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19/03/2020

De la mythologie du coronavirus comme stade suprême de la dictature démocratique marchande

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L'homme en train de se noyer ne regarde pas la couleur de la main qui se tend mais juste si elle veut le sauver ou maintenir sa tête sous l'eau.

POUR DES RAISONS TECHNIQUES LES PUBLICATIONS REPRENDRONT EN AVRIL

Derrière les feintes, les fables et les duplicités sanitaires de la guerre économique se profile – d’abord – l’évidente certitude de la guerre sociale…

De l’assassinat de Robert Boulin aux prétendues armes irakiennes de destruction massive en passant par les charniers de Timisoara, le trou de la couche d’ozone, le nuage de Tchernobyl et les millions de cancers camouflés et pourtant entièrement dus aux pesticides, fongicides et pilules de la chimie névrotique du Capital, chaque fois que la grosse artillerie étatique de la propagande parle c’est exclusivement aux fins de berner, abasourdir, embrigader, travestir et abêtir.

Toute la réalité de la crise historique du mode de production capitaliste dans laquelle règnent les conditions modernes de fabrication des terrorismes étatiques sur la planète omni-présents s’annonce comme une immense accumulation de spectacles où la totalité du vécu s’est éloignée dans une représentation fallacieuse d’indistinction et de renversement généralisés. Tout ce qui est vrai doit être ainsi regardé comme faux puisque la contre-vérité est désormais devenue partout le principe absolu de toutes les croyances officielles qui construisent l’imaginaire sordide des populations enchaînées au mouvement cybernétique autonome et obligatoire de la non-vie

Qui organise le spectacle de la gouvernance mondiale du coronavirus ? Qui en tire les ficelles terroristes de sidération, d’engourdissement et d’hébétement ? Ce sont assurément les nécessités secrètes et pourtant si indiscutables des ténébreux mystères de l’État profond mondial de la crise généralisée de la marchandise… La vérité se situe toujours radicalement à rebours des grandes campagnes médiatiques de la crise historique du mensonge étatique de la marchandise qui entendent précisément en dissimuler et en déguiser la véritable nature…

Le terrorisme mondial du gouvernementalisme du coronavirus est donc une des dernières énigmes de la crise du taux de profit capitaliste que seuls ceux qui réfléchissent dialectiquement contre les mystifications démocratiques de la valeur d’échange seront capables de pouvoir solutionner…

Le secret terroriste de la marchandise domine le monde de la dictature démocratique de la valeur d’échange et évidemment – en premier lieu – comme secret de la domination de la dictature terroriste mondiale de la démocratie qui a fait justement du coronavirus, la valeur d’échange supérieure des nécessités symboliques et matérielles de l’actuelle circulation hystérique de la tyrannie de la simulation, de l’inexactitude et du boniment …

Un État n’est en sécurité que lorsqu’il parvient à se perpétuer au maximum de ses simulacres et simulations possibles afin de faire oublier la puante lourdeur du discrédit dans lequel la crise mondiale de l’économie de la domestication l’a fait tomber…

L’intoxication de la population est dorénavant devenue une urgence absolue de sûreté pour les organes de diffusion de légitimation des circuits de l’exploitation qui ont fait de la fausse information, de l’angoisse industrielle et de l’ignorance sacralisée, les lieux majeurs de manipulation de la pandémie esclavagiste

Le renversement révolutionnaire de l’économie et de la politique est mondialement la seule priorité historique envisageable, en se souvenant comme le disait Marx – dans l’expression accomplie des groupes prolétariens les plus maximalistes – , il y a déjà près de deux siècles, que le seul mot d’ordre révolutionnaire est bien celui de l’abolition du salariat

Économistes, politiques, syndicalistes, scientifiques, universitaires, médecins, policiers, psychiatres, journalistes, informaticiens, spécialistes charlatans en toutes disciplines de crétinisme et de servitude, imbéciles prostitués de tout acabit, entendent nous lessiver quotidiennement le cerveau afin de nous faire oublier que la bonne santé de la déplorable vie captive, calme et habituelle est déjà une mort bien plus terrible que le pauvre décès bactériologique qui viendrait éventuellement frapper des citoyens débiles et déjà morts-vivants depuis fort longtemps dans le cirque de l’abondance serviliste de la misère consommatoire qui a transmuté tous les désirs en simples et dérisoires identifications au fétichisme de la marchandise…

Le dépassement révolutionnaire de l’industrie de la soumission est partout le seul projet de mobilisation humaine sensé depuis que l’histoire du monde a définitivement prouvé que la falsification marchande de la vie ne parvenait plus à surmonter ses contradictions et que ne pouvant plus régner qu’en implacable chosification de l’être humain, la fourberie démocratique de la loi du profit devait nécessairement être liquidée

Un État est toujours et par nécessité, le plus grand monstre terroriste de l’histoire et au moment où le règne autocratique de la crise de la tyrannie marchande voit tout s’effondrer, la seule technique de gouvernement apte à permettre la sur-vie de la société spectaculaire du fétichisme marchand en décomposition, c’est celle de son dernier spectacle le plus pathologique, celui du grotesque et frénétique coronavirus qui vient là conclure la grande charlatanerie du 11 septembre 2001 et toutes les machineries d’infections et de sournoiseries ultérieures…

Maintenant que plus personne, à condition qu’il s’interroge véritablement sur le sens de la vie, ne peut plus raisonnablement douter de l’existence et de la puissance terroriste du spectacle démocratique de la bêtise furieusement et colossalement répandue, il faut bien saisir que l’idiote jacasserie insondable sur le coronavirus, c’est-à-dire sur ce que font les falsificateurs du monde, est ainsi et essentiellement planifiée par eux-mêmes afin de justifier les grandes techniques délirantes du spectacle de l’oppression qu’ils entendent voir demeurer éternelles

Tout ceci a pour objet chimérique et sournois de mettre en jachère intensive de larges parts de la sur-production interminable du Capital in-commensurable de la crise sans fin tout en mettant en œuvre le contrôle social répressif renforcé et absolu du prolétariat…

Le coronavirus est là, le dernier garant de la cohésion totalitaire de la société de classe en décomposition… Avant que d’être l’objet d’une réalité virale, il est bien et fondamentalement le rapport social policier obligatoire de la crise historique mondiale du monothéisme de la marchandise…

A bas la guerre sanitaire des bobards du spectacle étatique contre l’humanité pour préserver la dictature de l’exploitation capitaliste !

Vive la Guerre sociale des hommes contre toutes les dictatures de la planète marchandise pour un monde sans exploitation ni aliénation !

MOBILISATION GÉNÉRALE POUR L'INSURRECTION PACIFIQUE CAR HUMAINE DES CONSCIENCES VERS UN MONDE SANS ARGENT NI DICTATURE DE LA MARCHANDISE!

14/03/2020

Sur la production armée, médiatique et virale du coronavirus…

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Militarisation du quotidien de notre état policier démocratique, fructueuse, gigantesque mais visible et maîtrisée opération, malversation boursière, ce qui ressemble à la mise en place d'un état d'urgence permanent ou à son ultime répétition chargée du contrôle total, agressif et répressif des populations n'est en aucun cas et à aucun moment une improvisation mais l'exercice planifié et rentable résultant du constat du déterminisme absolu régulant l'évolution terminale du Capitalisme à l'heure de sa domination réalisée indiscutable donc la veille de sa fin. En cliché Milan, la cathédrale de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, piazza del Duomo, lorsqu'on ne peut détruire par le B-52 son seul rival vassalisé économiquement, politiquement, culturellement depuis 1945, alors le chemin de traverse devient la seule solution.

La production spectaculaire du coronavirus comme mystification terroriste nécessaire tout à la fois pour la mise en friche crisique d’une grande partie du Capital excédentaire et pour le contrôle social renforcé du prolétariat universel…

Le Capital en son Livre premier contient une Première section dont la IV° partie porte le titre significatif : Le caractère fétiche de la marchandise et son secret. Marx y développe cette position essentielle qui, à partir « du caractère mystique de la marchandise » permet d’entrevoir que « la valeur ne porte donc pas écrit sur le front ce qu’elle est. Elle fait bien plutôt de chaque produit du travail un hiéroglyphe. Ce n’est qu’avec le temps que l’homme cherche à déchiffrer le sens de l’hiéroglyphe à pénétrer les secrets de l’œuvre sociale à laquelle il contribue… ». Ainsi comme le développera ultérieurement Guy Debord dans ses Commentaires et comme cela a été élargi, creusé et détaillé dans la Critique de la société de l’indistinction ; le secret généralisé des mensonges totalitaires de la crise du taux de profit se tient derrière le spectacle de la tyrannie démocratique de la loi de la valeur, comme le complément décisif de ce qu’il montre et, si l’on descend au fond des choses, comme sa plus importante opération de mystification.

La crise de la domination réalisée du Capital tend désormais à s’imposer mondialement comme réalisation de la domination de la crise du Capital. Comme Marx l’avait naturellement prévu dans l’ensemble de son œuvre et notamment dans le chapitre inédit du Capital : « la production capitaliste est production et reproduction du rapport de production spécifiquement capitaliste ». L’expérience pratique de l’accomplissement sans limite des ambitions de la raison marchande met là en évidence que le développement universel de la duperie terroriste est avant tout l’universelle duperie du terrorisme développé.


La carte des victimes du coronavirus actualisée en temps réel de la panique organisée se garde bien de comptabiliser les 40 à 45 morts quotidiennes en liaison avec le chômage depuis des années en France.

….

Comme le pose donc clairement la Première section du livre I du Capital, la société du despotisme de la liberté du profit est essentiellement édifiée sur le secret, depuis les sociétés fictives qui dissimulent les transactions financières d’une ou de plusieurs autres sociétés cachées ailleurs jusqu’au « secret diplomatique » et au « secret militaire » ou « policier » en passant par le « secret médical », le « secret commercial » ou « industriel » et le « secret publicitaire » qui protègent et dissimulent à l’époque actuelle une interminable étendue de cartes blanches innommables et sordides que l’État invisible s’offre à lui-même dans le cours historique de la crise absolue de son impénétrabilité autocratique.

Par conséquent, la question d’ensemble de la démocratie totalitaire de la chosification loge intégralement dans le caractère fétiche de la marchandise et son secret tel que le Livre premier du Capital le retrace. Ce secret se dissimule et se déguise au fondement voilé du spectacle de la réification lui-même en tant que terminaison et solution cruciale de tout ce qu’il divulgue à la surface de l’apparence de l’évènement.

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"Chinese Foreign Ministry spokesman Zhao Lijian was the first of the country’s officials to give voice to a prevailing theory among analysts, when he wrote on February 12th that the U.S. Military might have brought the COVID-19 Coronavirus to to the province of Wuhan after which the outbreak begun. He tweeted in English on the day: “When did patient zero begin in U.S.? How many people are infected? What are the names of the hospitals? It might be U.S. Army who brought the epidemic to Wuhan. Be transparent! Make public your data! U.S. owe us an explanation!” It is unclear whether Zhao was referring to the possibility of intentional biological attack, which some analysts have speculated would complement the ongoing trade war and military pressure, or whether it was accidental. Should the former theory be the case, it would follow considerable evidence of American biological attacks on China during the Cold War. 

Giving some credibility to the spokesman’s theory, 300 U.S. Military personnel attended the World Military Games in October 2019 shortly before the outbreak. Given the virus’ incubation period of 2-4 weeks, and the games’ location in Wuhan itself, this does not rule out the possibility that the virus originated in the United States. Chinese officials have not voiced such theories in the past, and Zhao’s statement could indicate a new level of proof for the theory as the country’s health authorities continue their program to track down the virus’ source. The origin of the virus as of yet remains uncertain, and its remains to be seen whether allegations will be followed by concrete evidence" (source Military Watch Magazine 13/03/2020). En photo la délégation américaine dans le stade de Wuhan.

Les appropriateurs du monde de l’argent ne le sont seulement qu’en raison de l’abandon dans lequel se sont placés historiquement les hommes face à leur propre humanité…Lorsque ceux-ci se débarrasseront de leur résignation au moment de la crise terminale de la matérialité de la conscience fausse, alors pourra – tout compte fait – s’auto-manifester la réalité de la conscience vraie…C’est là tout l’enjeu de ce que désigne le spectacle moderne du règne terroriste de la crise historique de la marchandise…

Avant-propos au VERIDIQUE RAPPORT SUR LES DERNIERES NECESSITES DE PRESERVATION ET D’EXTENSION DE LA DOMINATION AMERICAINE SUR LE MONDE

Opéra mythologique à grandes machineries policières et sanitaires, le spectacle aliénatoire du coronavirus exprime bien la réalité du krach boursier de la marchandise moribonde qui se prépare … C’est donc bien là, la contradiction essentielle de la domination spectaculaire de la baisse du taux de profit qui est l’enjeu stratégique de l’instant en tant qu’actualité de la crise historique de la valeur d’échange qui est précisément en train de signifier l’effondrement de tout un monde…

Les expérimentateurs qui opèrent en Italie, et commencent à en faire le laboratoire européen de la contre-révolution, sont habitués à une complicité générale de tous ceux qui ont la parole, complicité qui, poussée à ce point, donne au pays une fausse allure d’imbécillité générale.

Debord à Gianfranco Sanguinetti, 21 avril 1978


Olivier Delamarche est un analyste financier spécialisé dans l’analyse macro-économique, aujourd’hui membre des Econoclastes, un groupe de réflexion qui décrypte l’économie en voulant s'affranchir des discours convenus. Il est aussi responsable du programme "C'est cash"sur la chaîne RT France.

12:07 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, coronavirus, europe | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

04/03/2020

Coronavirus : déstabiliser la chine et cacher la crise

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Détourner l'homme des vrais problèmes est la préoccupation première de la société du spectacle

Le coronavirus fait l'actualité, toute l'actualité mais il ne fait que ça. Si on regarde le grand sujet à la mode, les victimes de la pandémie mondiale ne sont pas grand chose à coté du bilan mondial des victimes annuelles de la grippe ou de celles annuelles du chômage en France (environ 1200 morts par mois).

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Comme pour le 11 septembre 2001, un auteur de thriller américain annonçait tout. La version française du roman ( Les Yeux des ténèbres, traduit par Jacqueline Lenclud, Paris, Presses-Pocket, coll. « Pocket Terreur » no 9011, 1990 ), plus antirusse, rebaptisait le virus Gorki-400 ! Mais le réel dès octobre 2019 avec le Johns Hopkins Center for Health Security à Baltimore et un exercice de simulation fondé sur une épidémie de coronavirus appelée nCoV-2019 repoussait les limites.

Alors pourquoi cette surmédiatisation ?

Comme pour tout phénomène d'ampleur on trouve le cumul de plusieurs intérêts. Il y a bien entendu la déstabilisation de la Chine qui a déjà perdu de l'ordre de 70 milliards dans l'histoire.

C'est aussi l'occasion d'augmenter la surveillance et le flicage de la population très turbulente, plus Charlie mais de plus en plus Gilets Jaunes et des Gilets Jaunes d'autant plus dangereux pour le système qu'ils ne défilent plus bêtement en ville sous la matraque, au milieu des infiltrations sociétales et antifas.

On peut ajouter la très utile dissimulation de la récession, de la crise financière. Un mensonge d'autant plus gros que l'affaire coronavirus est très bénéfique au PIB en faisant vider les supermarchés des produits de première nécessité que le consommateur ne stocke habituellement plus comme autrefois.

Enfin, il y a une énorme opération financière qui a fait perdre à certains milliardaires (français) 10 milliards de dollars et à d'autre de gagner sûrement bien plus.

Le marché n'est d'ailleurs pas dupe de l'histoire car si coté politiques, on visite les hôpitaux avec inquiétude, si on interdit les réunions de 5000 personnes, on se garde bien d'interdire les meetings électoraux ou les rencontres de football. Le commerce avant tout !


Se protéger en hiver passe avant tout par le système immunitaire et pas par l'illusoire masque. Un bon jus avec carottes, patates douces, curcuma, gingembre, piment est à considérer. L'information donnée par Thierry Casasnovas est très pertinente. Aidez-le à diffuser gratuitement de l'information. ▶ soutenir sur Tipeee : http://fr.tipeee.com/thierry-casasnov... Ne manquez pas Les Rencontres de la Régénération 2020 ! ▶ Pour réserver vos places au festival : http://www.rencontres-regeneration.co... ▶ Stage de 2 jours avant les Rencontres : http://www.rencontres-regeneration.co...

A lire :

Coronavirus COVID-19: Une fausse pandémie? Qui est derrière cela? Déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale

Le battage médiatique et la campagne de désinformation à propos de la propagation du nouveau coronavirus COVID-19 créent dans le monde entier un climat de peur et d’incertitude depuis que l’OMS a déclaré qu’il s’agissait d’une urgence de santé publique de portée internationale le 30 janvier. 

La campagne de peur est en cours, créant la panique et l’incertitude. Les gouvernements nationaux et l’OMS induisent le public en erreur.

« Environ 84 000 personnes dans au moins 56 pays ont été infectées et environ 2 900 en sont morts », indique le New York Times. Ce que le journal omet de mentionner, c’est que 98 % des cas d’infection se trouvent en Chine continentale. Il y a moins de 5 000 cas confirmés à l’extérieur de la Chine (OMS, 28 février 2020).

Pour le moment, il n’y a pas de véritable pandémie à l’extérieur de la Chine continentale. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.

Au moment d’écrire ces lignes, le nombre de « cas confirmés » aux USA est de 64.

Le chiffre est minime, mais les médias sèment la panique.

Il y a pourtant 15 millions de cas d’influenza aux USA.

Le dernier rapport de surveillance FluView du US Center for Disease Control and Prevention (CDC) indique que le 18 janvier 2020, il y avait 15 millions de cas de grippe, 140 000 hospitalisations et 8 200 morts en cette saison grippale aux USA (soulignement ajouté).

Données sur la pandémie du COVID-19 

Le 28 février 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rapportait 83 652 cas confirmés de COVID-19, dont 78 961 en Chine continentale. En dehors de la Chine, il y en avait 4 691 (OMS, 28 février 2020, voir le tableau à droite).

L’OMS rapportait aussi 2 791 morts, dont 67 seulement à l’extérieur de la Chine continentale.

Ces chiffres confirment que la pandémie se limite principalement à la Chine continentale.

De plus, des données récentes tendent à démontrer que l’épidémie en Chine est maîtrisée. Le 21 février 2020, la Commission nationale de la santé de la République populaire de Chine a rapporté que 36 157 patients ont été déclarés guéris et ont quitté l’hôpital (voir le graphique cidessous).

Des rapports chinois confirment que les gens ont suivi un traitement et récupèrent de l’infection virale. Le nombre de patients infectés diminue aussi.

Selon l’Administration nationale des produits pharmaceutiques de la Chine, les hôpitaux utilisent le médicament antiviral Favilavir « pour traiter le coronavirus avec un minimum d’effets secondaires ».

 

Examinons les chiffres :

La population mondiale est de l’ordre de 7,8 milliards de personnes

La population de la Chine est de l’ordre de 1,4 milliard de personnes.

La population mondiale moins la Chine est de l’ordre de 6,4 milliards de personnes.

4 691 cas confirmés et 67 morts rapportés (à l’extérieur de la Chine) sur une population de 6,4 milliards ne constituent pas une pandémie. 4 691/6 400 000 000 =0,00000073 = 0,000073 %

Aux USA, 64 cas sur une population d’environ 330 millions ne constituent pas une pandémie. (données du 28 février) : 64/330 000 000.

Pourquoi la propagande? Racisme à l’endroit des personnes d’origine chinoise

Une campagne délibérée contre la Chine a été lancée et une vague de sentiments racistes contre les personnes d’origine chinoise est en cours, colportées en grande partie par les médias occidentaux.

The Economist rapporte que « Le coronavirus répand le racisme contre les gens d’origine chinoise et aussi entre eux ».

La peur du covid-19 fait que les gens se comportent mal, y compris certains Chinois.

« La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme en raison de l’épidémie de coronavirus » selon le SCMP.

« Les communautés chinoises à l’étranger sont de plus en plus confrontées à des abus et à des discriminations racistes dans le contexte de l’épidémie de coronavirus. Certaines personnes d’origine chinoise vivant au Royaume-Uni disent avoir été victimes d’une hostilité croissante en raison du virus mortel originaire de Chine ».

Le même phénomène se produit aussi partout aux USA.

Guerre économique contre la Chine

La stratégie des USA consiste à se servir du COVID-19 pour isoler la Chine, malgré le fait que l’économie des USA dépend largement des importations chinoises.

La désorganisation à court terme de l’économie chinoise est largement attribuable à la fermeture (temporaire) des circuits commerciaux et du transport.

L’urgence de santé publique déclarée par l’OMS se conjugue à une désinformation médiatique et à l’interdiction des vols en direction de la Chine.

Panique à Wall Street 

La désinformation médiatique a pris une autre dimension en semant la panique sur les marchés boursiers. 

La crainte du coronavirus a entraîné une chute des marchés financiers partout dans le monde.

Coronavirus Epidemic: WHO Declares a “Fake” Global Public Health Emergency

D’après des rapports, la valeur des marchés boursiers mondiaux a fondu d’environ 6 billions de dollars. Ce déclin serait jusqu’ici de l’ordre « de 15 % ou plus ».

Cela cause des pertes massives d’épargne personnelle (c.-à-d. d’Américains moyens), auxquelles s’ajoutent les faillites personnelles et les faillites d’entreprises.

C’est aussi toute une aubaine pour les spéculateurs institutionnels, notamment pour les fonds spéculatifs des sociétés. La débâcle financière entraîne des transferts importants de richesses monétaires dans les poches d’une poignée d’institutions financières.

Le plus ironique, c’est que les analystes lient nonchalamment en chœur l’effondrement des marchés à la propagation du virus, alors qu’il n’y a que 64 cas confirmés aux USA.

« Il n’est pas étonnant que les marchés soient à la baisse… le virus a pris tellement d’ampleur… »

Pouvait-on « prévoir » le krach financier de février?  

Il serait naïf de croire que la crise financière n’était attribuable qu’aux forces du marché qui ont répondu spontanément à la propagation du COVID-19. Le marché était déjà soigneusement manipulé par des acteurs puissants qui se servent d’instruments spéculatifs dans les marchés sur les instruments dérivés, dont la « vente à découvert ».

L’objectif tacite est la concentration de la richesse. C’était toute une aubaine financière pour les « initiés » qui connaissaient à l’avance ce qui mènerait à la décision de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique de portée internationale le 30 janvier.

La pandémie de COVID-19 (nCoV-2019) était-elle connue à l’avance? Quelles sont les répercussions probables?

Le 18 octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security à Baltimore a entrepris un exercice de simulation consciencieusement élaboré d’une épidémie de coronavirus appelée nCoV-2019.

Lors de l’exercice appelé Event 201 Simulation of a Coronavirus Pandemic, on a « simulé » une chute des marchés boursiers de 15 %. Elle n’était pas « prévue » selon les organisateurs et les commanditaires de l’événement, la Bill and Melinda Gates Foundation et le Forum économique mondial.

Capture d’écran, 201 A Global Pandemic Exercise

La simulation effectuée en octobre appelée nCoV-2019 a eu lieu à peine deux mois avant l’apparition du COVID-19.

La simulation de pandémie du John Hopkins simulait une chute des marchés boursiers de « 15 % ou plus » (vidéo, section 0.0 – 1’2″), qui correspond largement à la baisse qui a vraiment eu lieu à la fin de février 2020.

(voir la vidéo ci-dessous)

Bien des aspects de cet « exercice de simulation » correspondent en fait à ce qui s’est réellement produit lorsque le directeur général de l’OMS a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30 janvier 2020.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que ceux qui parrainaient « l’exercice de simulation » du John Hopkins Center sont puissants et bien renseignés dans les domaines de la « santé mondiale » (B. and M. Gates Foundation) et de « l’économie mondiale » (FEM).

Il convient aussi de noter que l’OMS a initialement adopté un acronyme similaire (pour désigner le coronavirus) à celui de l’exercice de simulation d’une pandémie du John Hopkins Center (nCoV-2019) avant de le changer pour COVID-19

Corruption et rôle de l’OMS

Qu’est-ce qui a motivé le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, à déclarer que le nCoV-2019 constitue une « urgence de santé publique de portée internationale » le 30 janvier, alors que l’épidémie était largement confinée à la Chine continentale?

Tout porte à croire que le directeur général de l’OMS Tedros servait les intérêts de puissants partenaires corporatifs.

Selon F. William Engdahl, Tedros entretient des liens de longue date avec les Clinton et la Clinton Foundation. Il est aussi étroitement lié à la Bill and Melinda Gates Foundation.

De pair avec le Forum économique mondial de Davos, la Gates Foundation a parrainé « l’exercice de simulation » du John Hopkins nCoV-2019.

Comme ministre de la Santé, Tedros a également présidé le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et la malaria dont la Gates Foundation était la cofondatrice. Le Fonds mondial a été entaché de scandales de fraude et de corruption.

« Pendant les trois ans de campagne menée par Tedros pour obtenir son poste à l’OMS, il a été accusé d’avoir caché trois épidémies majeures de choléra pendant qu’il était ministre de la Santé de l’Éthiopie, qualifiant faussement les cas de « diarrhée aqueuse aiguë » (un symptôme du choléra), afin de minimiser l’importance de l’épidémie, une accusation qu’il a niée. » (Engdahl, op. cit.).

 

Une campagne de développement d’un vaccin massive a été ordonnée par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. De nombreuses compagnies pharmaceutiques y travaillent déjà.

À cet égard, il est important de rappeler la fraude de l’OMS pendant le mandat de son prédécesseur, le Dr Margaret Chan, qui a déclaré ceci au sujet de la pandémie de grippe porcine H1N1 en 2009 :

« Les fabricants de vaccin peuvent produire 4,9 milliards de vaccins antigrippaux par année dans le meilleur des cas. » (Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé, citée par Reuters le 21 juillet 2009, soulignement ajouté).

 

Il n’y avait pas de pandémie de H1N1 en 2009. Il s’agissait d’une fraude pour faire de l’argent, comme l’a révélé le Parlement européen.

Quelle est la prochaine étape de la pandémie de COVID-19? Est-ce une fausse ou une vraie pandémie?

  • La propagande contre la Chine n’est pas terminée.
  • Pas plus que la « pandémie de peur » à l’extérieur de la Chine, malgré le nombre vraiment bas de « cas confirmés ».
  • La crise financière se poursuit, soutenue par la désinformation médiatique et les ingérences financières.
  • Si les relations commerciales habituelles (et le transport) entre les USA et la Chine ne se rétablissent pas, la livraison de biens de consommation « Made in China » exportés aux États-Unis sera compromise.
  • Cette situation pourrait déclencher une crise majeure dans le commerce de détail aux USA, où les biens « Made in China » constituent une part importante de la consommation mensuelle des ménages.
  • Du point de vue de la santé publique, les perspectives d’éliminer le COVID-19 en Chine sont favorables. Des progrès ont déjà été rapportés.
  • Dans le reste du monde (où il y avait environ 3 000 cas confirmés le 28 février 2020 ), la pandémie de COVID-19 se poursuit, de pair avec la propagande en faveur d’un programme de vaccination mondial.
  • Sans une campagne de peur conjuguée à de fausses nouvelles, le COVID-19 n’aurait pas fait les manchettes.
  • D’un point de vue médical, une vaccination mondiale est-elle indiquée?
  • 43,3 % des « cas confirmés » en Chine sont maintenant considérés comme « rétablis » (voir le graphique ci-dessus). Les reportages occidentaux ne font pas la distinction entre les « cas confirmés » et les « cas infectés confirmés ». Ce sont ces derniers cas qui sont pertinents. La tendance est à un rétablissement et à la baisse des « cas infectés confirmés ».

La campagne de vaccination massive de l’OMS (susmentionnée) a été dûment confirmée par son directeur général, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 28 février :

« … plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs produits thérapeutiques sont en cours d’essais cliniques, dont les premiers résultats sont attendus dans « quelques semaines ». (soulignement ajouté)

Il va sans dire que cette décision de l’OMS constitue une autre manne financière pour les cinq principaux producteurs de vaccins : GlaxoSmithKline, Novartis, Merck & Co., Sanofi, et Pfizer, qui contrôlent 85 % du marché des vaccins. Selon CNBC : (soulignement ajouté)

Ces sociétés sont entrées dans la course pour combattre le coronavirus mortel et planchent sur des programmes pour créer des vaccins ou des médicaments… Sanofi fait équipe avec le gouvernement des USA pour développer un vaccin contre le nouveau virus, en espérant que ses travaux sur l’éclosion du SRAS en 2003 vont accélérer le processus. En 2019, Merck a tiré des revenus de 8,4 milliards de dollars du marché du vaccin, un segment en croissance à un taux annuel de 9 % depuis 2010, selon Bernstein. 

GlaxoSmithKline a annoncé ce mois-ci son partenariat avec la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations [CEPI] en vue d’un programme de vaccination… La CEPI a vu le jour lors du Forum économique mondial de 2017.

Fait à souligner, la CEPI lancée à Davos en 2017 est soutenue par la Bill and Melinda Gates Foundation, the Wellcome Trust (une fondation humanitaire britannique multimilliardaire) et le Forum économique mondial. Les gouvernements de la Norvège et de l’Inde en font partie et leur rôle consiste principalement à financer la CEPI.

Chronologie

18 octobre 2019 : La B. and M. Gates Foundation et le Forum économique mondial sont des partenaires de « l’exercice de simulation » d’une pandémie au nCoV-2019 effectué par le John Hopkins Center for Health Security en octobre 2019.

31 décembre 2019 : La Chine alerte l’OMS de la découverte de plusieurs cas de « pneumonie inhabituelle » à Wuhan, dans la province du Hubei.

7 janvier 2020 : Les responsables chinois annoncent avoir identifié un nouveau virus. L’OMS nomme le nouveau virus 2019-nCoV (exactement le même nom que le virus ayant fait l’objet de l’exercice de simulation du John Hopkins Center, sauf le placement de la date).

24 et 25 janvier 2020 : Sommet de Davos sous les auspices de la CEPI, qui est aussi le fruit d’un partenariat entre le Forum économique mondial et la Gates Foundation, au cours duquel le développement d’un vaccin contre le 2019 nCoV est annoncé (2 semaines après l’annonce du 7 janvier 2020 et à peine une semaine avant la déclaration de l’urgence de santé publique de portée internationale par l’OMS).

30 janvier 2020 : Le directeur de l’OMS déclare une « urgence de santé publique de portée internationale ».

Voilà maintenant qu’une campagne de vaccination a été lancée pour enrayer le COVID-19 sous les auspices de la CEPI en partenariat avec GlaxoSmithKline. 

Conclusion

Le COVID-19 (alias nCoV-2019) représente un pactole valant des milliards de dollars pour les grandes sociétés pharmaceutiques. Mais il contribue aussi à précipiter l’humanité dans un dangereux processus de déstabilisation économique, sociale et géopolitique.

Michel Chossudovsky pour mondialisation.ca

 

Article original en anglais :

COVID-19 Coronavirus: A Fake Pandemic? Who’s Behind It? Global Economic, Social and Geopolitical Destabilization, le 1er mars 2020.

Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca

12:48 Publié dans Actualité | Tags : coronavirus, intox, santé, chine | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!