Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/06/2025

Fin sanitaire du conseil d'injection marchand

gfdgd.jpg

Le 27 mai 2025, Robert F. Kennedy Jr. a annoncé dans une vidéo publiée sur X que le vaccin contre le COVID-19 ne serait plus recommandé pour les enfants en bonne santé (âgés de 6 mois à 17 ans) ni pour les femmes enceintes en bonne santé dans le calendrier de vaccination recommandé par le CDC. Cette déclaration, soutenue par le commissaire de la FDA, le Dr Marty Makary, et le directeur du NIH, le Dr Jay Bhattacharya, a marqué une rupture avec les pratiques établies. Voici le texte clé de son annonce :
« Aujourd’hui, le vaccin contre le COVID-19 pour les enfants en bonne santé et les femmes enceintes en bonne santé a été retiré du calendrier de vaccination recommandé par le CDC. En résumé : c’est du bon sens et de la bonne science. Nous sommes maintenant un pas plus près de réaliser la promesse du président Trump de rendre l’Amérique saine à nouveau. »
Cette décision s’inscrit dans une volonté de Kennedy de réévaluer les politiques de vaccination, qu’il considère comme excessives, en particulier pour les populations à faible risque de complications graves du COVID-19. Kennedy a justifié cette mesure en affirmant qu’il n’existait pas de données cliniques solides pour soutenir une stratégie de rappels répétés chez les enfants en bonne santé. Il a également critiqué l’administration Biden pour avoir encouragé les vaccins ( ou présentés comme tels ) pour ces groupes sans preuves suffisantes, selon lui.
La déclaration a été faite sans consultation préalable avec le comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC, ce qui constitue une rupture avec le processus habituel. Normalement, les recommandations vaccinales sont élaborées par ce comité d’experts indépendants, qui examine les données scientifiques avant de soumettre ses conclusions au directeur du CDC pour approbation. En l’absence d’un directeur permanent du CDC (Susan Monarez étant en attente de confirmation au Sénat), Kennedy a signé une directive datée du 19 mai 2025 pour imposer ce changement.

 

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC)  ne recommandent plus  la vaccination contre la COVID-19 pour les enfants et les femmes enceintes.

Le Centers for Disease Control and Prevention (CDC), ou Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, est une agence fédérale des États-Unis, rattachée au Département de la Santé et des Services sociaux (HHS). Fondée le 1er juillet 1946, sous le nom de Communicable Disease Center, l’agence a vu le jour à Atlanta, en Géorgie, dans le contexte de la lutte contre le paludisme, une maladie qui sévissait encore dans certaines régions des États-Unis, notamment dans le sud.
L’origine du CDC remonte à la Seconde Guerre mondiale, lorsque le gouvernement américain a créé le Malaria Control in War Areas (MCWA) en 1942. Cette organisation visait à protéger les soldats et les civils des maladies transmises par les moustiques, comme le paludisme, dans les zones stratégiques. Après la guerre, le MCWA a été transformé en une entité civile, le CDC, avec pour mission initiale de contrôler les maladies infectieuses. Le Dr Joseph Mountin, un visionnaire de la santé publique, a joué un rôle clé dans sa création, plaidant pour une institution nationale capable de surveiller et de combattre les maladies à grande échelle.
Au fil des décennies, le mandat du CDC s’est élargi. Dans les années 1950 et 1960, il s’est concentré sur les maladies infectieuses comme la polio, la tuberculose et la variole, tout en développant des programmes de vaccination. Dans les années 1970, le CDC a commencé à s’intéresser aux maladies non transmissibles, comme les maladies cardiovasculaires, et à la prévention des blessures. En 1980, il a été officiellement renommé Centers for Disease Control, reflétant son rôle élargi. En 1992, le terme « and Prevention » a été ajouté pour souligner l’importance de la prévention dans sa mission, devenant ainsi le Centers for Disease Control and Prevention, bien que l’acronyme CDC soit resté inchangé.
Aujourd’hui, le CDC est reconnu comme l’une des principales agences de santé publique au monde, avec une portée nationale et internationale. Son siège reste à Atlanta, mais il dispose de bureaux à travers les États-Unis et dans de nombreux pays, collaborant avec des organisations comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS)
 
La mission du CDC est, en théorie, de protéger la santé publique en prévenant et en contrôlant les maladies, les blessures et les handicaps aux États-Unis et dans le monde. Son slogan, « Saving Lives, Protecting People » (Sauver des vies, protéger les populations), résume son objectif principal : promouvoir la santé et la sécurité à travers la recherche, la surveillance, la prévention et l’intervention.
Le CDC joue donc, toujours en théorie,  un rôle central dans :
  1. La surveillance des maladies : Il collecte et analyse des données sur les maladies infectieuses, chroniques et environnementales pour identifier les tendances et les menaces émergentes.
  2. La recherche scientifique : Il mène des études pour comprendre les causes des maladies et développer des stratégies de prévention.
  3. La réponse aux urgences sanitaires : Le CDC intervient lors d’épidémies, de catastrophes naturelles ou d’attaques bioterroristes.
  4. L’éducation et la prévention : Il informe le public et les professionnels de santé sur les bonnes pratiques pour prévenir les maladies. La réalité nous a démontré le décalage gigantesque entre le discours et la réalité à l'heure de la crise économique. 
  5. La collaboration internationale : Il travaille avec des gouvernements ( il est donc un acteur d'abord politique soit servant l'intérêt marchand ) et des organisations mondiales ( de moins en moins indépendantes ) pour renforcer les systèmes de santé publique ( on peut croire au Père Noël et à beaucoup de choses sans être obligé de l'imposé par la menace, le chantage et la répressions aux autres ) à l’échelle globale.


 OMS : Quand l’Argent Manque, la Vérité Éclate!Idriss Aberkane| avec le Professeur Didier Raoult. Plongez au cœur de la crise sans précédent qui ébranle l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Confrontée à un effondrement financier, l’OMS lutte pour survivre après le retrait des États-Unis, son principal donateur, et le refus de Donald Trump de verser les contributions de 2024-2025. Cette débâcle s’accompagne d’une remise en question de sa gouvernance, marquée par des accusations de corruption, une dépendance accrue aux fonds privés comme ceux de la Fondation Bill Gates (10 % du budget en 2021), et des critiques sur son instrumentalisation par des intérêts politiques et pharmaceutiques. De la gestion controversée de la pandémie de COVID-19 aux doutes sur l’efficacité de certaines initiatives, l’OMS vacille, tandis que des pays comme l’Argentine et l’Italie envisagent de quitter l’organisation. Découvrez les dessous de cette tempête qui menace l’avenir de la santé mondiale. 

 
Pour comprendre l’ampleur des fonctions du CDC, il est utile de les examiner à travers ses principales activités et domaines d’intervention.
1. Surveillance et Collecte de Données
Le CDC est un leader mondial dans la surveillance épidémiologique. Il gère des systèmes comme le National Notifiable Diseases Surveillance System (NNDSS), qui recueille des données sur les maladies à déclaration obligatoire (par exemple, la rougeole, la tuberculose ou le COVID-19). Ces données permettent de détecter rapidement les épidémies et de suivre leur évolution.
Le CDC utilise également des outils comme le Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS) pour surveiller les comportements à risque (tabagisme, obésité, etc.) et leurs impacts sur la santé. Ces informations guident les politiques publiques et les campagnes de prévention.
2. Recherche et Innovation
Le CDC finance et conduit des recherches scientifiques pour mieux comprendre les maladies et développer des solutions. Ses laboratoires à Atlanta sont parmi les plus avancés au monde, capables de manipuler des agents pathogènes dangereux (comme Ebola ou la variole) dans des conditions de haute sécurité (niveau de biosécurité 4).
Par exemple, le CDC a joué un rôle clé dans l’éradication de la variole dans les années 1970, en collaboration avec l’OMS. Plus récemment, il a contribué au développement de tests diagnostiques et de vaccins pour le COVID-19, ainsi qu’à l’étude des variants du virus SARS-CoV-2.
3. Réponse aux Crises Sanitaires
Le CDC est souvent en première ligne lors des crises sanitaires. Son Emergency Operations Center (EOC), opérationnel 24/7, coordonne les réponses aux urgences, qu’il s’agisse d’épidémies (comme Ebola en 2014 ou le COVID-19 en 2020), de catastrophes naturelles (ouragans, inondations) ou de menaces bioterroristes (comme les attaques à l’anthrax en 2001).
Le CDC déploie des équipes d’experts, comme celles du Epidemic Intelligence Service (EIS), composées d’épidémiologistes formés pour enquêter sur le terrain. Ces « détectives des maladies » identifient les sources des épidémies et proposent des mesures pour les contenir.
4. Prévention et Promotion de la Santé
La prévention est au cœur de la mission du CDC. L’agence développe des recommandations basées sur des preuves scientifiques pour prévenir les maladies. Par exemple :
  • Vaccination : Le CDC établit le calendrier vaccinal américain et promeut des campagnes pour augmenter la couverture vaccinale (contre la grippe, la rougeole, etc.). Il est donc VRP de Big Pharma, un secteur précieux pour le PIB malade.
  • Maladies chroniques : Il lutte contre les principales causes de décès aux États-Unis, comme les maladies cardiovasculaires, le diabète et le cancer, en promouvant des modes de vie sains (alimentation équilibrée, activité physique, arrêt du tabac). L'incapacité de la large majorité des jeunes américains à tout service dans l'armée qui a fait la une, dit que depuis des années l'intérêt de la malbouffe industrielle est prioritaire et que le CDC se préoccupe d'abord de regarder ailleurs.
  • Sécurité au travail et environnementale : À travers le National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH), le CDC protège les travailleurs contre les risques professionnels. Il surveille également les menaces environnementales, comme l’exposition au plomb ou aux polluants.
5. Collaboration Internationale
Le CDC joue un rôle clé dans la santé mondiale. Il soutient les pays en développement ( ne riez pas ) pour renforcer leurs systèmes de santé publique, notamment via des programmes comme le Global Health Security Agenda (GHSA), qui vise à prévenir les pandémies. Pendant la crise d’Ebola en Afrique de l’Ouest (2014-2016), le CDC a déployé des experts pour aider à contenir l’épidémie.
L’agence collabore également avec l’OMS pour des initiatives comme l’éradication de la polio ou la lutte contre le VIH/SIDA à travers le PEPFAR (President’s Emergency Plan for AIDS Relief).
6. Communication et Éducation
Le CDC est une source fiable d’informations sur la santé publique. Il publie des rapports, des lignes directrices et des campagnes éducatives pour le grand public et les professionnels de santé. Son site web (cdc.gov) propose des ressources sur des sujets variés, des maladies infectieuses aux conseils de voyage. Bref, il rend service aux agences de tourisme.
Pendant la pandémie de COVID-19, le CDC a publié des recommandations rocambolesques sur le port du masque, la distanciation sociale et la vaccination, et ses directives font encore rire ou pleurer.
 
Le CDC est organisé en plusieurs centres, instituts et bureaux, chacun spécialisé dans un domaine spécifique :
  • National Center for Immunization and Respiratory Diseases (NCIRD) : Gère les programmes de vaccination et les maladies respiratoires (grippe, COVID-19).
  • National Center for Emerging and Zoonotic Infectious Diseases (NCEZID) : Se concentre sur les maladies émergentes et zoonotiques (comme le virus Zika ou Ebola).
  • National Center for Chronic Disease Prevention and Health Promotion (NCCDPHP) : Cible les maladies chroniques comme le diabète et le cancer.
  • National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) : Protège les travailleurs contre les risques professionnels.
  • Center for Global Health : Coordonne les efforts internationaux du CDC.
Le CDC emploie environ 15 000 personnes, dont des épidémiologistes, des microbiologistes, des statisticiens et des experts en communication. Son budget annuel, financé principalement par le gouvernement fédéral, s’élève à plusieurs milliards de dollars, bien que les chiffres varient selon les années et les priorités nationales. 
 
Le CDC n’est pas exempt de critiques. Pendant la pandémie de COVID-19, certains lui ont reproché des messages incohérents construisant une peur servant surtout un intérêt privé et un arrêt de l'économie imposé par la crise, notamment sur le port du masque ou la réouverture des écoles. Des accusations de politisation ont également enfin émergé, certains constatant que l’agence a été influencée par des pressions politiques sous différentes administrations.
De plus, le CDC a parfois été critiqué pour sa lenteur à réagir face à des menaces émergentes, comme lors des débuts de l’épidémie de VIH/SIDA dans les années 1980. Hélas, a rarement su tirer des leçons de ces défis pour améliorer ses pratiques même elle le fait en partie aujourd'hui en admettant, de fait une erreur majeure.

Quelques jours après l'annonce par le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., que la "vaccination"  contre la COVID-19 ne serait pas recommandée pour les enfants et les femmes enceintes, l'agence a publié une nouvelle série de recommandations sur son site web.

Kennedy a fait cette annonce dans  une vidéo publiée sur X mardi.

snap05563.jpg

Robert F. Kennedy Jr., le 17 janvier 1954 à Washington, D.C., est un avocat, écrivain, militant environnemental et figure appréciée du mouvement anti-injections expériementales liée à la Covid . Membre de la célèbre famille Kennedy, il est le fils de Robert F. Kennedy, ancien procureur général et sénateur assassiné en 1968, et le neveu du président John F. Kennedy. Élevé dans un milieu politiquement influent, il a étudié à l’université Harvard, il a obtenu un bachelor en histoire américaine (1976), avant de décrocher un doctorat en droit à l’université de Virginie et une maîtrise à la Pace University.
Kennedy s’est d’abord fait connaître comme avocat environnemental. Dans les années 1980 et 1990, il a travaillé pour des organisations comme la Natural Resources Defense Council et a fondé le Waterkeeper Alliance, un réseau mondial dédié à la protection des ressources en eau. Ses efforts dans ce domaine lui ont valu une reconnaissance pour son engagement contre la pollution et les industries nuisibles à l’environnement.
Cependant, à partir des années 2000, Kennedy s’est de plus en plus orienté vers la défense de positions salutaires sur les injections. En 2016, il a fondé Children’s Health Defense, une organisation qui promeut le principe de précaution sur la sécurité des vaccins ou de produits considérés parfois à tort comme vaccins, notamment en liant des "vaccins" à l’autisme. Cette prise de position l’a propulsé au centre des débats sur la santé publique, particulièrement pendant la pandémie de COVID-19, il s’est opposé aux politiques d'injections de masse et aux mesures prétendues sanitaires strictes.
En 2023, Kennedy s’est présenté comme candidat indépendant à la présidence des États-Unis, axant sa campagne sur la critique des institutions de santé publique et des industries pharmaceutiques. Après avoir retiré sa candidature, il a apporté son soutien à Donald Trump pour l’élection de 2024, ce qui a conduit à sa nomination dans l’administration Trump en 2025.
En février 2025, Robert F. Kennedy Jr. a été confirmé par le Sénat américain (vote de 52-48) comme secrétaire du Département de la Santé et des Services sociaux (HHS), un poste clé qui supervise des agences majeures comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et les National Institutes of Health (NIH). Ce département gère un budget d’environ 2 000 milliards de dollars et emploie près de 90 000 personnes, avec des responsabilités sur des programmes comme Medicare et Medicaid.
En tant que secrétaire du HHS, Kennedy a la capacité d’influencer les politiques de santé publique, notamment en matière de vaccins, de sécurité alimentaire et de recherche médicale. Sa nomination a suscité des inquiétudes parmi les experts en santé publique en raison de son passé de scepticisme vaccinal, mais il a obtenu le soutien de certains sénateurs républicains, comme le sénateur Bill Cassidy, après avoir promis de respecter les recommandations du comité consultatif du CDC (ACIP) sur les vaccins. Cependant, ses actions ultérieures ont montré une volonté de réformer radicalement les politiques de santé, alignées sur le slogan de Trump, « Make America Healthy Again »



Jeudi, le CDC  a publié  une annonce correspondante sur leur site web.

L'agence a indiqué que les vaccins peuvent être administrés aux enfants âgés de 6 mois à 17 ans qui ne présentent pas de problèmes immunitaires modérés ou graves. Au lieu de recommander la vaccination, les CDC indiquent désormais que les parents peuvent décider de vacciner leurs enfants après avoir consulté leur médecin.

Une petite mise à jour de la page du calendrier vaccinal des adultes des CDC indique un changement similaire dans les recommandations pour les femmes enceintes, les excluant de la liste des personnes recommandées pour la vaccination.

« Les anciennes recommandations de vaccination contre la COVID-19 pour les enfants de moins de 18 ans en bonne santé et les femmes enceintes ont été retirées du calendrier vaccinal des CDC », a déclaré un porte-parole du ministère américain de la Santé et des Services sociaux dans un communiqué.  « Les CDC et le ministère américain de la Santé et des Services sociaux encouragent les personnes à discuter de toute décision personnelle en matière de santé avec leur professionnel de santé . »

Cette recommandation, connue sous le nom de prise de décision partagée, implique toujours que les compagnies d'assurance maladie doivent couvrir le vaccin,  selon les CDC . Cependant, les experts affirment que les taux de vaccination ont tendance à être plus faibles lorsque les responsables de la santé utilisent ce langage, et que les médecins sont moins agressifs dans leurs recommandations aux patients de se faire vacciner.

« Suite à la déclaration faite plus tôt cette semaine, les CDC sont sur le point de retirer complètement toute déclaration qui pourrait être interprétée comme une recommandation d'utiliser ces vaccins chez ces populations », a déclaré Jason Schwartz, chercheur en politiques de santé à l'université Yale.  « Ce n’est pas aussi grave que cela pourrait l’être »

Les taux de vaccination des enfants contre la COVID-19 sont déjà faibles : seulement 13 % des enfants et 23 % des adultes ont reçu un vaccin contre la COVID-19 en 2024-25,  selon le CDC .

Discussion sur la modification des recommandations : Alors que la pandémie de COVID-19 s’atténue, les experts envisagent de concentrer les efforts de vaccination sur les personnes de 65 ans et plus, qui présentent le risque le plus élevé de décès et d’hospitalisation. 

Un comité consultatif des CDC  se réunira en juin pour formuler des recommandations pour la vaccination d’automne. Parmi les options possibles figure la vaccination des groupes à haut risque tout en permettant aux personnes des groupes à faible risque de se faire vacciner. Le groupe de travail du comité a soutenu l’idée.

Mais Kennedy, éminent défenseur de la lutte contre la vaccination avant de devenir secrétaire à la Santé, a décidé de ne pas attendre l’avis du comité scientifique proche de Big Pharma.

Les nouvelles recommandations de vaccination, leur calendrier et la manière dont elles ont été annoncées ont créé une confusion qui pourrait être « extrêmement préjudiciable au succès des programmes de vaccination », a déclaré Schwartz.

« Il serait compréhensible que le public soit complètement perdu quant à l’opinion du gouvernement fédéral et à ce que suggèrent les données scientifiques… concernant les preuves de l’innocuité et de l’efficacité de ces vaccins »,  a-t-il ajouté.

La Dre Susan Kressley, présidente de l'Académie américaine de pédiatrie, a déclaré que l'organisation se réjouissait que les familles souhaitant faire vacciner leurs enfants contre la COVID-19 puissent toujours le faire.

« Cependant », a-t-elle ajouté, «  le processus profondément défaillant d'élaboration des recommandations soulève de sérieuses inquiétudes quant à la stabilité de l'infrastructure vaccinale du pays et à l'engagement des dirigeants fédéraux à garantir l'accès des familles aux vaccins essentiels . »

Cette évolution de la politique du gouvernement Trump va dans le bon sens même si le CDC bride encore le souhait du Secrétaire à la santé Kennedy. Le iu le sprocès Fauci seront l'occasion d'aller plus loin dans la protection de la santé de la population contre une Terreur sanitaire, une gestion par la peur imposées par la crise économique. Elle s’inscrit dans une stratégie plus large de l’administration Trump pour réduire l’influence des agences fédérales soumises à des intérêts privés mais plus jamais publics, comme en témoigne le projet Department of Government Efficiency (DOGE), qui pourrait affecter le fonctionnement du HHS et du CDC.

09:33 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!