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11/10/2019

Des mystères capitalistes à la Préfecture de police…

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Avec 1984 Orwell ne dénonce pas l'URSS mais la démocratie capitaliste.

Face à la crise accélérée de la tromperie capitaliste, la manœuvre terroriste, ici, là ou ailleurs… est toujours une diversion nécessaire au risque d’explosion sociale…

Le terrorisme est toujours l’instrument de manipulation du spectacle étatique de la marchandise universelle…

 Les bombes-fusées qui tombaient chaque jour sur Londres étaient probablement lancées par le gouvernement de l’Océania lui-même, « juste pour maintenir les gens dans la peur » »
George Orwell, 1984

Auguste Vaillant est un anarchiste français. Au lendemain du scandale de Panama de 1892 qui révéla la corruption généralisée du personnel politique du parlementarisme des honoraires, cet homme qui voulait venger la mort de Ravachol lança une bombe d’une grande puissance dans l’hémicycle de la chambre des députés le 9 décembre 1893. Cette dernière chargée de clous, de morceaux de zinc et de plomb s’abattit sur les députés et sur les spectateurs assistant aux délibérations. Une cinquantaine de personnes furent blessées dont Auguste Vaillant lui-même. Celui-ci, condamné à mort, fut alors guillotiné le 5 février 1894 à l’âge de 33 ans.

Sur ce terrain fabuleux et factice de duperies diverses et variées que sait parfaitement mettre en scène le théâtre du faux, l’examen des archives policières de la fin du XIX° siècle, permet d’affirmer que les attentats spectaculaires attribués aux anarchistes et notamment celui commis par Vaillant, étaient en fait directement initiés puis supervisés par Louis Andrieux, le préfet de police,  lui-même ancien procureur à la répression de l’insurrection d’avril 1871 qui avait ébranlé Lyon à la suite de la Commune de Paris. Son but consistait à mettre la main sur un repaire de dynamiteurs avantageusement pré-fabriqué en permettant leur preste arrestation afin de permettre, à partir des mystifications politiques de la sorte mises en marche, de légitimer les fameuses lois dites « scélérates ». Ces dernières, en fonction de l’inquiétude de l’opinion publique astucieusement construite et de l’abrutissement journalistique habituel qui en appelait bien sûr à des mesures d’exception, rendirent alors possible la reconversion domesticatoire des actions ouvrières radicales au travers des mouvements syndicaux et politiques de l’assagissement forcené…

Comme Marx qui avait fort bien anticipé toute la puissance machinique de l’arraisonnement capitaliste l’avait judicieusement souligné ; ce qui peut dorénavant se faire à l’échelle macro-industrielle des réseaux électroniques et numériques de la chosification omni-présente contemporaine est bien entendu sans commune mesure avec ce qui pouvait se bricoler à l’époque artisanale d’une police encore largement dilettante. Désormais, la domination pleinement accomplie de la liberté despotique du profit, de ses sciences et de ses officines spéciales a permis que plus rien n’échappe, ni en amont ni en aval, à l’autocratie universelle du fétichisme de la marchandise et de toutes ses technologies de production, de reproduction, de surveillance et d’impeccable quadrillage.

………. Le secret du spectacle terroriste domine le monde de la marchandise et d’abord comme secret spectaculaire de la domination marchande terroriste sur le monde. Tout expert en est le surveillant et le valais et sa spécialisation reconnue n’en est que la duplication dans sa forme médiatique, stupide et ignorante parfaitement conforme à l’idiotie sans limite de l’étatisme des falsifications obligatoires …L’histoire réelle du terrorisme est ainsi écrite par les actes de l’État lui-même tels que les scribes de son officialité doivent constamment en gratter les papiers sophistiqués du fourvoyant et du flou sempiternels. Tant que le Capital ne dominait que formellement la société et qu’il devait composer avec une antécédence dont il devait se débarrasser après l’avoir usé, les dialectiques de complots se formalisaient toujours en hostilité à l’ordre établi puisque ce dernier demeurait encore in-suffisamment marchand. Dés lors que le Capital domine réellement la société jusqu’à en faire le territoire général de sa généralisation impeccable, il n’y a plus d’avant et le futur n’a plus pour seul avenir que le complot permanent en faveur de la maintenance de l’ordre établi et achevé de la marchandise-monde.

…. Lorsque le si terne ministère des télémanipulations intérieures,  déclare à la Presse : « Face au terrorisme, il faut l’unité nationale », il convient plus que jamais d’être hégélien avec l’œil d’un Marx pétillant et de se souvenir, en rigolant,  comme Debord l’a dé-celé que dans le monde du fétichisme marchand toute réalité est toujours renversée puisque le vrai n’y est plus qu’un moment de réécriture de la mutilation spectaculaire vers le fardé incessant attendu que dans le monde putride du réel universellement inverti, tout ce qui est dit vrai ne peut être que contre-vérité en ce sens que tout ce qui est présenté comme faux ne saurait être infailliblement que du véridique insupportable.

Par conséquent, la confession involontaire des prestidigitateurs du ministère de la sécurité des volumineuses sournoiseries, débilités et dissimulations étatiques doit se lire à l’envers sous la véritable formulation suivante : « Face à l’impératif d’unité nationale, il faut le terrorisme… »…

Bientôt, tout cela sera mis en action insidieuse, venimeuse et opulente…Alors, en ce temps de charlatanisme intense, dire la vérité à l’encontre de tous les conditionnements à la résignation devant les foutaises étatiques et para-étatiques de l’insurmontable crise du profit posera le premier réflexe de conscience qui mène à l’acte révolutionnaire vers une authentique existence anti-mercantile…

08:01 Publié dans Actualité | Tags : terreur, désinformation, crise, capitalisme, diversion | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

22/08/2019

Présidentielles en Tunisie et grosse légume

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Tunisie, la pauvreté a augmenté de 30% en 4ans, merci Chahed !

La formation de Chahed actuel Premier Ministre ? Institut national agronomique Paris-Grignon en France2 et DEA (Mesure de l'impact sur le bien-être des réductions tarifaires relatives aux produits agricoles : une application du Trade Restrictiveness Index à l'économie de l'Union européenne) en économie de l'environnement et ressources naturelles donc la nature soumise au capital puis en 2003, un doctorat en agroéconomie sur la « mesure de l'impact de la libéralisation des marchés agricoles sur les échanges et le bien-être, bref encore la farce bobo-verte contre le milieu naturel.

Il est ensuite professeur en agroéconomie à Beauvais, à Tokyo ou à São Paulo ! 2003 à 2015, le voilà expert international auprès du partement de l'Agriculture des États-Unis, de la Commission européenne.

Nous sommes ici devant l'élite cosmopolite du capitalisme sous son nouveau camouflage vert donc devant l'avenir personnifié et menteur du Système en Tunisie comme en France.

Ils vont souffrir et avoir faim les Tunisiens.

 

A lire :

Tunisie : en lice pour la présidentielle, le Premier ministre renonce à sa nationalité française

Le Premier ministre tunisien, Youssef Chahed, ne possède plus la double nationalité. Candidat à la prochaine présidentielle anticipée prévue le 15 septembre, il a annoncé avoir renoncé à sa nationalité française comme l’exige la constitution.

Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, en course pour la prochaine élection présidentielle, a fait savoir qu’il se séparait de sa nationalité française afin de respecter une disposition constitutionnelle.

Lire la suite sur RT

07:38 Publié dans Actualité | Tags : actualité, capitalisme, vert, tunisie | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

16/07/2019

Iran, écologie et autres contes de menterie

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Il y a le faux du vrai des médias présentant l'Iran comme un pays primitif et agressif et il y a le vrai du réel, ici une fête à Téhéran, elles existent aussi mais pas dans la rue.

Après la dislocation de l’Union soviétique et l’élimination des archaïsmes planifiés du capitalisme d’État, les États-Unis sont devenus l’unique superpuissance du théâtre mondial de la marchandise et afin de le demeurer aussi longtemps que possible, ils réalisent leur grand dessein spectaculaire par un effort méthodique de coups tordus et d’intervention secrètes à l’extérieur afin d’y étendre la puissance militaire, économique, financière et politique de leur appareil militaro-terroriste.

Arrangeant en sous-main l’état d’allégeance de la « construction européenne » et la pratique de grignotage de la Russie nouvelle, tenue plus ou moins de « laisser faire », les opérations d’intoxication américaine ont réorganisé militairement et politiquement les Balkans afin de régler à la convenance de leur indistinction despotique, à la fois la guerre, la paix et l’après-guerre…

Installé en Afghanistan et en Irak, l’ordre américain encercle l’Iran et occupe des positions-clefs à l’approche des principales sources d’énergie pétrolière ou gazière.

Les guerres du chaos spectaculaire ont fourni aux États-Unis de précieux emplacements stratégiques puisqu’ils leur permettent à la fois d’affaiblir la Russie et d’encercler la Chine.

Les services parallèles du département d’État ont ainsi placé les États-Unis aux frontières des pays Baltes et en bordure de la Russie pendant qu’ils pénétraient la Roumanie et la Bulgarie membres à venir de l’Union Européenne Américaine et, naturellement, de l’OTAN.

L’intervention massive des multiples filiales ONG de la CIA et consorts en Ukraine a pu détacher Kiev de la Russie pour la réalisation des plans de Washington cherchant ici à visiblement créer une chaîne d’États satellites afin de séparer la Russie de l’Europe.

Pour y parvenir il ne reste plus qu’à faire basculer le maillon manquant que constitue la Biélorussie pour que, de la mer Noire à la mer Baltique, Moscou soit écarté de ses anciennes provinces occidentales et que les deux mers pré-citées deviennent le domaine de l’OTAN alors qu’elles étaient auparavant celui de l’URSS.

Afin d’inaugurer par un acte spectaculairement significatif, les succès de sa stratégie de démantèlement de la « Communauté des États Indépendants » (CEI) qui avait pris la suite de l’Union soviétique, le Pentagone a imaginé une organisation regroupant les États qui furent soviétiques et que les États-Unis sont parvenus à retourner.

Afin d’en faire un signe visible de leur pouvoir de représentation, ils leur ont donc attribué à la fin des années 90, un sigle de présentation et de lisibilité : le GUOAM lequel regroupe la Géorgie, l’Ukraine, l’Ouzbékistan, l’Azerbaïdjan et la Moldavie. Cette association phagocytée par le département d’État américain devrait être renforcée par d’autres ex-provinces de l’URSS et ré-orienter ses échanges principalement vers la zone OTAN.

Autour de l’Iran encerclé, voici venir l’US Air Force au Tadjikistan et au Kirghizstan pendant que le spectacle médiatico-policier de la CIA diffuse partout son indistinction afin de mettre en place des régimes de plus en plus agréables aux États-Unis.

D’où une formidable avancée géo-stratégique de l’ordre américain qui touche désormais les frontières occidentales de la Chine en visant directement le cœur de l’Asie elle-même.

À cette stratégie d’encerclement s’ajoute bien entendu une énorme campagne de perturbation et de noircissement spectacliste visant à dénigrer les pouvoirs russe et chinois selon l’argument classique constamment brandi de la supériorité publicitaire absolue de la dictature démocratique de marché à la sauce wall-streetienne.

Ainsi tout se déroule comme si à l’implosion de l’URSS devait succéder, dans un premier temps, la dislocation de la CEI suivie, dans un second, de la désagrégation de la Russie elle-même avec l’accaparement d’une large fraction des richesses naturelles que détient son vaste territoire.

Si cet objectif était, un jour, atteint, les États-Unis seraient alors, avec l’Europe et l’Afrique sous leur dépendance, en bonne position pour devenir le propriétaire démesuré de la zone Asie-Pacifique, avec la Chine et l’Inde en premier lieu.

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On aimerait savoir pourquoi l'Iran attaquerait les pétroliers de ses clients (ici un Shinzo Abe en rien masochiste). Pour les perdre ?

Les vastes espaces de rentabilité de l’industrie pétrolière sont là au centre de la logique militaro-industrielle américaine qui génère ainsi d’énormes sources financières dont bien des réseaux bénéficient indistinctement y compris bien entendu les multiples boutiques écologistes et vertes coteries qui ont toujours joué la carte de l’or noir.

Les USA ont un intérêt vital à ce que l’Europe abandonne le nucléaire car l’idée d’indépendance énergétique de l’Europe leur est insupportable. Dès lors, priver leurs concurrents de toute compétence nucléaire civile, est décisif puisque c’est simultanément leur interdire (et d’abord à la France) de pouvoir produire du combustible militaire, ce qui signifie leur retirer évidemment toute possibilité de dissuasion indépendante.

Dès 1994, Haroun Tazieff avait dénoncé la thèse officielle d’un trou légendaire dans la couche d’ozone. La menace climatique comme la menace islamiste n’ayant là pour attribution que d’unifier par l’angoisse les spectateurs aliénés derrière le gouvernement mondial de l’indistinction spectaculaire.

Ce sont les mêmes prédicateurs qui dans les années soixante-dix tenaient le discours d’un refroidissement global de la Terre qui aujourd’hui et avec le même aplomb, d’autant plus prétentieux qu’il est vide de tout raisonnement, plaident pour le dogme du réchauffement global en vue d’aboutir à la concentration des matières premières planétaires dans la dépendance des multinationales américaines, promotrices forcenées d’une gouvernance globale pour le développement durable de la marchandise.

Il est donc normal que la chaîne CNN reprenne en boucle les rapports indistincts de l’Académie des sciences américaine qui ne cesse de déclarer avec savante insistance mythologique que « le réchauffement de la planète est le problème fondamental du temps présent » en relayant continuellement le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), docte émanation indistincte du spectacle mondial de l’ONU à qui fait constant écho le Fonds mondial pour la nature sauvage (WWF) et Greenpeace qui dupliquent ainsi la NOAA, agence yankee de recherche environnementale qui dépend, et c’est tout dire, du département US du commerce.


Patrick Moore est un consultant canadien né en 1947. Il est l'un des premiers présidents de l'organisation non gouvernementale Greenpeace, où il dirige l'antenne canadienne pendant sept ans. Il possède un doctorat de l'Université de la Colombie-Britannique pour une thèse de 1974 sur la pollution dans l'industrie minière. Patrick Moore explique pourquoi il a aidé à créer Greenpeace, et pourquoi il a décidé de la quitter. Ce qui a commencé comme une mission visant à améliorer l'environnement pour l'humanité est devenu un mouvement politique dans lequel l'humanité est devenue le méchant et la science pure et dure un non-problème. En passant qui finance Greenpeace ? Pas seulement les membres mais la Fondation des frères Rockfeller, la Fondation Turner (les médias Warner propriétairess de CNN), la Fondation Marisla (propriétaire de Lukoil hmmm le bon pétrole écologique), la Fondation Charles Stewart Mott (de l'homme à l'origine de General Motors)...

Marcel Leroux, climatologue français reconnu, professeur émérite de climatologie à l’Université Jean-Moulin, directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement a pour spécificité de n’être jamais invité dans aucune émission médiatique puisqu’il possède le défaut rédhibitoire d’avoir prouvé que le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles indistincts et strictement fondés sur des relations simplistes qui annoncent une élévation de la température, proclamée mais non démontrée puisque les contradictions sont innombrables entre les prédictions et les faits climatiques directement observés dans le spectacle de l’« ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes » par lequel se constitue l’« imposture scientifique ».

La mystification écologiste des indistinctions officielles est par conséquent avant tout un fonds de commerce propagandiste du gouvernement du spectacle mondial ayant pour objet de parachever la régulation économique et politique de la planète par Washington qui entend là par le détour orchestré de la conservation de la faune, de la réduction de la population mondiale, d’investissements pour promouvoir une marchandisation plus soigneuse et autres billevesées, centraliser sous sa coupe la justification de la vie fausse.

Au moment où la nature tout entière est désormais consommée par la marchandise, l’imposture écologiste qui vient là simplement verdir l’ignoble puanteur de la marchandisation n’est qu’un bricolage réformiste illusoire de plus pour endoctriner les inquiétudes et les craintes montantes du spectateur. Ainsi, après l’ingérence humanitaire, l’ingérence écologique est bien le vecteur privilégié de pénétration de l’impérialisme américain qui vise l’universalité concrète d’un pouvoir mondial de sauvetage environnementalo-sermonnaire du fétichisme de l’indistinction.

08:16 Publié dans Actualité | Tags : iran, écologie, manipulation, capitalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

23/05/2019

Fred vargas, Macron et le degré négatif de la politique

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L'écologie menteuse de l'environnement au secours du Capital

Macron : « Le climat doit être au cœur du projet national et européen »

La panique politique du Système étant plus que palpable et se traduisant par une hystérie n'ayant pas peur de la violence, il devient utile de montrer que le militantisme de classe ne se limite pas à la sphère politique mais que ses ravages autrefois limités à la culture n'épargnent plus les champs scientifiques, juridiques, sociaux...

La guerre menée aux pauvres et aux contestataires de tout poil s'étend comme une moisissure.

Ainsi l'indigence de la sous littérature de gare peut dans la grande peur rejoindre le dogmatisme scientifique le plus marchand pour dissimuler un combat de classe, celui du capital dominant contre ses victimes qu'il faut faire voter et bien entendu en déviant leurs intérêts bien compris.

Exemple.

"On est face à la plus grande tragédie qu’ait jamais vécue l’humanité et les politiques sont absents, impotents, je sais plus quel est le mot, sont inactifs, qu’a employé Antonio Gutierrez le secrétaire général de l’ONU, et au lieu d’aller dans le bon sens on va dans le mauvais sens". On croit rêver devant l'improbable d'une telle croisade dissimulant mal un militantisme de classe.

Plus sérieusement et au sujet du réchauffement climatique d'origine humaine dogme politique intolérant et marchand fond sur une simple théorie scientifique discutable permettant pourtant de harceler et persécuter des dizaines de milliers de scientifiques préférant les faits à la croyance aveugle.

Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique liste les scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.

Le NIPCC (panel d'organisations non-gouvernementales) existe depuis 2003 et tente d'adopter un point de vue plus objectif et plus nuancé que celui, très orienté, du GIEC.

Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes. En 2015, a été également créée la "CO2 Coalition", qui a approuvé le retrait des Etats-Unis de l'accord de Paris en 2017.

Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition.

Merci à Wikibéral pour la documentation.

A

  • Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.
  • Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues ».
  • Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm.
  • Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans fondement. »
  • Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2  ».
  • David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
  • Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande (éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil pour le climat.
  • Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs ».

B

  • Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
  • Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.
  • Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.
  • David Bellamy, botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de Durham : Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l'être.
  • Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare (éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
  • Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.

C

  • Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine ».
  • John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ».
  • Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2 et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
  • Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site www.weatheraction.com.
  • Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
  • Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été découverte.
  • Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d'un projet politique ».

D

  • Dai Davies, physicien à l'Université de Canberra, affirme que le CO2 n’a qu’un effet négligeable sur le climat terrestre et n’est pas toxique mais éminemment bénéfique pour la biosphère. Même si sa quantité était doublée, cela n'aurait aucun effet significatif sur la thermodynamique atmosphérique.
  • Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».
  • Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat.
  • Richard Dronskowski, professeur de chimie-physique à l'Université d'Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l'Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l'American Chemical Society. Il a déclaré que "la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur", "qu'il n'y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]" et qu'il connaît "des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n'ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés".
  • Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l'Université d’Auckland[7]. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on doublait ou triplait la quantité de dioxyde de carbone, cela n'aurait quasiment aucun impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l'effet de serre ».
  • Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien Vice-Président Chargé de la Recherche de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site sceptique de référence francophone pensee-unique.fr.
  • Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l'université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée ».

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12:59 Publié dans Actualité | Tags : écologie, capitalisme, propagande, européennes, mensonge | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!