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19/10/2018

Censure et réseaux sociaux, notre avenir va se jouer

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La liberté d'expression n'a pas à être limitée et surtout pas par des opérateurs privés. Cette histoire n'est pas seulement un problème global, on ne peut souhaiter que d'autres pays finissent comme la France ou l'Allemagne, sous une inquisition perpétuelle et le règne de corbeaux patrouillant Net, réseaux sociaux et forum au service du régime.

C'est aussi sur un plan local la mise en évidence du coup d'état tenté par les démocrates américains associés à la finance et à ses médias pour contrôler toute l'information, maîtriser la politique d'un pays en se garantissant par cette violence un monopole d'accès au pouvoir.

A titre d'exemple nous avons vu 1200 abonnés Twitter être "radiés" en juillet et 500 cette semaine.

 

A lire :

La Cour suprême se penche sur un cas lourd de conséquences pour la censure sur les réseaux sociaux

L'affaire oppose une chaîne de télévision à deux vidéastes, mais pourrait faire trembler les réseaux sociaux. La Cour suprême devra déterminer si un opérateur privé, lorsqu'il fonctionne comme un forum public, doit respecter la liberté d'expression.

La Cour suprême des Etats-Unis a décidé de se pencher le 12 octobre sur un cas qui pourrait avoir d'énormes implications pour la protection de la liberté d'expression des utilisateurs sur les réseaux sociaux. Pourtant, à première vue, l'affaire qui oppose la Manhattan Community Access Corp à Halleck ressemble à un différend mineur entre une chaîne câblée locale et deux vidéastes, dont le travail a été banni des ondes.

(...)

Les exemples sont légions et s'inscrivent dans une tendance partagée par tous les grands réseaux sociaux. Le 11 octobre, Facebook a supprimé plus de 800 pages et comptes qui diffusaient principalement des contenus politiques. Contrairement aux purges précédentes, la gauche a été autant visée que la droite à cette occasion. Une «censure politique» dénoncée par les utilisateurs concernés, justifiée par la firme de Palo Alto par le «comportement inauthentique» de ces pages, qu'elle a assimilé à du spam. Quelques jours auparavant, Google estimait de son côté que la liberté d'expression était un «principe utopique». Dans un mémo interne intitulé «Le bon censeur», l'entreprise soulève l'idée de censurer ouvertement des contenus pour créer des «espaces bien ordonnés» où règne «la sécurité et la civilité».  

A lire en intégralité sur RT en français.

13:15 Publié dans Actualité | Tags : censure, réseaux, sociaux, twitter, usa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

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