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27/06/2017

Découverte de l'antimatière grise

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Il y a des records qui gagnent à ne pas être battus. Malheureusement la France vient de s'illustrer!

C'est sans doute le brillant chercheur français Jean Pierre Petit, notre spécialiste en mécanique des fluides, de la magnétohydrodynamique et auteur de très intéressantes propositions en astrophysique qui serait heureux de voir un monde bi-polaire une nouvelle fois exprimer au quotidien sa réalité troublante.

Les soviétiques étaient en avance dans le domaine mais la France ne pouvait leur laisser le dernier mot. Plus loin que Lyssenko que l'inénarrable théorie du genre, le réchauffement climatique d'origine humaine ou la hollandesque inversion de la courbe du chômage, il y a... il y a... Non, c'est tellement au dessus des étoiles qu'il faut le lire.

PS: Il est question de Marx dans la chose qui suit mais après réflexion, j'ai sans doute été injuste, elle parle surement de Groucho et pas de l'Oncle Karl.

 

A lire :

Ma France insoumise

« Black, confident, cocky; my name, not yours; my religion, not yours ; my goals, my own; get used to me. » Ou dit autrement : j’y suis, j’y reste, je ne partirai pas ! J’y suis, j’y reste et je ne marcherai pas au pas. J’y suis, j’y reste et je ne me soumettrai pas. « Get. Used. To. Me. » Je suis la France insoumise. Je suis 17 autres, 7 millions d’autres, des millions d’autres.
 

En février dernier, quand Jean-Luc Mélenchon a présenté sa candidature à l’élection présidentielle et lancé le mouvement de « La France insoumise », j’avoue, j’avoue : j’ai tiqué. C’est mon côté gauche anti-impérialiste. Entre autres… Mais j’ai quand même signé, comme on dit. J’ai signé parce que j’ai été convaincue par la clarté de l’analyse et de la stratégie (ça c’est mon côté marxiste ;), par la perspective de se lancer, enfin, en campagne (le côté mouvementiste), et en gardant en tête les points, les questions, les contradictions qu’il faudrait débattre et dépasser pour construire ensemble. J’ai donc signé et je me suis lancée. J’ai contribué à l’élaboration du programme et participé à la première convention nationale. J’ai co-organisé un groupe d’appui local et l’élaboration des livrets thématiques. Je me suis rendue aux quatre coins du pays présenter « L’ Avenir en commun », discuter, débattre, convaincre... J’ai rencontré cette France insoumise. Elle est devenue « ma » France insoumise.

Certain•e•s, y compris parmi des ami•e•s et camarades, ne comprennent pas toujours bien pourquoi ou comment moi, une internationaliste anti-impérialiste, militante intersectionnelle afro-féministe et antiraciste, j’ai pu me retrouver candidate de la France insoumise élue à l’Assemblée nationale. D’autres, comme celles et ceux qui vomissent leurs tombereaux de haine sur les réseaux sociaux depuis ces derniers jours, en abhorrent l’idée même et refuseront toujours, de toute façon, d’en accepter la réalité. A ces dernier•e•s, comme l’avait déjà si bien dit le boxeur poète, mi abeille mi papillon, aux rageux de son temps, je n’ai qu’un seul message à adresser : « Black, confident, cocky; my name, not yours; my religion, not yours ; my goals, my own; get used to me. » Ou dit autrement : j’y suis, j’y reste, je ne partirai pas ! J’y suis, j’y reste et je ne marcherai pas au pas. J’y suis, j’y reste et je ne me soumettrai pas. « Get. Used. To. Me. »

Je suis la France insoumise.

 

Lire la suite qui mérite un vaste détour ici car d'habitude, ça ne traine pas longtemps dans les rues mais termine vite comme mètre étalon, à Sèvres!

 

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