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10/11/2017

Indispensable Kaspersky Internet Security 2018

 

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Il ne se passe pas un mois sans que les foudres des médias ou de l'administration américaine se déchaînent contre la Russie accusée de tous les maux. Il faut bien trouver un bouc émissaire au désastre économique et social des années démocrates et un coupable à l'échec personnel d'une Madame Clinton incapable de la moindre autocritique.

Parmi les victimes collatérales de cette hystérie, il n'y a pas que des milliers d'entreprises qui ont du mettre la clé sous la porte ou nos agriculteurs. Il y a aussi certaines entreprises russes de pointe dont la société Kaspersky célèbre à juste titre pour son antivirus capable, l'actualité récente vient de le démontrer, de protéger le renseignement occidental de ses propres créations virales. Ça ne s'invente pas !

Car on ne le sait pas toujours, les virus et autres chevaux de Troie qui menacent nos machines, pas toujours sous Linux, sont avant tout et surtout des créations occidentales (Les États-Unis et Israël sont très productifs) avant d'être asiatiques ou d'Europe de l'Est.

Il importe de comprendre les menaces et leur origine avant de se protéger.

Les menaces sur une entreprise et un simple particulier sont rarement les mêmes et à l'heure où nos libertés disparaissent à vue d’œil "pour notre bien" et au nom, usé jusqu'à la corde de la "lutte contre le terrorisme" (comme plug anal on ne fait pas mieux !), il importe de chercher sa protection auprès de produits fiables.

La suite Internet Security de Kaspersky disponible dans sa nouvelle version comme chaque année dès la fin de l'été est donc toujours vivement recommandée. Tout comme pour un VPN, on choisira désormais et impérativement des produits ou services conçus hors zone Union Européenne/OTAN (pléonasme).

Car si on ne sait pas toujours qui sont ses ennemis, on sait au moins qui n'est pas un ami.

 

 A lire :

WikiLeaks : la CIA a développé des outils pour avancer masquée et se faire passer pour Kaspersky

RT en français 9 nov. 2017, 22:04  

Le site de Julian Assange continue d'exploiter les milliers de documents qui ont fuité des agences de renseignement US. Un outil baptisé «Hive» permet de brouiller les pistes et même d'usurper l'identité d'une société privée. Russe, par exemple...

Après la publication du lot Vault7 à partir de mars 2017, Wikileaks révèle ce 9 novembre de nouvelles caractéristiques de l'outil de piratage informatique baptisé «Hive». Développé par la CIA à des fins de renseignement et d'espionnage, ce malware pourrait servir à des opérations sous «faux drapeau», puisqu'il permet à celui qui le met en œuvre d'usurper l'identité de sociétés privées grâce à des certificats informatiques falsifiés. D'après WikiLeaks, qui met en avant des documents présentés comme ayant fuité de la CIA, c'est le cas de la société russe éditrice de logiciels antivirus Kaspersky Lab.

Le dispositif technique dévoilé par Wikileaks est complexe et a de quoi décourager les non-spécialistes. L'idée, elle, est simple : la CIA se cacherait derrière une série de serveurs proxy et de réseaux privés virtuels (VPN), qui permettent non seulement de brouiller l'adresse IP, mais aussi de délivrer de faux certificats. Dernière étape dans la dissimulation : de vrais-faux sites délivrant des contenus inoffensifs et banals, mais dont le rôle est de filtrer les connexions entrantes provenant des logiciels espions implantés dans tel ou tel ordinateur, tablette, téléphone ou autre objet connecté.

Les opérateurs de la CIA peuvent également donner des instructions aux logiciels espions, en ne laissant comme trace que des faux certificats d'éditeurs de logiciels, au nombre desquels Kaspersky. Dans le cas où l'organisation ou la personne ciblée par la CIA vérifierait d'où provient le trafic, elle ne trouverait que ces certificats, dûment choisis et simulés par le renseignement américain.

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