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05/04/2016

Terrorisme et guerre, ce voile sur une crise financière

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Il est beaucoup question de guerre ces derniers temps. Il en est même trop question car quand un sujet devient la proie des grands médias, il est évident qu'on en parle pour en inverser le sens et désinformer. Ainsi, il y aurait une guerre de civilisation dont la preuve indiscutable résiderait dans la quantité des victimes d'attentats médiatisés à outrance, actes matraqués en direct entre autant de pages publicitaires que de morts sans que le téléspectateur n'ai un instant de répit pour analyser les faits et se demander à qui profite le crime. Mais comme le disait une intellectuelle de gauche dès 2001 chercher des mobiles, c'est déjà excuser les coupables.

En 2016 de telles inepties seraient pourtant réactionnaires. Il n'est plus question de s'interroger depuis longtemps. Il faut croire sous peine d'être suspect donc complice, complotiste et de toute évidence coupable.

Mais me direz vous, ces attentats ils existent, leurs victimes aussi. Oui, bien entendu. Mais les attentats sanglants existent dans le monde entier depuis des dizaines d'années sans qu'un choc de civilisation fumeux soit invoqué. Il n'y en avait pas à Bologne. Il n'y avait même pas d'extrémistes de droite ou de gauche mais un grand ami libérateur et un État corrompu et soumis.

Les marionnettes islamistes puisées dans la délinquance et généreusement rétribuées ne brisent en rien une telle tradition. Quand on cherche un peu les racines de cet extrémisme prétendument religieux, ce n'est pas l'islam qu'on trouve, mais bien des dictatures pétrolières alliées et à la botte de l'Occident depuis leur création.  Ce sont aussi de dévouées clientes de leur filière armement et peu importe si elles interdisent partis, syndicats, refusent des droits fondamentaux aux femmes ou pratiquent un esclavage meurtrier à ciel ouvert. Cela n'a jamais empêché un match de foot.

Alors comme la mère d'une des victimes de la tragédie du Bataclan il est légitime non pas de s'indigner mais d'être en colère devant le spectacle de ces visites de parlementaires sur les lieux de l'horreur, devant le secret de leur commission d'enquête, devant l'absence d'investigation des médias des pays touchés par ces actes.

Mais il est vrai que tout cela fait peser une chape de plomb sur le secteur du journalisme déjà pieds et plumes liées par le donneur d'ordre publicitaire.

La trahison supplémentaire d'un Net surveillé, censuré, outil de fichage surréaliste au moyen d'un état d'urgence insensé n'est que le coup de grâce, le résultat inespéré pour une profession totalement sinistrée et réduite au silence pour vivre ou à Pôle emploi par respect de la déontologie.

Alors que les listing panaméens achèvent de plonger la classe médiatique dans le ridicule au service de Langley (démontrant en passant que le complotisme est bon quand il s'applique à ceux que les médias et Washington n'aiment pas) écoutons encore une voix qui s'exprime à l'étranger pour ceux qui savent entendre.

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Une guerre mondiale a commencé. Brisez le silence.

20:10 Publié dans Actualité | Tags : guerre, terrorisme, crise | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

23/03/2016

Solidarité avec le peuple belge

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Solidarité avec le peuple belge victime de la même sanglante imposture que le peuple français.

12:58 Publié dans Actualité | Tags : solidarité, belgique, bruxelles, terrorisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

22/03/2016

Bruxelles : Gorilles dans la brume

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“On n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout.” (Brel).

Avec la technologie actuelle, il est impossible qu’il y ait un attentat commis par plus d’une personne, qui ne soit pas déjà compris et imaginé par les services. Quand on dit les services, il faut bien voir ce qu’on entend.
bruxelles,terrorisme,attentat,gladio,crise,propagande,manipulation,chocDans la logique, nous vivons dans un système général ou tout se nourrit de tout ce qui se combat. L’antidrogue se nourrit de la drogue, l’antiterrorisme se nourrit du terrorisme, et même l’Etat, fragilisé par son absence de tissu social, d’imaginaire collectif et même de culture, cet Etat – comme le voit bien Éric Werner – a besoin de créer des sites de tension grâce auxquels il peut tenir la population.
Cela étant dit, quand on parle du terrorisme, il ne faut pas penser que tout soit manipulé par une personne centrale, par exemple les services de renseignement nationaux ont tendance à contrôler les choses ou même donner une vision de ce qui se passe pour des raisons complètement différentes.
Mais il y a aussi les guerres intestines parmi les puissances moyennes, donc des services étrangers y participent, et, alors jusqu’à quel point ces services participent – qu'ils soient occidentaux ou étrangers –, quelle est la réalité exacte, cela est difficile à dire. Ensuite, chacun participe à donner une version officielle qui n’est pas la réelle.
Après pour savoir quels sont les rôles joués, il faut des données assez précises pour se prononcer (Gabriele Adinolfi 2015). 


Francis Cousin est Docteur en Philosophie et titulaire d’un DEA d’Histoire de la Philosophie (Idéologies, Mythes, Religions et Sciences du signe). Il consacre ses recherches à la question du sens historique du devenir mais aussi aux problématiques de la philosophie du droit, de la philosophie de l’histoire. Au sujet du terrorisme, extraits d'interventions.

10:55 Publié dans Actualité | Tags : bruxelles, terrorisme, attentat, gladio, crise, propagande, manipulation, choc | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

12/03/2016

Actualités des colonies ou la menace Oui-Oui

 

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Est-ce une incitation à la haine d'une personnalité politique ?

L'amour immodéré d'une grande partie de la classe politique et médiatique pour certaines puissances étrangères bien connues, celles dont on parle à voix basse, plus par peur des représailles (agressions physiques dans la rue en toute impunité ou attaques au portefeuille) que par un respect qui ne se mérite pas, la soif de valider de gré ou de force le dogme surréaliste d'un choc des civilisation font l'actualité désormais régulière.

Il ne se passe pas une semaine sans que des mineurs, des écoliers d'un pays de l'Union Européenne ne soient victimes de persécutions, de violences des forces de l'Ordre Nouveau et Mondial, de militaires pour refus de la propagande, pour usage de liberté d'expression, pour non dénonciation, pour créativité artistique donc au final pour patriotisme, démocratie et humanité.

Comme je l'avais écrit il y a peu, pas question de faire le listing complet de ces dérives (rien qu'en Angleterre 2000 mineurs l'an dernier ont subi ces actes d'oppression) mais il est bon de relever quelques cas pour montrer l'ampleur du phénomène dans la mesure où le fanatisme des zélotes de la nouvelle religion rend des personnels ayant pour vocation première l'éducation et la protection des enfants complètement mabouls.

Alors en attendant l'espionnage des fœtus par des nano-drones ou les avortements préventifs suite à la découverte du gène Jean Moulin, voici le cas d'un petit de maternel accusé de radicalisation et menacé des brigades anti-terroristes pour avoir agité un papa cuisinier au concombre vert dans un dessin et pas sans doute un plug anal de la même couleur comme Paul Mc Carty, une différence qui en dit long sur les capacités réceptives des inquisiteurs.

Par chance, le jeune enfant habite l'Angleterre car ne répondant pas en plus au nom de  Charlie, il échappera à la perpétuité. 

 

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En janvier c'est un enfant musulman de 10 ans qui fut malmené pour avoir confondu durant une leçon terrorist house et terraced house. Cette fois l'attaque du concombre vivant fut fatale.

 

Nouvelle sur RT.com :

Royaume-Uni : un petit garçon ayant dessiné un concombre soupçonné ... de radicalisation !

Le personnel d'une école maternelle britannique a menacé de signaler un garçon de 4 ans aux services de lutte contre l'extrémisme. Il a dessiné son père en train de couper un concombre, mais le personnel y a vu la fabrication d'une bombe artisanale.

La mère de l'enfant soupçonné a expliqué, citée par The Guardian, que son fils avait dessiné son père en train de couper un concombre. Mais le personnel de l'école ne l'a pas cru, y voyant plutôt la fabrication d'un engin explosif improvisé.

Pour prouver sa bonne foi, vendredi, la mère du garçon a montré au Guardian une séquence vidéo sur laquelle on peut voir son fils jouer sur le sol de la maison. Alors qu'on lui présente un concombre, lui demandant de dire ce que c'est, le petit garçon de quatre ans répond «A cooker-boom» [littéralement un «boom cuisiné, préparé»] au lieu de «a cucumber». En français, l'équivalent serai un «concom-boom», au lieu de «concombre».   

En fait, l'enfant n'arrivant pas à prononcer correctement le mot «concombre» et son dessin étant ni plus ni moins qu'un gribouillis approximatif, le personnel de l'école a décidé que l'enfant était en phase de radicalisation et évoquait la préparation artisanale d'une bombe.

Partagée entre l'envie de rire et le désespoir de voir son fils signalé à la brigade anti-terroriste, la mère de l'enfant a fini par raisonner le personnel de l'école maternelle qui, au début, ne la croyait pas.

Lire la suite sur RT

13:21 Publié dans Actualité | Tags : terrorisme, enfants, école, dénonciation, paranoïa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!