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08/08/2018

La purge en marche sur Internet

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Media Center, Internet, radio FM et ondes courtes, câble TV, Alex Jones gagne en audience au moment où la crise s'approche et les requins se battent pour le monopole de l'information donc le pouvoir et le fond de nos poches.

Cette fois le contrôle absolu de l'état profond sur les réseaux sociaux (et donc une collusion prétendue jusque là complotiste) éclate au grand jour en s'en prenant à une figure connue des médias indépendants aux Etats-Unis, Alex Jones. En une douzaines d'heures, l'énergique patron de Infowars.com vient de voir ses comptes Apple, Spotify, Facebook, Youtube... suspendus et des milliers d'heures de ses vidéos disparaître.

Alex Jones 44 ans n'est pourtant en rien un extrémiste, on lui concèdera un peu plus de virilité et de neurones qu'un Raptor dit sans dents ou autre Conversano et si son équivalent n'existe pas en France, pays sinistré en matière d'information libre et pluraliste, on peut le décrire comme un conservateur modéré, libertaire, particulièrement attaché aux droits constitutionnels des citoyens (ne cherchez pas, en France ça n'existe plus non plus).

Son audience fluctuante (environ 3 millions de fidèles en audio ou vidéo live) et très liée à l'actualité ne représente rien face aux géants des médias. Pourtant, depuis l'élection de Trump qu'il a soutenu, elle dérange, elle dérange d'autant plus qu'elle aborde des sujets sensibles.


Alex Jones n'est pas seul, Infowars.com est une équipe (ici Paul Joseph Watson) traitant de nombreux sujets, de l'alimentation industrielle aux délires féministes en passant par la question énergétique ou la géopolitique. Ces engagements sont bien entendu parfois discutables ou américano-américains mais ils ne sont pas moins fiables ou moins militants que ceux du 20h télévisé français ou des grands groupes de médias américains et s'ils peuvent véhiculer des erreurs ces derniers sont mal placés pour donner des leçons car ce sont eux qui aliment la planète sur ce plan.

Par exemple, la corruption publique, la désinformation des grands médias ou des politiciens, les trafics financiers, la propagande de guerre et ses mensonges, la criminalité pédophile, le terrorisme et les incohérences des rapports officiels, les persécutions des lanceurs d'alertes, les rapports troubles entre le renseignement et le marché de la drogue ou le terrorisme, etc.

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Mais on trouvera bien un idiot utile pour prétendre que Wikileaks est d'extrême droite !

Au final, rien de réellement dangereux pour le système de domination et son élite au dessus des lois mais quelque chose devenant gênant car le travail de Jones et de son équipe (une quinzaine de personnes) est épaulé par de nombreux intervenant au CV technique, militaire, universitaire, long comme le bras et pas suspect d'être pro-russe, pro-chinois, antipatriote.

Car malgré ce que matraquent les médias mainstream Jones n'est en rien extrémiste, ni nazi et ne veut pas renverser le régime. Jones n'a pas caché sont soutien critique à Trump, nous avons juste là un poujadiste moderne, à l'américaine soucieux de savoir où passe son argent et pourquoi des politiciens véreux sont en place, pourquoi des lois s'attaquent à la santé, à l'éducation, aux enfants, à la sécurité du pays. Des interrogations légitimes et conformes aux droits énoncés dans la Constitution américaine.

Vous savez, ce premier amendement de la constitution américaine que des centaines de films et de séries ont enseigné au petit occidental dès le plus jeune âge : Le Congrès n'adoptera aucune loi relative à l'établissement d'une religion, ou à l'interdiction de son libre exercice ; ou pour limiter la liberté d'expression, de la presse ou le droit des citoyens de se réunir pacifiquement ou d'adresser au Gouvernement des pétitions pour obtenir réparations des torts subis.

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Plusieurs fois agressées, les équipes Infowars.com ont filmé la réalité de la violence antifa cachée par les médias traditionnels, sa curieuse immunité, et ont aussi dévoilé son financement très peu de "gauche". Une révélation cause de multiple agressions de la part d'une mouvance aux habitudes dignes du fascisme des années 20.

Le gros problème pour Alex Jones est qu'on ne lui pardonne pas d'avoir soutenu le Tea Party, de demander avec raison la disparition de la Fed, ce cancer bancaire et surtout d'avoir de l'audience au moment où celle des démocrates soutenue par les grands réseaux sociaux, les médias mainstream s'effondre et où la finance panique et sait qu'un très grand krach arrive dans un proche avenir.

Car en 2018 on ne va plus chercher l'info sur sa télévision, mais sur le Net. D'où une même chasse à RT, la chaîne russe.

Le Système, un temps plus tolérant aux Etats-Unis par rapport à l'Europe, en est donc là, à bafouer la Constitution et à chasser de plus en plus petit pour retarder une chute inévitable car la dictature marchande conduit toujours à la même chose, la faillite, le chômage et la guerre pour éviter la prison aux responsables financiers.

Ne cherchez pas ailleurs la disparition de dizaines de milliers de comptes Twitter, Facebook...américains ou français sur les réseaux sociaux cet été, le patriotisme et la défense du peuple contre la Banque, ça ne paye pas.


Réaction du célèbre blogger Mark Dice

 

18:33 Publié dans Actualité | Tags : censure, internet, infowars, alexjones, réseaux, facebook, youtube | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

12/01/2018

Facebook ? La vérité est ailleurs !

 

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Quand le bateau commence à tanguer pour Facebook avec des fournées d'utilisateurs mécontents, on nous sort du chapeau une refonte du fil d'actualité chargée de distraire l'attention en semant une pagaille pas toujours facile à réparer. Cette fois, il s'agit de dissimuler une fuite des habitué antérieure aux présidentielles américaines et liée à un engagement politique malsain du réseau social dégénérant désormais régulièrement vers la fermeture surprise temporaire ou définitive de pages de particuliers, d'association, etc.

Afin de ne pas évoquer la question de la liberté d'expression qui étalerait au grand jour un militantisme non revendiqué et dissimulé derrière une charte à géométrie variable, la modification en marche sera la mise en avant des contenus privés et surtout familiaux sur les contenus publics.

Car le soucis est bien là. Si réseau social rime avec espionnage du citoyen, du consommateur à des fins marchandes et politiques, ce dernier n'a pas du tout la même analyse des choses et a surtout une vision citoyenne tentant de retrouver un espace démocratique d'échange, de dialogue, de débat ce que les médias traditionnels subventionnés par les états et/ou vivant de la publicité lui refusent par mépris de classe quand il n'est pas communautaire.

" Vous verrez moins de contenus publics comme des publications d'entreprises, de marques et de médias " assure ainsi Mark Zuckerberg, grand manitou de Facebook mais la visibilité d'articles initiant des débats ne devrait pas en pâtir. La totale obscurité des critères de tri étant comme d'habitude de rigueur et le rythme des pages fermées s'accélérant, on ne peut que rire d'un tel engagement. Car ce genre de promesse, nous avons déjà donné, bien rares sont ceux qui sont encore Charlie, on a payé et on paye encore (en attendant un possible scandaleux impôt !) cette manipulation trop cher.
Il ne s'agit que de complaire aux grands médias, lobbies heureusement défaits par le camp Trump et qui cherchent un bouc émissaire dans un réseau qui a pourtant fait tout son possible auprès du camp démocrate. Tout comme il s'agit de faire croise chez nous à une quelconque légitimité d'un régime ne représentant même pas un Français sur cinq.
Mais bon, tout prétexte est bon pour censurer et imposer la pensée unique de la démocratie marchande dont la critique est bien entendu complotiste, haineuse, réac, fasciste, *****phobe (vous pouvez les mettre tous) et donc populiste soit un discours regorgeant de fake news.
 

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Premières cibles de toute évidence les sites d'information trop libres comme RT, les portails d'information dissidents et même les vidéos. Trop souvent aujourd'hui, regarder des vidéos, lire des actualités ou obtenir une mise à jour d'une Page est une expérience passive assure Mark Zuckerberg avec un objectif que doivent remplir ces contenus, nos services ne sont pas seulement agréables à utiliser, mais qu'ils sont aussi bénéfiques pour le bien-être des gens.


Cette vision du bien-être des gens n'est pas très éloignée de celle interprétée par l'excellent Bernard Blier ici en patron confronté à des grévistes.

En effet, les longues vidéos comme les longs textes permettent contrairement à la télévision de construire, développer un raisonnement. Il ne s'agit pas du tout d'un projet utile à la consommation aveugle et au vote émotionnel.

Dans les faits, l'évaporation des utilisateurs commence à poser un réel problème  (car visible) à Facebook et la croissance de l'entreprise virtuelle pourrait bien tourner à un effondrement bien réel car les 40% de croissance l'an dernier chez le rival russe Vkontakte ne sont pas le fait de la génération spontanée d'internautes russes. Les censurés, les agacés, les partisans de la liberté d'expression et les ennemis des lobbies divers et variés ne désertent pas pour Mars mais juste pour un clone bien plus respectueux de leurs droits fondamentaux et moins dangereux pour leur sécurité.

Si vous préférez l'esprit tonton flingueur, la liberté d'expression traditionnelle de la France aux vitrines lissées et châtrées de la communication marchande sauce Facebook, si vous ne supportez plus ces modifications permanentes, toutes dans le sens de la neutralisation par le bas du réseau, passez donc sur Vkontakte.

15:26 Publié dans Actualité | Tags : facebook, vkontakte, liberté, réseaux, twitter, censure | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

20/12/2017

WhatsApp copain comme cochon avec Facebook

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La CNIL, la Commission nationale de l'informatique et des libertés autorité administrative "indépendante" (ha) chargée de veiller à ce que l’informatique soit au service du citoyen (haha) et qu’elle ne porte atteinte ni à l’identité humaine, ni aux droits de l’Homme (hahaha), ni à la vie privée (hahahaha), ni aux libertés individuelles ou publiques. pointe une nouvelle fois la messagerie WhatsApp pour sa communication avec Facebook en matièrede données personnelles de ses utilisateurs.

La France dans la défense du citoyen se retrouve encore une fois à la traine de la Grande Bretagne qui il y a juste un an dénonçait des conditions d'utilisation douteuses et un partage de données personnelles au profit de la société mère Facebook. Même l'Italie très, trop tolérante avait imposé une minuscule amende de 3 millions d'euros à WhatsApp en constatant la même dérive. Mais la CNIL, peu énergique pour nous défendre, accorde un bonus d'un mois à WhatsApp pour respecter la loi française sur la protection des données personnelles. Sanction ? Rien, nada, nothing !

Pourtant, il existe un communiqué du G29 expliquant les pratiques de WhatsApp, le partage des données clients à des fins de business intelligence et il faut oser, de sécurité. Car dans le lot des informations, on trouve aussi bien le numéro de téléphone que les habitudes d’utilisation de l’application. Ces habitudes des géants du Net aussi bien marchandes que barbouzardes n'ont pas à être acceptées.

En remettant l'éventualité de sanctions à la Saint-Glinglin, la CNIL manque encore une fois à tous ses devoirs bien compris au profit d'une entreprise étrangère dont le passif en matière de liberté d'expression et l'absence de neutralité politique ne sont plus à démontrer.

Ne pas tenir tête aux réseaux, c'est se faire contrôler par eux et déjà pour le pire.

08:30 Publié dans Actualité | Tags : whatsapp, facebook, sécurité, cnil | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

19/02/2017

Réseaux sociaux, gardez-vous de la censure

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En raison de la censure, de la disparition injustifiée ou à titre de sanction de votre page ou d'un compte sur un réseau social, vous pouvez perdre des contacts précieux. Voici donc une petite liste des principaux que vous pourrez indiquer à vos meilleurs amis, parents pour éviter toute disparition surprise.

Vous noterez aussi avec intérêt que la fréquentation ou la renommée, la richesse, ne reflètent pas toujours la réalité des sites, leurs fonctionnalités, leur sécurité mais plutôt la valeur idéologique que nos grands médias occidentaux, nos politiciens imposent par leur publicité pas toujours innocente.

Les comportements récents de Twitter et surtout de Facebook incitent vivement à avoir au minimum un compte de secours. VK.com clone de Facebook semble tout indiqué.


Petite vidéo amusante illustrant la profonde colère des Québecois qui ont découvert avec horreur que la censure s'était installée sur leur pays ces dernières années. Fini de rire du triste monopole des cousins français.

 

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08:34 Publié dans Actualité, Dépannage Astuces, Sécurité VPN | Tags : réseaux, sociaux, censure, facebook, twitter, alternative | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!