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 Si le public était présent et motivé, il fut souvent déçu par l'absence de nouvelles, de possibilités de tester les produits et le retour de cinématiques parfois vues à l'E3.

La Gamescon 2014 vient de s'achever et confirme sa position de premier salon du jeu vidéo avec  335 000 visiteurs, soit 5000 visiteurs de moins mais 65 exposants de plus. Les perspectives du marché du jeu vidéo pour 2014 sont optimistes, avec une croissance globale du marché estimée à +7% en raison de l'apparition de plusieurs nouvelles consoles de génération 8 (3DS, PS Vita, Wii U) qui tirent un secteur d'activité qui bénéficie par ailleurs, comme le cinéma, de l'ambiance crise économique-menace de guerre comme dans les années 30. Nous avons sélectionné pour vous quelques produits notables PC.

The Witcher 3 l'épée du destin annoncé pour février.

The vanishing of Ethan Carter, aventure solo prévue pour la rentrée de septembre

Alien Isolation, FPS axé survie devrait débarquer le 8 octobre voici la dernière bande annonce.

Assassin's Creed Unity pour partir à la découverte de Paris de haut en bas

L'inévitable et superbe cinématique de l'extension World of Warcraft : Warlords of Draenor

Une petite compilation des jeux à venir utilisant le moteur Unreal pour PC, consoles et mobiles.

Le citoyen n'est pas censé financer les dérives audiovisuelles. La pseudo information au service de la pseudo opposition trompe peut être quelques attardés mais donne surtout une image nauséabonde d'un système prétendant à la démocratie.

Ce sont près de 130 000 euros que les salariés des quotidiens Nice-Matin, Var-matin, Corse-matin ont pu réunir par l'intermédiaire du site de  financement participatif Ulule. Mais quel intérêt devant une mort prévisible? Par naïveté ou inconscience, les 1100 salariés de ce groupe en perpétuelles difficultés se sont finalement souvenus qu'au final l'argent, la vie d'un journal venaient des lecteurs (il est vrai qu'une charrette évaluée à 400-800 licenciés motive) et pas de la publicité (dans un journal elle ne doit être qu'un bonus mais dans notre pays elle est devenue le cœur du financement) qui est elle surtout un outil de censure sur les contenus rédactionnels. Il était temps mais il est surement trop tard.

On devrait plutôt que de taper ses clients réfléchir sur les raisons objectives de l'effondrement des ventes alors qu'ailleurs l'information se porte bien. Pour cela, il faudrait peut être fournir un contenu pluraliste, respectueux du lecteur et traduisant un réel travail d'investigation. Mais au delà de ce fondamental, il existe une autre source de malaise, car les services d'information réellement populaires, dont l'audience augmente souffrent eux aussi. Car en France, avant d'acheter un magazine, un journal le citoyen doit déjà payer et lourdement sa redevance. En 2014, même chômeur, avec moins de 10 euros de revenus provenant d'un livret de Caisse d’Épargne, il vous faudra quand même débourser 134€, même si vous ne regardez pas la télévision.

Or personne ne devrait, dans un pays donnant sans cesse des leçons au monde, avoir à rémunérer une "information" le plus souvent partiale pour ne pas dire ouvertement militante même dans ses programmes de loisirs, même, et c'est immonde, dans ses programmes destinés aux enfants et en prime, des loisirs visuels qui sont de toute évidence d'ordre privé (à ce titre pourquoi les facturer à la collectivité?).

Outre le fait que le "magazine" avait augmenté de 5 ct d'euro, c'est aussi la publicité qui payait et donc l'asservissement. Accepter qu'un journal, un magazine vive de la publicité (depuis des années on en est arrivé au point que vous abonner vous rapporte une montre, un agenda, un mobile...), c'est accepter que votre information soit dictée par des entreprises et en 2014 avec la mort consommée du capitalisme financier, les entreprises sont devenues la Finance. Avez vous les mêmes intérêts qu'un banquier? Souhaitez vous faire confiance à ses valeurs? A sa vision du monde?

Supprimer une fois pour toute la redevance semble une mesure de bon sens. Le gouvernement, les administrations disposent de suffisamment d'espaces d'affichages pour communiquer et si une radio peut se concevoir pour des situations d'urgence, le reste ne relève nullement des attributions d'un État qui n'arrive déjà pas à remplir ses fonctions régaliennes et imagine la gestion de vie privé des citoyens comme sa fonction première. Quand on est incompétent sur le plan de la gestion, il faut bien s'occuper.

On peut, en second choix, souhaiter que cette redevance soit convertie en chèque que le citoyen pourrait librement faire parvenir au journal, au portail d'informations de son choix afin de lutter contre le chômage (près de 30 000 journalistes sans emplois en Ile de France) et garantir le pluralisme, l'indépendance d'un secteur vital de toute société car de nos jours, il ne faut plus parler de quatrième pouvoir mais bien de second, après le secteur financier.

Polyvalent photo, vidéo, puissant zoom optique et même macro, le bridge est le meilleur outil grand public sur le terrain. Le Stylus Traveller SP-100 Olympus ajoute une visée qui devient indispensable. 

Si vous n'aimez pas les critiques, évitez de conseiller un appareil photo. La photo est depuis toujours le domaine des passionnés, des fans, des maniaques et des préjugés. Un appareil ne convient jamais à tous, il est apte dans le meilleur des cas à un usage très précis et surtout à l'heure du numérique il ne sera pas compétitif sur certains domaines de manière très visible. Plus votre champs d'action sera vaste plus le prix s'envolera et du simple modèle pour amateur enthousiaste vous serez entrainé vers le monde professionnel des boîtiers nus aux couteux objectifs, filtres etc. Malgré les grimaces de testeurs souvent très snobs nous allons donc vous conseiller un produit polyvalent, un bridge est un appareil photographique numérique doté de fonctions variées aussi bien de modes manuels qu'automatiques,  d'un objectif puissant et polyvalent (zoom optique, macro) non interchangeable et d'un viseur électronique.

Exemple en mode super macro

Ce qualificatif bridge qui signifie pont correspond bien au rôle de ce type d'appareil. Le bridge est le chaînon entre les appareils numériques compacts (voire les prétentieux smartphones) et les appareils numériques reflex. Cette place difficile à tenir en raison des progrès techniques des premiers peut amplement se justifier en terme de prix mais aussi de qualité optique, d'encombrement. Différence notable, le bridge dispose donc d'un viseur électronique alors que le reflex est équipé physiquement d'une visée reflex qui permet de voir votre image à travers l'objectif, telle qu'elle se formera sur le capteur, sans erreur de parallaxe, avec les déformations de la focale, en visualisant point tout comme la  profondeur de champ. La visée reflex est l'apanage des boitiers 35mm professionnels

Présentation par le constructeur

Les bridges tout d'abord argentiques datent des 90, le succès ne fut pas immense et en 2014 après un bon décollage ces dernières années le marché des bridge numérique se tasse aussi. sans rencontrer de franc succès. Cette catégorie d'appareil ne se développe réellement qu'à l'arrivée du numérique. Point commun des bridge avec les compacts, le capteur de taille réduite de type CMOS de 12 à 20 millions de pixels. Ces petits capteurs sont hélas sensibles au bruit numérique dès que vous augmentez la sensibilité ISO utilisée. Il faudra donc être vigilant sur ce point et bien être conscient que dans quelques années avec la généralisation des écrans 4k il sera nécessaire de faire évoluer votre appareil pour obtenir une grande qualité dans les hautes résolutions.

La mire Dot sight sous le flash, le zoom motorisé reste audible mais discret en mode vidéo.

Ceci étant dit pas de panique, le modèle que nous avons sélectionné est loin d'être ridicule et donnera ample satisfaction à majorité d'entre vous. Cet Olympus SP-100 lancé au printemps 2014 embarque pour la première fois un système de visée via une mire Dot Sight, une innovation dans un bridge. Cette technique jusque là réservée à des appareils bien plus professionnels permet tout simplement de conserver en cible le sujet sur lequel vous zoomez même si ce dernier est en mouvement même s'il est loin. Intégré avec le flash escamotable du SP-100EE, le système de visée via mire Dot Sight est efficace et son introduction est le plus indiscutable qui fait passer cet Olympus devant d'autres bridges (Nikon, Panasonic, Sony) parfois un peu plus performants sur des sujets immobiles. Mais la photo, c'est aussi la vie et on ne peut pas toujours demander aux enfants de prendre la pose, au toutou de lâcher le facteur ou à belle-maman de refaire sa chute dans l'escalier (vous aviez donc bien fait de le cirer hier malgré la chaleur) pour la postérité.

Parmi les accessoires optionnels, flashs, batteries, sacoche de transport, un boitier photo sous marine devrait arriver comme le montre ce cliché Olympus qui fait rêver.

Avoir la capacité de suivre votre votre sujet en plein champ lorsqu’il est en mouvement est un atout dont vous ne pourrez plus vous passez. C'est la fonction recherché par tout photographe passionné par la capture de la faune. Il devient enfin possible d'obtenir une photo nette, détaillée sans d'encombrants accessoires. Le but du bridge numérique est de vous rendre votre mobilité, de vous débarrasser de ces sacoches lourdes, bruyantes, trop visibles, encombrantes.  En outre le zoom optique (adieu la période du marketing sur des zoom numériques ne servant à rien) 50x avec une longueur focale 24 mm - 1200 mm '(en équivalence 35 mm) est la clef de prises de vue à distance pour les sujets sensibles.

Commandes de côté aisément accessibles et un vrai zoom optique qui évite la valise d'accessoires.

Comme chez la concurrence, Olympus a pris la sage précaution d'intégrer physiquement les touches de commande essentielles sur le boitier. Pas question en effet d'aller fouiller dans les menus OSD en cas d'urgence. Ici on peut agir vite, du bout des doigts. Verrouillage de l’autofocus, un limiteur de course de mise au point, commande de zoom latérale le bon sens et la pratique ce sont exprimées et les débutants seront libérés des contraintes tout comme l'amateur éclairé qui d'un bouton prendra le contrôle de la mise au point ( aussi restreindre la plage de mise au point et vous permettre de régler la netteté de la scène ou du cadre) de l'appareil.

Le boitier reste sobre avec un bon grip (merci pour le repose pouce)

Qui dit bridge numérique dit aussi zoom redoutable. Ici donc, un 50x stabilisé soit une longueur focale 24-1200mm (eq. 35mm) avec une ouverture de f2.9 à f6.5. Difficile de faire beaucoup et nouvelle visée avec cette puissance fait des merveilles dans le domaine animalier et seul le dernier bridge Panasonic se montre plus à l'aise dans les basses luminosités mais pour le suivi il est bien entendu disqualifié. Pour profiter au mieu des qualités de l'appareil nous recommandons de rester dans la tranche ISO 125-200 car si la pénombre offre encore un résultat acceptable en ISO 400-800 le bruit augmente ensuite rapidement et le niveau de détail s'en ressent. Les très hauts niveaux ISO vous contraindront à des travaux ultérieurs sur les images et à des réductions de format.

Deux clichés ISO125 et un ISO3200 (Zelinka), prudence en montée ISO.

Un mot enfin du traitement vidéo qui désormais est un élément non négligeable qui participe des fonctions attendues sur un bridge. Il est fort correct et encore une fois les belles couleurs observées en photo sont au rendez vous avec une bonne luminosité. Avec la pénombre l'image est plus lissée et le bruit fait son apparition. Problème récurrent et la concurrence connaît souvent le même.

Cet Olympus disponible à 375€ est la bonne surprise du printemps et il offre un rapport performance prix qui en fait le meilleur choix face aux Panasonic FZ72, Sony HX400V et Canon SX50 et permet enfin d'utiliser un vrai grand zoom (même si en bout de zoom on constate que la stabilisation atteint ses limites) ce qui imposait à ce jours des accessoires bien encombrants. Une dernière chose, la sauvegarde RAW n'est pas disponible mais sur un bridge malgré les progrès, est ce vraiment un manque?

Caractéristiques

Dimension 121 x 91 x 133 mm

Poids 589g avec batterie et carte

Micro stéréo

Sortie A/V & USB

HDMI (type D)

Capteur 16 mégapixels.

Mode OFF première photo en 1.7s (le Nikon Coolpix P600 fait un poil mieux)

Image jusqu'à 4608 x 3456 (4:3, 3:2, 16/9, 1:1)

Objectif Zoom optique 50X (grand angle), focale 4.3 - 215mm (soit 24 - 1200 en équivalent 35mm) , ouverte 2.9 - 6.5.

Écran LCD 460000 points 7.6cm 4/3.

Viseur électronique 920000 points (réglage dioptrique).

Mise au point Autofocus TTL iESP avec détection du contraste

Modes: iESP, détection AF visage, spot, AF tracking et heureusement mise au point manuelle possible.

Mode macro 1cm

Mesure de lumière

Système d'exposition: i-Auto, filtres artistiques (pop art, flou, couleur pastel et lumineuse, aspect grain, sténopé, diorama, dramatique), programme auto, mode scène (portrait,e-portrait, paysage, capture à intervalle, scène nuit à main levée, scène de nuit, scène de nuit portrait, sport, intérieur, autoportrait, coucher de soleil, feux d'artifice, cuisine, document, soleil et neige, super macro, HDR retro éclairé), panorama (épatant même si on perd en résolution), manuel, priorité vitesse, priorité ouverture. Stabilisateur d'image mécanique.

Sensibilité Auto/auto high et manuel 125,200, 400, 800, 1600, 3200, 6400.

Balance des blancs:  (mode automatique très bon), 1 réglage enregistrable. Pré réglé : Ciel couvert, plein soleil, tungstène (couleurs chaudes), Fluorescent 1 (qui tire sur les rouges).

Video quickTime Motion Jpeg

Jusqu'à 1920 X 1080 60fps durée enregistrement 29mn

Filtres: Pop Art, flou artistique, couleur pastel et lumineuse, granuleux, sténopé, diorama, dramatique.

Cartes conseillées en vidéo Class 6 et + (SD/SDHC/SDXC)

Mémoire interne 37Mo

Capacité 128Go

 Exemple vidéo à 15m

Le zoom optique:

Illustration du couplage zoom et systeme dot de visée:

Peter Jeremy William Huggins dit Jeremy Brett, décédé en 1995 à 61 ans. Il est, pour beaucoup, le Holmes de référence, avec une interprétation habitée, perfectionniste malgré de terribles problèmes de santé. L'intégrale des 11 ans de production de cette série Granada est heureusement disponible.

Sherlock Holmes est ce personnage de fiction créé par Sir Arthur Conan Doyle dans un roman Une étude en rouge publié en 1887. Il est l'archétype du détective et a inspiré une multitude de livres, films, jeux vidéos. Original, excentrique, pure fiction et très éloigné d'un sombre et complexe Arsène Lupin, il est le digne héritier du Chevalier Auguste Dupin d'Edgar Allan Poe et du Monsieur Lecoq d'Émile Gaboriau (qui a fort mal vieilli).

En cette période de vacances et sachant que les trajets, les attentes à l'aéroport sont parfois interminables, nous avons pensé à vous distraire. En effet, on néglige souvent l'aspect bibliothèque et vidéothèque d'Internet. Cette fonction est pourtant essentielle et on ne peut que souscrire d'ailleurs à la juste colère des journalistes (surtout anglo-saxons) qui s'indignent avec raison de la nouvelle censure pratiquée par des moteurs de recherche avec la complicité d’États pour faire disparaître des pans entiers d'actualité, d'information sous le fallacieux prétexte de droit à l'oubli.

Business oblige, Brandon Perlow livre une adaptation "afro-américaine" de l'oeuvre de Conan Doyle :"
This is also a series in which Holmes is no longer the central character as he shares equal spotlight with Watson as emphasized by the title.  In this take of the classic, Jon Watson is a former para-jumper for the US Air Force returning from Afghanistan, He is currently working in inner-city clinic helping the less fortunate while trying to pay his debts after a hard divorce. Holmes is a private investigator who used to work as a programmer in a internet start-up that went belly-up. Consequently his career was ruined as a result of it.  He then decided to become a PI". Quand lucre, égalitarisme, communautarisme se cumulent le résultat est à la hauteur de nos pires cauchemars.

Nous vous proposons donc cinq classiques du cinéma, appartenant au domaine public, avec un légendaire Basil Rathbone dans le rôle de Holmes. Dans notre grande bonté et sachant qu'à notre époque décadente on doit aussi faire semblant, en silence, de travailler pendant ses heures de services, nous vous invitons aussi à lire ou relire les ouvrages qui ont inspiré ces aventures en cliquant sur chaque lien pour retrouver le fichier epub correspondant. Pour le logiciel de lecture, pensez à cliquer dans notre menu à droite "Ebook gratuit" pour le récupérer.

• Une étude en rouge, 1887 : roman
• Le Signe des quatre, 1890 : roman
• Les Aventures de Sherlock Holmes, 1892 : recueil de nouvelles
• Les Mémoires de Sherlock Holmes, 1894 : recueil de nouvelles
• Le Chien des Baskerville, 1902 : roman
• Le Retour de Sherlock Holmes, 1905 : recueil de nouvelles
• La Vallée de la peur, 1917 : roman
• Son dernier coup d’archet, 1917 : recueil de nouvelles
• Les Archives de Sherlock Holmes, 1927 : recueil de nouvelles

The New York Times, "Mr. Brett was regarded as the quintessential Holmes: breathtakingly analytical, given to outrageous disguises and the blackest moods and relentless in his enthusiasm for solving the most intricate crimes".

Sherlock Holmes and the Secret Weapon (1943)

Dressed to kill (1946)

The Case of Lady Beryl (1954)

The Case of the Texas Cowgirl (1954)

The Case of the Cunningham Heritage (1954)