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11/01/2021

Résistance à l'intolérance

censure, dictature, mensonge, facebook, twitter, réseau

Un fournisseur de services Internet du nord de l'Idaho a bloqué Facebook et Twitter de son service WiFi en raison des préoccupations des clients concernant la censure généralisée des Big Tech.
 
T1 WIFI, qui fournit un accès Internet à la région du nord de l'Idaho et de Spokane, a déclaré aux clients dans un e-mail que les géants des médias sociaux seraient bloqués de ses services d'ici le mercredi 13 janvier.
«Il est venu à notre attention que Twitter et Facebook sont engagés dans la censure de nos clients et de nos informations», lit-on dans l'e-mail aux clients.
«Il y a trop de gens qui nous ont demandé de faire un [client] à la fois, nous allons donc bloquer [Facebook et Twitter] et tout autre site Web qui pourrait également être censuré (sic) que ce soit via leur algorithme qu'ils utilisent pour leur site ou tout autre moyen. »
"Notre société ne croit pas qu'un site Web ou un site de réseautage social ait le pouvoir de censurer ce que vous voyez et de publier et de vous cacher des informations, de vous empêcher de voir ce que vos amis et votre famille publient", poursuit le courriel. «C'est pourquoi, compte tenu du nombre de préoccupations, nous avons pris la décision de bloquer l'accès à ces deux sites Web depuis notre réseau.»

14:04 Publié dans Actualité | Tags : censure, dictature, mensonge, facebook, twitter, réseau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

Gab décolle

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«Notre trafic a augmenté de 753% au cours des dernières 24 heures. Des dizaines de millions de visites », a déclaré Gab en réponse à une question sur les vitesses de chargement lentes.
Le réseau de la liberté d'expression a annoncé qu'il mettrait dix nouveaux serveurs en ligne pour gérer l'augmentation du volume de trafic.
Gab a été la première alternative pour cause de censure de la liberté d'expression à Twitter. Il adopte une position ferme, autorisant tous les contenus légaux à l'exception de la pornographie. Les utilisateurs sont autorisés à contrôler leur propre expérience sur la plate-forme grâce à la création de filtres et de blocs de mots personnalisés.

10:12 Publié dans Actualité | Tags : gab, twiiter, facebook, dissidence, liberté, censure | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

06/07/2020

Quand un modérateur de Facebook balance...

Facebook, Twitter, Youtube, censure, lobbies, elections, Trump

 Comme l’État des fonctionnaires ne ressent qu’obscurément la conscience de ces faits, il s’efforce tout au moins de placer assez haut la sphère de l’illégalité pour la dérober aux regards, et il croit alors qu’elle a disparu.
Extraits des débats sur la liberté de la presse (Karl Marx – 1843)

Elections américaines et crise majeure du Capital obligent, une nouvelle vague de censure entraient des dizaines de milliers de clôtures de chaînes et comptes sur les réseaux sociaux sans justificatif réel autre que la diffusion d'informations qui dérangent où incompatibles avec les objectifs de la marchandises et de ses adeptes.

On voit donc des chaînes ayant des années d'existence disparaître, certaines ayant des centaines de milliers d'abonnés et des associations, des personnalités chassés du débat démocratique.

Mais cette fois les lobbies des "droits" ne descendent pas dans la rue pour les défendre, ils ne sont pas payés pour ça.

Quand un modérateur révèle l'hypocrisie de la censure, ce cache-sexe d'un militantisme politique et l'usage réel de nos données personnelles nous mettant avec nos amis et nos familles en danger.

14:43 Publié dans Actualité | Tags : facebook, twitter, youtube, censure, lobbies, elections, trump | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

21/08/2018

Les réseaux sociaux et la finance entrent en guerre

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La seule vérité doit être celle du profit

L'été 2018 est turbulent et chaque jour la panique du système de domination fait que nous apprenons, découvrons, l'ampleur des mesures prises contre la population, les libertés pour permettre à ce système de conserver, regagner, amplifier son pouvoir. Ses jours sont pourtant comptés.

Ainsi, si on a pu constater une censure massive de comptes ces derniers mois, puis lire les aveux de militantisme de certains CEO (Twitter par exemple), on ne pouvait espérer plus synthétique que ce mémo confidentiel (.pdf) de David Brock, fondateur de Media Matters (un nom parlant) de 49 pages destiné à vaincre Trump et mis au point pour une réunion de collecte de fonds..

Certes, Trump n'est pas l'ennemi du Système mais il est l'expression d'une ancienne version, celle du capitalisme industriel, se préoccupant encore un peu des citoyens et donc bien loin du monde virtuel d'une Clinton totalement soumise au capitalisme dématérialisé et financier.

On trouvera dans ce mémo lien l'illustration pratique des mesures hostiles à la liberté d'information et d'expression, à son pluralisme, prises par les géants des réseaux et parfois les propriétaires des serveurs.

Le mémorandum décrit un programme de quatre ans associant Media Matters avec American Bridge, Shareblue et Citizens for Responsibility and Ethics à Washington (CREW) pour attaquer Trump et le camp républicain. Les stratégies sont la mise en accusation systématique, élargissant la mission initiale de Media Matters pour lutter contre la désinformation du gouvernement et les partenariats avec les réseaux dont Facebook pour lutter contre les fake news, les prétendues fausses nouvelles. Le cas Alex Jones en août, les dizaines de milliers de pages de citoyens, d'associations fermées ont prouvé depuis que cela va bien plus loin.
 
Hillary Clinton commence elle aussi sa collecte de fond, pour les démocrates, dit elle.
 
Le mémo affirme que Media Matters et les groupes d'extrême gauche (Nous connaissons en France ce genre de réseau de rue ONG ou antifas liés à l'extrémisme kurde) ont ainsi accès à des données brutes provenant deLe mémo affirme que Media Matters et les groupes d'extrême gauche (Nous connaissons en France ces fameux réseaux de rue ONG ou antifas liés à l'extrémisme kurde) ont ainsi accès à des données brutes provenant de Facebook, Twitter et d'autres sites de médias sociaux afin de pouvoir surveiller et analyser systématiquement ces données non filtrées. Facebook, Twitter et d'autres sites de médias sociaux afin de pouvoir surveiller et analyser systématiquement ces données non filtrées.

Plus tôt nous pouvons identifier un article de fausses informations, plus nous pouvons l’effacer, indique le document. Avec cette nouvelle technologie à portée de main, les chercheurs qui surveillent les nouvelles en temps réel seront en mesure d’identifier les origines d’un mensonge avec une précision mathématique, en créant un système d’alerte rapide pour les fausses informations et la désinformation. On retrouve ici la formule de désinformation des médias mainstream, ce dont on ne parle pas n'existe pas.

Lisa Haven :They Did It To Alex Jones’ Infowars, Who or What Is Next?

Media Matters a rencontré Facebook, pour mettre au point de la manière de sévir contre les fausses informations, nous apprend le document.

Le géant des médias sociaux a reçu à ce titre une carte détaillée de la constellation des pages Facebook de droite qui avaient été les plus grands fournisseurs de fausses nouvelles. On croirait lire la presse hebdomadaire "française" qui adore cette forme de complotisme permettant d'associer le poète régionaliste anarchiste au catholique traditionaliste monarchiste et au skinhead adepte du ballon rond.

On découvre aussi que Media Matters a donné à Google les informations nécessaires pour identifier 40 des nouveaux sites les plus faux afin de pouvoir les bannir du réseau publicitaire de Google. J'espère que ça rapporte des tickets de pain et savon comme autrefois.

The Gateway Pundit a fait remarquer qu'en 2016, Google avait mis en œuvre ce plan sur le blog Gateway Pundit et sur d'autres sites conservateurs, notamment Breitbart, Drudge Report, Infowars, Zero Hedge et Conservative Treehouse.

Facebook, quant à lui, a changé son algorithme de flux d'actualités, apparemment pour lutter contre les fausses informations, provoquant une baisse rapide du trafic sur de nombreux sites conservateurs. Ce qui a aussi fait fuir sur d'autres réseaux (dont le VK russe) les citoyens sachant encore lire la Constitution américaine.

Le président Donald Trump a subit immédiatement l'effet de cette manipulation avec un trafic sur sa page Facebook ayant chuté de 45%.

Une étude réalisée en juin par Gateway Pundit a révélé que Facebook avait éliminé 93% du trafic des principaux sites d’information conservateurs.

A noter que Western Journal, dans sa propre étude , a constaté que les éditeurs de gauche/démocrates ont vu le trafic Web de Facebook augmenter d’environ 2% après les modifications de l’algorithme ce qui prouve qu'il n'y a pas de retour de clientèle, mais que les sites conservateurs ont enregistré une perte de trafic moyenne de 14%.

Le phénomène est donc celui déjà constaté avec la télévision. Un citoyen qui s'est éveillé ne revient pas à la soupe.

Selon des chercheurs, le mois dernier, les musulmans modérés et les militants antiterroristes étaient de plus en plus limités par la Silicon Valley, alors que le contenu terroriste reste sur les plateformes de médias sociaux.

Le chef de la campagne de Trump, Parscale, a déclaré la semaine dernière que l’interdiction de Jones entraînerait inévitablement le silence de ceux qui ont des opinions beaucoup moins controversées.


Newsmax TV et l'auteur de best-sellers Roger Stone à propos du cas Alex Jones.

Ce que nous voyons dans Big Tech, c'est l'impulsion totalitaire inhérente à la gauche qui est pleinement mise au point, a déclaré Parscale.

Le Système de domination est engagé dans une fuite en avant, son intolérance, sa manie de l'amalgame font que le camp des censurés déjà très majoritaire en Occident va encore gagner du terrain et du fait d'une attaque visible va se radicaliser. L'exemple français est à suivre avec un pouvoir représentant environ 10-12% de la population et ce qu'on nommera de manière grossière une droite des valeurs évaluée à environ 75% des électeurs.

Il ne faut pas se faire d'illusion, le moindre incident mal géré peut tout faire basculer car supprimer le thermomètre ne fait pas tomber la fièvre et une fièvre qui grimpe dans tout l'Occident.

15:01 Publié dans Actualité | Tags : soros, google, facebook, réseaux, trump, censure, alexjones | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!