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01/07/2019

Revue de presse d'une économie en coma dépassé

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Alors que les grands médias Français et un régime en total déni du réel continuent d'évoquer une forte croissance, une baisse du chômage et des lendemain qui chantent, le vrai de la réalité du quotidien nous prouve le contraire.

Dans ce contexte, apprendre par CNBC Market dans son édition du 30 juin que 80% des échanges boursiers sont désormais automatisés et sous contrôle d'algorithmes plus rapides donc plus rentable que l'homme annonce bien des surprises. Il ne pas faut oublier que des tendances détectées par des analystes de plus en plus nombreux annoncent un gros krach avant la fin de l'année.

Alors, pour ne pas découvrir demain des banques fermées et des distributeurs vides, il est sage de s'informer ailleurs et la revue de presse économique de Pierre Jovanovic reste un espace compréhensible, accessible au grand public non initié dont il ne faut surtout pas se priver.


Pierre Jovanovic reçoit Laurent Fendt pour commenter les principales actualités politiques, économiques et financières de l'actualité. Pour retrouver l'ensemble des actualités de la Revue de Presse, retrouvez le sur : http://www.quotidien.com

 

11:16 Publié dans Actualité | Tags : pierrejovanovic, bourse, économie | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

03/06/2019

Site en pause pour cause d'inondation

inondation 2019.jpg

A bientôt...

09:40 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

27/05/2019

A découvrir : Frank Carter & The Rattlesnakes

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Voici avec End of Suffering le troisième album du groupe de Frank Carter formé en 2015 par l'ancien leader de Gallows et du groupe Pure Love après Rotten et Morn Ruin produit par (Thomas Mitchener). Si le premier album montrait un retour aux racines punk de Carter et le second était clairement rock, cette nouvelle production de Frаnk Саrtеr & Тhе Rаttlеsnаkеs est une synthèse des deux axes.

End of Suffering, Frаnk Саrtеr & Тhе Rаttlеsnаkеs, un nouvel album au carrefour du rock alternatif et du punk hardcore.


 

 

10:41 Publié dans Actualité | Tags : frankcarter, punk, rock, rattlesnakes | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

23/05/2019

Fred vargas, Macron et le degré négatif de la politique

réchauffement.jpg

L'écologie menteuse de l'environnement au secours du Capital

Macron : « Le climat doit être au cœur du projet national et européen »

La panique politique du Système étant plus que palpable et se traduisant par une hystérie n'ayant pas peur de la violence, il devient utile de montrer que le militantisme de classe ne se limite pas à la sphère politique mais que ses ravages autrefois limités à la culture n'épargnent plus les champs scientifiques, juridiques, sociaux...

La guerre menée aux pauvres et aux contestataires de tout poil s'étend comme une moisissure.

Ainsi l'indigence de la sous littérature de gare peut dans la grande peur rejoindre le dogmatisme scientifique le plus marchand pour dissimuler un combat de classe, celui du capital dominant contre ses victimes qu'il faut faire voter et bien entendu en déviant leurs intérêts bien compris.

Exemple.

"On est face à la plus grande tragédie qu’ait jamais vécue l’humanité et les politiques sont absents, impotents, je sais plus quel est le mot, sont inactifs, qu’a employé Antonio Gutierrez le secrétaire général de l’ONU, et au lieu d’aller dans le bon sens on va dans le mauvais sens". On croit rêver devant l'improbable d'une telle croisade dissimulant mal un militantisme de classe.

Plus sérieusement et au sujet du réchauffement climatique d'origine humaine dogme politique intolérant et marchand fond sur une simple théorie scientifique discutable permettant pourtant de harceler et persécuter des dizaines de milliers de scientifiques préférant les faits à la croyance aveugle.

Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique liste les scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.

Le NIPCC (panel d'organisations non-gouvernementales) existe depuis 2003 et tente d'adopter un point de vue plus objectif et plus nuancé que celui, très orienté, du GIEC.

Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes. En 2015, a été également créée la "CO2 Coalition", qui a approuvé le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris en 2017.

Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition.

Merci à Wikibéral pour la documentation.

A

  • Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.
  • Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues ».
  • Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm.
  • Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans fondement. »
  • Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2  ».
  • David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
  • Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande (éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil pour le climat.
  • Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs ».

B

  • Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
  • Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.
  • Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.
  • David Bellamy, botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de Durham : Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l'être.
  • Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare (éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
  • Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.

C

  • Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine ».
  • John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ».
  • Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2 et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
  • Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site www.weatheraction.com.
  • Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
  • Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été découverte.
  • Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d'un projet politique ».

D

  • Dai Davies, physicien à l'Université de Canberra, affirme que le CO2 n’a qu’un effet négligeable sur le climat terrestre et n’est pas toxique mais éminemment bénéfique pour la biosphère. Même si sa quantité était doublée, cela n'aurait aucun effet significatif sur la thermodynamique atmosphérique.
  • Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».
  • Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat.
  • Richard Dronskowski, professeur de chimie-physique à l'Université d'Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l'Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l'American Chemical Society. Il a déclaré que "la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur", "qu'il n'y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]" et qu'il connaît "des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n'ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés".
  • Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l'Université d’Auckland[7]. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on doublait ou triplait la quantité de dioxyde de carbone, cela n'aurait quasiment aucun impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l'effet de serre ».
  • Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien Vice-Président Chargé de la Recherche de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site sceptique de référence francophone pensee-unique.fr.
  • Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l'université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée ».

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12:59 Publié dans Actualité | Tags : écologie, capitalisme, propagande, européennes, mensonge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!