012 à... Al Jazeera pour un montant estimé à 400 millions de dollars, vive l'écologie. Il appartient aussi au comité de direction d'Apple, et sert comme conseiller officieux au moteur de recherche sur Internet Google) les calamiteux Démocrates américains donc Obama au bilan terrifiant économiquement, scientifiquement et militairement.

  • David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
  • Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande (éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil pour le climat.
  • Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs ».
  • Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
  • Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.
  • Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.
  • David Bellamy, botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de Durham : Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l'être.
  • Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.
  • Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine ».
  • John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ».
  • Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2 et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
  • Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site www.weatheraction.com.
  • Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
  • Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été découverte.
  • Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d'un projet politique ».
  • Dai Davies, physicien à l'Université de Canberra, affirme que le CO2 n’a qu’un effet négligeable sur le climat terrestre et n’est pas toxique mais éminemment bénéfique pour la biosphère. Même si sa quantité était doublée, cela n'aurait aucun effet significatif sur la thermodynamique atmosphérique.
  • Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».
  • Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat.
  • Richard Dronskowski, professeur de chimie-physique à l'Université d'Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l'Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l'American Chemical Society. Il a déclaré que "la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur", "qu'il n'y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]" et qu'il connaît "des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n'ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés".
  • Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l'Université d’Auckland. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on doublait ou triplait la quantité de dioxyde de carbone, cela n'aurait quasiment aucun impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l'effet de serre ».
  • Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien Vice-Président Chargé de la Recherche de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site sceptique de référence francophone pensee-unique.fr.
  • Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l'université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée ».
  • Don J. Easterbrook, professeur émérite de géologie à l'Université de Western Washington, spécialiste en glaciologie, auteur de 8 livres et de 150 papiers scientifiques. Même s'il croit à la nécessité d'une réduction des gaz à effet de serre, il critique les projections de températures du GIEC. Lors d'une présentation à la conférence annuelle de la Société de Géologie Américaine, en 2006, il affirma que "si les cycles continuent comme par le passé, le cycle de réchauffement actuel va bientôt se terminer et la température va se refroidir légèrement jusqu'en 2035 environ... Le réchauffement total pour le 21e siècle devrait être autour de 0,3°C et non celui catastrophique de 3-6°C prédit par le GIEC".
  • James A. Eden, spécialiste en physique de l'atmosphère dit : beaucoup de scientifiques sont en train de chercher un moyen de revenir doucement en arrière (sur les causes humaines du réchauffement climatique) sans ruiner leur carrière.
  • Suren Erkman, professeur à l’Université de Lausanne, spécialiste en écologie industrielle, affirme : « Il y a encore, aujourd'hui, une discussion scientifique sur la contribution réelle du CO2 en tant que gaz à effet de serre. C'est une discussion qui n'est pas close. Très vite, dès le début, la question climatique a été instrumentalisée à différentes fins, économiques, politiques, ou purement idéologiques. ». Pour lui, qui se veut « climato-critique » et dénonce « un discours de plus en plus dogmatique, souvent tenu par des gens qui ne sont pas des spécialistes du domaine », « le véritable enjeu serait l’adaptation aux changements climatiques, et non l’atténuation des causes de ces changements. »
  • David Evans, mathématicien, ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre. Il a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.
  • Chris de Freitas, professeur au sein de la faculté de géographie, de géologie et de sciences de l'environnement de l'université d'Auckland : « il y a des preuves du réchauffement climatique mais ce réchauffement ne confirme pas que c'est le dioxyde de carbone qui en est à l'origine. Le climat se réchauffe ou se refroidit perpétuellement ».
  • Serge Galam, physicien, docteur en physique, École Polytechnique (France) : il estime que la cause des évolutions climatiques actuelles est encore inconnue et que le seul lien entre CO2 et réchauffement climatique est une coïncidence temporelle : « l'homme a été déclaré coupable simplement parce que pour l'heure on n'a pas trouvé d'autre coupable et aussi parce que les apparences sont contre lui ».
  • David Gee, géologue, président du Comité des sciences du Congrès International de Géologie, avec à son actif plus de 130 publications. Selon lui, la théorie du réchauffement anthropique ne relève pas de la science falsifiable : « Combien d'années la planète doit-elle se refroidir pour que nous commencions à comprendre qu’elle ne se réchauffe pas ? »
  • Christian Gerondeau, ingénieur diplômé de l'École polytechnique (1957) et de l'École nationale des ponts et chaussées, affirme qu'il n'existe aucun lien démontrable entre CO2 et température (CO2: un mythe planétaire, Toucan, 2009). Il dénonce les paradoxes, les contradictions, et les manipulations des données par des groupes de pression comme le GIEC (qui n'est pas un groupe d'experts, mais un ensemble de représentants des gouvernements), sur un réchauffement qui a arrêté sa progression depuis 1998, sur des mesures irréalistes par rapport aux besoins des pays en développement, et sur le gaspillage de l’argent public en la matière. Pour les écologistes, l'homme est mauvais, et le progrès aussi ; les faits ne les intéressent pas, sauf quand ils peuvent confirmer leur vision négative ; ainsi, on montre la banquise qui fond, mais pas l'accroissement de la glaciation en Antarctique.
  • François Gervais, physicien, spécialiste de thermodynamique, professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, estime que l'effet de serre du CO2 est à saturation, les activités humaines n'ont quasiment plus d'incidence sur le réchauffement. On a pris une conséquence pour une cause. Les fluctuations de température précèdent celles du CO2. Le réchauffement climatique est naturel.
  • Ivar Giaever, prix Nobel de physique 1973 : il s'oppose tout particulièrement aux dévoiements de l'écologie à des fins politiques qu'organisent des individus comme Al Gore, Phil Jones ou James Hansen et des organismes comme le GIEC. Il a ainsi déclaré : « je suis un sceptique, le réchauffement climatique est devenu une nouvelle religion ». En 2011, il quitte l'American Physical Society en raison de ses positions sur le réchauffement. Il critique Obama en lui reprochant d'être mal conseillé en ce domaine.
  • Robert Giegengack , géologue, professeur au département Earth and Environmental Science de l'Université de Pennsylvanie : selon lui, le « réchauffement climatique n'entre même pas dans le top 10 des problèmes environnementaux » et il déplore que « l'appétit du public pour cette idiotie soit devenu insatiable ».
  • William C. Gilbert, chercheur en chimie. Gilbert, qui a publié en 2010 dans la revue Energy & Environment un papier intitulé “The thermodynamic relationship between surface temperature and water vapor concentration in the troposphere” juge sans détour la climatologie actuelle : "j'ai honte de ce que les sciences du climat sont devenues. La communauté scientifique se fie à des modèles inadaptés pour mettre la faute sur le CO2 et les citoyens innocents pour le réchauffement afin de générer des fonds et d'attirer l'attention. c'est ce qu'est devenue la "science" de nos jours et en tant que scientifique, j'ai honte."
  • Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».
  • Thomas B. Gray, météorologue américain au National Oceanic and Atmospheric Administration : Sur la base de ses travaux sur le climat passé, il s'est opposé à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique, insistant sur la dimension naturelle du phénomène. Il qualifia ainsi en 2007 le changement climatique de « phénomène naturel ». Il rappelle que « rien de ce qui est en train d'arriver sur le plan climatique ne peut être considéré comme anormal à la lumière de notre connaissance des variations climatiques passées ». Il accuse directement les tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique (AGW ou Anthropologic Glowal Warming) de ne s'appuyer « sur aucune donnée fiable ».
  • Vincent R. Gray, scientifique britannique, Ph.D. en chimie, fondateur de la New Zealand Climate Science Coalition: il estime que les mesures du GIEC sont biaisées et pointe que rien ne montre un réchauffement exceptionnel du globe et, plus encore, une éventuelle origine humaine.
  • William M. Gray, spécialiste des ouragans, Ph.D, auteur de très nombreux articles académiques : pour lui, le réchauffement climatique est essentiellement un phénomène naturel et non lié à l'activité humaine. Il s'est en particulier opposé à l'alarmisme de Gore et du GIEC en matière d'ouragans. Il a ainsi rappelé que les ouragans suivaient généralement un cycle multi-décennal et qu'il n'y avait rien d'anormal à observer des variations dans leur nombre et leur intensité.
  • Michael Griffin, ancien directeur de la NASA, astrophysicien réputé, Ph.D. : « Je ne doute pas qu'il y ait une tendance actuelle au réchauffement climatique. Je ne suis pas sûr qu'il soit adapté de dire que le réchauffement climatique est un problème qu'il faut combattre. Supposer que c'est un problème, c'est supposer que le climat de la terre actuel est le climat optimal, le meilleur climat que nous puissions avoir ou ayons jamais eu, et que nous devons prendre des mesures pour qu'il ne change plus. ».

 

  • William Happer, physicien, Ph.D. en physique à Princeton, faculté de physique atomique de l'université Princeton : il déclara à propos des tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique et en particulier du GIEC que « ce qui était une science est devenue une religion ».
  • Howard Hayden, professeur émérite de physique à l'Université du Connecticut. Il a écrit une lettre ouverte au Département d'État américain pour exprimer son scepticisme, en déclarant que "les activistes du réchauffement climatique, comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l'histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat et en particulier sur leur compréhension du climat"..
  • Dennis Hedke, géophysicien et chercheur américain, également élu républicain, affirme que « les spéculations théoriques sur l'effet de serre dû au CO2 ne peuvent prendre le pas sur les données empiriques disponibles. Tenter de modifier la concentration de CO2 dans le but de contrôler la température de la Terre est un effort futile qui n'a aucun fondement réellement scientifique et pratiquement aucune chance de succès. »

 

  • Craig Idso, docteur en géographie de l'université d'état d'Arizona, fondateur du Center for the Study of Carbon Dioxide éditeur du site CO2science.org. Dr Idso fait la promotion du CO2 qui selon lui n'influence pas la température et est bénéfique à la croissance des plantes.
  • Kiminori Itoh, Ph.D. en chimie industrielle, diplômé de l'université de Tokyo, actuellement au Département d'Ingénierie de l'Université de Yokohama, contributeur au rapport 2007 du GIEC (AR4), auteur de quatre livres sur le changement climatique dont le dernier s'intitule Mensonges et Tromperies dans l'Affaire du Réchauffement Climatique (en japonais).
  • Zbigniew Jaworowski, Président du Conseil scientifique et professeur au Laboratoire Central de Protection radiologique de Varsovie, spécialiste de l'étude des carottes glaciaires. Après avoir réalisé 11 expéditions polaires entre 1972 et 1980 pour analyser des carottes glaciaires en vue d'étudier les disséminations radioactives dues aux essais des bombes nucléaires dans l'atmosphère, conclut que les mélanges gazeux contenus dans les glaces subissent des transformations physiques telles que leur composition ne correspond plus à celle de l'atmosphère captée à l'origine. Il conteste ainsi les mesures du GIEC, fondées pour une part importante sur des extrapolations issues de l'étude de ces carottes. Il parle de "manipulation impropre de données" et dénonce les supercheries dans la présentation statistique des résultats.
  • Hans Jelbring, climatologie suédois, de l'Unité Paléogéophysique et de Géodynamique de l'Université de Stockholm. Selon Dr Jelbring, "la nature dysfonctionnelle des sciences du climat n'est pas autre chose qu'un scandale. La science est trop importante pour nos sociétés pour être pervertie comme elle l'a été par la communauté des sciences du climat. L'establishment du changement climatique a activement supprimé les résultats de chercheurs qui ne se plient pas au dogme du GIEC".

 

  • Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie. Selon lui, "les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. [L’étude des carottes glaciaires démontre que] c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire".
  • Richard Keen, climatologue américain au sein du département des sciences atmosphériques et océanographiques de l'université du Colorado : il est très critique vis-à-vis de l'existence même d'un réchauffement climatique et rappelle que les températures depuis 1998 ont baissé et que 2007 a été l'année la plus froide de la décennie.
  • Madhav Khandekar, docteur en météorologie de l'université d'état de Floride, il a travaillé plus de 51 ans dans la climatologie, la météorologie et l'océanographie. Il est expert reviewer du GIEC 2007, membre de l'AMS depuis 1966, de l'AGU depuis 1986 et de la Canadian Meteorological and Oceanographic Society depuis 1970. Selon Dr Khandekar, « le réchauffement des années 80 et 90 a été principalement d'origine naturelle et la contribution du CO2 d'origine humaine est et sera très faible ».
  • William Kininmonth, ancien directeur du centre national du climat australien, il a dirigé pendant douze ans son centre national du climat et a représenté l'Australie à l'organisation météorologique mondiale pendant seize ans (1982-1998) : Il s'oppose à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique actuel et met en valeur les phénomènes naturels qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat. Il critique par conséquent le simplisme des modèles climatiques du GIEC, qui parte du présupposé, non démontré, que c'est l'homme qui affecte le plus le climat, et occulte les facteurs naturels comme l'activité solaire.
  • Christopher J. Kobus, Professeur associé d'ingénierie mécanique à l'Université d'Oakland, spécialiste des énergies alternatives, des phénomènes de transferts thermiques et des systèmes d'énergie thermique. Dr Kobus n'hésite pas à qualifier le réchauffement anthropique de "fraude".
    Selon Prof Kobus, même les fraudeurs qui ont truqué les données admettent que le réchauffement n'existe pas dans les séries historiques de température qu'ils utilisent. Peut-être ce qui a le plus condamné les fraudeurs du Climategate est l'effronterie avec laquelle ils ont truqué les données.

 

  • Christopher Landsea, météorologue à la NOAA, spécialiste des ouragans, Ph.D. : « le réchauffement climatique augmente peut-être la force du vent des ouragans, mais de sûrement pas plus que 1 ou 2% ». Ancien rédacteur du rapport du GIEC, il l'a quitté en en dénonçant l'instrumentalisation : « je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et scientifiquement non valable ».
  • Philippe de Larminat, expert en modélisation des processus ("identification"), met en œuvre dans son ouvrage Changement climatique (ISTE Editions, 2014) des modèles historiques pour décrire et prévoir les changements climatiques depuis 1500 ans, sur une base purement statistique. Ses résultats montrent l'absurdité des conclusions du GIEC sur l'influence des activités humaines sur le changement climatique ainsi que l'impossibilité de modéliser physiquement quelque chose d'aussi complexe que le climat.
  • Robert B. Laughlin, professeur à l'Université de Standford et prix Nobel de physique 1998 pour ses travaux sur l'effet Hall quantique fractionnaire. Dans son essai What the Earth Knows sur le changement climatique, il affirme que "les données géologiques suggèrent qu'on ne devrait pas s'inquiéter du climat, pas parce que c'est sans importance mais parce que contrôler le climat est hors de notre portée".
  • David Legates, Ph.D., climatologue américain, professeur associé à l'université du Delaware et climatologue de l'état. Il considère que l'homme a une influence sur le climat mais qu'il faut la minorer fortement et que les modèles climatiques actuels, utilisés pour prévoir des situations apocalyptiques, occultent les phénomènes naturels bien plus importants comme l'activité solaire. Il a signé l'Oregon Petition, qui liste plusieurs dizaines de milliers de scientifiques et de spécialistes qui rejettent cette thèse et l'existence d'un « consensus scientifique ».
  • Jean-Louis Le Mouël, géophysicien français, ancien directeur de l'Institut de Physique du Globe de Paris, médaille d'argent du CNRS, lauréat de la Flemming Medal, spécialiste du magnétisme terrestre. Il souligne que l'origine humaine du réchauffement climatique n'est qu'une hypothèse et qu'un débat scientifique est nécessaire. Il estime en particulier que les rôles de l'activité solaire et du magnétisme terrestre sont très sous-estimés.
  • Marcel Leroux, climatologue français, né le 27 août 1938, décédé le 12 août 2008. Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Palmes Académiques le 31 octobre 2002. Marcel Leroux était connu pour ses concepts scientifiques originaux comme celui des AMP, et ses remises en cause de concepts climatiques comme le réchauffement climatique. Marcel Leroux (2003) résumait ainsi son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique".
  • Anatoly Levitin, Directeur du Laboratoire des Variations Géomagnétiques de l'Institut de magnétisme terrestre, de l'ionosphère et de la propagation des ondes de l'Académie des Sciences Russes. Selon le Dr Levitin, "le climat de la planète suit son propre cours et nous ne pouvons pas désigner de tendances significatives dans le changement car elles datent de millions d'années alors que leur étude est toute récente. Nous sommes les enfants du soleil ; nous manquons tout simplement de données pour faire des conclusions."
  • Harold Lewis, professeur émérite de physique (1923 - 2011), ancien directeur du département de physique à l'Université de Californie, Santa Barbara. Il a déclaré que "l'arnaque du réchauffement climatique est la fraude pseudo-scientifique la plus grande et la plus réussie jamais vue de toute ma carrière de physicien"  et a publiquement protesté contre la position de l'American Physical Society sur le réchauffement en démissionnant de l'Association en 2010. Il dénonce le « torrent d'argent » issu des subventions gouvernementales qui « corrompt » l'APS.
  • Richard Lindzen, climatologue au MIT, Ph.D. en climatologie à Harvard, il a publié plus de 200 livres et articles dans des revues à comité de lecture : il est sceptique de la réalité d'un réchauffement exceptionnel et écrit : « Les générations futures se demanderont avec une stupéfaction amusée pourquoi, au début du 21e siècle, le monde développé s'est plongé dans une panique hystérique à propos d'une augmentation globale moyenne de température de quelques dixièmes de degré, et, sur la base d'exagérations grossières, de projections informatiques hautement incertaines, combinées en déductions improbables, il s'est trouvé en face d'un recul de l'âge industriel ».
  • Geraldo Luís Lino, géologue brésilien, auteur d'un livre en 2009 intitulé “The Global Warming Fraud: How a Natural Phenomenon Was Converted into a False World Emergency” (la fraude du réchauffement global : comment un phénomène naturel a été converti en fausse urgence mondiale). Lino déclare que "des centaines de milliards de dollars ont été gaspillées dans les tentatives d'imposer la théorie du réchauffement anthropique qui n'a pas de preuve physique... Cette théorie a été imposée au forceps par un barrage d'histoires d'horreur et d'endoctrinement qui commencent dès les manuels de cours élémentaires."
  • James Lovelock, figure historique de l'écologisme, auteur de la théorie Gaïa, reconnait être allé trop loin dans l'alarmisme climatique et reconnaît que le réchauffement climatique, s'il est dû à la hausse du CO2 atmosphérique, se produit à un rythme beaucoup plus lent que celui initialement estimé.
  • Anthony Lupo, professeur de sciences de l'atmosphère à l'université du Missouri, Ph.D : « Je ne crois pas que le changement climatique soit une urgence, ou qu'il y ait de preuves valides pour accuser l'humanité du réchauffement climatique actuel. Il est indéniable que le réchauffement climatique a lieu, mais il pourrait ne rien devoir (0%) ou très peu (10%) à l'activité humaine ».

 

  • Horst Malberg, professeur en météorologie et climatologie, ancien directeur de l'Institut de Météorologie de l'Université de Berlin. Il a été co-signataire d'une lettre ouverte de plus de 100 scientifiques allemands à la Chancelière allemande en juillet 2009 qui dénonce la croyance du réchauffement anthropique comme une pseudo-science[28].
  • Antonis Christofides et Nikos Mamassis, spécialistes des sciences de la Terre de l'Université Nationale Technique d'Athènes, Département des Ressources en Eau et de l'Ingénierie Environnementale. Ils affirment "qu'il n'y a strictement aucune raison de s'inquiéter du changement climatique anthropique parce qu'il n'y a strictement aucune preuve qu'une telle chose serait en train de se produire."
  • Augusto Mangini, paléoclimatologue et physicien à l'université de Heidelberg : sur la base de l'étude des climats anciens, il montre que les variations actuelles n'ont rien d'anormal : « Le GIEC estime que le CO2 a une influence déterminante sur les températures et que les variations naturelles sont négligeables. Or mes travaux montrent que le climat a toujours été soumis à des variations considérables, parfois lentes, parfois brutales. »[29]. Il accuse par ailleurs le GIEC de volontairement occulter ces variations passées pour faire naître la peur, ainsi que de nier le rôle du soleil, premier contributeur aux variations climatiques.
  • Istvan Markó, chimiste, président de l'European Chemical Society, affirme en 2011 : « Nous ne savons que peu de choses du climat terrestre, et les déclarations du GIEC sont utilisées dans un but politique. (...) De plus, affirmer que le taux de CO2 augmente la température du globe est erroné. La hausse de température précède l’augmentation du taux de CO2 (...) On est donc en droit, scientifiquement, de se demander si cela vaut la peine d’investir une telle quantité d’argent et de mettre en péril nos industries et nos sociétés, pour un résultat qu’on ne sait de toutes façons pas atteindre (...) Le mieux, pour la science, c’est qu’on nous laisse travailler sereinement, et sans parti-pris, à l’évolution de nos connaissances et qu’on arrête de nous faire croire que « le débat est clos »... »[30] En 2013, il publie « Climat, 15 vérités qui dérangent » ; il note que « le point de vue climatosceptique n’est pratiquement jamais relayé par la presse ».
  • Henri Masson, ingénieur chimiste, docteur en sciences appliquées, professeur émérite à l’Université d’Anvers : "Toutes les prédictions présentées comme « probables » ou « éminemment probables » par le GIEC, c’est du pipeau ! Et toutes les sommes investies dans les superordinateurs utilisés pour faire tourner leurs modèles, ainsi que pour financer les équipes de recherche qui les font tourner, ne représentent donc rien d’autre qu’une perte d’argent colossale et parfaitement injustifiée, en période d’austérité budgétaire en plus."
  • Ryan Maue, Florida State University : Maue a montré que l'activité cyclonique était en baisse depuis 30 ans, et que les prévisions alarmistes du GIEC étaient infondées.
  • Stephen McIntyre, Bachelor of science en mathématiques à l'université de Toronto : avec Ross McKitrick, il a fait reculer le GIEC sur l'utilisation de la courbe en crosse de hockey de Michael E. Mann, qui s'est révélée être une manipulation totale.
  • François Meynard, ingénieur physicien et docteur ès Mathématique de l’EPFL, enseignant en Sciences humaines et sociales à l'EPFL, publie en 2011 un livre intitulé "La légende de l’effet de serre" (dans lequel il reprend, au premier chapitre, une liste de scientifiques climatosceptiques trouvée sur Wikibéral). Il affirme que l'effet de serre est « une chimère informatique dénuée de fondement physique ».
  • Patrick J. Michaels, climatologue américain, estime que le réchauffement se traduira par un modeste accroissement de trois quarts de degré sur les 50 prochaines années. Il estime qu'il n'y a aucune incitation pour un scientifique à sortir du catastrophisme actuel : « si vous faites ça, vous risquez d'être mis au pilori par vos collègues.  Si le réchauffement n'est pas une menace, à quoi servent tous les fonds qui y sont consacrés ? »
  • Ferenc Miskolczi, physicien de l'atmosphère, ex-directeur de recherche à la NASA déclare : L'influence des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est surestimée par le GIEC. L'excès éventuel de CO2 ne peut avoir aucun effet. Il faut rechercher d'autres causes à ce réchauffement.
  • Patrick Moore, Ph.D, co-fondateur de Greenpeace : il estime que le lien entre activité humaine et réchauffement n'est pas fondé scientifiquement.
  • Nils-Axel Mörner, océanographe suédois, ancien directeur du département de paléogéophysique et de géodynamique de l'université de Stockholm. Mörner s'oppose fermement à l'alarmisme d'organismes comme le GIEC sur une éventuelle montée du niveau des océans liée au changement climatique. Il montre par exemple dans The Greatest Lie Ever Told que, sur trois cents ans, il existe des variations cycliques du niveau des eaux, sans tendance discernable. Il pointe également les lacunes des modèles informatiques sur lesquels est fondée l'hypothèse de l'origine humaine du réchauffement et dénonce l'instrumentalisation du GIEC à des fins politiques.
  • Kary Mullis, Prix Nobel de chimie. Il est sceptique de l'alarmisme actuel, pointant en particulier du doigt l'erreur de croire que l'on peut prévoir le climat à dix ou trente ans, alors que notre connaissance du climat est très parcellaire[35]. Il affirme que "la climatologie est une plaisanterie".
  • Mary Mumper, professeur de chimie, chef du Département de Chimie au Frostburg State University de Maryland. Pendant une de ses présentations, intitulée Le Carbone Anthropique et le Réchauffement Climatique, le Point de vue des Sceptiques, elle a déclaré : "je suis écologiste mais je me dois d'être en désaccord avec M. Gore".
  • Werner Munter, spécialiste suisse des avalanches (inventeur d'une méthode de réduction de risques d'avalanches), affirme que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement climatique : les scientifiques du GIEC « ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement.  »
  • Tad Murty, Ph.D., océanographe indo-canadien, spécialiste des tsunamis et ancien président de la Tsunami Society.

 

  • James Peden, physicien atmosphérique, anciennement de la Space Research and Coordination Center à Pittsburgh. Il affirme que « de nombreux scientifiques cherchent maintenant une manière de s’en sortir facilement sans ruiner leur carrière professionnelle ».
  • Ian Plimer, géologue australien, Ph.D. et auteur de plus d'une centaine d'articles scientifiques. Il a également écrit six livres et reçu de nombreuses récompenses, professeur émérite de géologie à l'Université de Western Washington, spécialiste en glaciologie, auteur de 8 livres et de 150 papiers scientifiques.

 

  • Tom Quirk, Ph.D. en physique : il a montré que le CO2 émis par les activités humaines était très largement absorbé par l'écosystème et que la hausse des concentrations en CO2 atmosphérique ne pouvait pas être imputée à l'action humaine.

 

  • Denis Rancourt, professeur de physique à l'Université d'Ottawa, spécialiste en spectroscopie. Rancourt, qui se déclare activiste de gauche, pense que les écologistes ont été trompés par la promotion du réchauffement climatique au rang de crise planétaire. Son essai contre la théorie du réchauffement climatique sur son blog a été qualifié par le journaliste Alexander Cockburn comme "un des meilleurs essais sur la fabrication du mythe de l'effet de serre dans la perspective d'un homme de gauche".
  • Hilton Ratcliffe, mathématicien et astrophysicien sud-africain, auteur du best-seller "Confessions of a Dissident Astronomer". Pour Ratcliffe, qui se considère écologiste, le "réchauffement anthropique est un mythe" et "ceux qui y croient n'ont pas regardé les nombres mais répètent une propagande politique".
  • Josef Reichholf, directeur du Département des Vertébrés au Conservatoire National Zoologique de Munich, professeur en science environnementale et conservation dans les 2 universités munichoises. Selon Reichholf, un climat plus doux est bon pour la diversité et ne va poser aucun problème majeur à l'humanité dans l'ensemble.
  • John Reid, Physicien atmosphérique de la division océanographie du CSIRO australien (Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization), spécialiste des ondes gravitationnelles de surface. Selon Dr Reid, "la méthode scientifique a été abandonnée" [dans la théorie du réchauffement anthropique] : "le réchauffement est la thèse centrale d'un nouveau système de croyance comme la Résurrection l'est pour le Christianisme. Al Gore a pris le rôle équivalent à celui de St Paul pour le prosélytisme de cette nouvelle croyance... Mon scepticisme du réchauffement vient du fait qu'en tant de physicien ayant travaillé étroitement dans les domaines relatifs au sujet, je sais à quel point la science qui le soutient est pauvre."
  • Benoît Rittaud, enseignant-chercheur en mathématiques, maître de conférences à l'université Paris 13, au sein du laboratoire d'analyse, géométrie et applications (Institut Galilée), auteur de l'ouvrage Le Mythe climatique (2012), parle d'une "pseudo-science adossée à la climatologie" qu'il appelle climatomancie : "art divinatoire visant à déduire du comportement humain l'avenir climatique de la Terre, dans l'idée de prescrire à chacun des actions de pénitence". Il organise un Climathon pour dénoncer le ridicule des "carbocentristes".
  • Burt Rutan, célèbre ingénieur aérospatial, qualifié par Newsweek "d'homme à l'origine de plus d'innovations dans l'avion moderne qu'aucun autre ingénieur vivant". Dans son exposé d'avril 2010 intitulé An Engineer's Critique of Global Warming Science, il ironise au sujet du réchauffement global : "ceux qui se qualifient de 'militants pour une planète verte' devraient se battre pour une atmosphère enrichie en CO2, pas une atmosphère en manque de CO2. La diversité augmente quand la planète est chaude et avec une teneur élevée en CO2... La vie personnelle d'Al Gore contribue à une planète verte - sa consommation énorme d'énergie avec ses 4 maisons et son jet aident en effet à rendre la planète plus verte. Bravo, Al pour avoir fait votre part dans la protection de la planète."

 

  • Tom V. Segalstad, géologue norvégien au Museum Géologique de l'Université d'Oslo. Ancien directeur du Museum d'Histoire Naturelle et du Jardin Botanique d'Oslo, il a enseigné la géochimie et la géophysique à l'université d'Oslo et à l'université d'État de Pennsylvanie USA. Selon Segalstad qui s'appuie sur des dizaines d'études de cycle de vie du CO2 atmosphérique, le CO2 d'origine humaine n'aurait qu'un effet de serre faible car la majorité de ce CO2 est absorbée par les océans bien plus rapidement que ne laisse entendre le GIEC[40].
  • Nir Shaviv, physicien américano-israëlien, Ph.D., professeur associé à l'université de Jérusalem, spécialiste d'astrophysique et du changement climatique. Auteur de nombreux articles dans des revues de premier plan, il a été honoré par de nombreux prix. Il souligne le rôle de l'activité solaire et des rayons solaires pour expliquer le changement climatique, qui ne dépendrait que peu du CO2.
  • Joanne Simpson, météorologue américaine à la NASA, première femme Ph.D. dans cette discipline, récompensée par de nombreux honneurs et auteur de plus de 190 articles académiques : elle estime que la théorie de l'origine anthropique du réchauffement climatique ne s'appuie que sur des modèles informatiques à la fiabilité douteuse : « La thèse qui attribue le réchauffement climatiques aux émissions de gaz à effet de serre par l'homme se fonde quasi exclusivement sur des modèles climatiques. Nous connaissons tous la fragilité de ces modèles concernant le système air-terre ».
  • Fred Singer, physicien et climatologue américano-autrichien, professeur émérite à l'Université de Virginie, co-auteur du livre Unstoppable Global Warming: Every 1,500 Years (2006), affirme que « les preuves d'un réchauffement planétaire dû à l'activité humaine reposent sur du sable ».
  • Hajo Smit, météorologiste hollandais, ancien membre du comité hollandais du GIEC. Il a déclaré : « Gore m’obligea à plonger dans la science de nouveau et je me retrouvai rapidement dans le camp sceptique. Les modèles climatiques sont utiles tout au plus à expliquer après coup les changements climatiques. »
  • Willie Soon, Ph.D., astrophysicien américain au Solar and Stellar Physics Division du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Il a montré que le principal facteur influençant le climat était le soleil et non les gaz à effet de serre.
  • Oleg Sorochtin, scientifique russe, institut océanologique de l'académie des sciences russe : il est très critique de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique et insiste sur le rôle de l'évolution de l'activité solaire pour expliquer les variations de la température terrestre. Il écrit ainsi dans le journal russe Ria Novosti du 9 octobre 2007 que « l'augmentation de température a une origine humaine prononcée et n'est pas déterminée par l'"effet de serre" ou les "gaz à effet de serre". »
  • Gerald Stanhill, climatologue britannique, professeur au département de physique environnementale de l'institut des sols, de l'eau et des sciences environnementales d'Israël : il estime que le GIEC occulte l'influence solaire, en particulier le phénomène de global dimming (assombrissement mondial) et considère qu'il ne peut absolument pas être représentatif de la communauté scientifique : « Cette omission de référence à ces changements dans les rapports du GIEC amène à se poser la question de la confiance que l’on peut placer dans un système de consensus scientifique imposé par le haut (top-down) qui ignore un élément aussi majeur et significatif dans le changement climatique. Une autre question, plus fondamentale, est de savoir si notre compréhension du changement climatique est actuellement suffisante pour produire une vue consensuelle utile. »
  • Henrik Svensmark, physicien danois, directeur du Center for Sun-Climate Research au centre de la recherche spatiale danoise, lauréat de nombreux prix : il souligne que l'activité humaine a un effet négligeable par rapport aux effets du soleil sur le climat.

 

  • Kunihiko Takeda, Vice Chancelier de l'Institut des Sciences et Technologies, Université de Chubu/Japon. Selon lui, « le CO2 n’a rien à voir avec le réchauffement global, quelle qu’en soit la quantité produite par l’activité humaine ».
  • Hendrik Tennekes, ancien directeur de la recherche de l'institut météorologique hollandais, pionnier de la modélisation climatique : il dénonce l'utilisation de ces modèles, peu fiables selon lui, pour imposer le « dogme du réchauffement climatique » alors que le climat est à la « limite de la prévisibilité [scientifique] ».
  • Frank Tipler, physicien-mathématicien, professeur à l'Université de Tulane. Pour Dr Tipler, "la théorie du réchauffement anthropique est un parfait exemple de pseudo-science, comme l'astrologie" car n'importe quel événement confirme cette théorie, selon ses défenseurs.
  • Tom Tripp, auteur principal du GIEC depuis 2004 et Directeur technique des services et du développement d'US Magnesium.
    Selon Dr Tripp, "malgré tout ce que vous entendez dans les médias, il n'y a aucun consensus scientifique que [le réchauffement climatique] soit un problème. Parce qu'il y a la variabilité naturelle, vous ne pouvez pas trancher avant au moins 150 ans".
  • Anastasios Tsonis, physicien, spécialiste de la théorie du chaos appliquée à la météorologie, Professeur au département de sciences mathématiques à l'Université de Wisconsin-Milwaukee, responsable du groupe de recherche en science atmosphérique. Selon lui, on ne peut pas dire grand chose sur la part de l'homme dans les changements climatiques du siècle passé. Il a déclaré en 2009 : "la température a atteint un plateau et est en fait en baisse. Nous assistons à un nouveau changement de régime vers des températures plus basses qui va durer probablement trois décennies".
  • William W. Vaughan, spécialiste de l'atmosphère à la NASA, ancien chef de division au Marshall Space Flight Center, récipiendaire de la Médaille de la NASA pour Service Exceptionnel et auteur de plus de 100 articles dans des revues à comité de lecture. Selon lui, les changements climatiques récents sont de causes naturelles : "les causes de ces changement globaux sont dues au soleil et aux mouvements de la Terre sur son orbite. Pas les activités humaines".
  • Jan Veizer, professeur émérite de géologie Univ Ottawa, nombreuses publications scientifiques, déclare que le principal gaz à effet de serre est la vapeur d'eau ; 5 % seulement du CO2 dans l'atmosphère émane de l'activité humaine.
  • Victor Manuel Velasco Herrera, physicien, institut de géophysique du National Autonomous University of Mexico (UNAM) : «[Les modèles et les prévisions du GIEC] sont incorrects car fondés uniquement sur des modèles mathématiques et les résultats prétendus de scénarios qui n'incluent pas, entre autres, l'activité solaire ».
  • Robert Vivian, glaciologue, docteur en glaciologie : il souligne que les glaciers sont plutôt en extension qu'en recul, mais que l'on occulte les endroits où ils se développent pour se focaliser sur les reculs locaux. Il rejette l'explication du réchauffement climatique par l'activité humaine : « [...] Ce disant, c'est oublier que les hommes ne sont pas grand chose au regard des vicissitudes de la planète-terre dans l'univers. [...] La part du réchauffement provoqué par les industries humaines est tout à fait insuffisante pour expliquer, seule, les variations glaciaires. Elle n'en est pas la cause première. ».
  • Leonard Weinstein, Senior Research Scientist à la NASA, avec 35 ans de carrière au NASA Langley Research Center. Weinstein est à présent Senior Research Fellow au National Institute of Aerospace.
    Dr Weinstein a conclu dans son essai de 2009 Disproving The Anthropogenic Global Warming (AGW) Problem (Réfutation du Problème du Réchauffement Anthropique) que "toute analyse scientifique raisonnable doit aboutir à la conclusion que les bases de la théoriques [du réchauffement anthropique] sont fausses".
  • Duncan Wingham, professeur de physique climatique à University College London et directeur du Centre pour l'observation polaire et la modélisation, Ph.D. en physique : il a montré que, contrairement à l'idée reçue propagée par des organismes comme le GIEC, la banquise antarctique était stable ou en expansion. D'après ses travaux de 2006, 72 % de la banquise antarctique croît, au rythme de cinq millimètres par an.
  • Frederick Wolf, climatologue américain qui a enseigné la météorologie et la climatologie au Keene State College dans le New Hampshire pendant 25 ans. Il est très critique de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique. Il insiste en particulier sur la compréhension très incomplète que les scientifiques ont actuellement de l'atmosphère terrestre et rappelle que les variations climatiques de bien plus grande ampleur qu'aujourd'hui ont toujours existé.
  • Leslie Woodcock, professeur émérite de l'Université de Manchester (School of Chemical Engineering and Analytical Science), ancien chercheur à la NASA, ne croit pas au réchauffement climatique, et dit que le « changement climatique » est un terme vide de sens utilisé par les grandes entreprises pour faire de l'argent.
  • Antonino Zichichi, professeur émérite de physique nucléaire à l'université de Bologne et président de la World Federation of Scientists : il souligne que l'alarmisme du GIEC n'est fondé que sur des modèles informatiques qui sont « incohérents et invalides d'un point de vue scientifique ».

16:13 Publié dans Actualité | Tags : climat, marche, désinformation, censure, réchauffement, écologie, dogme, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!