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13/06/2023

Guerre, paix, ingérence, le joug de la marchandise est là (1/X)

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Juin 2023, Les responsables du département américain de la Défense dénonce de nouvelles lois dans divers États s'opposant à un certain l'activisme LGBTQ dont l'interdiction des chirurgies de changement de sexe pour les enfants précisant que la législation pourrait saper l'état de préparation de l'armée américaine. Gil Cisneros (politicien d'abord Républicain qui a gagné 226 millions de dollars au loto et est devenu Democrate, ce qui est cohérent au niveau de la guerre de Classe)  fait ici allusion aux projets de loi adoptés, proposé,s dans déjà plus d'une douzaine d'États à majorité républicaine sur des sujets associés au thème LGBTQ. Ainsi, certains États américains ont interdit de donner des bloqueurs d'hormones ou la pratique de chirurgies de changement de sexe aux mineurs et aussi interdit aux écoles de conseiller les enfants sur l'identité de genre sans le consentement des parents. La Floride a interdit une éducation en classe sur "l'identité de genre" et l'orientation sexuelle, des programmes que le gouverneur Ron DeSantis a condamnés comme « endoctrinement ».

 

« Tandis que les serfs fugitifs ne voulaient que développer librement leurs conditions d’existence déjà établies et les faire valoir, mais ne parvenaient en dernière instance qu’au travail libre, les prolétaires, eux, doivent, s’ils veulent s’affirmer en tant quêtres humains, abolir leur propre condition d’existence antérieure, laquelle est, en même temps, celle de toute la société jusqu’à nos jours ; ils doivent abolir le travail. Cest pourquoi ils se trouvent, de ce fait, en opposition directe avec la forme que les individus de la société ont jusqu’à présent choisie pour expression d’ensemble, c’est-à-dire en opposition avec l’État et il leur faut renverser lÉtat pour réaliser leur personnalité. »

Marx et Engels –  L’idéologie allemande

 « … Dans le dernier chapitre de mon 18 Brumaire, je remarque… que la prochaine tentative de révolution en France devra consister non plus à faire passer la machine bureaucratique et militaire en d’autres mains, comme ce fut le cas jusqu’ici, mais à la détruire. »

Marx – Lettre à Kugelmann, le 12 avril 1871

« L’émancipation du prolétariat aura, elle aussi, une expression particulière et une nouvelle méthode de guerre spécifique. Cela est évident. On peut même déterminer cette stratégie à partir des conditions matérielles dexistence du prolétariat. »

Engels –  Écrits militaires

Au moment où le capital a intégralement digéré la politique, grâce à la domination désormais totalement réalisée de la valeur qui s’est débarrassée de tout ce qui l’avait précédée dès lors qu’elle ne l’avait pas absorbé, la critique sociale de la domination se pose d’abord comme une exigence de compréhension généalogique des formes historiques du politique, de ses nécessités de paix et de ses obligations de guerre. Au lieu de poursuivre la réhabilitation de la politique comme s’y emploient tous les courants de pouvoir de la conscience fausse, le questionnement du réel historique existant doit remonter à la véritable essence des chaînes de l’esclavage en étant attentif à dénoncer toutes les entreprises idéologiques qui, ayant pour objet la transformation de l’État, barrent la voie, sous le couvert de renouvellement politique, à l’émancipation humaine.

La guerre est une dynamique d’in-humanité mais comme tout ce qui est in-humain du point de vue du sens, elle est aussi une spécificité foncièrement humaine au niveau de la matérialité pratique qui la rend possible lorsque l’être humain communautaire des temps premiers bascule graduellement dans la temporalité sociale du temps de l’avoir. Certes, les animaux chassent et tuent pour se nourrir mais ils ne se font pas la guerre. Et les seuls animaux qui connaissent la destruction organisée de l’autre d’une façon qui pourrait se rapprocher vaguement de la guerre des hommes sont les insectes sociaux comme les termites et surtout les fourmis. Mais ces derniers à l’inverse des êtres humains qui combattent et détruisent dans un imaginaire d’aliénation où l’intentionnalité a cependant toute sa part, attaquent et anéantissent dans une mécanique d’automatisme où l’esprit est inexistant.

L’homme est un animal historique qui peut accéder à la conscience de l’histoire et c’est l’histoire de cette conscience qui lui permet d’accéder à lui-même. L’homme a vécu un temps non-politique où la communauté ignorait la division du vivre et où les conflits de l’agir ne dégénéraient jamais qu’en guerre ponctuelle et limitée. Il a vécu ensuite un temps politique où la société a diffusé le vivre de la division et de l’agir conflictuel qui génère la guerre de plus en plus illimitée et permanente…

Les communautés primitives constituent des groupes humains dont la violence est équilibrée dans la maintenance d’une dynamique sociale qui a d’abord pour objet d’empêcher le morcellement de l’être et l’émiettement dans les dispersions de l’avoir. Au cœur des communautés de l’être, la guerre est ainsi un rituel commun qui préside à cet exercice de perpétuation de l’ordre anti-économique et anti-politique par lequel est bloquée la dialectique de l’échange et du dé-membrement par les collisions avec l’externe. La guerre est ici un acte d’attaque contrôlé destinée à sauvegarder l’indivision par la neutralisation du potentiel des conquêtes in-maîtrisables de la déchirure qui résulterait de l’échangisme venu de l’extérieur.


Cérémonie de la fierté LBGTQ+ du ministère de la Défense au Pentagone le 7 juin  2023. L'utilisation politique et militaire massive des minorités sexuelles fait suite à l'instrumentisation des minorités ethniques. Mettre en avant en période de crise économique sans solution, en période de guerre, une marginalité, n'est sûrement pas une bonne idée car la demande de ce qu'il faut bien qualifier des privilèges ne fait que la soumettre à la loupe du jugement de la majorité, c'est ainsi la mettre en danger car c'est mettre fin à la vie privée et aussi faire entrer la police et l'état dans la chambre à coucher, cela se termine toujours mal.

Dé-fier le voisin et lui faire de temps à autre une guerre courte et localisée, c’est là tout bonnement rechercher le paravent à un voisinage qui sans cela deviendrait échangiste car si l’ennemi est celui avec qui on ne troque pas, la guerre se signale consubstantiellement comme le mode de relation à l’autre le plus évident pour précisément neutraliser l’enclenchement de la dérive transactionnelle. Ainsi, la paix pour les communautés primitives prend-elle la place historique et symbolique d’un simple intermède qui ne saurait durer puisque par-delà la restitution des captifs qu’elle permet régulièrement, elle exposerait si elle se prolongeait à ce que soient instaurées les bases commerciales d’une déperdition vers l’avoir.

Aux origines de l’énonciation, on trouve deux mots latins pour désigner l’étranger : hospes et hostis. La dualité est là le signe historique de ce par quoi s’affirme l’étranger. L’étranger est à donc à la fois l’hôte imaginable et l’ennemi envisageable.

Hospitalité et hostilité sont donc ces deux tendances contradictoires et complémentaires par lesquelles peut se définir la nature du possible relationnel à l’égard de l’autre. Le contenu étymologique des mots révèle ici trois acceptions sociales: celle de la personne qui accueille, celle de la personne qui est accueillie et dans ce dernier cas, celle de l’étranger. Enfin, hostis acquiert une quatrième signification qui lui assigne la valeur d’ennemi. Nous sommes là en présence d’antinomies sémantiques parfaitement logiques qui mettent en rapport direct celui qui est signalé comme étant différent par son origine distincte, celui que la communauté juge digne de son hospitalité en temps de paix, de troc et de palabres et celui envers lequel elle éprouve une franche hostilité en temps de guerre lorsqu’il convient sans cesse d’aller recréer cet espace de violence contrôlée qui rend impossible la profusion irrépressible des prédations de l’acquisition.

Qu’en est-il de la réalité du produire dans la communauté primitive ? A cette question fondamentale, la réponse classique du discours économique de la justification mensongère est la suivante : la communauté archaïque survit dans un monde de subsistance et de pauvreté et elle parvient tout au plus à simplement assurer la survie du groupe incapable qu’elle est de sortir du sous-développement technique. Le sauvage écrasé par son environnement écologique et sans cesse guetté par la famine et l’angoisse, telle est donc l’image officielle habituellement répandue par les savoirs de la légitimation universitaire et médiatique du faux.

Travestissement théorique et pratique des faits, réplique forcément Marx confirmé d’ailleurs par tous les travaux sérieusement effectués sur le terrain et notamment ceux de Marshall Sahlins qui passant en revue détaillée et chiffrée les cadres de vie des chasseurs australiens et Bochimans ainsi que ceux de multiples groupes néolithiques d’agriculteurs primitifs tels qu’on pouvait encore les observer au siècle dernier en Afrique ou en Mélanésie, au Viêt-Nam ou en Amérique du Sud, démontre que non seulement la communauté primitive n’est pas un monde de misère mais qu’elle est a contrario la première et jusqu’à présent la seule structure sociale d’abondance connue. Comme le souligne Engels, si l’homme primitif des forêts germaniques ou canadiennes ne rentabilise pas son activité, ce n’est non pas par ce qu’il ne sait pas le faire, mais parce qu’il n’en a ni le besoin ni l’envie.

La communauté primitive produit, sans y passer beaucoup de temps et sans dépenser beaucoup d’énergie, exactement et exclusivement ce dont elle a besoin pour pouvoir reproduire son pouvoir de production communautaire qui est le seul pouvoir qu’elle accepte et reconnaisse. Quant à la violence qui la traverse de façon éminemment symbolique et limitée, loin d’avoir ses racines dans une instance de pure animalerie biologique qui déboucherait sur une sorte de chasse à lhomme étroitement pulsionnelle, elle manifeste simplement la nécessité de maintenir l’unité spatio-temporelle de l’être ensemble contre le péril des scissions spatiales de la temporalité commerçante à venir.

Ainsi, la violence primitive ne repose nullement sur le poids de la rareté qui découlerait des difficultés d’existence et de subsistance propres aux milieux particulièrement hostiles (forêt amazonienne, steppes euro-sibériennes ou déserts arides…) ne permettant pas aux populations indigènes de pouvoir maîtriser ces environnements ingrats qui les condamneraient dès lors à une irrésistible pauvreté ne pouvant leur procurer que le minimum vital à la simple survie. La guerre, bien loin donc d’être là, le seul moyen de se procurer les ressources essentielles au détriment des autres vient dire que les communautés primitives de l’abondance ne peuvent se penser et se réaliser qu’en excluant l’échange avec l’autre et que le souder dans le conflit armé est le mouvement communautaire qui réduit là tout autant les risques de division interne que de dissolution externe.

L’in-admissible pour les communautés primitives serait d’accepter le clivage interne qui mène à la perte d’autonomie et cela nous éclaire sur leur volonté de ne jamais faire de guerres définitives et sans restriction puisqu’un tel cas de figure impliquerait justement la division de ces mondes en un vaincu et un vainqueur, entraînant une dépendance de l’un vis-à-vis de l’autre et la perte immédiate de leur homogénéité globale et particulière.

Pour éviter tout risque de défaite totale, il est donc impératif de créer des alliances avec d’autres tribus, ce qui renforce en parallèle l’élargissement des dons, contre-dons et trocs et les explique sous un nouvel angle : il y a du contact parce qu’il y a de l’alliance, et non pas le contraire. La communauté peut d’ailleurs adopter des étrangers et, de ce fait, les admettre comme membres d’elle-même. Ainsi, chez les Iroquois, les prisonniers de guerre qu’on ne tuait pas devenaient, par adoptionmembres de la tribu et recevaient de ce fait toutes les prérogatives d’identité de la tribu. La réception solennelle dans la communauté avait lieu en présentation publique devant l’assemblée générale communautaire, ce qui en faisait véritablement un moment cosmique du perpétuel refonder. La communauté primitive cherche avant tout l’autonomie et l’anti-hiérarchie, et c’est pour les conserver qu’elle consent à contacter dans un réseau d’alliances et de choix déterminés ayant avant tout comme finalité de repousser les changements de l’échange.

A l’opposé, dans les temps advenus de la société de l’avoir et du règne de l’économie et de la politique, la guerre n’a plus pour fonction de bloquer le possible développement des espaces du pouvoir de la quantité. Tout à l’envers de ce que l’on pouvait rencontrer dans les communautés de l’être, les sociétés de la possession font la guerre, non pas de manière mesurée, mais de façon de plus en plus immensurable, non pas pour restreindre le plus possible le champ des perditions dans les espaces du calcul mais, au rebours, pour atteindre les extensions de calcul les plus étendues possibles dans l’espace de la perte de l’être.

La guerre des communautés primitives est un cercle combattant qui entoure l’être communautaire pour le rendre im-perméable à la dialectique de l’avoir. La guerre des sociétés de l’avoir est une spirale de conflits toujours plus vastes, effrénés et terribles pour que l’appropriation rende tout perméable à son totalitarisme ascendant.

Alors que la guerre des communautés primitives vise à finalement prévenir l’apparition des sociétés de l’avoir, les guerres du pouvoir de la rentabilité ont, elles, pour objectif d’étendre à l’infini l’extension du devenir de la possession. Dans les temps monarchiques pré-capitalistes qui ont succédé à la destruction civilisationnelle de la vieille communauté de l’être par la division fonctionnelle du Tout primordial en sphères militaire, religieuse et paysannes séparées, la guerre est le langage politique des valorisations foncières du temps de lespace. La guerre moderne de l’hécatombe totale comme économie politique des rentabilisations marchandes de l’espace du temps de la valeur ne se manifeste en tant que modernité de l’avoir triomphant qu’après que la dynamique du prêt dargent à l’État royal pour briser les féodaux ait elle-même démoli la monarchie puis balayé la bourgeoisie supplantée définitivement par la dictature anonyme et impersonnelle du langage hors-sol de la classe capitaliste de l’anti-qualité absolue.

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Avant une victoire spectaculaire aux Présidentielles qui a déboussolé les médias occidentaux et montré le ridicule de leurs prévisions militantes, le Président turc Recep Tayyip Erdogan, défenseur déterminé de la famille et des valeurs islamiques traditionnelles, a de nouveau qualifié l'opposition de "LGBT" et insisté sur le fait que l'idéologie libérale occidentale n'infiltrera jamais son parti au pouvoir ou ses alliés nationalistes. Erdogan a accusé à plusieurs reprises son adversaire Kilidaroglu et ses alliés d'être pro-LGBT à l'approche des élections, faisant des allégations similaires dans son discours de victoire devant les foules en liesse à Istanbul. L'ingérence américaine sous le drapeau de minorités sexuelles instrumentalisées n'échappe plus à personne sauf à ses partisans soumis. Cette stratégie est en train de mettre en place, en réaction et et tel un rouleau compresseur, un rapprochement civilisationnel de l'Afrique, du monde arabe, de l'Orient continental (mais aussi de l'Indonésie) aux côtés de la Russie.

Demain, pour imposer le surgissement de la vérité du vivre l’être, l’humanité devra liquider le temps politique de la guerre et de la paix qui ne sont que les deux faces de la même séquestration commerciale puisque la paix désigne tout simplement l’état de calme et de tranquillité aliénatoires qui prépare les perturbations et l’agitation à venir du conflit militaire par lequel va naître un répartir plus avancé du pouvoir des échanges.

La paix n’est rien d’autre qu’un intervalle entre deux guerres et si la guerre s’oppose à la paix c’est exclusivement en ce qu’elle s’y articule comme son opposé sur le même territoire de domestication politique et économique des hommes qui, chair à travail ici, chair à canon là, demeurent de toute manière des objets de consommation violemment expropriés de leur propre existence et réduits au rôle de simples trophées sociaux de la pseudo-vie.

L’essence du politique est une activité consubstantielle à l’existence humaine dès lors que l’homme cesse d’exister humainement et que la communauté de l’être se dé-compose pour laisser place à la société de lavoir et du séparé qui pour unifier ce qui ne l’est plus fait appel au surgissement de l’étatique lequel n’est pas le résultat d’une convention mais d’une aliénation de l’essence naturelle de l’homme qui dé-génère en inversion culturelle de son lui-même.

La politique n’est ainsi pas autre chose que l’art aliénatoire d’établir, de cultiver et de conserver entre les hommes domestiqués les conditions nécessaires, essentielles et homogènes de la vie sociale de la domestication adéquate aux impératifs des commandements de l’avoir.

L’économie politique de l’oppression, représente la conséquence et l’accomplissement du mouvement historique de perte et d’oubli de la communauté de l’être qui commence avec le surgissement politique de la société et l’érection sociale du politique. Si les pré-socratiques pensent l’alerte ontologique et unitaire du cosmos total de l’être en un temps où celui-ci vient visiblement d’être éclaté par la temporalité aliénatoire des Cités, à partir de Socrate et de Platon ne va cesser de se poursuivre, de chimère méta-physique en fantasmagorie esthétique et de duperie éthique en hallucination politique, le travail mystificateur des spécialisations du séparé et de la conscience fausse qui conduisent insensiblement au triomphe des temps modernes de la marchandise. L’économie du pouvoir qui est née de la mort de la communauté première est l’expression théologico-politique de l’oubli de l’être parvenu à son accomplissement. C’est en cela qu’elle est le règne du néant de la vraie vie.

(à suivre...)

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27/05/2023

Le malware n'est pas un copain

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Il y a 2 ans, une opération conjointe entre les autorités policières de plusieurs pays, dont les États-Unis, les Pays-Bas, l'Ukraine, l'Allemagne, la Lituanie, le Royaume-Uni, le Canada et la France, a abouti à la désactivation de l'infrastructure d'Emotet et à l'arrestation de plusieurs individus liés à ce réseau criminel (Parmi les criminels arrêtés figuraient des ressortissants ukrainiens...), cela ne veut pas dire que ce type de menace n'existe plus, un petit point s'impose.

Un malware est un terme générique qui fait référence à un logiciel à la malveillance redoutable. Il s'agit d'un type de programme informatique conçu dans le but de causer des dommages, de compromettre la sécurité ou de collecter des informations sans le consentement de l'utilisateur. Les malwares peuvent prendre différentes formes, telles que des virus, des vers, des chevaux de Troie, des ransomwares, des spywares, c'est le service complet de l'horreur.

Histoiriquement, les malwares ont commencé à apparaître dès les premières années de l'informatique, mais leur présence s'est intensifiée avec la popularisation des ordinateurs personnels (la chance) et l'avènement d'Internet. Les premiers malwares étaient relativement simples, se propageant principalement par le biais de supports physiques tels que des petites disquettes. Ils causaient généralement des dommages mineurs en affichant des messages ("Play again !") ou en corrompant des fichiers.

Au fil du temps, les malwares ont évolué pour devenir plus sophistiqués et destructeurs ou voleurs. Les virus informatiques sont devenus courants dans les années 1990. Ils se propageaient en infectant des fichiers exécutables et en se répliquant lorsqu'ils étaient exécutés. Les virus pouvaient causer des dommages importants en effaçant des fichiers, en corrompant des données ou en ralentissant les systèmes.

Dans les années 2000, les chevaux de Troie sont devenus populaires, on dirait aujourd'hui tendance, chez les hackers jeunes et toxiques. Ils se présentaient comme des logiciels légitimes, mais dissimulaient en réalité des fonctionnalités malveillantes. Les chevaux de Troie étaient souvent utilisés pour voler des informations sensibles telles que les mots de passe, les informations bancaires ou pour ouvrir une porte dérobée permettant un accès non autorisé à l'ordinateur.

Les malwares peuvent avoir différentes fonctions, selon des intentions de leurs créateurs. Voici quelques exemples courants de fonctions malveillantes :

Endommager les données : Certains malwares sont conçus pour effacer ou corrompre des fichiers, ce qui peut entraîner la perte de données importantes pour l'utilisateur.

La collecte d'informations : Le malware peut être utilisé pour collecter des informations personnelles (financières, adresses, données méciales ou pouvant permettre un chantage) ou sensibles (informations professionneles, économiques liées à la défense) stockées sur un ordinateur. Ces informations peuvent être utilisées à des fins de vol d'identité, de fraude financière ou de chantage.

Contrôle à distance : Certains malwares créent une porte dérobée sur l'ordinateur infecté, permettant aux attaquants d'accéder à distance à l'ordinateur et d'en prendre le contrôle. Cela peut être utilisé pour lancer d'autres attaques, voler des données ou utiliser l'ordinateur infecté comme partie d'un réseau de zombies (botnet).

Les ransomwares sont des types de logiciels empoisonnés qui chiffrent les fichiers sur un système informatique et demandent une rançon pour les déchiffrer. Ils constituent l'une des formes les plus répandues d'attaques cybercriminelles de nos jours. Les criminels utilisent généralement des techniques sophistiquées pour infiltrer les systèmes, puis chiffrent les données sensibles, ce qui rend les fichiers inaccessibles aux utilisateurs. Ils demandent ensuite une rançon, souvent payée en cryptomonnaie, pour fournir une clé de déchiffrement et restaurer l'accès aux fichiers.

Les ransomwares peuvent infecter tous les types de systèmes, des ordinateurs personnels aux réseaux d'entreprises. Ils peuvent se propager via des e-mails de phishing, des sites web infectés, des logiciels piratés ou même des vulnérabilités de sécurité non corrigées dans les systèmes d'exploitation. Une fois qu'un système est infecté, le ransomware commence à chiffrer les fichiers de l'utilisateur, y compris les documents, les images, les vidéos, les bases de données, etc. Une fois le chiffrement terminé, l'utilisateur reçoit un message de demande de rançon, souvent accompagné d'une menace selon laquelle les fichiers seront définitivement supprimés si la rançon n'est pas payée dans un certain délai.

Ces dernières années, les ransomwares ont fait la une de l'actualité en raison de leur impact dévastateur. Voici quelques exemples notables disant les orientations de leurs créateurs :

WannaCry : En 2017, le ransomware WannaCry a infecté des centaines de milliers de systèmes dans le monde entier. Il exploitait une vulnérabilité dans le protocole SMB (Server Message Block) de Microsoft Windows. WannaCry a touché de nombreux organismes gouvernementaux, entreprises et hôpitaux, entraînant des perturbations majeures et des demandes de rançon massives.

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NotPetya : NotPetya est un malware qui a fait parler de lui en juin 2017. Il s'agit d'une variante du ransomware Petya, mais avec des capacités de propagation et de destruction bien plus avancées. Le malware a causé d'énormes dégâts à l'échelle mondiale et a touché de nombreuses organisations et entreprises, notamment en Ukraine, d'où il est originaire.

L'histoire de NotPetya remonte à juin 2017, lorsque le malware a été initialement propagé. La méthode de distribution initiale était un logiciel de comptabilité ukrainien très populaire appelé "MeDoc". Les pirates informatiques ont réussi à compromettre la mise à jour du logiciel et à y injecter le malware. Ainsi, lorsqu'une mise à jour automatique a été effectuée sur les systèmes clients, le malware a été activé. Une fois activé, NotPetya s'est rapidement propagé à l'intérieur des réseaux des organisations touchées en utilisant différentes méthodes. Il exploitait des vulnérabilités connues dans le système d'exploitation Windows, utilisait des techniques d'hameçonnage (phishing) pour inciter les utilisateurs à ouvrir des pièces jointes malveillantes, et exploitait des mots de passe faibles pour se propager latéralement dans les réseaux.

Ce qui a rendu NotPetya particulièrement destructeur, c'est sa capacité à se propager rapidement et à chiffrer non seulement les fichiers sur l'ordinateur infecté, mais également le système de fichiers maître de démarrage (Master Boot Record - MBR) du disque dur. Cela rendait l'ordinateur complètement inutilisable. De plus, le malware tentait de se propager sur les autres machines du réseau local en utilisant des outils de gestion à distance, tels que Windows Management Instrumentation (WMI). NotPetya a touché un grand nombre d'organisations dans le monde entier, mais l'Ukraine a été la plus durement touchée. Des infrastructures critiques telles que les banques, les centrales électriques, les aéroports et les bureaux gouvernementaux ont été sérieusement perturbées. Le virus a également touché des organisations et des entreprises dans d'autres pays, notamment en Europe, aux États-Unis et en Australie.

Au-delà des dommages directs causés par le chiffrement des fichiers, NotPetya a également eu un impact financier significatif sur les organisations touchées. Certaines entreprises ont été contraintes de fermer temporairement leurs activités, ce qui a entraîné une perte de revenus considérable. Les coûts de remédiation et de restauration des systèmes ont également été très élevés. Bien qu'initialement considéré comme un ransomware visant à extorquer de l'argent aux victimes en échange de la clé de déchiffrement, il est devenu rapidement évident que NotPetya avait en réalité des motivations destructrices. Les chercheurs en sécurité ont découvert que le mécanisme de paiement et de récupération des fichiers était défectueux, ce qui signifie que même si les victimes payaient la rançon, il était pratiquement impossible de récupérer leurs données. NotPetya est largement soupçonné d'être une attaque étatique plutôt que le travail d'un groupe de cybercriminels classique. Les preuves recueillies pointent vers un groupe de hackers connu sous le nom de Sandworm, qui est considéré comme affilié à la Russie. Cependant, il est important de noter que les responsables russes ont nié toute implication dans l'attaque.

L'histoire de NotPetya a mis en évidence les dangers des cyberattaques à grande échelle et la nécessité pour les organisations de renforcer leur sécurité informatique. Cette attaque a également renforcé l'importance de la coopération internationale dans la lutte contre la cybercriminalité, car les attaques de ce type peuvent rapidement se propager à travers les frontières et affecter des organisations du monde entier.

Citons aussi Ryuk. Depuis 2018, ce ransomware est devenu l'un des plus actifs et des plus redoutables. Il est généralement distribué via des e-mails de phishing ciblés ou en exploitant les failles de sécurité existantes dans les réseaux d'entreprise. Ryuk a touché de grandes organisations, notamment des hôpitaux, des entreprises de logistique et des administrations publiques. Les demandes de rançon de Ryuk sont souvent très élevées, allant de centaines de milliers à plusieurs millions de dollars.

Mais aussi Colonial Pipeline. En mai 2021, la Colonial Pipeline, qui fournit une grande partie du carburant pour la côte est des États-Unis, a été victime d'une attaque de ransomware. Les opérations de pipeline ont été temporairement arrêtées pour éviter une propagation plus importante du malware. Colonial Pipeline a finalement payé une rançon de plusieurs millions de dollars pour récupérer l'accès à ses systèmes.

Ces exemples illustrent l'ampleur des dommages causés par les ransomwares, tant sur le plan économique que social. Ils soulignent également l'importance de la sécurité informatique, de la sensibilisation à la cybersécurité et de la mise en place de mesures de protection adéquates pour prévenir ces attaques.

Pourquoi les malwares sont-ils dangereux pour nos PC sous Windows ? 

Part de marché : Les ordinateurs sous Windows représentent une part importante du marché, ce qui en fait une cible attrayante pour les attaquants. De plus, de nombreux utilisateurs de PC sous Windows ont des connaissances limitées en matière de sécurité informatique, ce qui les rend plus vulnérables.

Vulnérabilités : Comme tout logiciel, Windows peut comporter des vulnérabilités qui peuvent être exploitées par les malwares. Microsoft publie régulièrement des correctifs de sécurité pour remédier à ces vulnérabilités, mais les utilisateurs doivent maintenir leur système à jour pour se protéger.

Téléchargements et courriels malveillants : Les malwares sont souvent distribués via des téléchargements et des pièces jointes de courriels malveillants. Les utilisateurs de PC sous Windows peuvent être victimes de malwares en téléchargeant des logiciels piratés, en cliquant sur des liens suspects ou en ouvrant des pièces jointes provenant de sources non fiables.

Ingénierie sociale (la mode) : Les attaquants utilisent souvent des techniques d'ingénierie sociale pour tromper les utilisateurs de PC sous Windows et les inciter à exécuter des malwares. Cela peut se faire par le biais de fausses alertes de sécurité, d'offres douteuses ou de faux sites Web.

En résumé, un malware est un logiciel malveillant conçu pour causer des dommages, compromettre la sécurité ou collecter des informations sans le consentement de l'utilisateur. Les PC sous Windows ont été historiquement ciblés par les malwares en raison de leur part de marché, de leurs vulnérabilités potentielles et des pratiques de sécurité des utilisateurs. Il est essentiel de maintenir son système à jour, d'utiliser des logiciels antivirus et de rester vigilant face aux téléchargements et aux courriels suspects pour se protéger contre les malwares.

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Les 4 ou 5 logiciels grand public les plus utilisés pour lutter contre les malwares que vous devez connaître sont :

Malwarebytes : Il existe une version gratuite et une version payante de Malwarebytes. Le logiciel utilise une combinaison de technologies de détection basées sur les signatures et le comportement pour identifier et éliminer les malwares. Il dispose également d'une fonction de protection en temps réel pour prévenir les infections.

Avast Antivirus : Avast propose un antivirus gratuit qui inclut une protection contre les malwares. Le logiciel utilise des analyses heuristiques, des signatures de virus et une surveillance en temps réel pour détecter et supprimer les malwares. Il offre également une fonction de navigation sécurisée pour prévenir les infections lors de la navigation sur Internet.

AVG Antivirus : Tout comme Avast, AVG propose un antivirus gratuit qui offre une protection contre les malwares. Il utilise une technologie de détection basée sur les signatures, l'analyse comportementale et l'apprentissage automatique pour détecter les malwares et les éliminer. AVG propose également une fonction de navigation sécurisée.Windows Defender : Il s'agit de l'antivirus intégré de Microsoft, qui est gratuit et préinstallé sur les systèmes Windows. Windows Defender utilise des signatures de virus, une analyse comportementale et une protection en temps réel pour détecter et supprimer les malwares. Il est constamment mis à jour via Windows Update pour assurer une protection contre les dernières menaces.

Bitdefender : Bitdefender est un logiciel antivirus populaire qui propose à la fois une version gratuite et des versions payantes. Il utilise une combinaison de méthodes de détection, telles que les signatures de virus, l'analyse comportementale, l'apprentissage automatique et l'intelligence artificielle pour détecter et éliminer les malwares. Bitdefender offre également une fonction de navigation sécurisée et une protection en temps réel.

Ces logiciels utilisent généralement une combinaison de méthodes de détection, notamment les signatures de virus, l'analyse comportementale, l'apprentissage automatique et l'intelligence artificielle. Ils s'appuient sur des bases de données de signatures de malwares connus et surveillent également le comportement suspect des fichiers et des processus pour détecter les infections. Certains logiciels proposent également des fonctionnalités supplémentaires telles que la navigation sécurisée, la protection en temps réel et la prévention des infections lors de l'accès à des sites Web potentiellement dangereux.

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15/05/2023

Turquie le choix de la paix contre Washington

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Président Erdoğan : « Le 14 mai, tous les 85 millions gagneront ». Reste à savoir s'ils ont gagné dès le premier tour car Erdogan frôle la barre des 50%. À 3 heures du matin, le chef du Conseil électoral suprême, Ahmet Yener, a confirmé qu'avec plus de 91 % des bulletins comptés, l'avance initialement confortable d'Erdogan est tombée à 49,49 % – en dessous de la majorité nécessaire pour éviter un second tour le 28 mai alors que Kemal Kilicdaroglu du Parti républicain du peuple (CHP), a obtenu 44,49 % et on le notera avec systématiquement de bons scores dans les zones à forte présence étrangère. Comme en Europe ou aux Etats-Unis, on constate la significative existence d'une périphérie souverainiste populaire et de territoires mondialisés (métropoles et bordures touristiques) non productifs et alignés sur Washington mais plus sur l'intérêt local et national. Parallèlement à cela, des élections législatives ont eu lieu dans le pays. Il y a trois candidats au poste de chef de l'Etat : l'actuel leader Recep Tayyip Erdogan, Kemal Kılıçdaroğlu et Sinan Ogan. Le 11 mai, trois jours avant l'élection, le quatrième candidat, Muharrem Ince, a annoncé son retrait de sa candidature

Le président Recep Tayyip Erdoğan, dans son discours lors du rassemblement du parti tenu dans la nouvelle zone de rassemblement d'Erzurum, a déclaré que personne ne se sentira perdu, sauf ceux qui veulent entraver cette marche bénie.

Commençant son discours le 14 mai en saluant les habitants d'Erzurum, le président Erdoğan a déclaré qu'Erzurum avait battu un record aujourd'hui et qu'il y avait 130 000 personnes de l'aéroport à la zone de rassemblement.

"Je loue mon Seigneur. O Seigneur, tu m'as fait camarade avec ces frères. Merci." Le président Erdoğan a déclaré qu'Erzurum est une ville culturelle avec ses saints, ses martyrs, ses vaillants et ses amants.

Déclarant que la ville glorieuse d'Erzurum avec son passé, d'Alparslan à Nene Hatun, est une ville de cœur avec la volonté qui a fondé la république, le président Erdoğan a déclaré que d'ici, ils peuvent atteindre Ağrı, Ardahan, Artvin, Bayburt, Bingöl et Erzincan et Kars, ont envoyé ses salutations et son amour à tous ceux dont le cœur battait sur la place.

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Ali ibn Abi Talib, compagnon et parent proche du prophète ici représenté de manière vraiment très parlante par l'artiste arménien Hakob Hovnatanyan, est une figure importante dans l'alévisme, religion composite présente en Turquie mais aussi dans les Balkans. Elle est très active dans la défense de la laïcité et certains la citent comme une origine de l'idéologie des droits de l'homme. Kilicdaroglu, principal adversaire d'Erdogan et défenseur des communautarisme sociétaux en a fait malgré sa marginalité une  promotion pendant sa campagne. Voilà, voilà...

Notant qu'il reviendrait à Erzurum pour remercier la population après le 14 mai, le président Erdoğan a déclaré :

"Que dit le poète ? 'Votre front est blanc, votre cœur est haut depuis Palandöken, Erzurum. Depuis combien de temps êtes-vous venu à Erzurum, puisque vous ne l'avez pas vu. Erzurum. Je voudrais remercier Erzurum, ma compagne et ma compagne depuis 21 ans. Je voudrais remercier encore une fois Erzurum, le bastion indestructible de la volonté nationale. Je voudrais exprimer ma gratitude à chacun de mes frères d'Erzurum, qui ont accueilli nous avec amour dès le moment où nous sommes arrivés dans la ville. Nous aimons tous les deux Erzurum et nous vous aimons beaucoup. Nous savons que les gens d'Erzurum nous aiment aussi. Est-ce vrai ? Que mon Seigneur maintienne toujours notre conversation. Nous n'avons pas apporté n'importe qui entre nous depuis 2002. Nous avons gardé nos rangs serrés. Nous les avons gardés forts et forts. Nous nous sommes battus dos à dos dans la lutte pour une Turquie grande et forte. J'espère que c'est maintenant le siècle de la Turquie" Nous allons construire ensemble. Nous serons serrés les uns contre les autres comme des briques dans un mur. Nous ne permettrons à personne de nous diviser, de nous séparer, de semer les graines de la discorde entre nous. Avec la permission d'Allah, nous sortirons à nouveau vainqueurs des urnes le 14 mai. Ce sera une telle victoire que personne ne perdra, sauf les barons de la terreur de Qandil. Sommes-nous en train d'effacer le HDP bien connu, qui est une extension des barons de la terreur à Qandil, à Erzurum ? Vous supprimez ? Personne ne pleurera sauf les traîtres en Pennsylvanie. Personne ne baissera la tête sauf ceux qui ont coupé un linceul pour la Turquie. Personne ne criera sauf les marchands de sang et de chaos." Personne ne perdra sauf les barons de la terreur dans Sommes-nous en train d'effacer le HDP bien connu, qui est une extension des barons de la terreur à Qandil, à Erzurum ? Vous supprimez ? Personne ne pleurera sauf les traîtres en Pennsylvanie. Personne ne baissera la tête sauf ceux qui ont coupé un linceul pour la Turquie. Personne ne criera sauf les marchands de sang et de chaos." Personne ne perdra sauf les barons de la terreur dans Sommes-nous en train d'effacer le HDP bien connu, qui est une extension des barons de la terreur à Qandil, à Erzurum ? Vous supprimez ? Personne ne pleurera sauf les traîtres en Pennsylvanie. Personne ne baissera la tête sauf ceux qui ont coupé un linceul pour la Turquie. Personne ne criera sauf les marchands de sang et de chaos."

"Les opprimés et les victimes se réjouiront"

Déclarant qu'il est venu à Erzurum de Van (ville très à l'Est du pays et loin des zones touristiques où s'exprime un Islam très traditionnel), le président Erdoğan a déclaré qu'il y avait une participation magnifique ici aussi, et a déclaré :

Nos frères et sœurs les mains au ciel se réjouiront également. Les cœurs tristes qui ont mouillé de larmes leurs tapis de prière se réjouiront. Pas ceux qui marchent sur le tapis de prière avec leurs chaussures, mais ceux dont la qibla est la Kaaba seront heureux. Les opprimés et les lésés qui placent leurs espoirs en Turquie se réjouiront. Nos compatriotes, qui trouvent la paix en voyant notre drapeau rouge croissant et étoilé, vont se réjouir. Des centaines de millions de personnes en Asie et en Afrique se réjouiront en répondant à notre appel : « Un monde plus juste est possible ».

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"Nous donnerons ensemble la leçon nécessaire"

"Celui de Qandil a-t-il un drapeau ? Il a un chiffon. Est-ce qu'il a de l'azan ? Est-ce qu'il a un livre ? Nous donnerons ensemble la leçon nécessaire le 14 mai à ceux qui n'ont pas de livres."

Le président Erdogan a ajouté :

"Je loue mes frères kurdes, ceux de Kandil sont des traîtres. Ceux de Kandil sont des traîtres qui ont malheureusement kidnappé les bébés de mes mères de Diyarbakır. Sommes-nous prêts à leur donner la leçon nécessaire ? Le 14 mai sera, espérons-le, la fête de millions de personnes avec nous, dont le cœur bat avec nous. Pour cette raison, jour et nuit, Sommes-nous prêts à travailler dur ? Sommes-nous prêts à tirer le meilleur parti des 9 prochains jours ? Nous ne gaspillerons aucun de nos souvenirs, aucun jour. Nous gagnerons. Nous expliquerons l'importance des élections du 14 mai, nous exigerons votre soutien à ce frère et à l'Alliance populaire. Comme pour les 15 dernières élections, nous terminerons le travail avant les urnes.

Affirmant que pour certains, Erzurum est une ville qui n'est préparée qu'aux élections, et dont la localisation sur la carte ne peut être trouvée que lorsque les urnes se profilent à l'horizon, le président Erdoğan a déclaré : « Mais pour nous, c'est la couronne de notre Nous ne sommes pas seulement ceux qui posent des questions sur l'état de Dadas d'élection en élection. Nous étions les invités de Dadas alors que quelqu'un voyageait de Pennsylvanie à Londres. utilisé les phrases.

Affirmant qu'ils ont réussi à faire tenir en 21 ans ce qui n'a pas pu être fait en 80 ans, le président Erdoğan a poursuivi son discours comme suit :

"Maintenant, nous avons une nouvelle ère devant nous. C'est ce qu'on appelle le siècle turc. Nous avons créé l'infrastructure de cet idéal avec les étapes que nous avons franchies en 21 ans. Avant nous, notre pays avait des routes, des hôpitaux, des écoles, des universités et Avant nous, le problème de production de la Turquie, « Il y avait un problème de dépendance extérieure, on allait le régler. Avant nous, le tourisme ne se faisait qu'à certaines saisons et dans certaines provinces de notre pays, on l'a élargi. Avant nous, il y avait une Turquie faible et faible dont l'économie était gérée par des commissaires du FMI, nous l'avons complètement changée."

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"Nous ne sommes plus affiliés au FMI"

Expliquant comment la Turquie a remboursé sa dette envers le FMI, le président Erdoğan a déclaré : « Qu'ont-ils fait ? Ils sont allés et il y a un porte-parole du CHP dans les chambres d'hôtel. Il y a aussi une personne de l'IP, qui était autrefois au Banque centrale. Ils ont eu des pourparlers avec le FMI ensemble. Soi-disant, ils nous donnent des conseils : "Obtenez un prêt du FMI." Nous avons dit : "Nous avons fermé cette porte". Nous n'avons plus rien à voir avec le FMI. Ce jour-là est parti depuis lors. Savez-vous ce que cela signifie ?

Nous nous suffisons. a t-il répété en conclusion.

"Nous n'attendons plus d'armes ni de permission des autres"

Exprimant qu'avant les gouvernements du parti AKP, la Turquie était un pays qui avait besoin des autres dans la lutte contre les organisations terroristes, le président Erdoğan a déclaré : « Dieu soit loué, avons-nous mis fin à cela ? Y a-t-il de la terreur ici maintenant ? "Avec SİHA, Akıncı, ANKA, ATAK, Storm et Kızılelma, nous écrasons les têtes des terroristes un par un. Nous ne laissons pas ces scélérats respirer en Irak et en Syrie comme nous le faisons dans notre les frontières.".

Notant que le navire TCG Anadolu, hébergé à Istanbul, a accueilli près de 150 000 visiteurs, le président Erdoğan a déclaré: "Maintenant, je l'ai envoyé à Izmir. Les files d'attente ne sont pas passées à Izmir. Je voulais voir TCG Anadolu à Izmir. Bien sûr, d'autres le verrait aussi." 

"Nous continuerons à travailler jusqu'à ce que nous gagnions notre indépendance énergétique"

Soulignant qu'en plus du gaz de la mer Noire, ils offrent les ressources énergétiques du pays au profit de la nation avec le pétrole trouvé à Gabar, le président Erdoğan a déclaré :

"Nous avons apporté le gaz naturel de la mer Noire, dont ils ont dit, 'Il n'y a pas de gaz', dans notre pays. Nous l'avons mis à la disposition des citoyens. Pour partager cette fierté avec notre nation, nous avons rendu le gaz naturel gratuit pour un mois. Pour l'année suivante, votre consommation de 25 mètres cubes sera déduite de votre facture. Production quotidienne de 100 mille barils "Bien sûr, quand on dit qu'on a trouvé du pétrole, quelqu'un demande sa qualité. Je leur dis que l'huile est de la consistance de la mélasse de mûrier Erzurum. C'est-à-dire qu'elle est du plus haut niveau de qualité et de pureté. Nous poursuivrons nos efforts d'exploration de gaz naturel et de pétrole à la fois sur terre et en mer. Nous continuerons à travailler jusqu'à ce que nous gagnons notre indépendance énergétique.

En regardant la vidéo sur ce qu'ils feront dans 5 ans s'ils reviennent au pouvoir, le président Erdoğan a déclaré : « Nous mettrons en œuvre tout cela un par un avec votre soutien et vos prières. Tout comme nous avons amené le gaz de la mer Noire dans notre pays, comment nous avons envoyé le Togg gris sur les routes, et comment nous avons sorti notre avion de chasse national Kaan du hangar, si Dieu le veut Nous allons construire le siècle turc ensemble, avec la permission de .

Exprimant que l'arbre sera à l'intérieur du loup, le président Erdoğan a poursuivi son discours comme suit :

"Ils ont amené l'un de nous contre notre vision du siècle de la Turquie. D'abord, ils ont rassemblé 6 choses dissemblables autour d'une table, puis ont ajouté ce qui était sous la table depuis le tout début. Qui était-ce ? HDP. Puis ils ont ajouté 2 autres maires à la table. À un moment donné, l'un des partenaires à la table s'est levé de colère. Mais cela s'est remis en place en 3 jours. L'insulte de 30 ans qu'il a reçue de ses partenaires d'alliance au cours de ces 3 jours a été laissée pour compte.

Exprimant que le rassemblement que le CHP prévoyait d'organiser à Erzurum la semaine dernière a été annulé pour des raisons de "sécurité" lorsque 250 à 300 personnes sont arrivées, le président Erdoğan a déclaré que le parti IYI avait rendu visite aux commerçants avec 300 personnes.

Le président Erdoğan a déclaré que le HDP avait organisé un rassemblement à Hınıs avec 1 500 personnes et a déclaré : « J'appelle d'ici mes frères à Hınıs, qu'attendez-vous d'eux ? Mon frère Hınıs est un croyant, ne va-t-il pas dire à les incroyants, les sans-livres et ceux qui n'ont pas de prière, 'Venez-vous d'ici' plus ?"


Ballade d'occidentaux il y a quelques jours dans la Turquie sous la "botte" Erdogan depuis de nombreuses années. On cherchera en vain les hordes d'islamistes radicaux attaquant les touristes, les troupes style escadrons de la mort persécutant la population, les signes de la famine ou de l'effondrement économique produit par une dictature. Contrairement à la propagande de trop de grands médias occidentaux, le Turc vit bien et en tout cas bien mieux que le Français, il est plus prospère et plus libre. La majorité des grands médias turcs ont fait ouvertement campagne contre Erdogan sans problème. L'inflation est effectivement autour de 70% mais contrairement à la politique démente menée dans l'Union Européenne les réalignements des salaires sont très fréquents donc la vie est bien plus facile. La Turquie a d'ailleurs dépassé la France en parité de pouvoir d'achat, la seule évaluation fiable des conditions de vie d'une population.

"Lorsqu'il s'agit de se répartir les positions, personne ne peut se verser de l'eau dans les mains"

Déclarant que les partis des Six Tables ne pouvaient s'entendre et se battre tous les jours, le président Erdoğan a poursuivi ainsi :

"Mais lorsqu'il s'agit de se répartir les postes et les sièges, personne ne peut leur serrer la main. Actuellement, il y a 7 vice-présidents. Mais ce nombre ne cesse d'augmenter. Bientôt, ils expliqueront ce qu'ils ont promis aux extensions de l'indépendantiste. De même, ils expliquent ce qu'ils ont promis aux membres de la FETO. Il y a une coalition dont le rôle, le langage et le visage se sont démesurément accrus. Ils ont assigné une mission à chacun d'eux. organisation terroriste séparatiste sans nuire à son extension politique." "Est-ce que ce Selo a causé la mort de 51 de nos frères kurdes à Diyarbakir? Il est maintenant à l'intérieur. Que dit M. Kemal? Nous allons les faire sortir aussi." dit. Il ne fait aucune affaire dans la municipalité dont il est le président, mais il ne laisse l'avocat de Selo à personne, voyageant de ville en ville. Ils ont dit à un autre : « Vous contrôlerez la section religieuse ». Ils ont averti les deux autres que "vous obtiendrez autant de votes que possible de la part du parti AK". Ils ont donné tout le sale boulot et tout le fardeau de la coalition au partenaire d'apparence nationaliste, le parti IYI. C'est ce partenaire qui est dans la situation la plus difficile. Il est coincé entre la mosquée et l'église, comme s'il ne pouvait pas y aller, ça ne lui convenait pas s'il restait, il ne se taisait pas, son cœur ne suffisait pas s'il parlait. Perdant le contrôle, il continue de tourner à gauche et à droite tous les jours. Que dirons-nous ? Qu'Allah nous accorde de nous débarrasser de cette oppression au plus vite. Ils ont averti les deux autres que "vous obtiendrez autant de votes que possible de la part du parti AK". Ils ont donné tout le sale boulot et tout le fardeau de la coalition au partenaire d'apparence nationaliste, le parti IYI. C'est ce partenaire qui est dans la situation la plus difficile. Il est coincé entre la mosquée et l'église, comme s'il ne pouvait pas y aller, ça ne lui convenait pas s'il restait, il ne se taisait pas, son cœur ne suffisait pas s'il parlait. Perdant le contrôle, il continue de tourner à gauche et à droite tous les jours. Que dirons-nous ? Qu'Allah nous accorde de nous débarrasser de cette oppression au plus vite. Ils ont averti les deux autres que "vous obtiendrez autant de votes que possible de la part du parti AK". Ils ont donné tout le sale boulot et tout le fardeau de la coalition au partenaire d'apparence nationaliste, le parti IYI. C'est ce partenaire qui est dans la situation la plus difficile. Il est coincé entre la mosquée et l'église, comme s'il ne pouvait pas y aller, ça ne lui convenait pas s'il restait, il ne se taisait pas, son cœur ne suffisait pas s'il parlait. Perdant le contrôle, il continue de tourner à gauche et à droite tous les jours. Que dirons-nous ? Qu'Allah nous accorde de nous débarrasser de cette oppression au plus vite. S'il parle, son cœur ne suffit pas. Perdant le contrôle, il continue de tourner à gauche et à droite tous les jours. Que dirons-nous ? Qu'Allah nous accorde de nous débarrasser de cette oppression au plus vite. S'il parle, son cœur ne suffit pas. Perdant le contrôle, il continue de tourner à gauche et à droite tous les jours. Que dirons-nous ? Qu'Allah nous accorde de nous débarrasser de cette oppression au plus vite.

Le président Erdoğan, qui a visionné la vidéo de certaines déclarations de l'Alliance nationale à partir des écrans installés dans la zone, a poursuivi ses propos comme suit :

« Ils allaient changer la République centenaire. Pourquoi avons-nous perdu tant de martyrs ? Il se penche sur le PKK. Le 14 mai est très important pour lui. Voici tous les terroristes. printemps dans le pays. Nous avons amené le printemps dans ce pays, nous sommes la terreur. Qui l'a arrêté dans le pays ? La terreur est finie, le printemps est arrivé, grâce à nous. C'est le candidat qui dit qu'il résoudra les problèmes dans Il n'a tenu aucune promesse qu'il a faite jusqu'à présent, n'a laissé personne qu'il n'a pas victimisé, y compris son propre parti, et a travaillé avec tout le monde, des partisans de FETO aux séparatistes, M. Kemal, pour donner de l'espoir au Ils le commercialisent. Ils essaient maintenant d'affliger le pays avec une personne défectueuse qu'ils disaient "ne peut pas gagner" jusqu'à il y a 1-2 mois, qu'ils ont fait pression pour "candidat" et en qui ils ne font pas confiance.

"Nous marchons avec notre nation et comptons sur notre Seigneur"

Déclarant que les Six Tables ne pouvaient pas résoudre leurs propres problèmes, il a également parlé de résoudre les problèmes du pays, le président Erdoğan a déclaré :

Avec un peu de chance, le 14 mai, sommes-nous prêts à liquider cette table de jeu avec ses partenaires secrets et ouverts ? Sommes-nous prêts à sauver la Turquie et la politique turque de ces ambitions incompétentes ? Peu importe avec qui M. M. Kemal et ses associés marchent main dans la main, nous marcherons avec vous. M. M. Kemal marche avec Kandil, il marche avec les serviteurs de Kandil. Nous marchons avec notre nation et comptons sur notre Seigneur. Comptez sur Dieu, accrochez-vous à Jésus, soyez ferme dans votre jugement, s'il y a un chemin, c'est le chemin, je ne connais pas d'autre issue." Il marche avec ses serviteurs. Nous marchons avec notre nation et comptons sur notre Seigneur. Comptez sur Dieu, accrochez-vous à Jésus, soyez ferme dans votre jugement, s'il y a un chemin, c'est le chemin, je ne connais pas d'autre issue." Il marche avec ses serviteurs. Nous marchons avec notre nation et comptons sur notre Seigneur. Comptez sur Dieu, accrochez-vous à Jésus, soyez ferme dans votre jugement, s'il y a un chemin, c'est le chemin, je ne connais pas d'autre issue."

Exprimant que la nation s'attend à ce qu'ils construisent le siècle de la Turquie en particulier, et qu'ils travaillent conformément à cette attente, le président Erdoğan a déclaré qu'ils étaient en train de crocheter toute la Turquie avec des investissements.

Déclarant qu'ils n'ont pas négligé Erzurum lors de l'investissement, le président Erdoğan a déclaré : « Savez-vous combien nous avons investi dans Erzurum en 21 ans ? Nous avons investi 84 milliards. Nous avons ajouté 3 911 nouvelles salles de classe dans l'éducation. université d'État. 19 000 dans la jeunesse et les sports. Nous avons construit des dortoirs d'enseignement supérieur d'une capacité de 1 personne et 71 installations sportives. Nous avons transféré un total de 8 milliards de lires à nos citoyens d'Erzurum dans le besoin. a donné les informations.

Déclarant qu'ils ont construit 107 établissements de santé, dont 24 hôpitaux avec 2 mille 32 lits, dans le domaine de la santé, le président Erdoğan a déclaré : « L'un des travaux que nous avons apportés à notre ville est notre hôpital de ville. Nous avons construit 14 mille 461 maisons à travers TOKİ. Maintenant, avec 'My First Home', 2 mille 420 nouvelles maisons et 'First Job'. Nous construisons 218 lieux de travail avec 'My Place', et nous donnons 17 500 terrains avec une infrastructure prête avec 'First Land' ." 

"Nous obtenons du gaz naturel d'Uzundere dans la période à venir"

Le président Erdogan a déclaré :

"Nous avons achevé 10 de nos 13 projets de jardins nationaux à Erzurum. Nous avons augmenté la longueur de la route divisée que nous avons empruntée de 49 kilomètres pour le transport à 620 kilomètres. Nous terminons cette année la réparation du périphérique nord d'Erzurum. Sivas, Le projet de train à grande vitesse Erzincan, Erzurum, Kars prend vie avec la permission de Dieu. Nous avons construit 11 barrages, 22 installations d'irrigation, 312 installations de protection contre les inondations, des étangs et 28 centrales hydroélectriques dans l'agriculture et la forêt. Nous avons apporté un soutien total de 3 milliards de lires à nos agriculteurs d'Erzurum. 250 millions à faire par Tarım Kredi pour répondre aux besoins alimentaires mixtes de nos provinces d'Erzurum et de ses environs. "Nous avons commencé la construction d'une usine qui produira 50 000 tonnes de gaz par an avec un investissement de TL. Nous avons apporté du gaz naturel à notre ville et 19 districts, qui comptent 339 000 abonnés au gaz naturel dans l'énergie. Nous apporterons également du gaz naturel à Uzundere dans la période à venir.


Après la fin du processus de vote aux élections présidentielles et législatives du 28e mandat, la population manifeste sa joie, la ville est pourtant bien plus conservatrice que le Président Erdogan et très critique de sa politique libérale. Des membres du parti AK réunis sur la place Kılıçarslan ont célébré le résultat des élections en lançant des feux d'artifice. D'autres se sont réunis devant la présidence provinciale du parti AK Konya, suivent les résultats des élections sur l'écran géant installé devant le parti. Le président provincial Hasan Angı a déclaré que Konya apporte un soutien solide au président Recep Tayyip Erdoğan. Le maire métropolitain Uğur İbrahim Altay a également remercié ceux qui les ont soutenus pendant le processus électoral.

Soulignant que le 14 mai est très important pour la poursuite ininterrompue de tous ces investissements, le président Erdoğan a déclaré : « Nous irons tous aux urnes et défendrons notre volonté. Comme nous le faisons depuis 21 ans, nous utiliserons notre choix pour la politique des travaux et des services. Nous ne donnerons jamais crédit aux mensonges de M. Kemal et de ses partenaires. Nous ne laisserons pas la place à ceux qui saluent les sanglantes organisations terroristes. utilisé les phrases.

À son arrivée à Erzurum, le président Erdoğan a été accueilli avec des démonstrations d'affection par les citoyens et a salué ceux qui l'attendaient depuis le bus.

Des banderoles "La légende parle du balcon, pas de la cuisine, au revoir Kemal", "Votre position inspire la confiance aux amis, la peur aux ennemis, chef" et "Erzurum est prêt" ont été accrochées dans la zone où s'est tenu le rassemblement.

Après le discours du président Erdoğan, les candidats à la députation du parti AK Erzurum ont été appelés un par un sur scène et présentés aux citoyens. Le président Erdoğan a salué les citoyens avec les candidats parlementaires.

En attendant, "Sommes-nous prêts pour la soirée du 14 mai ?" A demandé le président Erdogan, lorsqu'il a reçu la réponse "oui" des citoyens, "je vous appellerai du balcon le soir du 14 mai". il a répondu.

Le président de HUDA PAR Zekeriya Yapıcıoğlu et le porte-parole de la présidence İbrahim Kalın ont également assisté au rassemblement.

 

 

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Le président et président du parti AKP Recep Tayyip Erdogan, concernant les élections présidentielles et législatives du 28e mandat, a déclaré : « Le gagnant est notre pays, notre nation, au-delà des chiffres et des taux que les tableaux électoraux montreront.

Le président Erdoğan s'est adressé aux citoyens depuis le balcon du siège du parti AKP le soir après les résultats.

"Nous avons eu l'une des élections les plus populaires de notre histoire"

Après que son discours ait été interrompu par des acclamations, le président Erdogan a déclaré : « Mashallah. Quel est cet amour, quelle excitation, quel amour ? Il a répondu avec ses mots.

Le président Erdoğan, qui a remercié les citoyens qui ne les ont pas laissés seuls avec leur amour, leur enthousiasme et leur loyauté d'Istanbul à Ankara et au siège du parti, a également participé aux commissions des urnes, s'est occupé des urnes en tant qu'observateur ou avec leur volontaires et partit à l'étranger avec eux. Il exprima également sa gratitude à ceux qui participèrent à leurs travaux.

"Je voudrais sans aucun doute exprimer mes plus grands remerciements à chacun de mes concitoyens qui se sont rendus aux urnes avec une participation record et ont exprimé leurs préférences pour l'avenir de leur pays et le leur." Le président Erdoğan a poursuivi son discours comme suit :

"Je voudrais exprimer ma gratitude à mes frères qui nous ont préférés, le parti AKP et l'Alliance populaire lors des élections. Le vainqueur a été notre pays, notre nation, au-delà des chiffres et des taux que les tableaux électoraux montreront. Turquie , avec son attachement à la supériorité de la volonté nationale, Il a une fois de plus prouvé qu'il est parmi les principales démocraties du monde avec sa liberté. Nous l'avons démontré avec le taux de participation record aux élections. Il n'a pas d'égal dans du monde. Nous avons vécu l'une des élections avec le taux de participation le plus élevé de notre histoire. Nous l'avons montré en reflétant pacifiquement le choix de notre nation dans les urnes. Aucun regret notable. Nous avons terminé cette élection sans incident.sans doute, nous l'avons montré par son être."


Les partisans du Président sur venus attendre les résultats et écouter son discours.

"Les débats pendant la campagne électorale sont désormais terminés"

Exprimant que les explosions des dirigeants du CHP et de certains maires, qui sont purement le produit de leur propre calcul interne, n'ont pas changé cette réalité, le président Erdoğan a déclaré :

"Notre pays a un fonctionnement qui servira d'exemple au monde tant en termes d'exercice des droits et libertés politiques que de fiabilité du système électoral. Personne n'a le droit de gâcher ce beau tableau pour ses propres calculs politiques vicieux. Tout au long de notre vie politique, nous avons toujours respecté la décision de la volonté nationale, à savoir votre décision. « Nous respectons également cette élection. Nous la respecterons également aux prochaines élections. Nous attendons de chacun la même maturité démocratique. pendant la campagne électorale appartiennent désormais au passé. Dans ce processus, tout le monde a parlé à notre nation, et notre nation a pris sa décision aujourd'hui. Il ne s'agit plus de lui mettre de nouvelles couvertures. Nous attendons la même démocratie maturité de tout le monde. Cela n'a aucun sens. Nous verrons quelle sera la décision de notre nation lorsque les résultats finaux non officiels seront annoncés.

Exprimant sa gratitude aux quelque 27 millions de citoyens qui ont voté pour lui lors des élections présidentielles, quel que soit le résultat, le président Erdoğan a déclaré : « Je voudrais remercier chacun de nos quelque 56 millions de citoyens qui ont participé à cette fête de la démocratie, quel que soit le résultat. de qui ils choisissent. Il y a déjà une différence de 2 millions 600 000 par rapport à notre concurrent le plus proche aux élections. Je pense que ce chiffre augmentera encore une fois que les résultats définitifs seront connus. 

Déclarant qu'on ne sait pas encore si l'élection présidentielle se terminera au premier tour en raison de la limite de 50 + 1 voix dans le système électoral, le président Erdoğan a déclaré : « Si la décision de notre nation montre que l'élection présidentielle est terminée, alors il y a "Ce n'est pas un problème. Si notre nation a fait son choix en faveur de l'élection au second tour, cela nous dépasse. Nous pensons que nous terminerons ce tour avec plus de 50 % des voix." utilisé les phrases.

Rappelant que le dépouillement des votes étrangers se poursuit, le président Erdoğan a poursuivi ainsi :

"Pour cette raison, je veux que nos membres de l'organisation et tous mes frères et sœurs qui nous aiment continuent d'être vigilants jusqu'à ce que les processus dans les commissions électorales de district et de province aux urnes soient terminés. Nous suivrons le processus sans permettre la moindre complaisance ou faiblesse qui éclipserait notre victoire. Même avec la situation actuelle, les élections pour les membres de l'Alliance populaire ont permis à l'Alliance populaire de remporter la majorité. Actuellement, la majorité au parlement est dans l'Alliance populaire. L'Alliance populaire L'Alliance domine la majorité des commissions. Par conséquent, nous ne doutons pas que la préférence de notre nation, qui a donné la majorité au parlement à l'Alliance populaire, sera également en faveur de la confiance et de la stabilité lors de l'élection présidentielle.

Souhaitant que les résultats des élections soient bénéfiques pour le pays et la nation, le président Erdoğan a déclaré qu'ils avaient reçu les résultats de ce qu'ils avaient dit aux citoyens sur les places pendant le processus électoral.

Le président Erdogan a poursuivi :

"Nous serons un, Dieu merci, sommes-nous devenus un en fortifiant notre place dans le cœur de notre nation ? Nous serons grands, Dieu merci, sommes-nous devenus grands en renforçant notre pays ? 'Nous serons vivants.' Nous avons dit : 'Nous serons frères et sœurs.' Nous avons dit : « Dieu merci, nous sommes entrés dans la nouvelle ère en tant que 85 millions de frères, quel que soit son choix dans les urnes. Attention, nous n'avons pas été bras dessus bras dessous avec des terroristes. Nous n'étions pas avec Selo, qui a causé la mort. de nos frères kurdes à Diyarbakır. Nous " avons lancé les tueurs de bébés en défonçant les portes des prisons. Nous les laisserons sortir ". Nous n'étions pas avec ceux qui disaient : « Nous n'étions pas avec ceux qui ont reçu l'instruction de Qandil. Nous ne recevons l'instruction que de notre Seigneur, notre nation. « Ensemble, nous serons la Turquie. nous l'avons dit,

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"Les élections du 14 mai ont eu une importance particulière dans notre histoire politique"

Le président Erdoğan a déclaré que le fait que les résultats des élections n'aient pas encore été finalisés ne change rien au fait que la préférence de la nation est clairement en leur faveur.

Exprimant qu'ils diront la même chose à la nation jusqu'à présent, le président Erdoğan a déclaré : « Nous serons un, nous serons grands, nous serons vivants, nous serons frères, nous serons la Turquie ensemble. Nous croyons de tout cœur que nous continuera à servir notre nation pendant les 5 prochaines années avec cette compréhension."

Soulignant que chaque élection en Turquie est bien sûr importante, le président Erdoğan a déclaré :

« Les élections du 14 mai ont eu une importance particulière dans notre histoire politique, tant par la nature des alliances formées que par les sources du soutien secret et ouvert apporté à ces alliances. Ceux qui ont vécu cette élection diront à leurs enfants et petits-enfants sur quel genre de climat politique la Turquie a traversé et que notre pays a atteint le siècle de la démocratie. Il nous dira comment il a embrassé la volonté de notre nation afin de ne pas abandonner son progrès et son développement, il dira quels jeux il a brisés afin de ne pas nuire à l'unité, à la solidarité et à la fraternité de notre nation, et il racontera comment la puissance de la volonté nationale a écrit une épopée."

Exprimant qu'ils ont écrit cette épopée avec la nation, le président Erdoğan a déclaré : « J'appelle tous les membres de notre parti, en particulier mes frères qui sont ici avec nous aujourd'hui, tous les membres de l'Alliance populaire, chaque membre de notre nation ; nous sommes commencer à travailler pour maximiser les espoirs de nos jeunes." 

Déclarant qu'ils travailleront, courront et essaieront de gagner le cœur du peuple sans aucune provocation, provocation ou ruse dans la période à venir, le président Erdoğan a déclaré : « Nous lutterons pour construire une Turquie grande et puissante. N'oubliez pas que personne sera en mesure d'empêcher l'essor du siècle turc." a t-il précisé.

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10/05/2023

9 mai à Moscou

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Le Jour de la Victoire en Russie est une fête nationale qui commémore la victoire de l'Union soviétique sur l'Allemagne nazie dans la Seconde Guerre mondiale et est célébré chaque année le 9 mai. Il est considéré comme l'un des jours les plus importants de l'année en Russie et dans d'autres pays de l'ex-Union soviétique, et il est marqué par des célébrations et des commémorations à travers le pays. C'est un jour de fierté nationale et de commémoration pour les 28 millions de Russes qui ont perdu la vie pendant la guerre, ainsi que pour les vétérans et leurs familles. Les festivités incluent des défilés militaires, des feux d'artifice, des discours officiels et de multiples cérémonies. Cette année  10 000 soldats et 125 matériels différents donc de nombreux inédits ont défilé devant la population et les vétérans. Au même moment, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a rencontré à Kiev le "président ukrainien" Volodymyr Zelensky n'ayant aucune limite dans sa dérive qui en a profité pour débaptiser la fête de la victoire pour en faire la Journée de l'Europe. Disons le clairement, cette Europe n'a rien à voir avec la vraie.

 

Discours du Président de la Russie lors du défilé militaire

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Président de la Russie Vladimir Poutine : Citoyens de la Russie,

Chers vétérans,

Camarades soldats et marins, sergents et sous-officiers, aspirants et sergents-majors,

Camarades officiers, généraux et amiraux,

Soldats et commandants participant à l'opération militaire spéciale,

Joyeux Jour de la Victoire !

Joyeuse fête qui commémore l'honneur de nos pères, grands-pères et arrière-grands-pères qui ont glorifié et immortalisé leurs noms en défendant notre Patrie. Ils ont sauvé l'humanité du nazisme grâce à un courage incommensurable et à d'immenses sacrifices.

Aujourd'hui, notre civilisation est à un tournant crucial. Une véritable guerre est à nouveau menée contre notre pays, mais nous avons combattu le terrorisme international et nous défendrons les habitants du Donbass et assurerons notre sécurité.

Pour nous, pour la Russie, il n'y a pas de nations hostiles ou hostiles ni à l'ouest ni à l'est. Tout comme la grande majorité des habitants de la planète, nous voulons voir un avenir pacifique, libre et stable.

Nous pensons que toute idéologie de supériorité est odieuse, criminelle et mortelle par nature. Cependant, les élites mondialistes occidentales ne cessent de parler de leur exceptionnalisme, dressent les nations les unes contre les autres et divisent les sociétés, provoquent des conflits et des coups d'État sanglants, sèment la haine, la russophobie, le nationalisme agressif, détruisent les valeurs familiales et traditionnelles qui font de nous des humains. Ils font tout cela pour continuer à dicter et imposer leur volonté, leurs droits et leurs règles aux peuples, ce qui en réalité est un système de pillage, de violence et de répression.

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Ils semblent avoir oublié à quoi ont mené les revendications insensées de domination mondiale des nazis. Ils ont oublié qui a détruit ce mal monstrueux et total, qui a défendu leur terre natale et n'a pas épargné leur vie pour libérer les peuples d'Europe.

Nous voyons comment, dans certains pays, ils détruisent impitoyablement et de sang-froid les monuments commémoratifs aux soldats soviétiques, démolissent les monuments aux grands commandants, créent un véritable culte des nazis et de leurs mandataires, effacent et diabolisent la mémoire des vrais héros. Une telle profanation de l'exploit et des sacrifices de la génération victorieuse est aussi un crime, un revanchisme pur et simple de la part de ceux qui préparaient cyniquement et ouvertement une nouvelle marche sur la Russie et qui rassemblaient pour cela des racailles néonazies du monde entier.

Leur objectif - et il n'y a rien de nouveau à ce sujet - est de briser et de détruire notre pays, de rendre nuls et non avenus les résultats de la Seconde Guerre mondiale, de détruire complètement le système de sécurité mondiale et le droit international, d'étouffer toute souveraineté pôles de développement.

L'ambition sans limites, l'arrogance et l'impunité mènent inévitablement à des tragédies. C'est la raison de la catastrophe que traverse le peuple ukrainien. Ils sont devenus les otages du coup d'État et du régime criminel de ses maîtres occidentaux qui en a résulté, dommages collatéraux dans la mise en œuvre de leurs plans cruels et intéressés.

La mémoire des défenseurs de la patrie est sacrée pour nous en Russie et nous la chérissons dans nos cœurs. Nous rendons hommage aux membres de la Résistance qui ont courageusement combattu le nazisme ainsi qu'aux troupes des armées alliées des États-Unis, de la Grande-Bretagne et d'autres pays. Nous nous souvenons et honorons l'exploit des soldats chinois dans la lutte contre le militarisme japonais.

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Je crois fermement que l'expérience de la solidarité et du partenariat au cours des années de lutte contre une menace commune est notre héritage inestimable et un point d'ancrage sûr maintenant que le mouvement irrésistible prend de l'ampleur vers un monde multipolaire plus juste, un monde fondé sur les principes de confiance et de sécurité indivisible, d'égalité des chances pour un développement authentique et libre de toutes les nations et de tous les peuples.

Il est crucial que les dirigeants de la Communauté des États indépendants se soient réunis aujourd'hui à Moscou. J'y vois une appréciation de l'exploit de nos ancêtres : ils se sont battus et ont gagné ensemble puisque tous les peuples de l'URSS ont contribué à notre Victoire commune.

Nous nous en souviendrons toujours. Nous inclinons la tête à la mémoire chérie de ceux qui ont perdu la vie pendant la guerre, la mémoire des fils, des filles, des pères, des mères, des grands-pères, des maris, des épouses, des sœurs et des amis.

Je déclare une minute de silence.

(Une minute de silence.)

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Citoyens de Russie,

Les combats décisifs pour notre Patrie sont toujours devenus patriotiques, nationaux et sacrés. Nous sommes fidèles à l'héritage de nos ancêtres et avons une conscience profonde et claire de ce que signifie être à la hauteur de leurs réalisations militaires, professionnelles et morales.

Nous sommes fiers des participants à l'opération militaire spéciale, de tous ceux qui combattent sur les lignes de front, de ceux qui livrent des fournitures au front et sauvent les blessés sous le feu. Vos activités de combat sont maintenant d'une importance primordiale. La sécurité du pays dépend de vous aujourd'hui, tout comme l'avenir de notre État et de notre peuple. Vous accomplissez de manière louable votre devoir de combat en combattant pour la Russie. Vos familles, vos enfants et vos amis vous soutiennent. Ils t'attendent. Je suis sûr que vous pouvez sentir leur amour indéfectible.

Le pays tout entier s'est uni pour soutenir nos héros. Tout le monde est prêt à aider, tout le monde prie pour vous.

Camarades, amis, chers vétérans,

Aujourd'hui, chaque famille de notre pays honore les participants à la Grande Guerre patriotique, se souvient des membres de leur famille et de leurs héros et dépose des fleurs sur les monuments militaires.

Nous nous tenons sur la Place Rouge, un lieu qui rappelle les vassaux de Yury Dolgoruky et Dmitry Donskoy, la milice populaire de Minin et Pozharsky, les soldats de Pierre le Grand et de Kutuzov, les défilés militaires de 1941 et 1945.

Aujourd'hui, nous avons ici des participants à l'opération militaire spéciale - des militaires réguliers et ceux qui ont rejoint les rangs de l'armée lors de la mobilisation partielle, des troupes des corps de Lougansk et de Donetsk, de nombreuses unités de volontaires, du personnel de la Garde nationale, du ministère de l'Intérieur, du Service fédéral de sécurité, Ministère des urgences et autres agences et services de sécurité.

Mes salutations à vous tous, amis. Mes salutations à tous ceux qui se battent pour la Russie sur le champ de bataille, qui sont maintenant dans l'exercice de leurs fonctions.

Nos ancêtres héroïques ont prouvé pendant la Grande Guerre patriotique que rien ne peut battre notre unité forte, puissante et fiable. Il n'y a rien de plus fort que notre amour pour la Patrie.

Pour la Russie! Pour nos glorieuses Forces armées ! Pour la victoire!

Hourra !

 

Document la parade du 24 juin 1945 en HD


Le 24 juin 1945, Moscou a accueilli le plus grand et le plus long défilé militaire jamais organisé sur la Place Rouge. Le défilé de la victoire sur les nazis a réuni 40 000 soldats et 1 850 véhicules militaires qui ont défilé en triomphe devant Staline et d'autres dirigeants soviétiques. Le défilé dura un peu plus de deux heures et rassembla des régiments de tous les fronts. Georgy Joukov et Konstantin Rokossovsky, les maréchaux qui ont capturé Berlin, ont joué un rôle de premier plan. Ce sont eux qui apparaissent respectivement montés sur des étalons blancs et noirs. L'ordre du défilé a été donné par Staline le 22 juin 1945. Le jour anniversaire exact où l'invasion de l'Union soviétique a commencé quatre ans plus tôt lors de l'opération Barbarossa.

 

08:29 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!