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12/01/2021

Censure, ça continue

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Le troisième plus grand groupe radiophonique américain interdit la dissidence et menace de renvoyer les conservateurs qui remettent en question les résultats des élections.
Cumulus Media, le troisième propriétaire américain de stations de radio AM et FM, menace de renvoyer les animateurs d’émissions demandant justice au sujet des résultats controversés de l’élection présidentielle de 2020.
Cumulus, dont les stations abritent des noms connus tels que Mark Levin, Chris Plante et Dan Bongino, atteint plus d'un quart de milliard d'auditeurs chaque mois, avec une programmation diffusée à travers 416 stations détenues et exploitées par l'entreprise, ainsi qu'un près de 8 000 affiliés supplémentaires via Westwood One, une filiale de Cumulus.
Interdire la possibilité pour l'opposition de s'exprimer sur le sondes et sur les réseaux sociaux, de demander l'arbitrage de la justice semble donc le premier objectif du progrès dans l'optique Democrate.

11:09 Publié dans Actualité | Tags : censure, résistance, réseaux, fraude | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

19/10/2018

Censure et réseaux sociaux, notre avenir va se jouer

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La liberté d'expression n'a pas à être limitée et surtout pas par des opérateurs privés. Cette histoire n'est pas seulement un problème global, on ne peut souhaiter que d'autres pays finissent comme la France ou l'Allemagne, sous une inquisition perpétuelle et le règne de corbeaux patrouillant Net, réseaux sociaux et forum au service du régime.

C'est aussi sur un plan local la mise en évidence du coup d'état tenté par les démocrates américains associés à la finance et à ses médias pour contrôler toute l'information, maîtriser la politique d'un pays en se garantissant par cette violence un monopole d'accès au pouvoir.

A titre d'exemple nous avons vu 1200 abonnés Twitter être "radiés" en juillet et 500 cette semaine.

 

A lire :

La Cour suprême se penche sur un cas lourd de conséquences pour la censure sur les réseaux sociaux

L'affaire oppose une chaîne de télévision à deux vidéastes, mais pourrait faire trembler les réseaux sociaux. La Cour suprême devra déterminer si un opérateur privé, lorsqu'il fonctionne comme un forum public, doit respecter la liberté d'expression.

La Cour suprême des Etats-Unis a décidé de se pencher le 12 octobre sur un cas qui pourrait avoir d'énormes implications pour la protection de la liberté d'expression des utilisateurs sur les réseaux sociaux. Pourtant, à première vue, l'affaire qui oppose la Manhattan Community Access Corp à Halleck ressemble à un différend mineur entre une chaîne câblée locale et deux vidéastes, dont le travail a été banni des ondes.

(...)

Les exemples sont légions et s'inscrivent dans une tendance partagée par tous les grands réseaux sociaux. Le 11 octobre, Facebook a supprimé plus de 800 pages et comptes qui diffusaient principalement des contenus politiques. Contrairement aux purges précédentes, la gauche a été autant visée que la droite à cette occasion. Une «censure politique» dénoncée par les utilisateurs concernés, justifiée par la firme de Palo Alto par le «comportement inauthentique» de ces pages, qu'elle a assimilé à du spam. Quelques jours auparavant, Google estimait de son côté que la liberté d'expression était un «principe utopique». Dans un mémo interne intitulé «Le bon censeur», l'entreprise soulève l'idée de censurer ouvertement des contenus pour créer des «espaces bien ordonnés» où règne «la sécurité et la civilité».  

A lire en intégralité sur RT en français.

13:15 Publié dans Actualité | Tags : censure, réseaux, sociaux, twitter, usa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

21/08/2018

Les réseaux sociaux et la finance entrent en guerre

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La seule vérité doit être celle du profit

L'été 2018 est turbulent et chaque jour la panique du système de domination fait que nous apprenons, découvrons, l'ampleur des mesures prises contre la population, les libertés pour permettre à ce système de conserver, regagner, amplifier son pouvoir. Ses jours sont pourtant comptés.

Ainsi, si on a pu constater une censure massive de comptes ces derniers mois, puis lire les aveux de militantisme de certains CEO (Twitter par exemple), on ne pouvait espérer plus synthétique que ce mémo confidentiel (.pdf) de David Brock, fondateur de Media Matters (un nom parlant) de 49 pages destiné à vaincre Trump et mis au point pour une réunion de collecte de fonds..

Certes, Trump n'est pas l'ennemi du Système mais il est l'expression d'une ancienne version, celle du capitalisme industriel, se préoccupant encore un peu des citoyens et donc bien loin du monde virtuel d'une Clinton totalement soumise au capitalisme dématérialisé et financier.

On trouvera dans ce mémo lien l'illustration pratique des mesures hostiles à la liberté d'information et d'expression, à son pluralisme, prises par les géants des réseaux et parfois les propriétaires des serveurs.

Le mémorandum décrit un programme de quatre ans associant Media Matters avec American Bridge, Shareblue et Citizens for Responsibility and Ethics à Washington (CREW) pour attaquer Trump et le camp républicain. Les stratégies sont la mise en accusation systématique, élargissant la mission initiale de Media Matters pour lutter contre la désinformation du gouvernement et les partenariats avec les réseaux dont Facebook pour lutter contre les fake news, les prétendues fausses nouvelles. Le cas Alex Jones en août, les dizaines de milliers de pages de citoyens, d'associations fermées ont prouvé depuis que cela va bien plus loin.
 
Hillary Clinton commence elle aussi sa collecte de fond, pour les démocrates, dit elle.
 
Le mémo affirme que Media Matters et les groupes d'extrême gauche (Nous connaissons en France ce genre de réseau de rue ONG ou antifas liés à l'extrémisme kurde) ont ainsi accès à des données brutes provenant deLe mémo affirme que Media Matters et les groupes d'extrême gauche (Nous connaissons en France ces fameux réseaux de rue ONG ou antifas liés à l'extrémisme kurde) ont ainsi accès à des données brutes provenant de Facebook, Twitter et d'autres sites de médias sociaux afin de pouvoir surveiller et analyser systématiquement ces données non filtrées. Facebook, Twitter et d'autres sites de médias sociaux afin de pouvoir surveiller et analyser systématiquement ces données non filtrées.

Plus tôt nous pouvons identifier un article de fausses informations, plus nous pouvons l’effacer, indique le document. Avec cette nouvelle technologie à portée de main, les chercheurs qui surveillent les nouvelles en temps réel seront en mesure d’identifier les origines d’un mensonge avec une précision mathématique, en créant un système d’alerte rapide pour les fausses informations et la désinformation. On retrouve ici la formule de désinformation des médias mainstream, ce dont on ne parle pas n'existe pas.

Lisa Haven :They Did It To Alex Jones’ Infowars, Who or What Is Next?

Media Matters a rencontré Facebook, pour mettre au point de la manière de sévir contre les fausses informations, nous apprend le document.

Le géant des médias sociaux a reçu à ce titre une carte détaillée de la constellation des pages Facebook de droite qui avaient été les plus grands fournisseurs de fausses nouvelles. On croirait lire la presse hebdomadaire "française" qui adore cette forme de complotisme permettant d'associer le poète régionaliste anarchiste au catholique traditionaliste monarchiste et au skinhead adepte du ballon rond.

On découvre aussi que Media Matters a donné à Google les informations nécessaires pour identifier 40 des nouveaux sites les plus faux afin de pouvoir les bannir du réseau publicitaire de Google. J'espère que ça rapporte des tickets de pain et savon comme autrefois.

The Gateway Pundit a fait remarquer qu'en 2016, Google avait mis en œuvre ce plan sur le blog Gateway Pundit et sur d'autres sites conservateurs, notamment Breitbart, Drudge Report, Infowars, Zero Hedge et Conservative Treehouse.

Facebook, quant à lui, a changé son algorithme de flux d'actualités, apparemment pour lutter contre les fausses informations, provoquant une baisse rapide du trafic sur de nombreux sites conservateurs. Ce qui a aussi fait fuir sur d'autres réseaux (dont le VK russe) les citoyens sachant encore lire la Constitution américaine.

Le président Donald Trump a subit immédiatement l'effet de cette manipulation avec un trafic sur sa page Facebook ayant chuté de 45%.

Une étude réalisée en juin par Gateway Pundit a révélé que Facebook avait éliminé 93% du trafic des principaux sites d’information conservateurs.

A noter que Western Journal, dans sa propre étude , a constaté que les éditeurs de gauche/démocrates ont vu le trafic Web de Facebook augmenter d’environ 2% après les modifications de l’algorithme ce qui prouve qu'il n'y a pas de retour de clientèle, mais que les sites conservateurs ont enregistré une perte de trafic moyenne de 14%.

Le phénomène est donc celui déjà constaté avec la télévision. Un citoyen qui s'est éveillé ne revient pas à la soupe.

Selon des chercheurs, le mois dernier, les musulmans modérés et les militants antiterroristes étaient de plus en plus limités par la Silicon Valley, alors que le contenu terroriste reste sur les plateformes de médias sociaux.

Le chef de la campagne de Trump, Parscale, a déclaré la semaine dernière que l’interdiction de Jones entraînerait inévitablement le silence de ceux qui ont des opinions beaucoup moins controversées.


Newsmax TV et l'auteur de best-sellers Roger Stone à propos du cas Alex Jones.

Ce que nous voyons dans Big Tech, c'est l'impulsion totalitaire inhérente à la gauche qui est pleinement mise au point, a déclaré Parscale.

Le Système de domination est engagé dans une fuite en avant, son intolérance, sa manie de l'amalgame font que le camp des censurés déjà très majoritaire en Occident va encore gagner du terrain et du fait d'une attaque visible va se radicaliser. L'exemple français est à suivre avec un pouvoir représentant environ 10-12% de la population et ce qu'on nommera de manière grossière une droite des valeurs évaluée à environ 75% des électeurs.

Il ne faut pas se faire d'illusion, le moindre incident mal géré peut tout faire basculer car supprimer le thermomètre ne fait pas tomber la fièvre et une fièvre qui grimpe dans tout l'Occident.

15:01 Publié dans Actualité | Tags : soros, google, facebook, réseaux, trump, censure, alexjones | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

08/08/2018

La purge en marche sur Internet

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Media Center, Internet, radio FM et ondes courtes, câble TV, Alex Jones gagne en audience au moment où la crise s'approche et les requins se battent pour le monopole de l'information donc le pouvoir et le fond de nos poches.

Cette fois le contrôle absolu de l'état profond sur les réseaux sociaux (et donc une collusion prétendue jusque là complotiste) éclate au grand jour en s'en prenant à une figure connue des médias indépendants aux Etats-Unis, Alex Jones. En une douzaines d'heures, l'énergique patron de Infowars.com vient de voir ses comptes Apple, Spotify, Facebook, Youtube... suspendus et des milliers d'heures de ses vidéos disparaître.

Alex Jones 44 ans n'est pourtant en rien un extrémiste, on lui concèdera un peu plus de virilité et de neurones qu'un Raptor dit sans dents ou autre Conversano et si son équivalent n'existe pas en France, pays sinistré en matière d'information libre et pluraliste, on peut le décrire comme un conservateur modéré, libertaire, particulièrement attaché aux droits constitutionnels des citoyens (ne cherchez pas, en France ça n'existe plus non plus).

Son audience fluctuante (environ 3 millions de fidèles en audio ou vidéo live) et très liée à l'actualité ne représente rien face aux géants des médias. Pourtant, depuis l'élection de Trump qu'il a soutenu, elle dérange, elle dérange d'autant plus qu'elle aborde des sujets sensibles.


Alex Jones n'est pas seul, Infowars.com est une équipe (ici Paul Joseph Watson) traitant de nombreux sujets, de l'alimentation industrielle aux délires féministes en passant par la question énergétique ou la géopolitique. Ces engagements sont bien entendu parfois discutables ou américano-américains mais ils ne sont pas moins fiables ou moins militants que ceux du 20h télévisé français ou des grands groupes de médias américains et s'ils peuvent véhiculer des erreurs ces derniers sont mal placés pour donner des leçons car ce sont eux qui aliment la planète sur ce plan.

Par exemple, la corruption publique, la désinformation des grands médias ou des politiciens, les trafics financiers, la propagande de guerre et ses mensonges, la criminalité pédophile, le terrorisme et les incohérences des rapports officiels, les persécutions des lanceurs d'alertes, les rapports troubles entre le renseignement et le marché de la drogue ou le terrorisme, etc.

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Mais on trouvera bien un idiot utile pour prétendre que Wikileaks est d'extrême droite !

Au final, rien de réellement dangereux pour le système de domination et son élite au dessus des lois mais quelque chose devenant gênant car le travail de Jones et de son équipe (une quinzaine de personnes) est épaulé par de nombreux intervenant au CV technique, militaire, universitaire, long comme le bras et pas suspect d'être pro-russe, pro-chinois, antipatriote.

Car malgré ce que matraquent les médias mainstream Jones n'est en rien extrémiste, ni nazi et ne veut pas renverser le régime. Jones n'a pas caché sont soutien critique à Trump, nous avons juste là un poujadiste moderne, à l'américaine soucieux de savoir où passe son argent et pourquoi des politiciens véreux sont en place, pourquoi des lois s'attaquent à la santé, à l'éducation, aux enfants, à la sécurité du pays. Des interrogations légitimes et conformes aux droits énoncés dans la Constitution américaine.

Vous savez, ce premier amendement de la constitution américaine que des centaines de films et de séries ont enseigné au petit occidental dès le plus jeune âge : Le Congrès n'adoptera aucune loi relative à l'établissement d'une religion, ou à l'interdiction de son libre exercice ; ou pour limiter la liberté d'expression, de la presse ou le droit des citoyens de se réunir pacifiquement ou d'adresser au Gouvernement des pétitions pour obtenir réparations des torts subis.

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Plusieurs fois agressées, les équipes Infowars.com ont filmé la réalité de la violence antifa cachée par les médias traditionnels, sa curieuse immunité, et ont aussi dévoilé son financement très peu de "gauche". Une révélation cause de multiple agressions de la part d'une mouvance aux habitudes dignes du fascisme des années 20.

Le gros problème pour Alex Jones est qu'on ne lui pardonne pas d'avoir soutenu le Tea Party, de demander avec raison la disparition de la Fed, ce cancer bancaire et surtout d'avoir de l'audience au moment où celle des démocrates soutenue par les grands réseaux sociaux, les médias mainstream s'effondre et où la finance panique et sait qu'un très grand krach arrive dans un proche avenir.

Car en 2018 on ne va plus chercher l'info sur sa télévision, mais sur le Net. D'où une même chasse à RT, la chaîne russe.

Le Système, un temps plus tolérant aux Etats-Unis par rapport à l'Europe, en est donc là, à bafouer la Constitution et à chasser de plus en plus petit pour retarder une chute inévitable car la dictature marchande conduit toujours à la même chose, la faillite, le chômage et la guerre pour éviter la prison aux responsables financiers.

Ne cherchez pas ailleurs la disparition de dizaines de milliers de comptes Twitter, Facebook...américains ou français sur les réseaux sociaux cet été, le patriotisme et la défense du peuple contre la Banque, ça ne paye pas.


Réaction du célèbre blogger Mark Dice

 

18:33 Publié dans Actualité | Tags : censure, internet, infowars, alexjones, réseaux, facebook, youtube | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!