Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/11/2020

Contre le mensonge sanitaire et marchand perpétuel

covid,capitalisme,mensonge,sanitaire,masque,propagande,santé,oms,dictature

«Le médicament antiviral remdesivir n'est pas conseillé pour les patients admis à l'hôpital pour le Covid-19, quel que soit le degré de gravité de leur maladie, car il n'y a actuellement pas de preuve qu'il améliore la survie ni qu'il permette d'éviter d'être placé sous ventilation artificielle» (communiqué de l'OMS, 20/11/2020). l'Agence européenne du médicament (EMA) a indiqué le 2 octobre qu'elle allait étudier des signalements selon lesquels des «problèmes rénaux aigus» pourraient être liés à la prise de Remdesivir.

Le régime inculte de la crise capitaliste intégrale et donc in-gérable nous propose le re-confinement éternel pour que la démocratie du spectacle de la terreur marchande puisse – par le biais de la grande diversion mythologique du Coronavirus – tenter d’enrayer la Guerre sociale qui se prépare…

C’est donc bien la tyrannie sanitaire perpétuelle du mensonge démocratique de la valeur d’échange qui se dé-voile…

C’est aussi et évidemment le Chaos de la menace terroriste incessante sous faux drapeau qui continue… C’est la géo-politique fanatique de l’angoisse systémique, de la dramatisation constante, et des manœuvres permanentes du fétichisme marchand de la falsification omni-présente… Bref, c’est la production intensive du totalitarisme de la crise sans interruption de la baisse du taux de profit…

Tout cela, c’est évidemment la décomposition finale du spectacle de la marchandise qui commence à explosivement surgir et qui fait tout pour museler, abrutir et sidérer le prolétariat dans l’accumulation des spectacles anxiogènes de la décadence du Capital…

Après de longs mois d’insubordination sociale durant lesquels les Gilets Jaunes incontrôlables ont commencé à déborder tous les services d’ordre policiers de la gauche du Capital, meilleur bras armé du MEDEF, la république totalitaire du profit souverain était de plus en plus nue… Il lui a fallu pour tenir, les magouilles étatiques terroristes, les bouffonneries de l’anti-racisme, les pitreries du féminisme, les singeries du capitalisme vert puis les intrigues étatiques sanitaires sont arrivées en tant que stade suprême de l’impérialisme de la terreur marchande…

La pandémie fabuleuse fabriquée, n’est rien d’autre que l’expression ultime du terrorisme fantasmagorique de l’usine fétichiste de la contre-vérité mégapolitaine ubiquiste… 

covid,capitalisme,mensonge,sanitaire,masque,propagande,santé,oms,dictature

Le masque ne vous protège clairement pas du Covid comme le démontre encore une étude cette fois danoise mais il est l'occasion de subir des infections.

La folie étatique Coronavirale est une mystification médicalo-policière du spectacle de la marchandise construite autour de quelque chose qui n’existe pas et qui n’est là que pour dissimuler la folie de quelque chose qui existe bien mais qui ne doit point être perçu et admis comme réel tant ce qui en découle est terrible pour les administrateurs du monde… En effet, c’est la crise cataclysmique de la dictature démocratique du profit qui signale que le diktat de l’argent est en train d’irrémédiablement crever en son impuissance dorénavant planétairement réalisée

Par le confinement désormais remis en mouvement interminable jusqu’à l’horizon de l’été 2021, la science de la légitimation fallacieuse de la surveillance capitaliste nous explique que l’impératif le plus pressant pour les temps qui viennent, c’est de cacher aux yeux du monde que la mortelle décomposition du mode de production capitaliste en train d’ad-venir est en train de faire mouvement vers le temps visible de l’évidence de l’impossible reproduction de toutes les logiques de marché… Ce stade final de la domestication où l’ordre du faux ne parvient plus à engendrer les conditions de son à venir, le conduit dès lors à tenter de vouloir sournoisement établir à tout prix que l’effondrement de l’économie n’est point économique mais résulterait d’un drame sanitaire venu d’ailleurs


Le Pr Raoult sur Cnews dérange le bon déroulement d'une opération de destruction économique et sociale qui permet aussi grâce au mensonge sanitaire mais marginalement des spéculations ayant déjà porté globalement sur 200 milliards de dollars. On ne s'étonnera donc pas de ses problèmes avec la légalité démocratique servant l'argent.

Le mensonge des étatismes du Coronavirus toujours prolongé, en France et partout ailleurs, c’est ainsi et exclusivement l’ordre mondial de la crise catastrophique du Capital qui nous prépare à un re-confinement continuel pour enrayer la Guerre de classe qui avance en ce moment précis où les populations prolétarisées d’Italie et d’Espagne commencent à se dresser

L’hystérie éternisée du Coronavirus spectaculaire est l’espace-temps idéologique où la manifestation de la décomposition du capitalisme, drogué et sénile crie son impasse, son cul de sac et son engrenage d’absurdie lorsque les taux négatifs de l’imposture du crédit chimérique viennent avouer l’obligation irréfragable de l’effondrement industriel et financier mondial matérialisé en jachère étendue en tout lieu afin de tenter désespérément de se débarrasser de la suraccumulation pléthorique…

Crise universelle de la baisse du taux de profit… Saturation du marché planétaire… Crédit chimérique exubérant… Bourrage de crâne médiatique frénétique et incessant…

Renforcement du couvre-feu… Délires pathologiques redoublés du Conseil scientifique du spectacle de la marchandise… Statistiques invariablement entortillées, trafiquées et tordues à dessein… Tout ceci vient dire que toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production de la crise ultime du Capital s’annonce comme une immense accumulation de spectacles crisiques qui sont en train d’invalider le spectacle du fétiche Capital lui-même… Tout ce que l’État voudrait continuer d’éloigner dans la représentation de la contre-façon est ainsi en train de revenir en anti-thèse comme un possible directement vécu dans la joie vivante de la lutte de classe consciente et incendiaire…

L’auto-émancipation humaine surgira de ce monde de ruines… Au terme du mouvement par lequel la conscience vraie détruira toutes les mythologies de la vie absente à elle-même, elle se fera donc présence de force à sa propre force de présence…

La lutte de classe du prolétariat mondial contre toutes les soumissions à l’économie politique de l’argent, contre tous les mensonges étatiques du Coronavirus, contre toutes les manipulations terroristes du Chaos spectaculaire de l’indistinction marchande et contre toutes les gangs capitalistes de l’union-sacrée dans la surenchère de la duperie sanitaire constamment excitée en toutes ses névroses d’impuissance ne va donc cesser de se renforcer et le constate avec des catégories moyennes poussées par le réel dans les rangs des Gilets Jaunes de demain.

L'aspiration à un monde sans argent ni état est le cœur du combat contre tous les flics du Capital qui de l’extrême droite à l’extrême gauche de la marchandise entendent nous faire plier…

09:01 Publié dans Actualité | Tags : covid, capitalisme, mensonge, sanitaire, masque, propagande, santé, oms, dictature | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

08/09/2020

Crise du capital de la rentrée sous la loupe de l'analyse radicale car humaine

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

La France, bastion avancé de la lutte de classe prolétarienne est issue d’une longue tradition radicale qui s’inscrit dans la spécificité communeuse de l’espace-temps européen millénaire tel que ce dernier a su faire surgir, de manière pratico-théorique accomplie, le Manifeste Communiste contre l’argent et contre l’Etat… Non, la France n’est point une auberge orientale de transactions commerciales destinée à perpétuer à l’infini, les religions de soumission du pécule qui bouge sans arrêt, non elle n'est pas un  hôtel !  Elle est la terre vivante des insurrections réfractaires qui de la Commune de Paris à l’irruption des Gilets Jaunes en passant par la grève sauvage de 1968, n’a jamais cessé de rappeler que l’émancipation humaine universelle passe par la destruction de l’économie et de la politique…

Le pouvoir totalitaire de la marchandise est exclusivement l’expression unitaire de la conscience fausse, devenue complètement adéquate à la nécessité pour le temps de l’aliénation, de tenter de se rendre définitivement irréversible… Ainsi, le propre du spectacle du fétichisme marchand est-il de toujours s’acharner à démembrer tout ce qui pourrait permettre le surgissement historique d’une conscience susceptible de saisir l’imposture du temps immobilisé par le marché mondial de l’ignardise et de la passivité…

La dictature démocratique de l’histoire réifiée doit donc pour attacher la vie dans la liberté de la reproduction capitaliste sans fin disloquer l’esprit humain pour le rassembler ensuite sous les formes les plus trompeuses telles que le devenir de la marchandise les a fixées comme obligatoires…

C’est évident… La révolution sociale ne viendra jamais des populations immigrées consommatoires qui représentent d’abord les circuits les plus aliénatoires des déplacements serviles du libre-échange capitaliste… Et ce dernier fait tout pour justement ensevelir la radicalité insurrectionnelle du prolétariat européen qui seul, sut faire apparaître les Conseils ouvriers révolutionnaires pour l’abolition du salariat… C’est pourquoi la discrimination positive intensive de tout ce qui contredit l’histoire prolétarienne radicale est bien la norme absolue de cette fade bouillie informe des razzias de la consommation mercantile la plus idiotisante telles qu’elles ne cessent d’étendre l’égalisation marchande du consommer abrutissant… De la sorte, la tyrannie démocratique des grands mélanges abêtissants vise essentiellement à nous faire sortir de l’histoire pour nous figer dans le monothéisme de la marchandise perpétuelle…

Le Capital voudrait tellement enfin déclarer mort le prolétariat révolutionnaire, qu’après avoir systématiquement opéré son grand remplacement cosmopolite par l’immigré pensionné, nouvelle Sainte production de l’économie politique antiraciste à sens unique, il s’essaye désespérément à organiser la substitution du concept historique de lutte de classe contre l’argent par celui de lutte publicitaire des races pour la re-distribution privilégiée des mille prestations possibles…

Désormais, l’immigré naturalisé de papier est intégralement devenu la marchandise de sauvetage prioritaire pour essayer de permettre au Capital d’échapper à la sanction de sa crise historique inévitable… Aussi est-il la marchandise vedette intouchable de la société spectaculaire en crise généralisée… Salarié docile et honnête qui veut s’intégrer à tout prix à la galerie marchande officielle ou profiteur de l’économie souterraine qui fait malversation en tous genres, l’immigré est clairement depuis la grande peur de la grève généralisée de 1968, le seul moyen patronal de faire maillage territorial et historique de contre-révolution pour empêcher le retour de l’insurrection ouvrière joyeuse et érotique qui dit l’amour, les sens, la nature, le vin, la cochonnaille et la jouissante Commune subversive…

Les migrants clandestins, clientèles faciles de l’obéissance au fric, désignés métaphoriquement et indûment comme sans papiers sont – en premier lieu – des chances capitalistes qu’il faut accueillir dans les bas-fonds subventionnés des mégapoles de la marchandise afin que les bobos urbains, écolos hébétés, puissent survivre dans leur misère existentielle de piteuses épaves favorisées et ainsi s’afficher en terrain avantagé, bien loin des prolétaires expulsés des centres-villes et de leurs banlieues désormais livrées au libre-échangisme des migrations exotiques les plus ahuries et les plus accommodantes… Nous sommes ainsi désormais des millions et des millions de prolétaires à être journellement traités comme des moins que rien, comme des « esclaves salariés » de la démocratie de la valeur d’échange, et bien entendu la maladive compassion des classes dirigeantes pourries ne s’occupe et ne s’émeut que de ce qui rime avec l’étranger puisque la gauloiserie de souche réfractaire doit justement être réduite au silence… Cela s’appelle la lutte des classes et contre tous les larbins du progrès mondialiste de la domestication capitaliste, le prolétariat universel devra balayer toutes les réalités systèmo-compatibles qui se dressent entre lui et son émancipation…

Pompier caillassé, chauffeur de bus mis à mort, infirmière violentée, postier dépouillé, passant racketté, petit vieux massacré et cambriolé, piéton écharpé, promeneur lynché … La racaille froussarde, récidiviste et pitoyable s’attaque toujours en nombre et vilement au prolétaire isolé pendant qu’elle adule servilement tous les circuits tarés et véreux du spectacle mortifère de l’accumulation marchande…

Un sauvage est un homme d’émotion d’avant le dressage social de la civilisation de l’argent et de l’État …

À l’envers, une racaille est une ordure mécanique et prédatrice de la grande déchèterie robotique capitaliste… C’est une res, degré ultime de la réification analysée par Marx, chose qui ne voit que des choses dans un monde de chosification exclusive… Un débris haineux, laid et obtus par essence, qui ne pense pas et ne parle pas… Au contraire des blousons noirs des temps passés qui savaient encore manier une langue qui disait un certain mode d’être, les bandes capuchonnées de la banlieue boutiquière d’aujourd’hui ne peuvent plus que réciter les onomatopées de la chose mercantile la plus putridement fermée… C’est donc pourquoi la machine froide, maniaque et malveillante de la déchèterie banlieusarde est bien une merde contre-révolutionnaire qui éructe en permanence son impuissance à ressentir et qui dès lors est condamnée – par compensation maladive – à produire partout le cynisme compulsif de la crapulerie, du gang, de la bassesse et de l’abjection…

Qui sont donc ces abrutis dégénérés de la violence urbaine de la décadence capitaliste dont le prénom est toujours médiatiquement systématiquement occulté ? Non, ce ne sont point des sauvages, ce sont les excréments modernes de toute la décomposition chosifiante et pathologique de la crise historique du spectacle du fétichisme marchand…

Dans le monde de l’in-distinction et de l’inversion universelles, la réalité du vrai n’est plus qu’un moment reconstitué du faux totalitaire qui travestit l’ensemble de l’espace-temps pour que les questions historiques essentielles ne puissent plus être posées… L’État du mensonge Coronaviral est ainsi une monstruosité cybernétique de saloperies policières et despotiques infinies et les banlieues si sales du magouillage sordide constituent évidemment les sanctuaires de la dégueulasserie commerciale la plus protégée…

Voleurs, violeurs, casseurs, pillards, dealers, accapareurs, fricoteurs… Bains de sang, carnages, tueries, sadisme, insensibilité, atrocités, tortures, sévices, cruautés, couardises, indignités et vilénies… C’est tout ceci qui fait la carte d’identité puante de toutes les bandes d’ahuris incultes, immondes et lâches qui errent dans la crasse mentale des banlieues du néant historique et dont le seul motif de pitoyable vie est de faire du shopping de rapine pour toujours s’attaquer en groupe à des cibles isolées et pour aller ensuite – sans aucune dignité – lamentablement pleurnicher la fausse innocence

Dans l’ordre du trafic, de la tune, de la came et de l’ahurissement, du mensonge, de la bassesse, de la pleutrerie et de la veulerie, du vacarme et des rodéos débiles, les racailles du bas sont bien là, la matière fécale cosmopolite la plus concentrée des racailles du haut et c’est pour cela que contrairement aux Gilets Jaunes prolétaires à potentiel communard massivement mutilés, elles bénéficient d’une immunité magique interminable…

Le Lumpenprolétariat, cette lie d´individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l´inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d´un, ce n´était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu´ils savaient très justement qu´il fallait avant tout se débarrasser de ce ramassis.

Engels, La guerre des paysans.

 

Le spectacle de la crise mondiale de la valeur d’échange se présente comme organisation sociale totalement illusoire, c’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité inversée, c’est la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, s’érige sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive. Et là, les actuels domestiques du gauchisme du capitalisme vert de commande ne connaissent plus que trois tabous inattaquables inlassablement réitérés : l’immigrationnisme, le féminisme et les lobbies de toutes les marginalités sexuelles…

… Les hommes de la véritable volupté historique qui démoliront l’ordre de la charogne marchande, les balaieront en faisant renaître l’insoumission totale à la survie des mille abondances de la misère constamment augmentée et toujours recoloriée

Pour un Monde sans argent ni État, Vive la Commune universelle !

La Révolution qui pointe partout avec un esprit communard (à l'opposé du marxisme-léninisme du capitalisme d'état) détruira toutes les polices du Capital… Elle anéantira toutes les vérités officielles de la mystification marchande, celle du Coronavirus comme toutes les autres… Et c’est donc pour cela qu’elle liquidera toutes les bandes armées analphabètes de ces banlieues répugnantes dont la seule ambition est de faire prospérer la spéculation, le tripotage, la combine, le chantage, la mort et l’abêtissement…

08:54 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, covid, mensonge, tendance, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

13/08/2020

Le masque ne sert qu'à protéger l'exploiteur de la révolte

Covid, mensonge, crise, capitalisme, réel, masque, propagande, économie

 For the second time in three years, Saudi Arabia is slashing the volume of crude it’s sending to America in an attempt to force down stockpiles in the world’s most visible oil market and thereby hasten the rebalancing of supply and demand (Bloomberg 9/08/2020). Le vrai motif du retour de la muselière du masque est là et pas dans une menace sanitaire simple outil autoritaire de notre soumission.Il n'y a pas de reprise depuis 2002, il n'y en pas en 2020 et il n'y en aura plus jamais. Le Capitalisme est en train de crever, victime de ses contradictions et seul l'homme de la rue n'a pas le droit d'en être informé. Pour faire face à une colère sociale légitime, les sanctions de la population pour motif Covid ou autre ne vont cesser de se multiplier, surtout si on laisse faire.

Le seul objectif du capitalisme mondial en sa crise catastrophique irrésistible, c’est d’étouffer partout la respiration du prolétariat universel…

Alors que le virus saisonnier classique a fini de s’en aller en son insignifiance habituelle en raison des températures estivales, la cybernétique du fétichisme de la marchandise absolutiste, de manière insidieusement continuelle et de façon de plus en plus délirante, persiste à intensifier la production psychotique-industrielle de la propagande étatique et médicale coronavirale.


Exemple du mensonge des tests de positivité Covid, cette positivité que la propagande des médias et des états transforme en malades imposant à des villes voire à un pays la nécessité du masque et ce deux bons mois après la fin d'une épidémie marginale concernant des personnes très âgées et/ou à multiple pathologies. La démocratie du Capital ment, elle ment tout le temps et sur tous les sujets.

Ainsi, aujourd’hui, paniqué par la décomposition généralisée de la domestication capitaliste, le gouvernement mondial du spectacle de la marchandise en crise universelle, suivi de toutes les flicailleries sanitaires, nous menace d’un nouveau reconfinement afin de rendre le port du masque policièrement obligatoire dans tous les lieux où la rencontre qui pourrait faire intelligence de vie et de combat doit sans fin s’enfermer dans la docile crétinerie surveillée de la mort lente…

Contre la domination de toutes les vérités officielles de la marchandise inexorable et toutes ses cliques capitalistes, en toutes les droites et toutes les gauches de la merde progressiste de la dépravation scientifique, nous devons affirmer que nous n’accepterons jamais de finir comme clownesques esclaves des charlataneries démocratiques et médiatiques de notre déportation dans le masquage à vie de la police pharmacologique de la servitude volontaire


Retour au réel sur le Covid avec Alexandra Henrion-Caude, généticienne de réputation mondiale et ancienne directrice de recherche à l’Inserm : l'épidémie et pas la pandémie, l'anachronisme aberrant du masque cet été, les bavures et mensonges politique et la base du traitement ayant prouvé son efficacité. Quelques dizaines de minutes accessibles détruisant la propagande des grands médias. A voir absolument.

A rebours de toutes les propagandes étatiques de l’esclavage salarial totalitaire, nous disons donc définitivement Merde à l’école de la soumission ! Nous nous préparons ainsi, et dès maintenant, le retour radical des luttes de classe prolétarienne et humaines de l’automne qui arrive afin de balayer l’ignoble puanteur de la liberté despotique du profit…

 

07:53 Publié dans Actualité | Tags : covid, mensonge, crise, capitalisme, réel, masque, propagande, économie | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

11/08/2020

Mythe de l'égalité républicaine, mythe de la pandémie

Pinocchio.jpg

La Démocratie est l'expression officielle et permanente du mensonge marchand

Dans le Parc national des Cévennes, en Lozère, une rave party s’est improvisée ce week-end, sans autorisations, provoquant l'ire des agriculteurs. Les ravers se sont installés samedi soir par milliers sur la commune d’Hures-la-Parade, petite la commune d'environ 250 habitants. Au plus fort du rassemblement, ils étaient de l'ordre de 10.000 en contradiction formelle avec la limitation des rassemblements à 5000 personnes, à cause de l’épidémie officielle de coronavirus toujours d'actualité économique. Dès dimanche, des gendarmes mobiles ont été dépêchés sur les lieux pour surveiller la situation et mettre à disposition des masques et gels hydroalcooliques. Le lundi 10 août, ils étaient encore 3500.

 

L’ETAT DU MENSONGE DE CLASSE SE DEMASQUE …

Rave-party interdite et illégale depuis deux jours de crasse, de pestilence et d’abrutissement mais tolérée avec logistique et sourire par les racailles bobos politiques du haut qui se foutent complètement du fait que les terres agricoles des prolétarisés concernés du bas, sur le parc national des Cévennes, vont se retrouver souillées par toute la puanteur excrémentielle de  plusieurs milliers de  poubelles mentales hallucinogènes ( miraculeusement exemptées de masques !)  croupissant dans des centaines de véhicules nauséabonds…

Les Gilets Jaunes du combat de classe… Là, on éborgne et mutile…

Les Racailles lumpen du trafic et de la tune… Là, les pouvoirs font attention et s’excusent…

Les Bobos dégénérés et saturés de produits stupéfiants et de merde électronique bruitiste…Là, on accompagne, on assiste…

Toute la défécation spectaculaire de la marchandise doit être définitivement mise aux poubelles de l’histoire !

11:47 Publié dans Actualité | Tags : covid, épidémie, mensonge, pandémie, rave | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!