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La Brother HL-L2445DW est une imprimante laser monochrome A4 conçue pour répondre aux besoins d’une configuration domestique, de loisir et même pour un petit bureau. Produite par Brother, une marque japonaise reconnue pour ses solutions d’impression fiables et économiques, cette imprimante se distingue par son efficacité, sa connectivité avancée et son design compact, idéal pour les environnements où l’espace est limité. Avec des dimensions de 356 x 360 x 183 mm et un poids de 7,1 kg, elle s’intègre facilement dans un setup PC aux côtés de composants comme le boîtier be quiet! Silent Base 601 ou la carte mère ASUS TUF GAMING B760-PLUS WIFI D4 donc chez ceux aimant silence et musique.
Dotée d’une résolution d’impression maximale de 1200 x 1200 DPI, elle produit des documents nets avec des textes précis et des graphiques monochromes bien définis, parfaits pour imprimer des scripts, des partitions, des documents de travail ou des supports pour des projets multimédias. Sa vitesse d’impression atteint 32 pages par minute (ppm) en mode simple face et 16 faces par minute en recto-verso automatique, ce qui en fait un outil rapide pour gérer des volumes d’impression modérés à élevés. Le bac d’alimentation de 250 feuilles, combiné à un bac manuel pour une feuille (pour enveloppes ou papier épais), réduit les rechargements fréquents, un atout pour les utilisateurs multitâches, comme les créateurs de contenu ou les gamers souhaitant imprimer des guides ou des notes.
L’un des principaux atouts de la HL-L2445DW est son économie et sa facilité d’utilisation, renforcées par une conception bien pensée. Elle utilise un système de consommables séparés (toner et tambour), avec un toner initial de 1200 pages inclus et des toners haute capacité (TN-2530XL) jusqu’à 3000 pages, réduisant le coût par page et la fréquence de remplacement. Le tambour (DR-2530) offre une durée de vie de 15 000 pages, garantissant une maintenance simplifiée. Cette approche, combinée à la certification ENERGY STAR et à un mode d’économie de toner, soutient une utilisation écoresponsable, un point fort pour les utilisateurs soucieux de l’environnement. La connectivité est un autre point fort : l’imprimante supporte USB 2.0, Ethernet 100 Mbps, Wi-Fi 2.4/5 GHz et Wi-Fi Direct, permettant une intégration fluide dans un réseau domestique ou professionnel.
L’application Brother Mobile Connect, disponible sur iOS et Android, offre une gestion intuitive, permettant d’imprimer à distance, de vérifier l’état du toner ou de personnaliser les paramètres, un avantage pour les utilisateurs mobiles ou ceux qui travaillent à domicile. Compatible avec AirPrint, Mopria et Google Cloud Print, elle permet d’imprimer directement depuis smartphones, tablettes ou ordinateurs (Windows, macOS, Linux), sans nécessiter de pilotes complexes dans la plupart des cas. La sécurité est également au rendez-vous, avec une triple couche de protection (appareil, réseau, documents), répondant aux normes modernes de confidentialité, un aspect crucial pour imprimer des documents sensibles dans un contexte multimédia.
La HL-L2445DW excelle également par son ergonomie et sa fiabilité, des qualités qui reflètent l’expertise de Brother, élue meilleure marque d’imprimantes par PC Pro pendant 10 ans consécutifs.
Son panneau de contrôle à une ligne LCD avec sept boutons est simple à naviguer, rendant l’imprimante accessible même aux utilisateurs novices. Le mode silencieux réduit le bruit à moins de 49 dB(A), un atout pour une configuration multimédia où le silence est essentiel, par exemple lors de l’utilisation du clavier Corsair K95 RGB Platinum ou de la carte son Creative Sound Blaster X4 pour des enregistrements audio. Avec une mémoire interne de 64 Mo, elle gère efficacement les travaux d’impression complexes, comme des documents multipages ou des PDF volumineux. Les retours d’utilisateurs vantent sa facilité d’installation (notamment via Wi-Fi) et la qualité d’impression constante, bien que certains notent l’absence de compatibilité native avec Windows 7 (un outil Brother, Depwizard_14438, résout ce problème). Le service EcoPro, avec un essai gratuit de 2 à 6 mois selon les régions, propose une livraison automatique de toners, renforçant la commodité pour les utilisateurs réguliers.
Avec un prix abordable (environ 150-200 €) et des coûts d’exploitation compétitifs, la Brother HL-L2445DW est un choix stratégique pour compléter une configuration multimédia, offrant rapidité, qualité et polyvalence pour les tâches d’impression occasionnelles ou intensives. Elle devient ainsi notre nouvelle imprimante conseillée car en plus les retours clients sur les sites comme Amzon sont positifs, un changement imposé car le modèle précédent, encore Brother, devient introuvable même sur Ebay.
Les États-Unis ont une longue histoire d'aide militaire à Israël, reflétant un engagement stratégique dans la région. Selon le Costs of War Project de l'Université Brown, entre le 7 octobre 2023 et le 30 septembre 2024, les États-Unis ont dépensé au moins 22,76 milliards de dollars pour soutenir les opérations militaires d'Israël et les opérations connexes des États-Unis dans la région. Ce rapport souligne que cette aide inclut des ventes d'armes et des déploiements militaires, comme la campagne navale contre les Houthis au Yémen. En 2025, des annonces récentes indiquent une augmentation de cette aide. Par exemple, le 1er mars 2025, le Secrétaire d'État Marco Rubio a signé une déclaration pour expédier environ 4 milliards de dollars d'aide militaire à Israël en utilisant des autorités d'urgence, en réponse à des tensions croissantes. De plus, en janvier 2025, le Département d'État a notifié au Congrès une vente d'armes de 8 milliards de dollars à Israël, incluant des missiles et des bombes.
Ces chiffres suggèrent que les dépenses américaines pour soutenir Israël en 2025 ont probablement augmenté, surtout avec la guerre Israël-Iran. Cependant, des estimations précises pour le coût direct de cette guerre spécifique en 2025 ne sont pas encore disponibles, car le conflit est récent (juin 2025). En se basant sur les tendances passées, il est raisonnable de supposer que les coûts supplémentaires pourraient être dans la fourchette de 5 à 10 milliards de dollars, en tenant compte des annonces récentes et de l'escalade du conflit. Cette estimation est cohérente avec des rapports antérieurs sur les coûts des conflits au Moyen-Orient, où les dépenses militaires américaines ont souvent atteint plusieurs milliards pour des engagements similaires.
Dès l'ouverture du sommet Trump met les choses au point :
« Le G7 était autrefois le G8 », dit-il lors de sa première rencontre avec le Premier ministre canadien Mark Carney. « Barack Obama et un certain Trudeau ne voulaient pas de la Russie. »
« Et je dirais que c'était une erreur, car je pense que vous n'auriez pas de guerre en ce moment si la Russie était présente, et vous n'auriez pas de guerre en ce moment si Trump était président il y a quatre ans »
L'ordre du jour du sommet du G7 de 2025 au Canada reflète les changements apportés par le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche et un regain d'intérêt pour la mission initiale du G7, selon les experts (Welsh, 2025). Lorsque le président Trump se joindra aux dirigeants mondiaux pour ce sommet à Kananaskis, en Alberta, du 15 au 17 juin 2025, il sera confronté à un programme différent des années précédentes. Contrairement aux sommets passés, l'hôte, le Premier ministre canadien Mark Carney, ne se concentrera pas principalement sur l'action climatique et l'égalité des sexes, des enjeux qui étaient autrefois au premier plan (Carney, 2025).
Les experts affirment que l'ordre du jour de cette année sera axé sur la sécurité énergétique, l'intelligence artificielle (IA), les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques et la stabilité économique mondiale. Ce changement de priorités reflète l'influence du retour de Trump et un retour aux fondamentaux du G7, qui est de promouvoir la stabilité et la croissance économiques mondiales (Welsh, 2025).
Les tensions commerciales, exacerbées par les récents tarifs douaniers américains, ainsi que les crises géopolitiques telles que l'escalade entre Israël et l'Iran, les hostilités entre la Russie et l'Ukraine, et le conflit à Gaza, seront également des sujets clés à discuter par les dirigeants (CBC News, 2025).
Le Premier ministre Carney est largement perçu comme adoptant une approche pragmatique pour s'assurer que le sommet aborde les questions les plus urgentes qui concernent tous les pays. Si des sujets tels que le changement climatique ou l'égalité des sexes sont abordés, il est peu probable que les dirigeants aillent au-delà des accords existants ou prennent de nouveaux engagements, selon des analyses de think tanks canadiens (CIGI, 2025).
De nombreuses organisations et certains pays espèrent encore des engagements en matière d'égalité des sexes et de climat, mais selon les experts, "cela ne se produira pas à cette table" (Samon, 2025). "Ils ne pourraient même pas l'inclure dans un communiqué avec le président Trump", a-t-il ajouté.
Ce sommet marque également le 50e anniversaire du G7, soulignant son rôle historique dans la gouvernance économique mondiale. Le groupe, qui comprend les États-Unis, le Canada, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni et l'Union européenne, représente plus de la moitié du PIB mondial (G7 Canada, 2025).
Un responsable américain a salué l'approche canadienne, déclarant : "Nous saluons l'approche canadienne de retour aux sources à l'égard du G7, axée sur les enjeux économiques fondamentaux et les défis pratiques sur lesquels le G7 peut avoir un impact significatif et mesurable" (The Epoch Times, 2025).
Les priorités du Canada pour ce sommet s'articulent autour de trois axes principaux (Carney, 2025) :
Protéger nos communautés et le monde : En s'attaquant à des défis tels que l'ingérence étrangère et la criminalité transnationale, ainsi qu'en améliorant la lutte conjointe contre les incendies de forêt.
Renforcer la sécurité énergétique et accélérer la transition numérique : En fortifiant les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques et en utilisant l'IA et les technologies quantiques pour stimuler la croissance économique.
Sécuriser les partenariats de l'avenir : En catalyant des investissements privés massifs pour construire des infrastructures plus solides, créer des emplois mieux rémunérés et ouvrir des marchés dynamiques où les entreprises peuvent concurrencer et réussir.
Les projets de reprise économique de Trump, tels que décrits dans ses discours et politiques, visent à stimuler l'économie, réduire le chômage et promouvoir la croissance, souvent via des réductions d'impôts et des investissements dans l'infrastructure. Cependant, une guerre au Moyen-Orient peut avoir des répercussions économiques significatives, tant directes qu'indirectes.
Les dépenses supplémentaires pour soutenir Israël, estimées à plusieurs milliards de dollars, pourraient poser des défis budgétaires. Avec un PIB américain d'environ 25 trillions de dollars, 5 à 10 milliards représentent une petite fraction (0,02 % à 0,04 %), mais cela pourrait accentuer les déficits fédéraux, surtout si ces dépenses ne sont pas compensées par des coupes ailleurs ou des hausses de revenus. Par exemple, si ces fonds proviennent de programmes domestiques comme l'infrastructure ou la santé, cela pourrait ralentir les initiatives de reprise économique. De plus, des dépenses militaires imprévues pourraient être politiquement controversées, surtout si elles divisent la base de Trump, comme le suggère un article récent sur les tensions au sein de son électorat concernant le soutien à Israël. Un aspect crucial est l'impact sur les prix du pétrole. L'escalade des tensions entre Israël et l'Iran en juin 2025 a entraîné une hausse des prix du pétrole, avec une augmentation de 11 % après les frappes israéliennes, selon des analyses récentes. Une hausse prolongée des prix du pétrole pourrait relancer l'inflation, augmentant les coûts pour les entreprises et les consommateurs, ce qui pourrait ralentir la croissance économique. Par exemple, une augmentation de 10 dollars par baril pourrait réduire la croissance du PIB mondial de 0,1 à 0,2 point de pourcentage, selon des estimations, affectant les États-Unis avec un impact potentiel de 25 milliards de dollars sur un PIB de 25 trillions. Cela pourrait contrecarrer les efforts de Trump pour maintenir une économie en croissance, surtout si l'inflation réduit le pouvoir d'achat des ménages.
Le Premier ministre Carney a déclaré : "Le Sommet des dirigeants du G7 de Kananaskis est l'occasion pour le Canada de collaborer avec des partenaires de confiance pour relever ces défis ensemble, avec détermination" (Carney, 2025). "Le Canada est prêt à jouer un rôle de chef de file."
Les dirigeants se concentreront sur les domaines où ils peuvent trouver un terrain d'entente, notamment les chaînes d'approvisionnement énergétiques et les moyens de faire progresser l'IA et la révolution des données. Les discussions pourraient porter sur des projets communs, des centres de données partagés et des moyens de renforcer les chaînes d'approvisionnement, éventuellement avec l'aide de partenaires comme l'Inde (Samon, 2025).
La première administration Trump estimait que le G7 s'était écarté de sa mission initiale en se concentrant trop sur des questions controversées, selon Caitlin Welsh, directrice du Programme mondial de sécurité alimentaire et hydrique au Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS), qui a servi au Conseil de sécurité nationale et au Conseil économique national pendant le premier mandat de Trump (Welsh, 2025). Lors d'une récente conférence de presse du CSIS, elle a déclaré que le programme de cette année semblait conforme à la mission initiale du G7, qui était de promouvoir la stabilité et la croissance économiques mondiales. "Vous remarquerez l'absence de termes comme 'changement climatique', 'genre' et autres à l'ordre du jour de ce sommet des dirigeants", a-t-elle déclaré. "Cette liste de priorités me montre que le Canada connaît son public."
La dernière fois que le Canada a accueilli un sommet du G7, en 2018 pendant le premier mandat de Trump, les relations entre le alors premier ministre Justin Trudeau et Trump étaient tendues. Le sommet de Charlevoix, au Québec, s'est terminé par une escalade des tensions commerciales, Trump partant prématurément et refusant d'approuver le communiqué conjoint. Pour la première fois dans l'histoire du G7, la déclaration finale n'a pas été approuvée à l'unanimité par tous les dirigeants.
Une photo emblématique de ce sommet montre la chancelière allemande Angela Merkel se penchant sur une table pour parler à Trump, qui la regarde les bras croisés, symbolisant la tension entre les dirigeants.
Selon les experts, un tel drame est peu probable en 2025. "La plupart des dirigeants européens n'ont aucune raison politique de créer artificiellement une confrontation avec Trump", a déclaré Max Bergmann, directeur du programme Europe, Russie et Eurasie au CSIS, lors d'un point de presse. "Comme nous l'avons vu ces derniers mois, la plupart des dirigeants adoptent une approche amicale, tout comme ils l'ont fait lors de leurs rencontres en face à face avec Trump à la Maison-Blanche."
La Chine sera un sujet majeur du sommet. Les dirigeants devraient exprimer leurs inquiétudes face à la montée des tensions en mer de Chine orientale et en mer de Chine méridionale, ainsi qu'au renforcement continu du dispositif militaire chinois. Comme les années précédentes, ils devraient souligner l'engagement du G7 en faveur de "la paix et de la stabilité des deux côtés du détroit de Taïwan".
Selon Paul Samon, la Chine sera un sujet de discussion clé lors du sommet, même si elle n'est pas mentionnée dans le communiqué final. Il a souligné que des points clés à l'ordre du jour, tels que la criminalité transnationale, les minéraux critiques et les technologies de pointe, visent à contrer l'influence croissante du régime chinois sur le monde.
Tensions Commerciales et Relations Bilatérales
Parallèlement, les échanges entre Carney et Trump seront étroitement surveillés, notamment dans le contexte des tensions commerciales. Les États-Unis ont récemment doublé les droits de douane sur l'acier et l'aluminium, invoquant l'afflux de métaux chinois bon marché sur les marchés mondiaux. Trump exerce également des pressions sur le Canada et le Mexique concernant le trafic de fentanyl et a proposé que le Canada devienne le 51e État américain, bénéficiant gratuitement de la protection du "dôme doré", un système de défense multilatéral proposé.
Contrairement aux mesures de rétorsion des années précédentes, Carney adopte une approche mesurée, exemptant certains biens des contre-tarifs pour protéger les entreprises et les consommateurs canadiens des hausses de prix. Selon les médias canadiens, il est également en pourparlers directs avec Trump pour conclure un accord commercial. Bien qu'aucun accord n'ait encore été trouvé, il n'est pas certain qu'un accord soit conclu avant que Carney et Trump ne se rencontrent en tête-à-tête en marge du sommet.
Situation en Israël et enjeux cachés de la guerre avec l'Iran Idriss Aberkane reçoit Meron Rapoport. Horaire : Les frappes ont commencé vers 03h30 heure locale (01h00 BST) le 13 juin 2025, en réponse aux frappes israéliennes sur l’Iran plus tôt ce jour-là. Échelle : L’Iran a lancé environ 100 à 150 missiles balistiques en deux salves et plus de 100 drones visant le territoire israélien. Cibles : Les frappes visaient des installations militaires, dont la base de Glilot près de Tel-Aviv (abritant le Mossad et l’Unité 8200), d’autres bases militaires et des zones civiles. Des explosions signalées à Tel-Aviv, Jérusalem, Ramat Gan et dans le sud d’Israël. Interception : Le Dôme de fer, le système antimissile Arrow 4 et les forces alliées (États-Unis, Royaume-Uni) ont intercepté la majorité des projectiles. Environ 88 % des missiles et 92 % des drones ont été abattus. 2. Déclarations iraniennes Guide suprême Ali Khamenei : A qualifié les frappes israéliennes de « déclaration de guerre » et affirmé qu’Israël « devrait s’attendre à une punition sévère ». Il a insisté pour ne pas exagérer ni minimiser l’attaque. Ministre des Affaires étrangères Abbas Araghchi : A dénoncé les actions israéliennes comme des « actes d’agression » et une « déclaration de guerre », revendiquant le droit de l’Iran à défendre sa souveraineté « avec toute sa force et de la manière qu’il juge appropriée ». L’Iran a condamné les frappes comme une violation du droit international et tenu les États-Unis pour responsables en tant que principal soutien d’Israël. Général Mohammad Pakpour (IRGC) : A promis d’ouvrir « les portes de l’enfer » en représailles, signalant une réponse militaire forte. Président Massoud Pezeshkian : A déclaré que l’Iran ne cherche pas la guerre mais fournira une « réponse proportionnée » à l’agression israélienne au moment opportun. Contexte de la riposte : L’Iran a présenté les frappes comme une légitime défense en réponse aux attaques israéliennes des 12-13 juin 2025, visant les installations nucléaires (Natanz, Fordow) et tuant des officiers militaires et scientifiques. 3. Évaluation des dommages Pertes et dégâts israéliens : Victimes : Entre 16 et plus de 40 blessés signalés, dont 2 graves, 1 modéré et 13 à 37 légers. Aucun décès israélien confirmé. Dégâts matériels : Dommages minimes rapportés. Neuf sites d’impact de missiles confirmés à travers Israël, avec des impacts à Tel-Aviv et dans le sud. Un incendie de forêt déclenché par des éclats. Bases militaires : Aucun dégât significatif aux installations clés comme la base de Glilot ou le site nucléaire de Dimona, bien que des impacts aient été signalés près de sites militaires. La base aérienne de Nevatim a subi des dommages mineurs mais reste opérationnelle. Revendications iraniennes : Les médias d’État et officiels iraniens ont minimisé les frappes israéliennes, affirmant des « dommages limités » aux systèmes radar et sites militaires à Téhéran, Khouzestan et Ilam. L’Iran a rapporté quatre soldats et un civil tués lors des frappes israéliennes, avec des allégations non vérifiées de victimes civiles, y compris des enfants. Revendications israéliennes : Israël a revendiqué des dommages importants aux programmes nucléaire et balistique iraniens, avec des frappes sur Natanz et Fordow causant un recul estimé de 6 à 8 ans. Une fuite de Cs-137 aurait eu lieu à l’UCF d’Ispahan, et les installations de missiles de Parchin auraient été détruites. La plupart du réseau de défense aérienne iranien, y compris les systèmes S-300, aurait été neutralisé, laissant Téhéran vulnérable à de futures frappes. Vérification indépendante : L’AIEA a signalé aucune augmentation des niveaux de radiation à Natanz, contredisant les allégations de dommages nucléaires significatifs. Les analyses d’images satellites et open-source sont en attente, mais les premiers rapports suggèrent que l’infrastructure militaire iranienne a subi plus de dégâts que ce qui est officiellement admis. 4. Contexte et risques d’escalade Déclencheur israélien : Les frappes iraniennes répondaient à l’opération israélienne des 12-13 juin 2025 (« Lion rugissant »), ciblant les sites nucléaires iraniens et tuant des figures clés comme des commandants du CGRI et des scientifiques nucléaires. Dynamiques régionales : Les États-Unis ont appelé à la désescalade, le président Biden espérant que cela marque la fin des échanges directs. Réponse iranienne potentielle : Les renseignements suggèrent que l’Iran pourrait planifier une riposte limitée, peut-être via des proxies en Irak, pour éviter une guerre totale. Implication des alliés : Les forces américaines, britanniques et jordaniennes ont aidé à intercepter les projectiles iraniens, soulignant le soutien de la coalition à Israël.
Pour conclure, il faut birn comprendre que ce planing du G7 risque d'être fort perturbé. Ces perturbations pourraient compliquer les plans de Trump, notamment s'il cherche à attirer des investissements étrangers ou à stimuler les exportations.
Voici un tableau récapitulatif des coûts estimés et des impacts potentiels :
Le coût direct de la guerre Israël-Iran de 2025 pour le contribuable américain est difficile à quantifier précisément en raison de la récence du conflit, mais il est probable qu'il s'élève à plusieurs milliards de dollars, potentiellement 5 à 10 milliards, en plus des 22,76 milliards déjà dépensés entre 2023 et 2024. Les effets indirects, tels que la hausse des prix du pétrole et les perturbations économiques, pourraient poser des défis significatifs aux projets de reprise économique du Président Trump en augmentant l'inflation et en ralentissant la croissance. Cependant, l'impact exact dépendra de l'évolution du conflit, de la durée des hausses des prix du pétrole et des mesures prises par l'administration américaine pour gérer ces coûts et leurs répercussions économiques.
Ce qui est certain, c'est que si Trump était au courant de l'attaque contre l'Iran, elle ne l'arrange pas et il est contraint de la valider en raison de la faillite américaine ( la facture du spectacle covidiste est à payer, on ne sait pas comment cette année, ou plutôt on sait trop commment, il faudra mendier ) et de la situation de mort-vivant du dollar. Mais il faut bien comprendre que l'agression de l'Iran contraignant à l'assistance contre l'intérêt et l'objectif américain de reprise économique à tendance industrielle est un véritable coup de poignard dans le dos du duo Trump - Musk. Elle va anéantir tous les espoirs du mouvement MAGA et coûter très cher sur le plan politique, d'autant que les Etats-Unis ne sont jamais remercié de l'aide apportée à un Israël depuis 1948 sous perfusion financière de Washington.