28/05/2021
La Démocratie comme haine marchande de la vie
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14/11/2017
Le milieu de la santé finira à la Santé
Dans le marigot de l'affairisme capitaliste, il existe des ilots plus fangeux que d'autres et le commerce de la santé en fait de tout évidence partie. Les régimes au pouvoir faisant désormais plus de cas de la rentabilité que de la vie même humaine, il est donc logique de retrouver au cœur de la quête sans fin du profit les plus fragiles, personnes âgées et enfants.
L'enfant, au nom de l'amour si pratique à la Démocratie marchande, est d'ailleurs le produit à la mode qu'on tente d'émanciper le plus tôt possible de la réactionnaire famille pour mieux l'exploiter.
Que pèse en effet l'innocence face aux milliards investis dans la publicité et dans l'endoctrinement luxueux d'un secteur médical qui n'a pas fait vœu de pauvreté mais est purement et simplement un commerce comme un autre.
Alors, comme la présomption de culpabilité concerne les citoyens, les associations, les artistes mais jamais actionnaires, banques et entreprises, comme les passifs en pathologies et même décès ne les concernent en aucun cas, attendu que le bénéfice à rang de loi scientifique indiscutable et n'ayant pas besoin de démonstration, laissons la parole à deux témoins qualifiés ne pouvant, et c'est sans doute déjà trop pour le Système, qu'annoncer larmes et couronnes mortuaires pour demain.
Conférence de presse du 07 novembre 2017 à Paris, Pr Joyeux et le Pr Montagnier.
11:40 Publié dans Actualité | Tags : vaccins, joyeux, montagnier, santé, affairisme, enfants | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | | |
12/03/2016
Actualités des colonies ou la menace Oui-Oui
Est-ce une incitation à la haine d'une personnalité politique ?
L'amour immodéré d'une grande partie de la classe politique et médiatique pour certaines puissances étrangères bien connues, celles dont on parle à voix basse, plus par peur des représailles (agressions physiques dans la rue en toute impunité ou attaques au portefeuille) que par un respect qui ne se mérite pas, la soif de valider de gré ou de force le dogme surréaliste d'un choc des civilisation font l'actualité désormais régulière.
Il ne se passe pas une semaine sans que des mineurs, des écoliers d'un pays de l'Union Européenne ne soient victimes de persécutions, de violences des forces de l'Ordre Nouveau et Mondial, de militaires pour refus de la propagande, pour usage de liberté d'expression, pour non dénonciation, pour créativité artistique donc au final pour patriotisme, démocratie et humanité.
Comme je l'avais écrit il y a peu, pas question de faire le listing complet de ces dérives (rien qu'en Angleterre 2000 mineurs l'an dernier ont subi ces actes d'oppression) mais il est bon de relever quelques cas pour montrer l'ampleur du phénomène dans la mesure où le fanatisme des zélotes de la nouvelle religion rend des personnels ayant pour vocation première l'éducation et la protection des enfants complètement mabouls.
Alors en attendant l'espionnage des fœtus par des nano-drones ou les avortements préventifs suite à la découverte du gène Jean Moulin, voici le cas d'un petit de maternel accusé de radicalisation et menacé des brigades anti-terroristes pour avoir agité un papa cuisinier au concombre vert dans un dessin et pas sans doute un plug anal de la même couleur comme Paul Mc Carty, une différence qui en dit long sur les capacités réceptives des inquisiteurs.
Par chance, le jeune enfant habite l'Angleterre car ne répondant pas en plus au nom de Charlie, il échappera à la perpétuité.
En janvier c'est un enfant musulman de 10 ans qui fut malmené pour avoir confondu durant une leçon terrorist house et terraced house. Cette fois l'attaque du concombre vivant fut fatale.
Nouvelle sur RT.com :
Royaume-Uni : un petit garçon ayant dessiné un concombre soupçonné ... de radicalisation !
Le personnel d'une école maternelle britannique a menacé de signaler un garçon de 4 ans aux services de lutte contre l'extrémisme. Il a dessiné son père en train de couper un concombre, mais le personnel y a vu la fabrication d'une bombe artisanale.
La mère de l'enfant soupçonné a expliqué, citée par The Guardian, que son fils avait dessiné son père en train de couper un concombre. Mais le personnel de l'école ne l'a pas cru, y voyant plutôt la fabrication d'un engin explosif improvisé.
Pour prouver sa bonne foi, vendredi, la mère du garçon a montré au Guardian une séquence vidéo sur laquelle on peut voir son fils jouer sur le sol de la maison. Alors qu'on lui présente un concombre, lui demandant de dire ce que c'est, le petit garçon de quatre ans répond «A cooker-boom» [littéralement un «boom cuisiné, préparé»] au lieu de «a cucumber». En français, l'équivalent serai un «concom-boom», au lieu de «concombre».
En fait, l'enfant n'arrivant pas à prononcer correctement le mot «concombre» et son dessin étant ni plus ni moins qu'un gribouillis approximatif, le personnel de l'école a décidé que l'enfant était en phase de radicalisation et évoquait la préparation artisanale d'une bombe.
Partagée entre l'envie de rire et le désespoir de voir son fils signalé à la brigade anti-terroriste, la mère de l'enfant a fini par raisonner le personnel de l'école maternelle qui, au début, ne la croyait pas.
13:21 Publié dans Actualité | Tags : terrorisme, enfants, école, dénonciation, paranoïa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | | |
06/03/2015
Prostitution: Les enfants de l'Union Européenne
Certaines chaussures ne sont pas faites pour le trottoir.
C'est un sujet qu'on aime guère aborder dans nos médias sauf parfois par voyeurisme et quand ça se passe loin en Asie ou dans les Caraïbes. Plus question d'en parler quand les faits se passent dès l'Afrique du Nord ou pire en Europe et même en France. Un philosophe a essayé, il a eu des problèmes.
La prostitution surtout des mineurs n'est pas une nouveauté et l'historien pourrait dresser une liste de témoignages allant de l'antiquité à l'ancien régime en passant bien entendu par la période contemporaine. Ce qui est par contre nouveau, c'est son explosion actuelle dans l'ensemble de l'Occident.
Le phénomène n'est pas seulement lié à la crise mais il est aussi encouragé au nom du marché et au nom du profit Car on note une orientation systématique des politiques incitant à la libéralisation, à la déréglementation, poussant ici au travail des enfants comme des retraités, au travail de nuit des femmes etc. Une offensive tout azimut, il s'agit de faire sauter toutes les protections ou acquis sociaux subsistant de l'après guerre voire des sociétés d'ancien régime ou marquées dans leur législation par un encadrement des mœurs chrétien.
La lutte contre le racolage sous prétexte de limiter la prostitution a été une des premières stratégies pour lutter contre les prostituées indépendantes et leur concurrence et confier le marché à une poignée de respectable entrepreneurs suivant le modèle allemand.
Au nom de l'abstraction réglementariste, de la rentabilité économique, on fait de la prostitution une activité professionnelle classique et on évacue son lien traditionnel avec la criminalité. Il conviendrait juste de faire passer la pilule de cette reconnaissance par le biais de la réglementation, au même titre que les autres secteurs d'activité. D'ailleurs, dans l'univers hypocrite des administrations, l'activité des prostitué(e)s est acceptée, ce sont de respectables travailleurs du sexe.
Dans l'Europe déjà gangrénée par cette idéologie, les résultats ne se sont pas fait attendre avec un renforcement sans précédent de la criminalité organisée qui trouve, derrière les lois, des protections à ses trafics, au blanchiment d'argent et aux réseaux d'immigration clandestine alimentant le moteur capitaliste. Au cœur de l'innovation, deux pays phares, l'Allemagne et les Pays-Bas.
En total surréalisme, les "entreprises" (autrefois on disait "bordels" puis "Eros center" pour faire moderne) de quinze employé(e)s doivent obligatoirement avoir à l'emploi des apprentis, sous peine de pénalités financières. Le modèle est très rentable pour le milieu qui lance même des forfaits pour fidéliser la clientèle. Ainsi, un peu partout en Europe, dans les zones économiques associées, on a vite compris qu'il y avait du profit à faire, d'autant que le monde politique incapable de résoudre la crise économique s'est jeté sur un moyen inédit de faire croire au retour de la croissance en intégrant le fruit de cette activité dans le PIB.
Une lutte de longue car haleine car ce cliché qui a 14 ans montre déjà Bergmann (SPD), Félitas Weigmann (maintenant Schirow) et Müller alors porte-parole des Grünen (verts allemands).
On a pu ainsi découvrir la Ministre de la famille Christine Bergmann (SPD) fêter au champagne avec Kerstin Müller du parti Vert auprès de la patronne de bordel berlinois Felicitas Weigmann. Ces féministes au grand cœur confiant leur satisfaction car les hommes allemands peuvent désormais aller sans scrupules au bordel...
C'est aussi en 2015 une raison de plus d'accrocher l'Ukraine grande pourvoyeuse de main d’œuvre (avec la Bulgarie) à l'Europe. Et la maffia déjà enrichie par les privatisations imposées en Italie a su convaincre ses relais parlementaires d'agir en ce sens. Les partis sociaux démocrates et verts sont particulièrement actif pour faire du travail sexuel une profession avec ses droits et protections sociales (c'est toujours ça que la mafia n'aura pas à payer).
De nombreux pays la Hongrie, la Grèce et l'Autriche, l’Australie, la Nouvelle-Zélande (elle en est déjà au stade de la formation sur les bancs universitaires!), la Turquie, la Tunisie et la pudique Suisse, ont à leur tour légalisé la prostitution. Mais les promesses, les prévisions ne sont pas tenues et l'exploitation sexuelle qu'on disait ainsi prévenir et faire disparaitre est toujours là, ses victimes plus jeunes, promenées d'un bout à l'autre d'une Europe sans frontières aussi facilement que le bœuf de vos raviolis. La criminalité organisée est non seulement renforcé par cette évolution mais elle est enrichie.
Dès mai 2013 une grande enquête du Spiegel annonce la catastrophe. Avec les 500 bordels de Berlin, le flat-rate sex, formule qui autorise pour 100€ un client à utiliser les jeunes filles venues de Roumanie aussi longtemps et souvent qu'il veut, un esclavage pourtant légal.
Dans une société qui traite avec mépris les pauvres, les millions de chômeurs, d'assistés, de parasites, un marché qui favorise l'immigration massive et récompense les clandestins, la prostitution devient pour des familles désespérées, des étudiant(e)s le seul moyen de survivre alors que la mendicité auprès de l’État tarde ou ne permet plus de répondre aux besoins élémentaires.
Car si actuellement la censure s'attaque sur le net aux sites jugés terroristes ou pédophiles en demandant leur déréférencement, vous constaterez que les médias traditionnels, les télévisions ne subissent aucun Alizé venant freiner l'exposition de jupettes de plus en plus courtes sur des vecteurs de plus en plus jeunes. Le double langage habituel.
La progression de la prostitution, sa légalisation marchent avec l'occidentalisation et l'OTAN mais aussi la mafia. En France, Pôle emploi propose parmi ses offres de recrutement des places d'acteur ou d'actrice porno, ce n'est pas de la prostitution mais Paris ne s’est pas fait en un jour.
Car si on est officiellement contre la prostitution, surtout infantile, dans les faits et au service des élites, le son de cloche change. Et pour se donner bonne conscience, on n'hésite donc plus à intégrer dans de nombreux pays de l'Union la prostitution au PIB, à demander sa dépénalisation voire par féminisme à la déclarer une liberté de la femme.
Le modèle germanique lorsqu'on se penche sur son bilan depuis l'an 2000, a fait exploser le nombre d'établissements qui sont plus de 3500 désormais. Il s'est aussi accompagné d'une baisse des tarifs et immédiatement d'une dégradation des conditions de vie de prostituées, toujours plus jeunes, en raison de la concurrence entre les mafias qui a été administrativement organisée. Il faut dire que cette manne rapporte entre 15 et 20 milliards d'euros.
En lisant l'article du Figaro Madame qui donne des chiffres alarmants au niveau des mineurs, pas toujours étrangers (ce qui n'excuse de plus en rien les abus) mêlés à ces drames. Il ne faut pas s'étonner car la France ne découvre que des épreuves traversées ces dernières années par la Grèce, l'Espagne (l'horreur de Barcelone), l'Italie mais qui débarquent aussi en l'Angleterre et aux États-Unis (le dernier Super bowl a été l'occasion de découvrir que les enfants américains n'avait pas cette belle vie de bisounours montrée dans les séries télé).
Les modifications de la législation du mariage, les évolutions la Gestation Pour Autrui, de la Procréation médicalement assistée et les coup de boutoirs néo-libéraux de la législation européenne sont déjà parvenus à légalisation la marchandisation des enfants. Il est à craindre que les attaques menées contre la législation du travail (souvent sous une étiquette "sociale" de gauche) en transformant la prostitution en une activité non pas légale et réglementée mais totalement normale et conjointement en autorisant le travail "volontaire" des enfants aboutissent à court terme à une validation de la prostitution des mineurs. Au nom du dieu marché le pire est déjà en marche car lorsque les ventres sont à vendre ce qui en sort a de fortes chances de le devenir aussi.
Claudia Cardinale, Burt Lancaster, Marcello Mastroianni dans la Peau de Liliana Cavani (1981) Naples libérée s'offre aux soldats américains. Ce n'est pas un de ses films de guerre hollywoodien réécrivant l'histoire mais une adaptation du roman autobiographique de Curzio Malaparte, écrivain italien qui fut aussi correspondant de guerre dont le rôle est interprété ici par Marcello Mastroianni. On y découvre la cohabitation parfaite de la démocratie de façade, du capitalisme le plus sordide (prisonniers allemands vendus au poids, char américain démonté pour être vendu, enfants distribués aux soldats nord-africains...) et leur tolérance pour toutes les formes de prostitution.
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Entre 6 000 et 10.000 enfants prostitués en France (Nicolas Basse)
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle ce 4 mars, état des lieux en cinq points sur ce fléau qui génère presque autant d’argent que le trafic de drogue et celui des armes.
Dans le monde, des millions de personnes sont réduites au statut de simple marchandise. Hommes, femmes et enfants sont achetés, vendus, violés, battus, surveillés, enfermés, torturés et ne sont plus considérés que comme des objets de consommation. État des lieux en cinq chiffres d’une gangrène qui gagne du terrain et génère des milliards de dollars. (Lire l'article sur Le Figaro -Madame)
16:16 Publié dans Actualité | Tags : enfants, prostitution, france, europe | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | | |