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08/09/2020

Crise du capital de la rentrée sous la loupe de l'analyse radicale car humaine

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

Barricade de la rue Saint-Sébastien, Commune de Paris.

La France, bastion avancé de la lutte de classe prolétarienne est issue d’une longue tradition radicale qui s’inscrit dans la spécificité communeuse de l’espace-temps européen millénaire tel que ce dernier a su faire surgir, de manière pratico-théorique accomplie, le Manifeste Communiste contre l’argent et contre l’Etat… Non, la France n’est point une auberge orientale de transactions commerciales destinée à perpétuer à l’infini, les religions de soumission du pécule qui bouge sans arrêt, non elle n'est pas un  hôtel !  Elle est la terre vivante des insurrections réfractaires qui de la Commune de Paris à l’irruption des Gilets Jaunes en passant par la grève sauvage de 1968, n’a jamais cessé de rappeler que l’émancipation humaine universelle passe par la destruction de l’économie et de la politique…

Le pouvoir totalitaire de la marchandise est exclusivement l’expression unitaire de la conscience fausse, devenue complètement adéquate à la nécessité pour le temps de l’aliénation, de tenter de se rendre définitivement irréversible… Ainsi, le propre du spectacle du fétichisme marchand est-il de toujours s’acharner à démembrer tout ce qui pourrait permettre le surgissement historique d’une conscience susceptible de saisir l’imposture du temps immobilisé par le marché mondial de l’ignardise et de la passivité…

La dictature démocratique de l’histoire réifiée doit donc pour attacher la vie dans la liberté de la reproduction capitaliste sans fin disloquer l’esprit humain pour le rassembler ensuite sous les formes les plus trompeuses telles que le devenir de la marchandise les a fixées comme obligatoires…

C’est évident… La révolution sociale ne viendra jamais des populations immigrées consommatoires qui représentent d’abord les circuits les plus aliénatoires des déplacements serviles du libre-échange capitaliste… Et ce dernier fait tout pour justement ensevelir la radicalité insurrectionnelle du prolétariat européen qui seul, sut faire apparaître les Conseils ouvriers révolutionnaires pour l’abolition du salariat… C’est pourquoi la discrimination positive intensive de tout ce qui contredit l’histoire prolétarienne radicale est bien la norme absolue de cette fade bouillie informe des razzias de la consommation mercantile la plus idiotisante telles qu’elles ne cessent d’étendre l’égalisation marchande du consommer abrutissant… De la sorte, la tyrannie démocratique des grands mélanges abêtissants vise essentiellement à nous faire sortir de l’histoire pour nous figer dans le monothéisme de la marchandise perpétuelle…

Le Capital voudrait tellement enfin déclarer mort le prolétariat révolutionnaire, qu’après avoir systématiquement opéré son grand remplacement cosmopolite par l’immigré pensionné, nouvelle Sainte production de l’économie politique antiraciste à sens unique, il s’essaye désespérément à organiser la substitution du concept historique de lutte de classe contre l’argent par celui de lutte publicitaire des races pour la re-distribution privilégiée des mille prestations possibles…

Désormais, l’immigré naturalisé de papier est intégralement devenu la marchandise de sauvetage prioritaire pour essayer de permettre au Capital d’échapper à la sanction de sa crise historique inévitable… Aussi est-il la marchandise vedette intouchable de la société spectaculaire en crise généralisée… Salarié docile et honnête qui veut s’intégrer à tout prix à la galerie marchande officielle ou profiteur de l’économie souterraine qui fait malversation en tous genres, l’immigré est clairement depuis la grande peur de la grève généralisée de 1968, le seul moyen patronal de faire maillage territorial et historique de contre-révolution pour empêcher le retour de l’insurrection ouvrière joyeuse et érotique qui dit l’amour, les sens, la nature, le vin, la cochonnaille et la jouissante Commune subversive…

Les migrants clandestins, clientèles faciles de l’obéissance au fric, désignés métaphoriquement et indûment comme sans papiers sont – en premier lieu – des chances capitalistes qu’il faut accueillir dans les bas-fonds subventionnés des mégapoles de la marchandise afin que les bobos urbains, écolos hébétés, puissent survivre dans leur misère existentielle de piteuses épaves favorisées et ainsi s’afficher en terrain avantagé, bien loin des prolétaires expulsés des centres-villes et de leurs banlieues désormais livrées au libre-échangisme des migrations exotiques les plus ahuries et les plus accommodantes… Nous sommes ainsi désormais des millions et des millions de prolétaires à être journellement traités comme des moins que rien, comme des « esclaves salariés » de la démocratie de la valeur d’échange, et bien entendu la maladive compassion des classes dirigeantes pourries ne s’occupe et ne s’émeut que de ce qui rime avec l’étranger puisque la gauloiserie de souche réfractaire doit justement être réduite au silence… Cela s’appelle la lutte des classes et contre tous les larbins du progrès mondialiste de la domestication capitaliste, le prolétariat universel devra balayer toutes les réalités systèmo-compatibles qui se dressent entre lui et son émancipation…

Pompier caillassé, chauffeur de bus mis à mort, infirmière violentée, postier dépouillé, passant racketté, petit vieux massacré et cambriolé, piéton écharpé, promeneur lynché … La racaille froussarde, récidiviste et pitoyable s’attaque toujours en nombre et vilement au prolétaire isolé pendant qu’elle adule servilement tous les circuits tarés et véreux du spectacle mortifère de l’accumulation marchande…

Un sauvage est un homme d’émotion d’avant le dressage social de la civilisation de l’argent et de l’État …

À l’envers, une racaille est une ordure mécanique et prédatrice de la grande déchèterie robotique capitaliste… C’est une res, degré ultime de la réification analysée par Marx, chose qui ne voit que des choses dans un monde de chosification exclusive… Un débris haineux, laid et obtus par essence, qui ne pense pas et ne parle pas… Au contraire des blousons noirs des temps passés qui savaient encore manier une langue qui disait un certain mode d’être, les bandes capuchonnées de la banlieue boutiquière d’aujourd’hui ne peuvent plus que réciter les onomatopées de la chose mercantile la plus putridement fermée… C’est donc pourquoi la machine froide, maniaque et malveillante de la déchèterie banlieusarde est bien une merde contre-révolutionnaire qui éructe en permanence son impuissance à ressentir et qui dès lors est condamnée – par compensation maladive – à produire partout le cynisme compulsif de la crapulerie, du gang, de la bassesse et de l’abjection…

Qui sont donc ces abrutis dégénérés de la violence urbaine de la décadence capitaliste dont le prénom est toujours médiatiquement systématiquement occulté ? Non, ce ne sont point des sauvages, ce sont les excréments modernes de toute la décomposition chosifiante et pathologique de la crise historique du spectacle du fétichisme marchand…

Dans le monde de l’in-distinction et de l’inversion universelles, la réalité du vrai n’est plus qu’un moment reconstitué du faux totalitaire qui travestit l’ensemble de l’espace-temps pour que les questions historiques essentielles ne puissent plus être posées… L’État du mensonge Coronaviral est ainsi une monstruosité cybernétique de saloperies policières et despotiques infinies et les banlieues si sales du magouillage sordide constituent évidemment les sanctuaires de la dégueulasserie commerciale la plus protégée…

Voleurs, violeurs, casseurs, pillards, dealers, accapareurs, fricoteurs… Bains de sang, carnages, tueries, sadisme, insensibilité, atrocités, tortures, sévices, cruautés, couardises, indignités et vilénies… C’est tout ceci qui fait la carte d’identité puante de toutes les bandes d’ahuris incultes, immondes et lâches qui errent dans la crasse mentale des banlieues du néant historique et dont le seul motif de pitoyable vie est de faire du shopping de rapine pour toujours s’attaquer en groupe à des cibles isolées et pour aller ensuite – sans aucune dignité – lamentablement pleurnicher la fausse innocence

Dans l’ordre du trafic, de la tune, de la came et de l’ahurissement, du mensonge, de la bassesse, de la pleutrerie et de la veulerie, du vacarme et des rodéos débiles, les racailles du bas sont bien là, la matière fécale cosmopolite la plus concentrée des racailles du haut et c’est pour cela que contrairement aux Gilets Jaunes prolétaires à potentiel communard massivement mutilés, elles bénéficient d’une immunité magique interminable…

Le Lumpenprolétariat, cette lie d´individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l´inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d´un, ce n´était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu´ils savaient très justement qu´il fallait avant tout se débarrasser de ce ramassis.

Engels, La guerre des paysans.

 

Le spectacle de la crise mondiale de la valeur d’échange se présente comme organisation sociale totalement illusoire, c’est la misérable schizophrénie mégapolitaine de la vérité inversée, c’est la paralysie de l’histoire et donc l’impossibilité pathologique de toute intelligence critique… Ainsi, s’érige sur la base du temps universellement falsifié, la conscience fictive d’une vie infiniment captive. Et là, les actuels domestiques du gauchisme du capitalisme vert de commande ne connaissent plus que trois tabous inattaquables inlassablement réitérés : l’immigrationnisme, le féminisme et les lobbies de toutes les marginalités sexuelles…

… Les hommes de la véritable volupté historique qui démoliront l’ordre de la charogne marchande, les balaieront en faisant renaître l’insoumission totale à la survie des mille abondances de la misère constamment augmentée et toujours recoloriée

Pour un Monde sans argent ni État, Vive la Commune universelle !

La Révolution qui pointe partout avec un esprit communard (à l'opposé du marxisme-léninisme du capitalisme d'état) détruira toutes les polices du Capital… Elle anéantira toutes les vérités officielles de la mystification marchande, celle du Coronavirus comme toutes les autres… Et c’est donc pour cela qu’elle liquidera toutes les bandes armées analphabètes de ces banlieues répugnantes dont la seule ambition est de faire prospérer la spéculation, le tripotage, la combine, le chantage, la mort et l’abêtissement…

08:54 Publié dans Actualité | Tags : crise, capital, covid, mensonge, tendance, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

13/08/2020

Le masque ne sert qu'à protéger l'exploiteur de la révolte

Covid, mensonge, crise, capitalisme, réel, masque, propagande, économie

 For the second time in three years, Saudi Arabia is slashing the volume of crude it’s sending to America in an attempt to force down stockpiles in the world’s most visible oil market and thereby hasten the rebalancing of supply and demand (Bloomberg 9/08/2020). Le vrai motif du retour de la muselière du masque est là et pas dans une menace sanitaire simple outil autoritaire de notre soumission.Il n'y a pas de reprise depuis 2002, il n'y en pas en 2020 et il n'y en aura plus jamais. Le Capitalisme est en train de crever, victime de ses contradictions et seul l'homme de la rue n'a pas le droit d'en être informé. Pour faire face à une colère sociale légitime, les sanctions de la population pour motif Covid ou autre ne vont cesser de se multiplier, surtout si on laisse faire.

Le seul objectif du capitalisme mondial en sa crise catastrophique irrésistible, c’est d’étouffer partout la respiration du prolétariat universel…

Alors que le virus saisonnier classique a fini de s’en aller en son insignifiance habituelle en raison des températures estivales, la cybernétique du fétichisme de la marchandise absolutiste, de manière insidieusement continuelle et de façon de plus en plus délirante, persiste à intensifier la production psychotique-industrielle de la propagande étatique et médicale coronavirale.


Exemple du mensonge des tests de positivité Covid, cette positivité que la propagande des médias et des états transforme en malades imposant à des villes voire à un pays la nécessité du masque et ce deux bons mois après la fin d'une épidémie marginale concernant des personnes très âgées et/ou à multiple pathologies. La démocratie du Capital ment, elle ment tout le temps et sur tous les sujets.

Ainsi, aujourd’hui, paniqué par la décomposition généralisée de la domestication capitaliste, le gouvernement mondial du spectacle de la marchandise en crise universelle, suivi de toutes les flicailleries sanitaires, nous menace d’un nouveau reconfinement afin de rendre le port du masque policièrement obligatoire dans tous les lieux où la rencontre qui pourrait faire intelligence de vie et de combat doit sans fin s’enfermer dans la docile crétinerie surveillée de la mort lente…

Contre la domination de toutes les vérités officielles de la marchandise inexorable et toutes ses cliques capitalistes, en toutes les droites et toutes les gauches de la merde progressiste de la dépravation scientifique, nous devons affirmer que nous n’accepterons jamais de finir comme clownesques esclaves des charlataneries démocratiques et médiatiques de notre déportation dans le masquage à vie de la police pharmacologique de la servitude volontaire


Retour au réel sur le Covid avec Alexandra Henrion-Caude, généticienne de réputation mondiale et ancienne directrice de recherche à l’Inserm : l'épidémie et pas la pandémie, l'anachronisme aberrant du masque cet été, les bavures et mensonges politique et la base du traitement ayant prouvé son efficacité. Quelques dizaines de minutes accessibles détruisant la propagande des grands médias. A voir absolument.

A rebours de toutes les propagandes étatiques de l’esclavage salarial totalitaire, nous disons donc définitivement Merde à l’école de la soumission ! Nous nous préparons ainsi, et dès maintenant, le retour radical des luttes de classe prolétarienne et humaines de l’automne qui arrive afin de balayer l’ignoble puanteur de la liberté despotique du profit…

 

07:53 Publié dans Actualité | Tags : covid, mensonge, crise, capitalisme, réel, masque, propagande, économie | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

11/08/2020

Mythe de l'égalité républicaine, mythe de la pandémie

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La Démocratie est l'expression officielle et permanente du mensonge marchand

Dans le Parc national des Cévennes, en Lozère, une rave party s’est improvisée ce week-end, sans autorisations, provoquant l'ire des agriculteurs. Les ravers se sont installés samedi soir par milliers sur la commune d’Hures-la-Parade, petite la commune d'environ 250 habitants. Au plus fort du rassemblement, ils étaient de l'ordre de 10.000 en contradiction formelle avec la limitation des rassemblements à 5000 personnes, à cause de l’épidémie officielle de coronavirus toujours d'actualité économique. Dès dimanche, des gendarmes mobiles ont été dépêchés sur les lieux pour surveiller la situation et mettre à disposition des masques et gels hydroalcooliques. Le lundi 10 août, ils étaient encore 3500.

 

L’ETAT DU MENSONGE DE CLASSE SE DEMASQUE …

Rave-party interdite et illégale depuis deux jours de crasse, de pestilence et d’abrutissement mais tolérée avec logistique et sourire par les racailles bobos politiques du haut qui se foutent complètement du fait que les terres agricoles des prolétarisés concernés du bas, sur le parc national des Cévennes, vont se retrouver souillées par toute la puanteur excrémentielle de  plusieurs milliers de  poubelles mentales hallucinogènes ( miraculeusement exemptées de masques !)  croupissant dans des centaines de véhicules nauséabonds…

Les Gilets Jaunes du combat de classe… Là, on éborgne et mutile…

Les Racailles lumpen du trafic et de la tune… Là, les pouvoirs font attention et s’excusent…

Les Bobos dégénérés et saturés de produits stupéfiants et de merde électronique bruitiste…Là, on accompagne, on assiste…

Toute la défécation spectaculaire de la marchandise doit être définitivement mise aux poubelles de l’histoire !

11:47 Publié dans Actualité | Tags : covid, épidémie, mensonge, pandémie, rave | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

21/07/2020

Le masque est la porte ouverte à des problèmes de santé

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Le traitement de l'aspergilus fumigatus implique voriconazole et Amphotericin-B et des antifongiques. La prévention passe par le nettoyage régulier des locaux mais aussi une bonne filtration des systèmes de ventilation et là dans les hôpitaux ce n'est plus toujours le cas. 

 

Non au masque, oui au masque, pas de masque, il faut le porter à nouveau ! La parole menteuse de la démocratie capitaliste change à ce sujet toutes les 5 minutes, pourquoi ?

La plus grande section du Commissariat aux Archives, bien plus grande que celle où travaillait Winston, était simplement composée de gens dont la tâche était de rechercher et rassembler toutes les copies de livres, de journaux et autres documents qui avaient été remplacées et qui devaient être détruites. Un numéro du Times pouvait avoir été réécrit une douzaine de fois, soit par suite de changement dans la ligne politique, soit par suite d’erreurs dans les prophéties de Big Brother. Mais il se trouvait encore dans la collection avec sa date primitive. Aucun autre exemplaire n’existait qui pût le contredire. Les livres aussi étaient retirés de la circulation et plusieurs fois ré-écrits. On les rééditait ensuite sans aucune mention de modification. Même les instructions écrites que recevait Winston et dont il se débarrassait invariablement dès qu’il n’en avait plus besoin, ne déclaraient ou n’impliquaient jamais qu’il s’agissait de faire un faux.

Il était toujours fait mention de fautes, d’omissions, d’erreurs typographiques, d’erreurs de citation, qu’il était nécessaire de corriger dans l’intérêt de l’exactitude. À proprement parler, il ne s’agit même pas de falsification, pensa Winston tandis qu’il rajustait les chiffres du ministère de l’Abondance. Il ne s’agit que de la substitution d’un non-sens à un autre. La plus grande partie du matériel dans lequel on trafiquait n’avait aucun lien avec les données du monde réel, pas même cette sorte de lien que contient le mensonge direct. Les statistiques étaient aussi fantaisistes dans leur version originale que dans leur version rectifiée. On comptait au premier chef sur les statisticiens eux-mêmes pour qu’ils ne s’en souvinssent plus.

George Orwell, 1984

 

Derrière les mensonges étatiques du spectacle de la crise marchande drapés dans l’apocalypse sanitaire du Coronavirus, un spectre hante l’Europe: le spectre d'une révolte prolétaire. Toutes les puissances de la vieille Europe se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : le pape et Moscou, Berlin et Paris, toutes les gauches de France et toutes les droites d’Allemagne…


 

 

 

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L'idée de base et de sommet est incompatible avec l'égalité républicaine. Au revers des feintes, des fables et des duplicités sanitaires de la guerre économique se profile – d’abord – l’évidente certitude du retour de la guerre de classe ici avouée et révélée par Macron…

 

 

Présidentielles US: les Démocrates prolongeraient la crise du Covid-19 pour fragiliser Trump. Une crise sanitaire entretenue?

(...)

Le candidat antisystème qui prétendait en 2016 «assécher le marécage» de Washington, combattre le «deep state», l’État profond, a-t-il seulement réussi son pari? Car tout n’est pas à mettre au débit de Donald Trump dans la gestion de la crise sanitaire aux États-Unis. Le chercheur associé à l’IPSE pointe «une gestion politique du virus» par l’ensemble de la classe politique, pour qui «l’objectif unique» est l’élection présidentielle du 3 novembre. Ainsi, Gérald Olivier parle-t-il très clairement d’une «collusion, d’une coalition anti-Trump» fomentée par tout «l’establishment Démocrate et les médias» qui n’hésiteraient pas à entretenir ce marasme politico-sanitaire:

«Il est dans l’intérêt des Démocrates de prolonger cette crise. C’est pour ça qu’aujourd’hui, vous avez des États dirigés par une Administration Démocrate, qui savent très bien que l’objectif, c’est novembre, l’élection présidentielle. Plus ils maintiendront cette atmosphère de crise, plus ils favoriseront la victoire de Biden. Au-delà de la crise sanitaire, cette crise va durer jusqu’à l’élection pour des raisons purement politiques.»
(...)
Interview de Par pour Sputnik 20/07/2020

 

Dernière vidéo du docteur Silvano Trotta. A voir absolument !

Commentaire d'un internaute avisé.

Je suis d'accord avec toi, j'ai bossé pendant +5 ans en salle blanche et en chambre stérile dans la fabrication de médicament, j'ai donc reçu des formations sur l'équipement "médicale". il existe 3000 bactéries par centimètre carré sur une main, c'est pourquoi en lavant ses mains avec des lotions a base d'alcool toute les heures, on réduit les bactéries à environ 2000 au centimètre carré, lorsque l'on s'habille en salle blanche, il existe tout un protocole, désinfection des mains, puis enfilage des gants stériles sans toucher l'extérieur du gant, et ensuite, enfilage de la combinaison, puis du masque chirurgicale, a changer toute les 2 heures. Attention, dans ce cas, on travail dans des "chambres" salles à pression différentiel contrôlé dans lesquels très peu de bactéries existent. Le soucis du masque (dans des lieux ouverts ou en pression atmosphérique non contrôlé) à un effet statique et de ce fait absorbe tout les microbes qui l'entoure. vulgairement parlant pour expliquer au novice, le masque chirurgicale, ou coton lavable, etc.... a le même effet que les lingettes swiffer, qui attire la poussière. Il est donc évident que ces bactéries qui se collent continuellement sur les masques se transformes en champignon, étant donné que les champignons sont les fleurs des bactéries. Donc le fait de porter un masque rend malade, tout comme le fait de mettre son lit dans une pièce humide et pleine de moisissure, en quelques semaines, vous aller faire de l'hyperventilation, vous aller tousser, mal de gorge, vous aller avoir d'énorme soucis de bronche, car vous aller développer un champignon interne du a la respiration de la moisissure. Donc si le covid-19 est dit une maladie respiratoire, il est logique que si tout le monde porte un masque, une nouvelle vague va arriver, mais elle ne sera pas a l'origine d'un virus grippal, mais d'une infection bactériologique des bronches du à une mauvaise respiration.

09:08 Publié dans Actualité | Tags : covid, trump, virus, masque, faillite, révolte | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!