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23/09/2024

Inversion de la vie et marchandisation ultime du sexe ( 1/3 )

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« Extrapolé à partir de l’état actuel de la recherche sur la fertilité », Hashem Al-Ghaili, homme de communication, biologiste moléculaire et communicateur scientifique yéménite, imagine en 2022 le concept Ectolife.des centaines de  « nacelles de croissance », entendez par  là des utérus artificiels transparents au sein d'environnement vendeur capable de séduire le bobo de demain. Selon lui, ce modèle de parentalité sera possible d’ici quelques années, et généralisé à moyen terme.

 

Durant sa phase de domination formelle, le mode de production capitaliste émerge progressivement, se nourrissant des structures économiques et sociales préexistantes sans les transformer immédiatement en profondeur. Cette phase s’étend du développement médiéval des grandes cités marchandes, telles que Venise, Anvers, Gênes, et Amsterdam, jusqu'à la première guerre mondiale de 1914, une boucherie qui marque un tournant historique et l’aboutissement de tensions économiques et géopolitiques latentes.

Dans cette période, le capitalisme n'est pas encore pleinement formé : il s'appuie sur des formes de production qui lui sont extérieures, qu'il absorbe et transforme progressivement pour les modeler selon ses propres principes. Ce processus d’assimilation implique une lente digestion des anciennes pratiques économiques, des traditions commerciales et des modes de vie qui résistent initialement à la logique capitaliste. Les structures précapitalistes, notamment féodales et marchandes, sont incorporées et reconfigurées en fonction des besoins du capital, qui exige une expansion constante et une restructuration permanente des rapports de production.

C’est aussi l’époque des accumulations premières, marquée par la recherche d’un enrichissement personnel et collectif, dictée par une éthique de l’épargne et de la retenue. Les premiers entrepreneurs capitalistes se trouvent en quelque sorte contraints par une morale qui valorise l’autodiscipline, la frugalité et l’accumulation de richesses dans une optique de réinvestissement productif. Ce cadre moral, qui accorde une place centrale à l’effort et à la prudence, correspond à un moment où le capitalisme doit encore se constituer ses bases matérielles, humaines et financières pour se développer pleinement.

Avec le temps, cette dynamique évolue vers une phase de consommation des accumulations dernières, caractérisée par une nouvelle morale, celle de la débauche, de la consommation effrénée et de l’exploitation sans bornes des désirs humains. Le corps humain lui-même, ainsi que ses pulsions les plus intimes, deviennent des objets de marchandisation et d’accumulation, alimentant un cycle sans fin de production et de consommation. Le sexe, les loisirs, le divertissement sont transformés en machines de profit, intégrant chaque aspect de la vie dans la logique expansive du capital.

La domination du Capital devient véritablement réelle lorsque le procès de travail, c’est-à-dire l'ensemble des activités productives et créatives humaines, se transforme pour devenir spécifiquement capitaliste. Cela signifie que toutes les dynamiques sociales, économiques et culturelles sont désormais façonnées par les impératifs du profit, de la compétitivité et de la valorisation continue du capital. Ce n’est plus seulement le travail en tant que tel qui est mis au service du capital, mais toute l’activité vivante, chaque interaction humaine, chaque instant de la journée devient potentiellement une source de valeur.

Ce processus d’absorption totale de la vie par le capital aboutit à ce que l’on appelle le spectacle du fétichisme de la marchandise. Ce concept, issu des théories critiques du capitalisme, décrit un monde où les relations humaines sont médiatisées par les marchandises, c’est-à-dire des objets auxquels sont conférés des pouvoirs et une importance qu’ils n’ont pas en réalité. Dans ce monde, les objets deviennent les véritables sujets de la société, dictant les comportements, les désirs et les relations entre les individus.

La marchandise, en tant que forme achevée de la réification des rapports sociaux, envahit alors toutes les sphères de la vie humaine. Le capitalisme contemporain, qui a fini par liquider toute son antériorité, se manifeste comme un système totalisant où l’échange marchand ne se limite plus à l’économie, mais s’étend à la culture, à la politique, à l’intime. La logique marchande devient le prisme à travers lequel la réalité est perçue et vécue, jusqu'à occuper l’intégralité de l’existence humaine. La vie, dans ce cadre, est totalement subordonnée aux impératifs de l’économie de marché, conduisant à une aliénation généralisée.

La réalisation complète du mode de production capitaliste entraîne ainsi une occupation totale de la vie humaine, marquée par une réification extrême. Les individus deviennent des supports de valeur, des éléments fonctionnels d’un système qui les dépasse et les transforme en simples rouages d’une machine économique sans autre fin que sa propre perpétuation. Le capitalisme parvenu à ce stade ne laisse aucune place à l’extérieur ; il englobe tout, annihilant les formes alternatives et imposant une unique rationalité, celle de la valorisation ininterrompue.

Il y a bientôt deux siècles, au moment où se formait la Première Internationale, les débats théoriques et les luttes pratiques autour des conceptions révolutionnaires de Marx s’articulaient autour de principes maximalistes visant à abolir l’argent et l’État. Ces positions, radicales pour l'époque, exprimaient une volonté de rupture totale avec les structures capitalistes et étatiques, perçues comme des instruments d’asservissement. Les mouvements radicaux, qu’ils soient intellectuels ou militants, cherchaient à défendre une vision ontologique et émancipée de la vie humaine, où la liberté et l’autonomie n’étaient pas seulement des slogans, mais des réalités à conquérir et à préserver. Ils avaient compris, avec une intelligence prophétique et une profondeur analytique remarquable, que la civilisation du profit, en colonisant progressivement toutes les sphères de l’existence, ne pouvait mener qu’à une société où la valeur marchande écrase la vie humaine dans toute sa richesse et sa complexité.

Cette critique radicale portait sur la domestication totale de la vie par le capitalisme, où l’ensemble des relations humaines, des activités culturelles et des aspirations individuelles étaient intégrées dans un processus de marchandisation sans fin. Pour ces théoriciens et militants, la logique du profit n’était pas seulement économique, mais bien une force totalisante qui restructure les rapports humains et sociaux à son image, imposant une vision réifiée du monde. Cette dynamique historique, perçue comme inéluctable, ne pouvait conduire qu’à l’horreur de la prostitution universelle, où tout devient une transaction, et où l’artifice de la marchandise remplace les liens vivants de solidarité, d’amour et de communauté. L’artificiel illimité, caractérisé par une aliénation totale des besoins et des désirs, se dresse comme l’ultime horizon d’une civilisation qui ne sait plus produire que pour accumuler, dévorant toute possibilité d’un sens plus profond de l’existence humaine.

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Depuis les vieilles insurrections paysannes des siècles passés jusqu'aux soulèvements ouvriers qui se sont succédé contre l'oppression moderne du capitalisme, les résistances populaires ont toujours été marquées par la force de solidarités organiques et vivantes caractéristiques de l'Europe helléno-chrétienne. Elles n'existent pas ailleurs et surtout pas dans le village oriental que le Capital fait tout pour importer depuis 1968.

Ces luttes n’étaient pas seulement des révoltes contre des conditions économiques insupportables, mais aussi des batailles pour préserver des modes de vie fondés sur des liens communautaires intenses et durables. À travers l’histoire, les réseaux de solidarité familiaux, les traditions communautaires et les pratiques de soutien mutuel ont constitué des remparts contre l’atomisation imposée par les logiques marchandes. Ces solidarités ont fourni des bases dynamiques pour l’indiscipline et la mutinerie, offrant aux insurgés non seulement une cause, mais aussi un sens de l’appartenance et de l’identité collective qui rendait la lutte plus tenace et plus profonde.

Le chouan de 1793, le communard de 1871 et le sidérurgiste de 1968 n’étaient pas seulement des figures de la révolte contre des régimes politiques et économiques oppressifs, mais incarnaient également la défense de valeurs et de traditions enracinées dans des pratiques communautaires anciennes. Leur lutte de classe s’articulait autour d’une détermination affective et d’un enracinement dans des réseaux familiaux et sociaux qui offraient une alternative concrète aux individualismes imposés par le capitalisme. Ces relations affectives et ces liens de filiation représentaient non seulement une source de soutien matériel, mais aussi un socle idéologique et moral qui donnait à la résistance une dimension profondément humaine et vivifiante.

Cette détermination historique était ancrée dans une longue tradition de résistance aux forces de l’atomisation et de la marchandisation. Contrairement aux caricatures d’un Ancien Régime monolithique et oppressif, les communautés rurales et urbaines parvenaient encore, malgré les contraintes et les pressions, à préserver des espaces de liberté et d’autonomie. Les communaux ancestraux, les coutumes locales et les réseaux de solidarité offraient des contre-pouvoirs à l’emprise de l’État et du marché. Ces espaces, où la loi de l’argent et de l’autorité centralisée n’avaient pas encore tout à fait supplanté les pratiques collectives, permettaient la subsistance d’une vie où la production était orientée non pas vers le profit, mais vers le bien-être commun.

Ces modes de vie communautaires, qui subsistaient malgré la modernisation et l’expansion capitaliste, conservaient le sens d’une tradition millénaire où la production et l’échange n’étaient pas dictés par la logique marchande, mais par les besoins humains et les impératifs de la vie en société. La communauté organique, qui ignorait délibérément les lois de l’argent et de l’État, offrait une alternative radicale au capitalisme moderne en produisant pour le bien-vivre humain et non pour l’accumulation de richesses. Ce modèle, ancré dans des pratiques ancestrales et une conception collective de l’existence, représentait une forme de résistance silencieuse mais puissante à l’hégémonie croissante des valeurs marchandes.

Ainsi, ces luttes historiques, qu’elles soient paysannes, ouvrières ou communautaires, témoignent d’une continuité de résistance à l’atomisation sociale et à l’exploitation économique. Elles rappellent que, malgré la domination grandissante du capitalisme, des poches de résistance, basées sur des liens affectifs et des solidarités enracinées, ont toujours existé et continuent de fournir des bases pour imaginer des alternatives à un monde totalement réifié. Les mouvements radicaux, qu’ils soient d’hier ou d’aujourd’hui, puisent leur force dans cette tradition vivante qui refuse de se soumettre entièrement à la logique marchande, et qui continue de lutter pour un avenir où l’humain ne sera plus réduit à un simple rouage de la machine économique.

Avec la domination pleinement réalisée de la marchandise, les lignages humains d’avant le règne absolu de l’accaparement qui s’étaient affirmés comme positions récalcitrantes lors de la phase d’ascension du Capital, sont devenus décidément d’aucune utilité puisqu’ils témoignent justement de ce temps révolu où la généalogie des hommes échappait encore pour une part au cannibalisme de l’appropriation. Par la dialectique de l’obscurantisme illimité de la démocratie du calcul et de l’avilissement, la séparation généralisée des hommes de leur propre existence exulte, et ainsi doit disparaître toute pratique unitaire de la réalité, toute communication personnelle directe entre les humains qui ne serait point préalablement médiée par la représentation narcissique des échanges. Selon le progrès moderniste de l’accumulation capitaliste d’une production obligatoirement séparée et séparante, l’unité et la communication deviennent l’attribut exclusif du fétichisme de la marchandise. La réussite du système historique de la séparation spectaculaire est alors la marchandisation exemplaire du monde de tous les comportements des humains asservis.

Comme l’indiquait pertinemment Guy Debord au siècle dernier, maintenant l’homme cesse de pouvoir ressembler aux combats de son père ou de son grand-père, il doit être étroitement accordé à l’image prosternée du présent éternel de la soumission à l’argent…

Comme le souligne Marx dès ses premiers écrits, en opposition totale à l’idéologie des défenseurs aveugles du progressisme mondialiste et du bénéfice, la société de l’Avoir ne se contente pas de produire des marchandises matérielles : elle façonne également l’homme en une marchandise. Dans ce processus de marchandisation, l’homme n’est pas simplement un être vivant ou un travailleur ; il devient une « marchandise humaine », destinée à remplir le seul rôle que le système capitaliste lui assigne : celui d’être consommé, échangé, utilisé et jeté au gré des besoins du marché. Marx décrit ce processus comme une déshumanisation totale, touchant à la fois l’intellect et le corps de l’individu, réduisant l’humain à un état de dégénérescence morale, physique et intellectuelle. Cette condition produit un être aliéné, dénué de sens critique, où les notions d’immoralité et d’ilotisme, c’est-à-dire une incapacité à comprendre et à agir sur le monde, deviennent les traits dominants de la condition humaine.

Le capitalisme moderne a perfectionné cette aliénation à travers le système du fétichisme marchand, qui repose sur l’isolement des individus. Ce fétichisme ne se limite pas à l’adoration des objets et des biens de consommation ; il englobe une dynamique circulaire qui engendre un isolement toujours plus profond. Les individus sont séparés les uns des autres, non seulement par les murs invisibles de la concurrence et de l’égoïsme, mais aussi par une logique narcissique qui les pousse à se replier sur eux-mêmes, prisonniers de leur propre image. L’isolation spectaculaire – ce spectacle permanent de la marchandise qui envahit tous les aspects de la vie sociale – fonctionne comme une technique sophistiquée de contrôle. Elle assure le développement de la marchandisation en rendant l’isolement social non seulement acceptable, mais désirable, renforçant l’illusion d’une liberté individuelle qui n’est en réalité qu’une servitude volontaire.

Chaque avancée technique, chaque nouvel outil de communication ou de consommation, loin de rapprocher les gens, les éloigne encore davantage les uns des autres. Le progrès technique, qui devrait théoriquement servir à améliorer la condition humaine, est détourné par le capitalisme pour renforcer la marchandisation des rapports humains. Dans cette société, chaque interaction est médiée par des dispositifs marchands, des plateformes numériques, des écrans qui se dressent entre les individus, leur interdisant tout contact réel et authentique. Ce phénomène, bien que déguisé sous les habits trompeurs de la modernité et de la libération des mœurs, aboutit à une solitude profonde et à une aliénation croissante. L’extrême gauche du Capital, qui se présente souvent comme avant-gardiste et progressiste, joue en réalité un rôle complice en promouvant des valeurs qui ne font qu’intensifier la marchandisation des corps, des cœurs et des esprits.

Les prétendues « libérations » des mœurs, célébrées comme des avancées sociales et culturelles, ne sont en fait que des stratégies du Capital pour intégrer chaque aspect de la vie humaine dans sa logique de profit. La libération sexuelle, par exemple, promue comme une émancipation des contraintes morales et religieuses du passé, se traduit dans la pratique par une marchandisation accrue des corps. Les relations sexuelles, autrefois basées sur l’intimité, l’affection ou le désir mutuel, deviennent des transactions banalisées, évaluées à l’aune de critères marchands. Les sentiments, les émotions et les désirs sont convertis en produits à vendre et à consommer, et les individus eux-mêmes deviennent des marchandises dans un marché où tout peut être monétisé. Cette évolution, loin d’émanciper, conduit à une réification extrême de l’être humain, transformant chaque relation personnelle en un simulacre orchestré par le système marchand.

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Le développement technique de la marchandisation crée ainsi des foules solitaires, des masses d’individus isolés les uns des autres, privés de toute véritable communauté ou solidarité.

Loin de créer des liens authentiques, les technologies de l’information, les réseaux sociaux et autres médias ne font que renforcer l’isolement, en offrant une illusion de connexion sans profondeur ni réalité. La « communication » moderne, réduite à des échanges de données, à des likes et à des commentaires superficiels, renforce l’isolement émotionnel et psychologique des individus. Ce phénomène est orchestré par le système spectaculaire, qui, en cultivant une image permanente de la vie parfaite, du bonheur consommable et de la réussite mesurable, éloigne les individus de leurs aspirations véritables et les enferme dans un état de dépendance perpétuelle à l’égard des images et des produits qu’on leur impose.

Chaque pas en avant dans la prétendue libération des mœurs, chaque nouvelle « conquête » sociale ou culturelle, n’est finalement qu’un moyen de renforcer l’emprise du capitalisme sur les corps et les esprits. Les avancées sélectionnées par le système spectaculaire ne sont pas neutres : elles sont les armes nouvelles de la marchandisation, conçues pour accentuer l’isolement et l’asservissement des individus. L’émancipation apparente se révèle être une servitude nouvelle, où l’homme, au lieu de se libérer, s’enferme davantage dans la cage dorée de la consommation et du spectacle. Ce processus aboutit à la prolifération d’une multitude de « foules solitaires » : des masses d’individus isolés, aliénés, et réduits à des spectateurs passifs d’un monde qu’ils ne contrôlent plus.

L’homme moderne, tel que le produit le système du fétichisme marchand, n’est plus maître de ses choix, de ses désirs ou de ses relations. Il est façonné par un environnement où chaque aspect de sa vie est transformé en marchandise, y compris lui-même. Cet isolement narcissique, qui se nourrit du spectacle et du consumérisme, crée un cycle sans fin où l’homme devient étranger à sa propre existence, dépossédé de toute authenticité et de tout sens profond. La domination du capitalisme atteint ainsi son apogée dans la création de l’homme-marchandise, un être déshumanisé, privé de toute capacité de résistance, et condamné à vivre dans un monde où l’isolement et l’aliénation sont devenus les nouvelles normes de l’existence humaine.

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16/09/2024

Configuration PC Rentrée 2024

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La configuration de rentrée change peu en raison des nombreuses incertitudes de l'actualité. Elle reste polyvalente pour le loisir et la création et nous attendrons l'éventuel Windows 12 pour la modifier.

Les circonstances très particulières actuelles et le renforcement partout d'une censure de guerre très violente et aux arguments très menteurs ( elle n'épargne plus la Suisse, le Royaume-Uni ou les Etats-Unis ) disent qu'il est important d'être présent sur un nombre croissant de réseaux sociaux, Telegram et X bien entendu mais il est aussi utile de disposer de comptes de repli sur Parler, Gab, VK, Odyssee, BitChute, Gettr, Rumble, Truth Social, Mastodon, Tiktok.

Ne comptez pas sur une amélioration de la situation quand la crise économique ne fait que s'accentuer, quand le changement politique est devenu interdit en Occident et quand le favori des Présidentielles américaines Donald Trump est la cible régulière du tir au pigeons. Installez enfin un VPN pour contrer la censure politique et marchande de crise et sa toxique propagande.

Bon courage !

 

Processeur :  Intel Processeur Core i5-12400F (on se procure en plus la pâte thermique ARCTIC MX-4 )

Alimentation : Corsair RM850 80PLUS Gold (Alimentation modulaire ATX 850W ATX 12V 2.52 / EPS 2.92 - 80PLUS Gold)

Carte mère : ASUS TUF GAMING B760-PLUS WIFI D4

Ventilateur :  ARCTIC Freezer 34 Esports Duo (en région chaude) sinon Deepcool AK400 

Boîtier :  be quiet! Silent Base 601 (Argent)

Mémoire : Corsair Vengeance LPX CMK32GX4M2E3200C16 Module de mémoire 32 Go DDR4 3200 MHz

Carte graphique : XFX Speedster QICK319 Radeon RX 6750XT 12Gb (et on ne se laisse pas tenter par la comique 4060 !)

Carte son :  Peu de slots donc on passe en carte externe ! Attention à la connerie suprême, le Super X-Fi de Creative des deux première cartes (utile seulement au casque) implique l'installation d'une application sur smartphone mais de communiquer  en plus de vos coordonnées mail et téléphone, une photo du visage et de vos oreilles !! Scandaleux !

A) Pour le joueur : Creative Sound Blaster X4 Hi-Res 24bit/192kHz DAC USB Externe

B) Pour le streaming et le jeu :  Creative - Sound Blaster GC7 Next Gen Gaming USB

C) Pour la musique (créa + streaming) ; Focusrite Scarlett 8i6 3rd Gen à la très bonne connectivité

Disque SSD (C) :  SSD Crucial MX500 1 To

Disque  pour les jeux : Crucial P3 Plus 1To M.2 PCIe Gen3 NVMe SSD interne - Jusqu’à 5000Mo/s - CT1000P3PSSD8

Disque dur :  Seagate BarraCuda 4 To (ST4000DM004)  3.5" 4 To 5400 RPM 256 Mo Serial ATA 6 Gb/s

Graveur BD :  QDSYLQ Lecteur Blu Ray Externe 50G, USB 3.0 & Type-C (Amazon)

Moniteur LG UltraWide 34WP500-B Moniteur 34", format 21:9 ultra-large, dalle IPS résolution UWFHD (2560x1080), 5ms GtG 75Hz, HDR 10, sRGB 95%, AMD FreeSync, inclinable et actuellement disponible à 219€ !

Pour le graphisme photo intensif  Fox Spirit 34" LED - PGM340 3440 x 1440 pixels - 4 ms - Format 21/9 - Dalle VA incurvée 1500R - FreeSync - 100 Hz - HDMI/DisplayPort environ 330€ (le créatif ne voulant pas de dalle incurvé optera pour le LG 34" LED - 34WP65C-B 400€)

 Clavier Corsair K95 RGB MX Speed Platinum

Souris Kova AIMO - Ambidextrous RGB 

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25/08/2024

1984, c'est maintenant et c'est chez nous !

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Après la très violente répression de la liberté d'expression au Royaume Uni pour raison d'émeutes sociales ( le délire en est à qualifier la misogynie de terrorisme pour détourner la population d'un débat économique et social sur le Remplacement et à libérer  5 000 criminels pour faire de la place aux Britanniques en éveil humain de classe ), la censure de Guerre se poursuit en France où les défaites électorales répétées du régime n'apportent plus aucun changement politique, le fondateur de Telegram, Pavel Durov vient ainsi d’être interpellé.
 
Il s'agit d'une tentative d'OPA par la peur de l'Agence ( celle américaine et anti Trump bien connue dans le monde entier ) sur Telegram au moyen de son petit télégraphiste en France.
Préparez donc sans tarder des comptes de repli sur X, Parler, Gab, VK, Odyssee, BitChute, Gettr, Rumble, Truth Social, Mastodon... Même si cela ne remplacera jamais ke réseau humain local du réel contre la connerie et la haine des laquais de la marchandise en panique.
 

17 avril 2024, Tucker Carlson -Pavel Durov, la rencontre à revoir d'urgence pour identifier le donneur d'ordre dans la zone vassalisée de l'Empire en faillite.

11:06 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

14/08/2024

Trump - Musk la rencontre interdite traduite

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Après des discours de Poutine ou Biden, nous postons ici une traduction en français de la rencontre entre Donald Trump, favori des Présidentielles américaines et Elon Musk, propriétaire du réseau social libéré X ( mais aussi de Tesla et SpaceX ). Il ne s'agit jamais de valider un discours mais toujours de révéler des informations, de laisser s'exprimer une vision dont le système dominant, sa censure de guerre, sa propagande, sa désinformation constante, veulent vous priver. Dans le cas présent; le comportement agité de Thierry Breton avant même la rencontre, les menaces puis ensuite la fureur des médias pro parti Democrate ( donc la très grande majorité des médias ) disent ckairement que ce dialogue dérange et a des choses à nous apprendre. Alors oui, c'est cruel de publier la transcription de cet évènement car cela démonte des années de désinformation dans la francophonie. De quoi vont vivre les propagandistes de la ligne OTAN- Wall Street, ceux de l'angoisse climatique, de la Terreur sanitaire, du soutien fanatique et aveugle à Kiev, ces moyens de nouveaux marchés pour Washington en faillite si on détruit le chateau de carte de leur com, ils ne savent rien rien faire d'autre et surtout pas du journalisme.

 

 

Dialogue sur X dans la nuit du lundi 12 au mardi 13 août 2024

 

ELON MUSK : Très bien, bonjour à tous. Je m’excuse donc pour ce retard. Nous avons malheureusement subi une attaque massive par déni de service distribué contre nos serveurs et saturé toutes nos lignes de données, des centaines de gigabits de données ont été saturés. Nous pensons avoir surmonté la plupart de ces problèmes et il est donc temps de passer à l’action.

Mais comme le montre cette attaque massive, il y a beaucoup d’opposition à ce que les gens entendent simplement ce que le président Trump a à dire. Mais je suis honoré d’avoir cette conversation. Je tiens à souligner qu’il s’agit d’une conversation et qu’elle vise vraiment à avoir une idée de ce qu’est Donald Trump dans une conversation. Il est difficile de ressentir l’ambiance d’une personne si vous ne l’entendez pas parler de manière normale.

Et lorsqu’il y a une interview contradictoire, personne n’est lui-même dans une interview contradictoire. Et cela s’adresse vraiment aux électeurs ouverts d’esprit et indépendants qui essaient simplement de se faire une opinion. Et donc vous pouvez comprendre, par exemple, à quoi cela ressemble d’avoir une conversation ? Donc, Donald, c’est un plaisir de parler.

Nous avons eu une excellente conversation hier. Comme vous l’avez mentionné hier, si nous pouvions simplement enregistrer cette conversation et la publier, cela aurait été excellent. Et j’espère que nous pourrons avoir quelque chose comme ça aujourd’hui.

Audience battant des records DONALD TRUMP : Eh bien, je pense que nous le ferons. Je suis presque sûr que nous le ferons. Et félicitations, car je vois que vous avez battu tous les records du livre avec autant de millions de personnes. Et c’est un honneur. Nous considérons cela comme un honneur.

Et puis vous voulez faire taire certaines voix. En général, ce sont des voix qui ont quelque chose à dire de constructif, souvent constructif. Et nous devons donc considérer cela comme un honneur. Mais félicitations pour avoir battu tous les records du livre ce soir. C’est génial.

Discussion sur la tentative d’assassinat ELON MUSK : Eh bien, merci. Eh bien, peut-être pourrions-nous commencer par, je veux dire, la tentative d’assassinat, qui était une chose incroyable. Et je dois dire que, vous savez, vos actions après cette tentative d’assassinat ont été inspirantes.

Vous savez, au lieu de fuir les choses, au lieu de vous baisser, vous avez levé les poings en l’air et dit, combattez, combattez, combattez. Et je pense que c’est, vous savez, le président des États-Unis représente l’Amérique. Et je pense que c’est ça l’Amérique. C’est la force sous le feu.

Et c’est donc, vous savez, une grande partie de la raison pour laquelle j’étais ravi de vous soutenir comme président des États-Unis, de nous avoir fait venir ici, c’était tout simplement incroyablement inspirant. Mais, je veux dire, comment avez-vous vécu cela ?

DONALD TRUMP : Pas agréable. Pas agréable. Il y avait du sang. Je ne savais pas que j’avais autant de sang. Les médecins m’ont dit plus tard que l’oreille est un endroit qui est très sanglant si vous allez être touché. Mais dans ce cas, c’était probablement la meilleure alternative à laquelle vous pouviez penser, car c’était au bon angle.

Et, vous savez, c’était un coup dur. C’était très, je suppose qu’on pourrait dire surréaliste, mais ce n’était pas surréaliste. Vous savez, je disais à quelqu’un qu’il y a des moments comme celui-ci ou beaucoup moins que celui-ci où vous avez l’impression que c’est une situation surréaliste. Et je n’ai jamais ressenti cela.

Le moment de l’impact DONALD TRUMP : J’ai immédiatement su que c’était une balle. J’ai immédiatement su qu’elle était dans l’oreille. Et parce que, vous savez, elle a frappé très fort, mais elle a touché l’oreille.

Et j’ai aussi entendu des gens crier : « Des balles, des balles », vous savez, « Couchez-vous, couchez-vous », parce que, vous savez, je me suis baissé assez gentiment, assez rapidement. Et les balles ont volé juste au-dessus de ma tête après que je sois tombé. Je suis donc content d’être tombé. Le plus grand miracle, c’est que je regardais exactement dans la direction du tireur.

Et donc, la balle m’a frappé sous un angle qui était bien moins destructeur que n’importe quel autre angle. C’était donc ça le miracle. C'était, pour ceux qui ne croient pas en Dieu, je pense que nous devons tous commencer à y penser. Vous devez, vous savez, je suis croyant.

Maintenant, je suis plus croyant, je pense. Et beaucoup de gens me l'ont dit. Beaucoup de gens formidables me l'ont dit, en fait. C'était incroyable que je sois tourné juste à cet angle parfait.

Le graphique de l'immigration DONALD TRUMP : Et tout cela parce que j'ai mis en place un graphique sur l'immigration qui montrait que les chiffres étaient si bons. J'aime encore plus ce graphique maintenant.

ELON MUSK : Je veux dire, c'est peut-être un signe. Peut-être que c'est un signe. C'est un signe d'immigration. Vous avez mis en évidence un problème grave. Et à ce moment-là, la balle vous a manqué, vous savez, a touché votre oreille, mais, vous savez, a raté votre tête.

DONALD TRUMP : Eh bien, ce qui est étonnant, c'est que le panneau, j'ai dit, abattez ce panneau sur l'immigration. Et c'était littéralement à environ un huitième de seconde où ce serait bien. Et après ça, ça aurait pu être un désastre, peu importe dans quelle direction on regardait. Mais il y avait juste cet angle parfait, qui correspondait exactement à ce tireur. Une situation très triste.

FrançaisEn mémoire des victimes DONALD TRUMP : Quelle triste situation. Comme vous le savez, nous avons perdu quelqu'un de formidable, Corey, qui était pompier, un grand gentleman, un grand, un grand trumpiste. C'était une famille fantastique et un homme fantastique. Et un de mes amis, Elon, est venu me voir et m'a dit : « J'aimerais apporter une aide quelconque à la famille. »

Et j'ai dit : « C'est génial. » Il a dit : « Ça te dérange ? » J'ai dit : « Ça ne me dérange pas du tout. » Et il a fait un chèque d'un million de dollars et l'a donné à la femme.

Vous savez, elle a dit : « C'est vraiment sympa, mais je préférerais que mon mari revienne », ce qui est une chose gentille à dire, pour être honnête. Elle est formidable. La famille est formidable. Et nous avons collecté beaucoup d'argent pour eux et pour deux autres messieurs qui sont aussi des gens incroyables.

Les blessés et les soins médicaux DONALD TRUMP : Ils ont été très durement touchés. Ils pensaient qu’ils n’allaient pas s’en sortir. Et ils y sont parvenus. Les médecins de la région de Butler, je vous le dis, ont été incroyables. Ils ont sauvé les deux. Et ils ont été vraiment durement touchés, tous les deux.

Et ma première question était parce que j’ai entendu des balles voler au-dessus de moi. J’ai demandé : « Combien de personnes ont été tuées ? » Parce que nous avions une foule énorme là-bas, une foule énorme, des milliers et des milliers de personnes. Et il n’y avait pas de terre. Je veux dire, il n’y avait que des gens. Alors j’ai demandé : « Combien de personnes ont été tuées ? »

Parce que je savais qu’il y avait d’autres coups de feu. Et ils ont dit : « Nous ne le savons pas encore, mais certaines personnes ont été gravement blessées. » Et je dois donner au tireur d’élite des services secrets le titre de tireur d’élite, comme ils l’appellent, mais de tireur d’élite, parce qu’il ne savait pas qu’il y avait un problème. Il a été – c’est un tireur d’élite, évidemment.

Le tireur d’élite des services secrets DONALD TRUMP : Et il ne savait pas qu’il y avait un problème. Et il a pu tout repérer en cinq secondes. Et il a tiré une balle de très loin, je pense, à environ 400 mètres. Le tireur était à 130 mètres.

Mais il était de l’autre côté du terrain et du podium. Et il a vu la fumée et les flammes de l’arme, l’a immédiatement reconnue et a immédiatement tiré. Et c’était un tir parfait de très loin. Et s’il ne l’avait pas fait, Elon, il aurait, je veux dire, s’il l’avait fait, beaucoup plus de gens auraient pu être gravement blessés et tués.

Je dois donc lui tirer mon chapeau, parce que c’est aussi surréaliste. Vous savez, il est avec eux depuis 23 ans. Et il n’a jamais vécu quelque chose de pareil. Et tout d’un coup, il doit agir.

L’action rapide du tireur d’élite DONALD TRUMP : Et c’est une chose très difficile d’agir et de tirer sur quelqu’un. Mais il a vu l’arme, a vu la fumée, a vu les flammes de l’arme, de très loin. De toute évidence, il a de très bons yeux. Il a une très bonne vision, ce qui est indispensable pour ce travail particulier.

Mais il a visé très rapidement. Et ils disent que c'était à environ cinq secondes de distance, avec une seule balle. Cela n'a pas eu lieu, parce que le tireur avait beaucoup de balles. Il avait beaucoup de cartouches avec lui.

ELON MUSK : Eh bien, je veux dire, c'est clair, vous savez, il était très compétent pour tirer pour empêcher la tentative d'assassinat. Mais il semble y avoir, je veux dire, des défaillances assez importantes ailleurs dans le système. Comme, il n'y a tout simplement aucun moyen, comme, comment diable un tireur peut-il monter sur un toit à 130 mètres de distance ? Cela semble fou.

Problèmes de sécurité ELON MUSK : Je pense que la plupart des gens se demandent comment diable une telle chose a pu se produire.

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DONALD TRUMP : Eh bien, vous savez, je vois les choses de deux manières. Il n'aurait dû y avoir personne sur le toit. Il y avait des gens, parce qu'il y avait tellement de dizaines de milliers de personnes là-bas.

Il y avait des gens qui le voyaient. Et il y avait une femme avec un T-shirt rouge et Trump dessus. Et elle criait : « Ce type a une arme. » Vous savez, vous l’avez probablement vu. « Il y a un type là-haut avec une arme. »

ELON MUSK : Je veux dire, c’est comme, je suppose, je veux dire, pour ma part, et je pense que probablement de nombreux membres du public se demandent, comment diable, vous savez, les gens se demandent pourquoi, en montrant qu’il y a un type sur le toit avec une arme. Ils le voient, mais d’une manière ou d’une autre, le problème n’est pas abordé. Cela semble fou.

Tirer les leçons de l’incident DONALD TRUMP : Eh bien, ils vont tirer les leçons de cela. La communication entre la police locale, qui a en quelque sorte eu une idée, et puis finalement un homme s’est hissé sur le toit, a eu du mal à le faire parce que, vous savez, il se hissait. Et il a vu l’homme avec l’arme. L’homme avec l’arme a pointé l’arme sur lui.

Il pensait qu’il allait probablement se faire tirer dessus. Mais, vous savez, il s’est relevé. Et à cause de cela, il n’a pas pu atteindre son arme. Et il est tombé, en fait, il s’est blessé très gravement à la jambe, à la cheville, d’après ce que j’ai entendu, très gravement.

Mais il est tombé. Et d’après ce que j’ai compris, il a dit qu’il y avait un type là-haut avec une arme. Et les tirs ont commencé très rapidement après cela. Je pense que cela a forcé le tireur à aller peut-être plus vite.

La précision du tireur DONALD TRUMP : Vous savez, c'était censé être un très bon tir. Mes fils, Don et Eric, n'arrivent pas à croire ce qui s'est passé. Mais ils ont dit qu'à 130 mètres, un mauvais tir atteindrait cette cible presque à chaque fois. Ils ont dit que c'est comme au golf, rentrer un putt de 60 centimètres.

ELON MUSK : Oui, ce n'est pas un tir difficile.

DONALD TRUMP : Non, ce n'est pas un tir long. L'agent des services secrets avait le tir long. Il avait, vous savez, une triple distance, en fait. Donc, vous savez, c'était une chose terrible. Écoutez, c'est dur. Je dois dire ceci à propos des services secrets.

La réaction de la foule DONALD TRUMP : Quand je suis tombé, et, vous savez, je suis tombé à cause de leurs cris, je pense. Mais d'autres personnes aussi parce que les gens ont vu cela se produire. Vous savez, il y avait tellement de gens. L'un des miracles, c'est que personne n'a couru.

Je veux dire, si un coup de feu retentit, les gens chargés du contrôle des foules nous l’ont montré. Quand des coups de feu retentissent, et cela arrive dans les stades lors d’un match de foot ou d’un autre type de match, tout le monde s’enfuit. Ils appellent cela une bousculade, comme du bétail. Et beaucoup de gens se font tuer dans ces bousculades.

Il y avait plus de monde que dans certains de ces matchs ou jeux. Et personne n’est parti. Vous savez, il y avait un petit groupe derrière nous dans la tribune. Et c’était plein.

La loyauté de la foule DONALD TRUMP : Et vous regardez ce qui se passe. Et normalement, ils courraient. Ils ne sont pas partis. Ils ont vu que j’étais blessé. Ils ont vu beaucoup de sang. Et ils ont vu que j’étais tombé. Et c’était presque comme s’ils voulaient être avec moi. Eh bien, devant, il y avait des milliers, des dizaines de milliers de personnes.

Aussi loin que l’œil pouvait voir, il y avait des gens à Butler. A perte de vue. Et beaucoup de presse aussi. Vous savez, il y a beaucoup de caméras qui surveillent ça. C’est ce qui rend la chose si différente, parce que normalement, il se passe des choses qui ne vont pas bien, mais vous n’avez jamais d’image de ce qui se passe. Ici, nous avons toutes ces caméras qui filment. Donc, vous savez, c’est assez incroyable. Mais l’une des choses intéressantes, c’est que personne ne s’est enfui.

La foule courageuse DONALD TRUMP : Il n’y a eu personne qui s’est précipité. Personne. Et il y avait des gens derrière moi. Ils se sont levés, et ils avaient l’air, vous savez, je veux dire, je dis, vous voulez les avoir dans une tranchée avec vous.

Je veux rencontrer certaines de ces personnes. Parce que c’est tellement différent de ce que vous avez entendu. Donc j’étais à terre. Mais les gars des services secrets, il y avait des balles qui volaient juste au-dessus de ma tête. On pouvait les entendre siffler. Et ces gars sont venus sauter sur moi. Et une jeune femme, Kate, a sauté. Ils se sont déplacés si vite.

Et laissez-moi vous dire, cela a demandé un courage énorme. Maintenant, il y avait un manque de coordination. Vous savez, évidemment, tout le monde comprend que quelqu'un, ce bâtiment aurait dû être couvert.

Supervision de la sécurité ELON MUSK : Je veux dire, regardez les vues aériennes. Ce bâtiment serait, genre, l'endroit numéro un pour un sniper. Si vous deviez choisir, genre, quel est l'endroit préféré ? Donc si le but est d'assassiner, quel est votre endroit préféré ? Ce bâtiment.

DONALD TRUMP : Vous avez raison.

ELON MUSK : Ce bâtiment serait le numéro un.

DONALD TRUMP : Ça aurait été l'endroit.

ELON MUSK : Vous pouvez demander un meilleur emplacement.

DONALD TRUMP : Non, c'est bien là que ça aurait pu se passer. Vous savez, ce que les gens pensent, c'est que lorsque le policier local, qui, soit dit en passant, vous savez, a vraiment fait ce qu'il était censé faire, il n'a pas pu tenir plus longtemps.

Et puis, quand il a eu la tête qui dépassait, ce type se tenait là avec une arme sur la tête. Et quand il est retombé, il s'est blessé gravement à la cheville. Mais c'est lui qui a pris les décisions. Mais ce qui s'est passé, c'est que les coups de feu ont eu lieu très rapidement.

Les actions du tireur DONALD TRUMP : Donc, ce qu'ils pensent, c'est que ce type a couru vers son site, qu'il avait tout planifié avec une arme. Il a couru vers le site et a commencé à tirer rapidement. Et c'est peut-être pour cela qu'il a, eh bien, raté sa cible. Je veux dire, vous savez, il m'a eu. Mais ça aurait pu être un problème bien plus grave.

ELON MUSK : Mais il aurait certainement touché si vous n'aviez pas tourné la tête. C'était très proche.

DONALD TRUMP : C’était un miracle. Si je n’avais pas tourné la tête, je ne vous parlerais pas en ce moment, même si je vous aime beaucoup.

ELON MUSK : Exactement.

DONALD TRUMP : Je ne vous parlerais pas.

ELON MUSK : Vous me parlez peut-être d’un autre monde, peut-être.

DONALD TRUMP : Oui, c’est vrai. Nous parlerions d’un endroit différent. Mais c’était une expérience très terrible. L’hôpital Butler, ils ont fait un travail formidable. Les médecins étaient si bons. Tout le monde était si bon. Il y a eu une erreur. Si quelqu’un le savait, parce que les gens entendaient.

Problèmes de sécurité et coordination DONALD TRUMP : Vous savez, il y avait juste un mauvais sentiment que quelqu’un était là. Vous connaissez cette histoire maintenant.

ELON MUSK : Ouais, ouais.

DONALD TRUMP : Et si quelqu’un avait pu le dire. Parce qu’ils ont souvent dit, vous savez, comme s’il y aurait un orage ou quelque chose comme ça. Parce que j’en ai fait, je pense, plus de 300. Je pense que j’en ai fait beaucoup plus que ça. Mais nous en avons fait beaucoup.

Et souvent, ils disent : « Monsieur, pourriez-vous attendre 10 minutes, s’il vous plaît ? Monsieur, pourriez-vous attendre 20 minutes ? Il y a un orage au-dessus de nos têtes ou des éclairs ou quelque chose comme ça », n’est-ce pas ? Et cela arrive souvent. Et cela aurait été le moment idéal pour que cela se produise. Mais cela n’a pas été coordonné. C’était le problème.

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Le courage sous le feu ELON MUSK : Eh bien, c’était, je pense, vos actions dans le feu de l’action. Et, vous savez, ce que je trouve honorable là-dedans, c’est que vous ne pouvez pas faire semblant d’être courageux dans de telles circonstances. Le courage est instinctif ou il ne l’est pas. Ce n’est pas une action répétée. Et donc je veux juste dire que je pense que beaucoup de gens admirent votre courage sous le feu là-bas. Et, oui.

DONALD TRUMP : Merci beaucoup. J’apprécie. Je n’y ai pas pensé. Je voulais juste me lever. Et je voulais me lever. Je voulais faire savoir aux gens, vous savez, que j’avais le sentiment d’être en forme.

Quand ils étaient sur moi, me couvrant, en fait, ils me couvraient beaucoup et très courageusement. Mais je voulais me lever. J’ai dit : « Je veux me lever. » Et ils voulaient, vous savez, ils avaient tout ce qu’il fallait. Ils avaient, ils voulaient une civière.

Les conséquences DONALD TRUMP : Je n’ai pas aimé la civière. Et je savais que j’avais été touché à l’oreille, mais je savais que je n’avais été touché nulle part ailleurs. Ils avaient l’impression que j’avais été touché ailleurs. Il y avait tellement de sang. Et ils étaient sûrs que j’avais été touché ailleurs. Et ils disaient : « Monsieur, vous avez été touché plus que l’oreille. » J’ai dit : « Non, j’ai été touché à l’oreille. Je veux me lever. »

« Laissez-moi me lever. » Et donc je me suis levé. Et la foule ne savait pas quoi penser. Je veux dire, il y avait tellement de monde. Et on pouvait voir qu’ils étaient confus. Ils ne savaient pas quoi penser. Et je voulais leur faire savoir que j’allais bien. C’était très important pour moi de le leur faire savoir.

La réaction de la foule DONALD TRUMP : Et ils sont devenus fous. Vous avez vu la suite. Ils ne sont pas devenus fous quand je me suis levé parce qu’ils ne savaient pas si j’étais vivant. On ne pouvait vraiment pas le dire.

Quand je me suis levé avant la main, avant le, vous savez, le poing en l’air, ils ne savaient pas si j’étais vivant. Personne ne le savait. Et quand j’ai levé le poing, ils étaient juste soulagés, heureux et ravis. Et la salle est devenue folle. C’était assez incroyable. C’était une chose terrible, mais c’était incroyablement émouvant.

Le glissement de l’immigration ELON MUSK : Eh bien, et je veux dire, en parlant du genre de glissement qui vous a fait tourner et qui vous a sauvé la vie, vraiment, c’était le glissement de l’immigration illégale.

DONALD TRUMP : C’est vrai.

ELON MUSK : Peut-être que nous parlons de cela. Cette diapositive vous a sauvé la vie.

DONALD TRUMP : L’immigration illégale m’a sauvé la vie. Vous avez raison. Mais il fallait que ce soit exactement sous cet angle.

ELON MUSK : Je veux dire, c’est une excellente idée. Sauvé par l’immigration illégale.

DONALD TRUMP : Vous savez, ce qui est incroyable, c’est que lorsque vous parlez des probabilités, il fallait que ce soit exactement sous cet angle. Mais ce qui est incroyable, c’est que le graphique, je l’ai utilisé moins de 20 % du temps. C’était juste un moment. Il est toujours à ma gauche, jamais à ma droite. Et il est toujours à la fin du discours.

Une série de coïncidences DONALD TRUMP : Donc nous l’avons ici. Il est à droite, pas à gauche. Il est au début, pas à la fin. Et même les gens qui l’ont mis en place, ils n’étaient pas préparés. Et ils ont fait un excellent travail. Ils l’ont mis en place immédiatement, heureusement. Mais j’ai regardé vers la droite et la balle est passée à toute vitesse, atteignant mon oreille. C’était incroyable.

Mais quand on pense aux probabilités, et vous savez, que normalement, on ne l’utiliserait pas. Normalement, je n’aurais pas cet appareil. Et puis, vous savez, ça aurait été une toute autre histoire. C’est vraiment, je dis, un acte de Dieu. C’est un miracle que cela se soit produit. Et j’en suis honoré. J’en suis honoré.

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La fameuse lettre de Thierry Breton, Sénégalais mais... Commissaire de l'Union Européenne ( ! ) exprimant une peur hystérique de la liberté d'expression dont on a privé depuis longtemps l'Européen. Le Capitalisme étant en crise et l'Europe cible principale de sa guerre, notre gestion par la consommation et le loisir devenue impossible, elle s'est vue substituée une gestion de la population par la peur et répression. Il ne faudrait pas que Trump et Musk viennent " casser la barraque ". Malheureusemnent, l'inquisition même 2.0 ne plait pas et des centaines de millions de vues ont vite démontré la soif d'information de citoyens qui en sont privés, qui voient médias et réseaux sociaux interdits, des élections avec défaite cinglante du pouvoir ne produisant pourtant plus aucun changement politique.

Revenons au sujet de l’immigration ELON MUSK : Eh bien, qu’alliez-vous dire à propos de l’immigration illégale avant d’être grossièrement interrompu ?

DONALD TRUMP : Eh bien, j’allais dire à quel point les chiffres étaient bons. Au fait, nous retournons à Butler. Et nous y retournerons en octobre. Nous sommes tous installés et les gens sont fantastiques à Butler.

C’est un endroit formidable. Ce sont des gens incroyables. Comme les trois qui, dans le cas de Corey, ont été tués, les deux autres, les familles, j’ai appris à les connaître un peu. Mais nous revenons à Butler. Et je pense que je vais probablement commencer par dire, comme je le disais, avant d’être si horriblement interrompu.

Le graphique de l’immigration ELON MUSK : Oui, si grossièrement interrompu par une tentative d’assassinat.

DONALD TRUMP : Non, mais le graphique.

ELON MUSK : Certaines personnes n’ont aucune manière.

DONALD TRUMP : Elon, le graphique était juste un graphique qui, au cours de ma dernière semaine, nous avait les meilleurs chiffres d’immigration illégale, c’est-à-dire d’arrestation. C’était au plus bas. Vous avez vu le graphique. C’est devenu un graphique assez célèbre.

Mais c’était le point le plus bas jamais enregistré. C’était vraiment, je veux dire, j’étais très fier de ces chiffres. Et puis vous voyez ce qui est arrivé à ces gens, Kamala et Joe. Vous voyez ce qui s’est passé.

Politiques d’immigration DONALD TRUMP : Ils ont tout simplement laissé tomber. J’avais des politiques de maintien au Mexique. J’avais toutes ces politiques différentes qui étaient si bonnes. Des gars comme Tom Homan et Brandon Judd de la police des frontières. Ce sont tous des gens qui sont passés à la télévision. Ils ont dit que c’était les meilleurs chiffres que nous ayons jamais eu. Nous avions tellement de contrôles différents. Capture et remise en liberté au Mexique, pas aux États-Unis.

Nous avions la capture et la remise en liberté aux États-Unis. Nous l’avions au Mexique. Nous avions tellement de choses. Nous avions des choses où si les gens, beaucoup de gens arrivent là-bas, ils ont des maladies contagieuses. Nous avions tout passé. Si vous avez une maladie contagieuse, je suis désolé, mais nous ne pouvons pas vous autoriser à entrer dans le pays. Nous avons donc battu littéralement des records. Et tout ce que je faisais, c’était de montrer cela.

L’importance du graphique DONALD TRUMP : Et je l’ai utilisé parfois. Et dans ce cas, je suis content de l’avoir utilisé. Je peux vous le dire. Mais ce sont des chiffres fantastiques. Mais je vais toujours dormir avec ce graphique. Je dormirai avec ce graphique. Ce graphique était très important, très important pour de nombreuses raisons.

ELON MUSK : Eh bien, je veux dire, serait-il exact de dire que vous soutenez l’immigration légale, mais nous devons également mettre un terme à l’immigration illégale et en particulier à l’immigration illégale non contrôlée ?

Et ce n’est pas la même chose que de dire que tous les immigrants illégaux sont mauvais. En fait, je pense que la plupart des immigrants illégaux sont en fait bons, mais on ne peut pas faire la différence à moins qu’il n’y ait un contrôle rigoureux de ceux qui traversent la frontière. Est-ce que cela reflète bien votre position ?

La position de Trump sur l’immigration DONALD TRUMP : Je le dis très simplement. Ils doivent entrer légalement. Ils doivent être contrôlés. Parce que regardez, Kamala était la tsar des frontières. Maintenant, elle le nie. Tout ce que je fais, elle dit qu’elle était forte à la frontière. Nous allons être forts. Elle n’a pas besoin de le dire. Elle pourrait la fermer tout de suite.

Ils pourraient faire des choses tout de suite. C’est horrible. Pas de taxe sur les pourboires. Et tout d’un coup, elle fait un discours et dit qu’il n’y aura pas de taxe sur les pourboires.

Critique de l’administration actuelle DONALD TRUMP : Je l’ai dit il y a des mois. Et d’ailleurs, ils ont fait exactement le contraire. Vous savez, ils n’ont pas seulement imposé les pourboires, mais ils ont embauché 88 000 agents de l’IRS, et beaucoup d’entre eux ont été chargés d’aller chercher les serveuses et les caddies et tout ça avec des pourboires. Ils ont une politique.

Ils avaient une politique qui disait que nous allions vraiment nous en prendre à vous, et nous harcelons vraiment les gens de manière horrible. Et puis tout d’un coup, pour la politique, elle dit, vous savez, elle sort ce que j’ai dit, ce que je trouve terrible, et je pense que ça les frappe aussi très durement. Ces gens sont des imposteurs. Maintenant, ils disent aussi qu’ils ont fait du bon travail à la frontière.

Nous avons eu les pires chiffres de l’histoire du monde, pas de notre pays. Il n’y a jamais eu un pays dans l’histoire qui ait connu une catastrophe comme celle-ci. Nous en avons eu, je crois, et je pense que vous le croyez aussi. Je crois que plus de 20 millions de personnes sont entrées dans notre pays, beaucoup venant de prisons, d’établissements psychiatriques, ou d’une version plus grande de cela, des asiles de fous, et beaucoup sont des terroristes.

La nature mondiale de l’immigration DONALD TRUMP : Et je vais vous dire quoi. Ils ne viennent pas seulement d’Amérique du Sud. Ils viennent d’Afrique. Ils viennent du monde entier.

Ils viennent d’Asie. Ils viennent du Moyen-Orient. Ils viennent de pays qui bombardent Israël de manière stupide et horrible, le 7 octobre. Ils viennent du monde entier. Et vous savez, quand vous regardez le 7 octobre, c’est tellement triste, parce que ça n’aurait jamais dû arriver. C’est tellement triste quand vous regardez l’Ukraine. Cela n’aurait jamais dû arriver. Nous avons un gouvernement défectueux.

Critique de la compétence de l’administration actuelle DONALD TRUMP : Ce sont des gens défectueux, et ce ne sont pas des gens qui pourraient diriger le gouvernement. Mais c’est à la frontière que l’on voit le mieux, parce que des millions de personnes arrivent en un mois, puis elle se lève et essaie de faire semblant de faire quelque chose. Elle avait trois ans et demi. Et, soit dit en passant, ils ont encore cinq mois pour faire quelque chose, mais ils ne feront rien.

Ce ne sont que des paroles. Elle est incompétente, et il est incompétent. Et, franchement, je pense qu’elle est plus incompétente que lui, et c’est dire quelque chose parce qu’il n’est pas très bon.

ELON MUSK : Oui. Non, je pense qu’il est essentiel d’avoir une frontière sécurisée. Je veux dire, vous n’êtes pas vraiment un pays sans une frontière sécurisée.

DONALD TRUMP : C’est exact. Et des élections sécurisées.

ELON MUSK : Vous savez, des élections absolument sécurisées. Il est donc essentiel d’avoir une vraie frontière, sinon nous ne pouvons pas fonctionner en tant que pays, et nos services centraux sont débordés dans de nombreuses villes.

Processus d’immigration légale ELON MUSK : Mais comme nous en parlions plus tôt, je pense qu’il faut avoir un processus d’immigration légale qui soit fluide, efficace et bien fait, et, vous savez, en tant qu’immigrant légal, et je pense que, je veux dire, une façon d’y penser est de savoir qui voulez-vous dans votre équipe ? Vous savez, qui voulez-vous dans l’équipe américaine ?

Et je pense que nous voulons juste dire, ok, nous voulons laisser entrer des gens qui vont, vous savez, apporter une contribution importante à notre société et à notre économie, et, vous savez, qui voulez-vous dans l’équipe ? Et cela ne veut pas dire que, à mon avis, en fait, je dirais que probablement la plupart des immigrants illégaux sont en fait des gens bons et travailleurs. C’est mon opinion. Mais certains ne le sont pas.

Et vous avez juste cette sorte de processus de sélection adverse où, vous savez, si quelqu’un a une carrière dans le vol ou le cambriolage, je ne comprends pas pourquoi il met autant de temps à arriver ici parce que nous sommes dans un environnement si riche en cibles. Je veux dire, vous savez, pourquoi plus de gens qui ont une carrière dans, vous savez, des choses mauvaises ne viennent pas ici plus tôt ?

Inquiétudes concernant les éléments criminels DONALD TRUMP : Il y a beaucoup de gens qui ne devraient pas l’être. Je pense que c’est un nombre bien plus important que vous ne le pensez. Ils laissent sortir les gens de leurs prisons. Et si vous dirigiez l’un de ces pays d’où ils viennent, vous les auriez tous eus. Par exemple, le Venezuela, leur criminalité a diminué de 72 %. Ils prennent leurs trafiquants de drogue.

Ils prennent, franchement, leurs prisonniers. Ils vident leurs prisons. Ils prennent leurs criminels, leurs meurtriers, leurs violeurs, et ils les livrent.

ELON MUSK : C’est ce qu’a fait Castro.

DONALD TRUMP : Oui, eh bien, il l’a fait à une échelle beaucoup plus petite. C’était une échelle beaucoup plus petite. Mais c’est une échelle massive parce que cela se fait dans le monde entier. Mais voici ce qui se passe. La criminalité dans le monde entier est en baisse. Et attendez de voir les chiffres que nous avons. Vous savez, il s’agit de la criminalité des migrants. C’est un crime qui va se produire.

Incidents et préoccupations récents DONALD TRUMP : Et j’ai vu cela aujourd’hui à New York où quelqu’un a été poignardé, où ils ont violé la petite amie d’un homme qui se tenait là à regarder à New York dans l’un des abris et ont commencé à sortir les couteaux. Et de mauvaises choses se sont produites aujourd’hui. Mais cela se produit tous les jours. Ce sont des gens durs.

Ce sont des gens qui sont en prison pour meurtre et toutes sortes de choses. Et ils les relâchent dans notre pays. Et ils leur disent, si vous revenez, nous allons vous tuer. Nous allons vous donner la peine de mort ou vous tuer. Donc ils ne veulent pas revenir. Mais ce sont des gens durs. Ce sont des criminels qui font passer nos criminels pour des gens gentils. Et c’est horrible ce qu’ils font.

Critique du rôle du vice-président DONALD TRUMP : Et elle est en charge de cela parce que, vous savez, maintenant elle essaie de dire qu’elle n’a rien à voir avec ça. Et c’est une telle menteuse parce qu’elle a été appelée la tsar des frontières le premier jour. Et c’était à la une de tous les journaux. C’est la tsar des frontières.

Et elle n’y est même jamais allée. Elle est allée à un endroit, qui n’avait rien à voir avec le problème. Vous savez, elle est entrée et sortie, je suppose, parce qu’elle recevait beaucoup d’attention de la presse. Mais cela n’avait rien à voir avec le problème.

Mais elle était la tsar des frontières. Et les gens ne peuvent pas les laisser s’en tirer avec leur campagne de désinformation. Maintenant, elle essaie de dire qu’elle n’était pas vraiment impliquée. Et tout cela est horrible.

Le point de vue de Trump sur la compétence de l’administration DONALD TRUMP : Elle était totalement aux commandes. Elle aurait pu fermer la frontière sans lui. Il ne savait pas ce qu’il faisait de toute façon. Il n’aurait même pas su ce qui s’est passé. Vous auriez pu fermer la frontière. Il n’aurait même pas vu la différence. Mais le fait est qu’elle était la tsar des frontières. Mais vous n’êtes pas obligé de l’appeler ainsi. Le fait est que vous pourriez simplement l’appeler. Elle était responsable de la frontière. Et la frontière était la pire de tous les temps.

ELON MUSK : Ça ne marche tout simplement pas.

DONALD TRUMP : Non, c’est horrible. Que ce soit une question d’intention ou de compétence, dans un cas comme dans l’autre, nous n’avons pas de frontière sécurisée. Et nous avons des gens qui affluent comme si on se trouvait dans une apocalypse zombie de la Seconde Guerre mondiale. Et parfois, on se demande si c’est réel ou non.

La visite d’Elon Musk à la frontière ELON MUSK : Parce que vous voyez des choses et vous vous demandez si c’est réel. Je suis donc allé à la frontière à Eagle Pass et j’ai vu de mes propres yeux au Texas. Et je me suis dit : « OK, c’est réel. Je vois ça en temps réel. »

En fait, j’ai posté la vidéo en direct. J’ai juste pris l’avion un jour pour voir, hé, est-ce que c’est inventé ou réel ? Et je vois juste des gens traverser la frontière. Et je dois dire qu’au moins les gens que j’ai vus n’avaient pas l’air amicaux. Les gens peuvent regarder ma vidéo et dire : « Hé, ces gens ont l’air sympathiques. Je n’ai pas l’air super sympathique. »

Le point de vue de Trump sur les immigrants DONALD TRUMP : « Ce sont des gens qu’Elon ne serait pas le même s’il devait traverser la rue et les regarder dans les yeux. Ce sont des gens rudes. Ce sont des gens vraiment rudes qui se croisent. Et je connais des gens rudes. Et ce sont des gens que nous ne voulons pas dans notre pays. Et, vous savez, les caravanes arrivent et ils mettent – ​​et ceux qui font ça, ce sont les chefs des pays. »

Et vous le feriez et moi aussi. Et tout le monde dirait : « Oh, quelle chose terrible à dire. » Le fait est que c’est génial pour eux parce qu’ils prennent tous leurs mauvais gens, vraiment mauvais gens. Et je déteste dire ça.

La raison pour laquelle les chiffres sont bien plus élevés que vous ne le pensez, c’est qu’ils prennent aussi leurs gens improductifs. Ce ne sont pas des gens qui vont vous tuer. Nous en avons assez. Mais ce sont des gens qui ne sont pas productifs.

Immigrants improductifs DONALD TRUMP : Ils sont tout simplement improductifs, je veux dire, pour une raison ou une autre. Ce ne sont pas des travailleurs ou ils ne veulent pas travailler ou quoi que ce soit. Et ces pays se débarrassent des gens improductifs dans les caravanes dans de nombreux cas. Et ils se débarrassent également de leurs meurtriers et de leurs trafiquants de drogue et des gens qui sont vraiment brutaux.

Et ils arrivent dans notre pays à des niveaux jamais vus auparavant. Et j’ai vu une publicité juste avant de passer à l’antenne. Je marche ici. Et j’ai vu une publicité de Kamala expliquant comment elle va assurer la sécurité des frontières. Où était-elle depuis trois ans et demi ? Depuis trois ans et demi, nous avons 20 millions de personnes. C’est terrible.

ELON MUSK : Oui, je pense que c’est un problème existentiel fondamental pour les États-Unis. Et si nous avons encore quatre ans de frontières ouvertes, ce sera encore pire. Avec quatre ans de plus, ce sera encore pire que ce que nous avons connu ces trois ans et demi. Je ne suis pas sûr que nous ayons un pays.

DONALD TRUMP : Vous n’avez pas de pays, Elon. Elon, s’ils entrent, vous aurez 50 à 60 millions de personnes du monde entier, pas seulement d’Amérique du Sud. Nous pensons à l’Amérique du Sud. Nous pensons au Honduras et au Salvador, au Guatemala et au Mexique, les quatre. Mais ce n’est pas ça. Il y en a partout. Ils viennent de partout. Et j’ai dû rester au Mexique.

Immigration mondiale ELON MUSK : C’est un point très important. En gros, quand je suis allé là-bas, je me suis demandé d’où venaient les gens. C’était comme si presque personne ne venait du Mexique.

DONALD TRUMP : Non, le Mexique moins que les autres.

ELON MUSK : C’est juste la frontière avec le Mexique. Ce sont les gens qui arrivent. C’est la Terre, le reste de la Terre. Et l’Amérique ne représente qu’environ quatre ou cinq pour cent de la population de la Terre. Il suffirait de quelques pour cent du reste de la Terre pour submerger tout le monde.

DONALD TRUMP : Nous sommes déjà submergés, Elon. Nous sommes submergés. Vous avez dû voir les nouvelles ce soir sur New York. Et j’adore cet endroit. Et ce qu’ils lui font est horrible, ce qu’ils lui font. Et tout ce que font les tribunaux, c’est essayer de se concentrer sur Trump. Ils disent, concentrons-nous sur Trump, qui n’a rien fait de mal. Je me plains d’une élection truquée.

Elon, ce qui s’est passé est incroyable. Vous avez des gens d’Afrique, du Congo, ils viennent, du Congo. Et 22 personnes sont venues du Congo récemment. Et ce sont des meurtriers.

Les éléments criminels dans l’immigration DONALD TRUMP : Et ils sont abandonnés. Ils les abandonnent. Ils les sortent des prisons, ce qui coûte très cher, vous savez, pour entretenir les prisons, même s’ils ne font pas beaucoup d’entretien, je peux vous le dire. Mais ils les sortent des prisons.

Ils les sortent et les amènent aux États-Unis. Ils les déposent aux États-Unis et disent, ne revenez jamais ou vous allez être exécutés. Et ils ne veulent pas revenir. Mais ils ne reviendront pas.

À LIRE AUSSI : Transcription intégrale : Discours de clôture de Michelle Obama pour Joe Biden Mais ils viennent d’Afrique. Ils viennent d’Asie. Ils viennent du Moyen-Orient. Ils viennent d’Amérique du Sud. Ils viennent de partout. Et il y en a beaucoup de vraiment mauvais.

ELON MUSK : C’est un problème qui se pose partout sur Terre. Et il n’est tout simplement pas possible pour les États-Unis d’absorber tous les habitants de la Terre, ni même quelques pour cent du reste de la Terre. Ce n’est tout simplement pas possible.

Déportation proposée DONALD TRUMP : Eh bien, Elon, nous allons avoir – juste pour finir. Nous allons avoir la plus grande déportation de l’histoire de ce pays. Et nous n’avons pas le choix. Sinon, nous aurons un pays comme celui qu’ils ont fait au nôtre. Pensez-y. Vous savez, au Venezuela et dans certains de ces autres pays, la criminalité a diminué de 50, 60, 70, 80 pour cent. Et vous seriez pareil.

Je vais vous dire quelque chose. Le Venezuela ne s’est pas débarrassé de tous ces gens. Ils se sont débarrassés d’environ 70 pour cent de leurs très mauvais citoyens. Leurs prisons sont à peu près à 50 pour cent aux États-Unis. C’est pareil dans d’autres pays. Certains sont à 30 pour cent. D’autres sont à 50 pour cent. Ils sont tous différents. Mais le fait est qu’ils seront tous à 100 %. Pourquoi ne pas mettre 100 % ?

ELON MUSK : Oui.

Critique de l’administration actuelle DONALD TRUMP : Et ils le font en ce moment même alors que ce candidat bidon de troisième ordre. N’oubliez pas, j’ai battu – j’ai battu Biden. Il a échoué lamentablement au débat. Et, vous savez, certaines personnes ont dit, oh, mon Dieu, tant pis. C’est dommage qu’il ait si mal réussi ou que j’aie bien réussi au débat.

Vous savez, le premier soir, ils ont dit, wow. L’une des personnes de CNN a dit que c’était la meilleure performance de débat que j’aie jamais vue. Et puis deux jours plus tard, ils n’en ont pas parlé. Ils ont juste dit qu’il était mauvais.

Mais ce n’est pas grave. C’est la façon dont je suis traité. Et ça ne me dérange pas du tout. Ce que je peux vous dire, c’est ceci. Nous ne pouvons pas avoir une démocrate. Nous ne pouvons pas l’avoir. Elle est incompétente. Elle est aussi mauvaise que Biden dans un autre domaine.

ELON MUSK : Ouais.

DONALD TRUMP : Elle n’a pas donné d’interview depuis le début de toute cette arnaque. Et dites ce que vous voulez. C’est un coup d’État. C’était un coup d’État d’un président des États-Unis. Il ne voulait pas partir. Et ils ont dit qu’on pouvait le faire de la manière gentille ou de la manière dure.

ELON MUSK : Ouais. Je veux dire, ils l’ont juste emmené derrière le hangar et l’ont essentiellement abattu.

DONALD TRUMP : Oh, ce qu’ils ont fait avec ce type. Et je ne suis pas fan de lui. Et c’était un président horrible, le pire président de l’histoire. Et l’une des raisons pour lesquelles il était si mauvais. Tout d’abord, l’attaque israélienne n’aurait jamais eu lieu. La Russie n’aurait jamais attaqué l’Ukraine et nous n’aurions pas eu d’inflation. Et nous n’aurions pas eu le désordre en Afghanistan.

Si vous y réfléchissez. Eh bien, nous n’aurions pas eu l’Afghanistan. Mais nous y pensons. Si nous supprimons quelques-uns de ces événements, nous aurions un monde différent. Nous n’aurions pas non plus – l’inflation a été causée par le pétrole.

L’importance d’un président fort ELON MUSK : Oui. Non, non. Je pense que vous soulevez un excellent point ici, à savoir que lorsque d’autres pays peuvent, vous savez, qui envisagent d’envahir ou de faire de mauvaises choses, lorsqu’ils y pensent, ils se demandent : « OK, que va faire le président américain ? »

Et craignent-ils le président américain ? Ou y a-t-il quelqu’un qu’ils ne respectent pas et qu’ils ne craignent pas ? Et je pense qu’ils le craignent. Ils le craignent. Ils le seraient à juste titre. Je veux dire, vous savez, regardez les images de l’assassinat. Ils disent : « OK, vous savez, le président Trump dit : « Ne me dérangez pas. » Je veux dire, c’est comme si je pense que les gens ne le seraient pas.

Et ils n’ont évidemment pas été du tout intimidés par Biden. Et ils ne le seront certainement pas par Kamala. Et il faut vraiment penser à cela dans le contexte de la sécurité mondiale. C’est-à-dire que si le président américain est quelqu’un dont les dictateurs maléfiques ont peur, cela fait une énorme différence pour la sécurité du monde.

La relation de Trump avec les dirigeants mondiaux DONALD TRUMP : J’ai eu une bonne relation avec Poutine, malgré le canular « Russie, Russie, Russie » qui a duré plus de deux ans. Juste un canular créé par Hillary Clinton et Adam Shifty Schiff. Certains sont juste des mauvaises personnes, vous savez, des gens malades, franchement. Je veux dire, Schiff est une personne malade.

Il va probablement finir par devenir sénateur. C’est difficile à croire, c’est difficile à croire. Mais, vous savez, ils mettent aussi notre pays en danger avec ce genre de choses. En fait, ils inventent des histoires et il faut se battre pour s’en sortir pendant longtemps.

Mais je connais très bien Poutine. Je m’entendais très bien avec lui. Il me respectait. Et c’est juste une de ces choses. Et nous parlions beaucoup de l’Ukraine. C'était la prunelle de ses yeux. Mais je lui ai dit de ne jamais le faire. Ne le fais jamais.

Nord Stream 2 et Keystone XL DONALD TRUMP : Vous savez, j’ai fermé Nord Stream 2. C’était le grand oléoduc, le plus grand, je pense, le plus grand oléoduc du monde qui traversait toute l’Europe. Je l’ai fermé. Biden est arrivé et ils ont dit, vous savez, j’aimais la Russie.

J’étais un ami de Poutine et j’aimais la Russie. Il m’a dit une fois, il a dit, si tu es mon ami, je détesterais te voir comme un ennemi. J’ai fermé son oléoduc. Le plus gros oléoduc qu’ils envisageaient de construire sur ce front.

Et ce président pathétique s’y est mis. Et la première chose qu’il a faite, l’une des premières choses qu’il a faites, c’est de le fermer. Il a fermé l’oléoduc Keystone XL, qui est notre oléoduc qui aurait employé 48 000 personnes. Les travailleurs de l’oléoduc – l’ont fermé. C’était un travail énorme qu’Obama a refusé d’autoriser. Je l’ai autorisé la première semaine parce que c’étaient des emplois qui transportaient du pétrole. Et d’ailleurs, d’une manière beaucoup plus respectueuse de l’environnement, c’est souterrain. Ce n’est pas un camion qui prend feu ou un train qui prend feu.

Mais pensez-y. Il a fermé l’oléoduc XL, l’oléoduc Keystone XL. Il l’a fermé et il a approuvé l’oléoduc russe.

ELON MUSK : Oui, ça n’a aucun sens. C’est comme si c’était incohérent. Certainement. Mais je veux dire, je pense qu’il vaut la peine de souligner aux auditeurs l’immense importance de savoir si le président des États-Unis est intimidant ou non et à quel point cela compte pour la sécurité mondiale, car il y a de vrais personnages coriaces. Et s’ils ne pensent pas que le président américain est dur, ils feront ce qu’ils veulent.

Les relations de Trump avec les dirigeants mondiaux DONALD TRUMP : Je connais chacun d’entre eux.

ELON MUSK : Et cela met le monde entier en danger.

DONALD TRUMP : Elon, je les connais tous et je les connais bien. Je connais Poutine. Je connais le président Xi. Je connais Kim Jong-un de la Corée du Nord. Je connais chacun d’entre eux. Et laissez-moi vous dire que les gens disent : « Oh, c’est terrible. »

Il a dit : « Je ne dis rien de bon ou de mauvais. Ils sont au sommet de leur art. Ils sont durs. Ils sont intelligents. Ils sont vicieux. Et ils vont protéger leur pays. S’ils aiment leur pays, c’est probablement le cas. C’est juste une autre forme d’amour. »

Mais ils vont protéger leur pays. Ce sont des gens durs au sommet de leur art. Et quand ils voient une Kamala ou quand ils voient Biden, Sleepy Joe, ils n’arrivent même pas à y croire. Ils n’arrivent pas à croire que cela s’est produit.

Conflits mondiaux et leadership américain DONALD TRUMP : Tout ce que vous voyez maintenant, toute l’horreur que vous voyez en Israël, ils attendent tous une attaque de l’Iran. L’Iran n’attaquerait pas. Croyez-moi. Vous savez, quand j’étais là-bas, je le dis avec respect, car je pense que nous aurions été bons avec l’Iran.

Je ne veux rien faire de mal à l’Iran. Ils savaient qu’il ne fallait pas s’amuser. L’Iran était ruiné parce que j’ai dit à la Chine que si vous achetez du pétrole iranien, tout dépendrait du pétrole. C’est là que se trouve l’argent.

Mais si vous achetez du pétrole iranien, vous ne ferez pas d’affaires avec les États-Unis. Et je le pensais vraiment. Et ils ont dit qu’ils passeraient leur tour. Ils n’ont pas acheté de pétrole. D’autres pays aussi. Vous voulez acheter ? Vous ne faites pas d’affaires avec les États-Unis. Et ils en étaient au point où ils en étaient.

Ils n’avaient pas d’argent pour le Hamas. Ils n’avaient pas d’argent pour le Hezbollah. Ils n’avaient pas d’argent pour aucun de ces instruments de terreur. Et c’était incroyable.

Le respect des États-Unis et la politique étrangère DONALD TRUMP : En fait, il y avait des articles quand je partais, ce qui est difficile à croire, en fait, surtout quand on regarde ce qui est arrivé à notre pays. Notre pays va si mal en ce moment. C’est un endroit tellement différent. On nous respectait.

Pensez-y. Il y a quatre ans, on nous respectait tellement que lorsque je disais de ne pas acheter de pétrole, ils n’en achetaient pas. Mais ils n’avaient pas d’argent. Et Israël n’aurait jamais été attaqué. Aucune chance. Et encore une fois, j’ai dit à Vladimir Poutine : « Ne fais pas ça. Tu ne peux pas le faire, Vladimir. Fais-le. Ce sera une mauvaise journée. Tu ne peux pas le faire. » Et je lui ai dit des choses que je fais. Et il a dit : « Pas question. » Et j’ai dit : « Pas question. » Et, vous savez, c’est la dernière fois que nous avons eu cette conversation. Il ne l’aurait jamais fait. Je m’entendais bien avec lui.

J’espère m’entendre à nouveau bien avec lui. Vous savez, s’entendre bien avec eux est une bonne chose, pas une mauvaise chose. Je m’entendais bien avec lui et Kim Jong-un, quand j’ai rencontré le président Obama juste avant quoi que ce soit. Vous savez, c’est une sorte de rituel.

La Corée du Nord et les menaces nucléaires DONALD TRUMP : Je me suis assis avec lui et nous avons discuté. C'était censé être pour une très courte période de temps et s'est avéré être une longue période. Je lui ai demandé quel était le plus gros problème. Il a répondu, la Corée du Nord. J'ai résolu ce problème très rapidement. C'était désagréable au début avec Rocket Man et, vous savez, toutes les différentes choses.

ELON MUSK : Ouais.

DONALD TRUMP : Tout d'un coup, j'ai reçu un appel —

ELON MUSK : avec des tweets épiques, au fait.

DONALD TRUMP : Oui, il y en avait. Non, il y en avait partout. Il a dit qu’il avait un bouton rouge sur son bureau. J’ai dit que j’avais aussi un bouton rouge sur mon bureau, mais que mon bouton rouge était beaucoup plus gros et que mon bouton rouge fonctionnait.

Et puis je l’ai appelé le Rocket Man de Little Rocket Man. Bref, voilà le fond du problème. Tout d’un coup, j’ai reçu un appel de lui et ils ont dit qu’ils voulaient me rencontrer. Ils voulaient me rencontrer. Et nous nous sommes rencontrés.

ELON MUSK : Oui.

DONALD TRUMP : Comme vous vous en souvenez, nous nous sommes rencontrés à Singapour. Nous nous sommes également rencontrés au Vietnam. Et je m’entendais bien avec lui. Super. Nous n’étions pas en danger. Mais le président Obama pensait que nous allions nous retrouver dans une guerre, une guerre nucléaire avec lui. Et laissez-moi vous dire qu’il a beaucoup de matériel nucléaire.

ELON MUSK : Exactement.

DONALD TRUMP : Il a beaucoup de matériel nucléaire. Il peut faire beaucoup de dégâts.

ELON MUSK : C’est parce que les gens comme Kim Jong-un réagissent à la force, pas à la faiblesse.

DONALD TRUMP : Eh bien, lui et moi avions une bonne relation. Souvenez-vous, je l’ai rencontré et nous avons marché sur ses terres. Personne n’avait jamais marché sur ses terres auparavant. Je ne dirais pas qu’il faut à nouveau parler des services secrets. Je ne dirais pas qu’ils étaient ravis quand je l’ai fait. Je suis entré sur ses terres et c’était une période incroyable.

Mais nous n’étions pas en danger avec lui à cause de moi. Vous savez, je dis toujours que nous avons des ennemis à l’extérieur et à l’intérieur. Nous avons des gens vraiment mauvais dans notre gouvernement et des gens qui contrôlent les gens. Je veux dire, j’ai mentionné des noms, mais je ne veux pas vraiment leur donner le crédit, mais nous en avons de très mauvais et je dis qu’ils sont plus dangereux que la Russie et la Chine.

L’importance d’un président intelligent DONALD TRUMP : Si vous avez un président intelligent, un président qui comprend, nous ne sommes pas en danger face à ces pays parce qu’ils ont besoin de nous et de notre aide. Je veux dire, nous avons forcé Obama. Si vous y réfléchissez, Obama, Biden et Bush, dans une certaine mesure, en toute honnêteté, ont forcé la Russie et la Chine à s’unir. Et si vous êtes un étudiant en histoire, la première chose que vous apprenez est que vous ne pouvez pas laisser la Russie et la Chine s’aligner.

Mais ensuite, si vous regardez, ils ont aussi l’Iran et la Corée du Nord. C’est ce qu’on appelle l’axe du mal. Autrefois, il y avait l’axe du mal. Nous avons maintenant un axe du mal moderne.

Ce sont des pays puissants, dotés d’un nucléaire très puissant, qui constituent la plus grande menace. Vous savez, la plus grande menace n’est pas le réchauffement climatique, où le niveau de l’océan va monter d’un huitième de pouce au cours des 400 prochaines années. Plus vous aurez de grandes choses à faire, plus vous aurez de propriétés en bord de mer. C’est vrai.

La menace nucléaire DONALD TRUMP : La plus grande menace n’est pas le réchauffement climatique, car nous avons cinq pays qui ont maintenant une puissance nucléaire importante et nous ne devons pas permettre que quoi que ce soit se produise avec des gens stupides comme Biden. Vous savez, Biden a fait quelque chose avec la Russie. Il n’y avait aucune chance qu’il y aille un jour. Et quand je suis parti et après mon départ, ils ont commencé à former de grandes armées là-bas à la frontière avec l’Ukraine.

C’est vrai. Et j’ai regardé ça et je me suis dit qu’il faisait ça parce que Poutine est un bon négociateur. Je pensais qu’il faisait ça pour négocier. Mais ensuite Biden a commencé à dire des choses stupides.

Par exemple, il a dit que ce pourrait être un pays de l’OTAN. Or, la Russie de Poutine, depuis que l’OTAN existe, a dit que nous n’accepterions jamais cela. Et nous allons droit au but et le disons. Et nous avons fait des choses et dit des choses par l’intermédiaire de ce président avec un QI bas, très bas.

FrançaisCritique des services de renseignement de Biden DONALD TRUMP : Il y a 30 ans, il avait un faible QI, mais maintenant il n’a peut-être même plus de QI du tout. Il n’y a rien au tableau qui soit aussi bas. Il a dit des choses tellement stupides que – cette guerre aurait eu – cette guerre n’avait aucune chance d’avoir lieu si j’avais été là. Aucune chance.

Il disait tout le contraire, tout le contraire. Et c’est tellement triste parce que beaucoup plus de gens ont été tués en Ukraine que ce que vous lisez. Vous ne lisez pas à quel point c’est sanglant et à quoi cela ressemble juste entre les deux armées ? Vous avez perdu un demi-million de personnes.

Et vous savez, l’Ukraine traverse une période difficile. L’Ukraine, je ne sais pas si vous avez lu l’article récemment et c’est vrai. Vous n’entendez pas la véritable histoire. Mais si vous y réfléchissez, la Russie a disparu.

Contexte historique de la puissance militaire de la Russie DONALD TRUMP : Vous savez, la Russie a vaincu l’Allemagne avec nous et elle a vaincu Napoléon. Vous savez, ils sont là depuis longtemps. Ils se battent beaucoup pour cela. Et c’est très injuste.

Et l’Ukraine n’a plus assez d’hommes. Ils utilisent maintenant des hommes jeunes et très âgés pour se battre. Et nous sommes dans une très mauvaise position. Et je ne vais pas en faire le seul responsable, mais je peux vous dire que j’aurais pu arrêter cela. Et un président intelligent aurait pu arrêter cela. Cela ne serait pas arrivé. Mais nous avions un homme qui a réellement réussi. Cela a rendu cela plus répandu.

C’était tellement mauvais. Les mots qu’il utilisait, les menaces stupides venant d’un visage stupide qu’il utilisait. J’ai dit, ce type va nous causer une guerre. Il va provoquer ceci.

Le risque d’une troisième guerre mondiale DONALD TRUMP : Et laissez-moi vous dire que cela peut conduire à une troisième guerre mondiale. Cela peut conduire à une troisième guerre mondiale. Le Moyen-Orient peut mener. Nous avons de nombreux endroits qui pourraient se retrouver dans une troisième guerre mondiale en ce moment sans aucune raison.

ELON MUSK : Je pense que vous avez raison. Je pense que les gens sous-estiment le risque d’une troisième guerre mondiale. Et c’est juste que, vous savez, lorsque vous regardez le risque d’une guerre thermonucléaire mondiale, c’est la fin de la partie pour l’humanité. Et, vous savez, c’est quelque chose que les gens ont, je pense, après la fin de la guerre froide, les gens sont devenus complaisants à ce sujet.

Mais ils ont en fait oublié qu’il existe actuellement de nombreux missiles nucléaires qui ont des paramètres de ciblage pour les États-Unis.

Proposition pour un dôme de fer DONALD TRUMP : Et l’une des choses que nous allons faire, c’est de construire un dôme de fer au-dessus de nous. Vous savez, Israël l’a. Nous allons avoir le meilleur Iron Dome du monde.

Nous en avons besoin. Et nous allons tout faire aux États-Unis. Mais nous allons avoir une protection, car il suffit d’un fou pour démarrer quelque chose. Nous allons avoir une protection et nous allons avoir – pourquoi n’aurions-nous pas un Iron Dome ? Israël en a un. D’autres pays en ont un dont personne n’a même entendu parler, franchement. Mais Israël l’a. Nous allons avoir un Iron Dome.

Focus sur l’économie DONALD TRUMP : Mais, vous savez, avec tout ce qui m’a été dit, c’est tellement important, le plus important. Mais avec tout ce qui a été dit, les élections approchent et les gens veulent entendre parler de l’économie et du fait qu’ils ne peuvent pas acheter de produits d’épicerie parce qu’ils n’ont pas assez d’argent pour acheter des produits d’épicerie. L’inflation les a tués. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 50, 60, voire 100 pour cent dans certains cas.

Et cette administration stupide a permis que cela se produise. Et c’est dommage. Et c’est ce qui importe le plus aux gens. À mon avis, ils se soucient beaucoup de la frontière. Et nous en discutons longuement. Et c’est bien d’avoir un forum comme celui-ci où je peux discuter longuement de quelque chose. Et au fait, pensez-vous que Biden pourrait faire cette interview ? Pensez-vous que Kamala pourrait faire cette interview ? Ils passeraient leur tour. Non, ils ne pourraient pas. Ils n’ont pas besoin d’Elon. Ils n’ont pas besoin qu’Elon hurle des questions.

C’est assez triste de penser que quelqu’un qui fait ça pour gagner sa vie ne peut pas répondre à une question ou a peur de faire une interview. Et dans son cas, avec une interview très amicale, elle a tous les intervieweurs amicaux. C’est joli.

ELON MUSK : Oui.

L’économie comme enjeu clé DONALD TRUMP : Mais l’enjeu principal maintenant, c’est l’économie, Elon. Et autant que. Je veux dire, je considérais le nucléaire comme la chose la plus importante. Mais beaucoup de gens, beaucoup de gens ne le comprennent pas. Mais ce n’est pas une fatalité. Si je comprends bien, c’est tout ce dont vous avez besoin, car si j’étais président, vous n’auriez pas ce genre de problème. Mais ce qui les met vraiment en colère, c’est ce que Kamala et Biden ont laissé arriver à l’économie.

C’est un désastre avec l’inflation, l’inflation. Peu importe ce que vous gagnez. L’inflation vous ronge. Si vous êtes un travailleur ou si vous avez juste un revenu moyen, vous ne pouvez pas vous le permettre, vous savez, il y a quatre ou cinq ans, les gens économisaient beaucoup d’argent.

Aujourd’hui, ils utilisent tout leur argent et empruntent de l’argent juste pour vivre. C’est une chose horrible qui se passe. Et nous allons y mettre fin.

Comprendre l’inflation ELON MUSK : Je pense que beaucoup de gens ne comprennent pas d’où vient l’inflation. L’inflation vient des dépenses excessives du gouvernement, car les chèques ne sont jamais sans provision lorsqu’ils sont émis par le gouvernement. Donc, si le gouvernement dépense beaucoup plus qu’il ne gagne, cela augmente la masse monétaire.

Et si la masse monétaire augmente plus vite que le taux de biens et services, c’est de l’inflation. Donc, vraiment, nous devons réduire nos dépenses publiques et nous devons réexaminer. Je pense que nous avons besoin d’une commission d’efficacité gouvernementale pour dire, OK, où dépensons-nous l’argent ?

C’est raisonnable. Où ne l’est-il pas ? Et nous devons vivre selon nos moyens. Nous ajoutons actuellement, je pense, un billion de dollars au déficit tous les cent jours environ. Et, vous savez, les paiements d’intérêts sur la dette nationale ont maintenant dépassé le budget de la défense. C’est de l’ordre d’un billion de dollars.

FrançaisDépenses militaires et Afghanistan DONALD TRUMP : J'ai reconstruit notre armée, j'ai en grande partie reconstruit notre armée, j'ai fait un excellent travail là-dessus, ce qui était si important. Vous savez, nous avions des jets. Nous avions des chasseurs et des bombardiers qui avaient 70 ans. Et nous avons fait un excellent travail dans ce domaine.

Ensuite, soit dit en passant, nous avons redonné 85 milliards de dollars à l'Afghanistan. Vous pouvez le croire. Nous leur avons donné 85 milliards. Vous savez, ils sont l'un des plus gros vendeurs d'équipements militaires au monde. Ils vendent ce que nous leur avons donné. C'était l'un des jours les plus embarrassants de l'histoire de notre pays. Mais si vous y réfléchissez, revenons à l'économie, nous devons faire baisser les prix de l'énergie. L'énergie a commencé au prix de l'essence.

Prix de l'énergie et voitures électriques DONALD TRUMP : Maintenant, vos voitures ne nécessitent pas trop d'essence. Donc, vous savez, vous avez un bon produit et vous en faites un excellent. Je dois dire que je dois être honnête avec vous. Cela ne veut pas dire que tout le monde devrait avoir une voiture électrique, mais ce sont des détails mineurs.

Mais votre produit est incroyable. Mais l’essence, Elon, c’est le coût de l’énergie, pas seulement de l’essence. C’est le coût du chauffage et de la climatisation de votre maison. Il doit baisser. Il a augmenté de 100 %, 150 % et 200 %. Et il doit baisser quand il baissera. Et nous allons forer, bébé forer. Vous savez, ils ont arrêté de forer, puis ils ont recommencé à forer parce qu’ils sont revenus à la politique de Trump.

Politique énergétique et IA DONALD TRUMP : Mais s’ils gagnaient le lendemain de leur arrivée au pouvoir, nous allons – ce pays fera faillite parce qu’il va adopter une politique énergétique qui n’est pas durable. L’éolien et d’autres choses. Vous n’en aurez pas. Et je sais que vous êtes un grand fan de l’IA.

Et je dois dire que l’IA et cela me choque, mais l’IA Il faut deux fois plus d’énergie que ce que le pays produit déjà pour tout. Donc, ce que vous allez devoir construire, nous allons devoir construire beaucoup d’énergie si notre pays veut être compétitif avec la Chine, parce que c’est notre principal concurrent sur ce point sur l’IA.

Vous allez avoir besoin de beaucoup d’électricité. Vous allez avoir besoin d’une électricité énorme, comme presque le double de ce que nous produisons actuellement pour tout le pays, si vous pouvez le croire.

ELON MUSK : Bien sûr. Eh bien, revenons à cela, comme le problème de base, c’est que les gens essaient de faire paraître cela compliqué, mais ce n’est pas le cas. Mais l’inflation est causée par les dépenses excessives du gouvernement. Êtes-vous d’accord pour dire que nous devons examiner les dépenses publiques et peut-être créer une commission d’efficacité gouvernementale ? Cela essaie simplement de rendre les dépenses raisonnables. Et ainsi le pays vit selon ses moyens, tout comme une personne.

Gaspillage gouvernemental et négociations DONALD TRUMP : Le gaspillage est incroyable. Et personne ne négocie les prix. Avant, il y avait beaucoup de gens qui fabriquaient des avions et on se retrouve avec deux entreprises qui vont probablement essayer de fusionner à un moment donné. Je veux dire, j’ai traversé ça comme l’air pour un truc comme Air Force One.

L’un des premiers documents qu’ils m’ont demandé de signer, c’est un général et monsieur, pourriez-vous signer ce document ? Et qu’est-ce que c’est ? Air Force One. C’est avec Boeing, qui est en gros deux avions, deux 747.

Et le prix était de cinq virgule sept milliards de dollars pour deux avions. Maintenant, ils sont très sophistiqués, encore plus beaux que votre avion. OK, mais beaucoup plus sophistiqués. Ils sont très… Je ne dirai pas ce qu’il y a dessus, mais ils ont quand même beaucoup de choses dessus.

Mais c’est cinq virgule sept. Un chiffre fou. Mais j’ai dit, je ne vais pas payer cinq virgule sept. Je ne vais pas le faire.

Négocier Air Force One DONALD TRUMP : J’ai dit, qui a conclu l’accord ? Obama et son équipe. J'ai dit : « Bon, je sais que l'accord n'est pas bon. Je ne vais pas le faire. »

Et pendant environ quatre semaines, en disant que je ne le ferais pas, j'ai obtenu une réduction de prix de 1,6 milliard de dollars pour exactement le même avion. À part que nous avions une plus belle peinture, si vous voulez savoir la vérité. Mais pour exactement le même avion, j'ai obtenu un mot de sécurité.

Et j'ai dit à Boeing, mec, vous devez gagner beaucoup d'argent si vous pouvez réduire le prix de cette façon. Mais maintenant, ce que je fais ici, c'est qu'ils retournent vers l'administration Biden et veulent de gros dépassements de coûts, vous savez, parce qu'ils voient ces crétins stupides là-dedans et ils finiront par récupérer une partie de l'argent. Mais j'ai économisé 1,6 milliard de dollars pour exactement le même avion. Et vous pouvez maintenant prendre cela et multiplier cela par des milliers d'autres éléments.

Multipliez par cinq milliards. Les chiffres sont astronomiques.

ELON MUSK : Je suis d'accord avec vous. Eh bien, je veux dire, si c’est le cas, alors je veux dire, je veux dire, je pense que ce serait génial d’avoir simplement une commission d’efficacité gouvernementale qui examinerait ces choses et s’assurerait que l’argent des contribuables, l’argent durement gagné des contribuables, est dépensé de manière judicieuse. Et je serais heureux d’aider à une telle commission.

DONALD TRUMP : J’adorerais ça. Eh bien, vous êtes le meilleur coupeur. Je veux dire, je regarde ce que vous faites. Vous entrez. Vous voulez démissionner ? Je ne mentionnerai pas le nom de l’entreprise, mais ils se mettent en grève et vous dites, c’est bon. Vous êtes tous partis. Vous êtes tous partis. Donc chacun d’entre vous est parti et vous êtes le meilleur. Vous seriez très bon. Oh, vous adoreriez ça.

Mais, vous savez, si vous regardez notre.

ELON MUSK : Eh bien, je serais heureux.

Félicitations pour l’interview DONALD TRUMP : Félicitations. Je viens de regarder le nombre de personnes qui vous écoutent et je discute. Nous appellerons cela une discussion. Mais félicitations. C'est parfait. Je veux dire, c'est génial.

Et vous êtes un personnage intéressant. Vous savez, le nouveau chef d'un endroit appelé l'Argentine. Et il était - il est génial. Et c'est un grand fan de MAGA. Vous savez qu'il a fait campagne sur MAGA et il l'a poussé à l'extrême en faisant campagne sur MAGA. Et j'ai entendu dire qu'il fait vraiment un travail formidable. Cela s'appelle rendre l'Argentine grande à nouveau. Cela a parfaitement fonctionné.

Il est venu et ils ont acheté beaucoup de chapeaux. Il en a fait venir. Mais il fait un gros travail. Il a vraiment coupé.

La situation économique de l'Argentine DONALD TRUMP : Et j'ai entendu dire que vous commencez à vous en sortir plutôt bien. L'inflation diminue. Vous savez, ils avaient environ mille pour cent et ils avaient une inflation qui n'était pas normale. Ils avaient la vraie affaire.

Mais nous allons avoir cela très bientôt. Nous avons – je pense que nous avons la pire inflation que nous ayons eue depuis 100 ans. Ils disent que c’est depuis 48 ans. Je n’y crois pas. Je pense que nous avons la pire. Ils n’incluent pas beaucoup d’éléments qui devraient être inclus. Vous savez.

ELON MUSK : Oui.

Dépenses excessives et inefficacité du gouvernement ELON MUSK : Eh bien, c’est juste à cause des dépenses excessives du gouvernement et du fait qu’il ne dépense pas l’argent des contribuables. En fait. Et avoir, vous savez, juste cette partie comme tant de départements, vous ne pouvez même pas les nommer tous.

Et ce que fait Milei, vous savez, c’est qu’il réduit les dépenses publiques. Il simplifie les choses. Il vous fait mettre en place des réglementations qui ont du sens. Et l’Argentine connaît du jour au lendemain une amélioration géante. La prospérité. Mais c’est aussi une leçon pour les États-Unis, c’est que. L’Argentine était l’un des pays les plus prospères du monde, vous savez, dans les années 30, 40. Et à cause de la mauvaise politique gouvernementale, le pays a été ruiné.

Leçons du Venezuela ELON MUSK : Et si vous prenez le Venezuela, par exemple, le Venezuela devrait être incroyablement prospère. Ils ont, vous savez, des réserves phénoménales de tout, de tout. Et le pays devrait être prospère. Mais si le gouvernement se trompe, il appauvrit la population.

Je pense donc que nous ne devrions pas être complaisants aux États-Unis et penser que notre prospérité va de soi, car avec une mauvaise politique gouvernementale, nous pouvons faire sombrer le pays. Et c’est quelque chose que les gens devraient garder à l’esprit. Ne prenez pas la prospérité pour acquise.

Classement et dépenses en matière d’éducation DONALD TRUMP : Eh bien, pensez à l’éducation. Nous sommes donc classés en bas de chaque liste des 40 premiers. Nous sommes classés numéro 40, numéro 38. La Norvège, la Suisse, la Suède, différents pays sont bien classés. En fait, la Chine est assez proche du sommet. Ils sont parmi les six ou sept premiers. Mais nous sommes classés au bas du classement, presque au bas du classement, 38, 39, 40. En d’autres termes, horribles. Et pourtant, nous dépensons plus par élève que n’importe quel autre pays au monde.

Nous dépensons plus. Et ce que je vais faire, l’un des premiers actes. Et c’est là que j’ai besoin d’un Elon Musk. J’ai besoin de quelqu’un qui a beaucoup de force, de courage et d’intelligence.

Proposition de fermeture du ministère de l’Éducation DONALD TRUMP : Je veux fermer le ministère de l’Éducation, ramener l’éducation aux États où des États comme l’Iowa, où des États comme l’Idaho, vous savez, tous les États ne s’en sortiront pas très bien parce que les États qui ne s’en sortent pas bien ne s’en sortent pas bien. Maintenant, regardez Gavin Newsom, le gouverneur de Californie. Il est terrible. Il fait un travail terrible.

Il ne s’en sortira donc pas très bien en matière d’éducation. Mais sur les 50, je parierais que 35 s’en sortiraient très bien. Et 15 d’entre eux ou, vous savez, 20 d’entre eux seront aussi bons que la Norvège. Vous savez, la Norvège est considérée comme un pays formidable.

Vous pouvez les nommer. Je veux dire, ils sont tellement bons. Certains de ces pays sont si bons. Mais si vous allez dans certains de ces États vraiment bien gérés, vous savez, nous avons des États qui ne savent pas ce qu’est la dette. Nous avons des États qui ont des impôts bas, pas de dette. Tout le monde travaille. Vous savez, ils sont vraiment bien gérés.

ELON MUSK : Bien sûr.

Avantages des États et éducation DONALD TRUMP : Et peut-être qu’ils ont certains avantages en termes de localisation, en termes, vous savez, de terre ou de soleil, de soleil et d’eau et tout ça. Vous savez, il y a beaucoup d’avantages pour certaines personnes. Mais si vous ramenez l’éducation à 50, vous en aurez certains qui ne s’en sortiront pas bien, mais vous s’en sortirez. Mais ils seront en fait obligés de faire mieux parce que ce sera une situation assez mauvaise.

Si vous y réfléchissez. Vous aurez certains de ces États. Je parie que vous en auriez 30, 35. Ce sera bien mieux. Et vous savez quoi ? Cela coûtera moins de la moitié de ce que cela coûte à Washington. Et ces gens ne se soucient pas des étudiants dans ces États lointains. Et ce sera incroyable.

ELON MUSK : Oui. Je pense que vous soulevez un bon point. Si les États ont – si chaque individu, si chaque État doit rivaliser avec d’autres États, alors les gens iront naturellement dans des États où c’est mieux.

États mal gérés DONALD TRUMP : Eh bien, comme la Californie, vous savez, comme nous l’avons dit, c’est un État mal géré. Je pourrais passer en revue. J’ai tellement d’amis qui sont dans ces États, même s’ils sont démocrates. Je déteste mentionner certains États, mais l’Illinois est mal géré avec Pritzker. C’est un vrai perdant. Mais, vous savez, certains de ces États sont tout simplement mal gérés. Mais, vous savez, cela va presque les forcer à mieux fonctionner et ils ne feront pas de bons résultats au début. Mais vous n’allez pas faire pire que ce que vous faites actuellement.

Et je dirais, bien sûr, que vous réduiriez vos coûts de 50 ou 60 pour cent et que vous auriez un petit moniteur. Vous savez, vous voulez vous assurer qu’ils enseignent l’anglais comme exemple. Vous savez, donnez-leur un peu d’anglais. D’accord.

ELON MUSK : Bien sûr. C’est vrai. Non, mais je veux dire, je veux dire, certains de ces gouverneurs s’en sortent si mal. Je veux dire, ils ont tellement de gens qui quittent leur État. Ils devraient vous accorder un prix de gros pour l’année parce qu’ils conduisent beaucoup. Vous le ferez. C’est vraiment incroyable. Les gens déménagent.

La survie des États et la migration des entreprises DONALD TRUMP : N’est-ce pas étonnant pour vous en tant qu’homme d’affaires qu’ils puissent survivre comme l’Illinois ? Tant de gens partent et vous vous demandez comment ils survivent ? Je veux dire, comment survivent-ils ? J’ai vu où vous avez quitté la Californie et où vous avez déménagé au Texas.

Le Texas fait un excellent travail. Mais, vous savez, je veux dire, je me demande juste comment ces États survivent lorsque de grandes entreprises, une grande compagnie pétrolière vient de quitter la Californie, comme vous le savez, et s’est installée au Texas. Comment ces grands États survivent-ils lorsqu’ils perdent autant d’entreprises et que leurs impôts sont déjà très élevés ? Vous savez, les impôts sont parmi les plus élevés.

On se demande presque comment ils continuent ? Et dans de nombreux cas, les gouverneurs ne font pas du bon travail dans les endroits où la criminalité est élevée. On se demande comment ils continuent à vivre comme ça. Ce n’est pas une bonne situation.

ELON MUSK : Je veux dire, je pense que la seule chose qui va forcer certains de ces États à changer, c’est s’ils risquent la faillite et qu’ils ne sont pas renfloués par le gouvernement fédéral.

DONALD TRUMP : C’est vrai.

ELON MUSK : Eh bien, c’est la seule chose qui va les faire changer.

L’exemple de la Californie DONALD TRUMP : Vous vous souvenez de la région de Californie où ils avaient ça, où je suppose que quelqu’un avait les doigts collants et beaucoup d’argent. Et ils sont entrés dans une sorte de chapitre de faillite et c’était très désagréable pendant un certain temps. Mais maintenant, c’est probablement l’endroit le plus populaire de toute la Californie. Donc, vous savez, à un moment donné, quelque chose comme ça peut devoir se produire.

Mais le problème est que vous ne pouvez pas pénaliser les gens qui prêtent de l’argent à l’État alors que vous avez des gens incompétents comme un Pritzker. Écoutez, la famille ne voulait pas de lui dans l’entreprise familiale. Et puis il finit par être gouverneur de l’Illinois. Alors, vous savez, que va-t-il devenir ? Va-t-il être un grand gouverneur ? Et, vous savez, vous avez des gens dont je pourrais nommer chacun d’entre eux. J’ai appris à les connaître tous. Et certains sont très bons et d’autres sont tout simplement horribles.

À LIRE AUSSI : Transcription intégrale : Trump tient une conférence de presse à Mar-a-Lago Inflation et dépenses gouvernementales ELON MUSK : Eh bien, je pense que je veux dire, le point le plus important ici, comme vous le dites, vous savez, beaucoup de gens sont préoccupés par l’économie. Beaucoup de gens sont préoccupés par l’inflation. L’inflation est en fait une taxe sur les gens qui économisent de l’argent. Et pour les gens qui travaillent au jour le jour, c’est juste une forme d’imposition.

Et si nous pouvons résoudre le problème des dépenses publiques, nous résoudrons le problème de l’inflation, ce qui signifie que les gens auront un meilleur niveau de vie. C’est vraiment un gros problème.

DONALD TRUMP : Les personnes les plus touchées sont celles qui ont fait les choses comme on leur a appris à le faire tout au long de leur jeunesse et de toute leur vie. Les gens qui ont économisé de l’argent et qui n’ont ensuite pas touché d’intérêts sur leur argent et l’inflation les a détruits.

Et franchement, ils se porteraient presque mieux s’ils n’avaient rien fait de ce genre. Je veux dire, ces gens ont été complètement décimés. Et nous allons les ramener et les aider. Nous devons faire baisser les prix.

L’impact de l’inflation DONALD TRUMP : Vous savez, quand je vois le bacon coûter cinq, quatre ou cinq fois plus cher qu’il y a quelques années, quand vous regardez certains produits alimentaires et les produits d’épicerie, ces gens n’arrivent pas à y croire. Avant, ils pouvaient acheter un chariot entier, mais aujourd’hui, beaucoup de gens n’ont plus d’argent. Ils entrent et ne peuvent rien acheter. Ils voient, c’est le choc du prix du billet, ils appellent ça le choc du prix du billet, n’est-ce pas ?

ELON MUSK : Je pense que ça vient vraiment, comme je l’ai dit, de deux choses : si vous résolvez le problème des dépenses excessives du gouvernement, vous résolvez l’inflation, ce qui améliore le niveau de vie de la personne moyenne. Et puis si vous déréglementez, si vous avez des réglementations raisonnables, parce que beaucoup de réglementations sont absurdes et font grimper les coûts à des niveaux extrêmes sans raison, mais à moins d’avoir une déréglementation efficace, comme Reagan a fait un excellent travail sur la déréglementation dans les années 80, cela fait 40 ans que nous n’avons plus eu personne. Je veux dire, pendant votre administration, nous avons fait quelques progrès, mais je pense que ce changement est une opportunité de faire, je pense, des progrès radicaux avec une réglementation raisonnable et si vous…

DONALD TRUMP : Eh bien, Elon, nous…

ELON MUSK : Ces deux choses. Oui. Ce sont les grandes affaires.

Les efforts de déréglementation de Trump DONALD TRUMP : Nous avons établi un record. Nous avons établi un record. Nous avons fait plus de déréglementation et plus de restrictions sur toutes les différentes entreprises que n'importe quel autre président.

Je me souviens que j'avais une règle pour chaque chose que nous avons mise en place, il faut se débarrasser de 10 ou 12 et nous avons fait des coupes radicales sur tout cela. Et beaucoup de ces choses sont en train d'être reportées par cette administration. Et nous avons fait des coupes radicales sur des choses qui n'étaient pas nécessaires, mais nous étions tous prêts. Nous avions la meilleure économie de tous les temps, peut-être du monde, et puis ce qui s'est passé, c'est que le COVID est arrivé et nous avons dû nous concentrer sur cela et personne ne savait ce que c'était.

Et je dis toujours que j'ai de bonnes notes en économie, de bonnes notes sur le plan militaire. Nous avons éliminé ISIS. Nous avons fait tellement de choses différentes. Nous avons reconstruit.

Donald Trump : Je n’ai jamais reçu le crédit que nous méritions vraiment pour ce que nous avons fait avec le COVID. Nous n’avons jamais reçu le crédit, mais nous étions… Si cela n’était pas arrivé, le cadeau de la Chine, de Wuhan, est venu de Wuhan, des laboratoires de Wuhan, et je l’ai toujours dit et cela s’est avéré juste. Mais si cela n’était pas arrivé, nous étions prêts à commencer à réduire la dette.

Nous allons réduire davantage les impôts. J’ai accordé les plus importantes réductions d’impôts et nous allions réduire encore davantage les impôts pour les personnes à revenu moyen, pas seulement pour les entreprises, mais nous l’avons fait pour les entreprises parce que ce sont elles qui… C’est pourquoi nous avions d’excellents chiffres d’emploi. Mais nous étions prêts à vraiment commencer à réduire la dette.

Et nous étions assis sur le plus gros tas d’or liquide au monde, plus grand que l’Arabie saoudite, plus grand que la Russie. Et nous allions forer et nous allions gagner beaucoup d’argent. Nous allions approvisionner l’Europe en pétrole. J’avais arrêté le pipeline russe et nous allions leur fournir du pétrole et du gaz.

FrançaisPlans économiques perturbés DONALD TRUMP : Nous allions faire fortune. Et puis la COVID est arrivée et nous avons vraiment dû nous réorienter. Ce qui s'est passé, c'est que lorsqu'ils sont arrivés, nous avons maintenu en vie de nombreuses entreprises. Si je n'avais pas fait ce que nous avons fait, nous aurions eu une dépression du type de celle de 1929.

Mais le problème est que lorsque Biden est arrivé au pouvoir, il a obtenu des milliers de milliards de dollars et a commencé à les dépenser bêtement. Vous n'en aviez plus besoin. Nous avons surmonté cette mauvaise période où tout le monde mourait et, vous savez, ce n'était tout simplement pas une bonne période. Il est intéressant de noter que, vous savez, pendant son administration, beaucoup plus de personnes sont mortes pendant son administration de la COVID que pendant la mienne.

Et nous en avons vraiment subi le plus gros du poids. Mais les gens ne se rendent pas compte que plus de personnes sont mortes pendant son administration que pendant la nôtre. Mais cela nous a détournés de ce que je voulais faire. Nous avons connu le meilleur pendant, vous savez, près de trois ans.

Réussite économique avant la COVID DONALD TRUMP : Et vous le savez probablement mieux que quiconque. Beaucoup de vos amis m’ont dit que les meilleures années que nous ayons jamais eues dans le monde des affaires ont été celles de Trump. Ils ont également dit que les Afro-Américains et les Hispano-Américains étaient tellement incroyables. Ils avaient les meilleures femmes et hommes d’origine asiatique, des jeunes sans diplôme, des jeunes diplômés des meilleures universités, du MIT, de la Wharton School, de toutes les grandes universités, Harvard.

Ils s’en sortaient mieux. Et les personnes sans diplôme s’en sortaient mieux. Et tout le monde était content. Et puis la COVID est arrivée et nous avons eu – le problème est qu’ils ont dépensé des milliards et des milliards de dollars. Ils ont gaspillé. Ils n’auraient pas dû prendre d’argent. Et nous n’aurions pas eu l’inflation en ce moment, qui tue notre pays.

ELON MUSK : Ouais. Ouais. Ouais.

Les opinions d’Elon Musk sur le changement climatique et l’énergie ELON MUSK : Je voudrais dire quelque chose sur mon point de vue sur le changement climatique et le pétrole et le gaz, car je pense que c’est probablement différent de ce que la plupart des gens supposeraient, car mes opinions sont en fait assez modérées à cet égard, c’est-à-dire que je ne pense pas que nous devrions vilipender l’industrie pétrolière et gazière et les personnes qui ont travaillé très dur dans ces industries pour fournir l’énergie nécessaire pour soutenir l’économie. Et si nous devions arrêter d’utiliser le pétrole et le gaz maintenant, nous mourrions tous de faim et l’économie s’effondrerait.

Donc, vous savez, je ne pense pas qu’il soit juste de vilipender l’industrie pétrolière et gazière. Et le monde a une certaine demande en pétrole et en gaz, et il est probablement préférable que les États-Unis fournissent cela plutôt que d’autres pays. Et cela contribuerait à la prospérité des États-Unis. Et en même temps, évidemment, mon point de vue est que nous voulons au fil du temps évoluer vers une économie énergétique durable, car à terme, on finit par manquer de pétrole et de gaz.

Inquiétudes liées au changement climatique ELON MUSK : Ce n’est pas le cas. Ce n’est pas infini. Et il y a un risque. Je pense que ce n’est pas aussi élevé que beaucoup de gens le disent en ce qui concerne le réchauffement climatique.

Mais je pense que si vous continuez à augmenter suffisamment longtemps le coût d’un million dans l’atmosphère, il finira par devenir tout simplement inconfortable de respirer, les gens ne s’en rendent pas compte. Si vous dépassez 1 000 parties par million de CO2, vous commencez à avoir des maux de tête et des nausées. Nous sommes donc maintenant dans la fourchette des 400, nous ajoutons, je pense, environ deux parties par million par an. Donc, je veux dire, cela nous donne toujours ce que cela signifie, comme si nous avions encore beaucoup de temps.

Mais ce n’est pas comme si nous n’avions pas besoin de nous précipiter et de vouloir empêcher les agriculteurs de cultiver ou empêcher les gens de manger des steaks ou des choses basiques comme ça. Par exemple, il faut laisser les agriculteurs tranquilles.

DONALD TRUMP : C’est fou, non ? Je veux dire que vous avez des agriculteurs qui ne sont plus autorisés à cultiver et qui doivent se débarrasser de leur bétail et du monde entier.

Combustibles fossiles et voitures électriques DONALD TRUMP : Mais nous avons largement pris exemple sur eux. Je dis cependant, comme je l’ai entendu dire, en ce qui concerne les combustibles fossiles, que même pour créer votre voiture électrique et créer l’électricité nécessaire à la voiture électrique, vous savez, les combustibles fossiles sont ce qui crée réellement cela dans les centrales électriques. Et vous savez, vous ne pouvez pas y échapper en ce moment. Je veux dire, un jour, vous pourrez peut-être le faire.

Mais j’ai entendu dire qu’il nous reste entre 100 et 500 ans. Vous savez, une grande partie de ces ressources n’ont même pas encore été découvertes.

ELON MUSK : Ouais.

ANWR et les réserves de pétrole DONALD TRUMP : Mais il y a des réserves énormes comme l’ANWR. J’ai fait approuver l’ANWR en Alaska. Ronald Reagan n’a pas pu le faire. Personne n’a pu le faire. Tout le monde a essayé. Personne n’a pu le faire. Je l’ai fait approuver. La première chose que Biden a faite a été de ne pas l’améliorer pour s’en débarrasser. Il y a mis fin ; sa secrétaire est intervenue et elle y a mis fin.

Et quelle honte. C’est l’ANWR. C’est plus grand ou ils pensent que cela pourrait être plus grand que l’Arabie saoudite en Alaska, pourrait être plus grand que l’Arabie saoudite. Mais ils sont intervenus et l’ont supprimé.

Et je vais le faire très rapidement, car non seulement c’est important pour l’Alaska, je veux dire, vous parlez de développement économique pour les États-Unis. Je veux dire, c’est ce qu’ils disent être plus grand que l’Arabie saoudite ou de la même taille et de choses vraiment bonnes. Et, vous savez, ils y mettent fin. Je pense donc qu’il nous reste peut-être des centaines d’années. Personne ne le sait vraiment. Mais pendant ce temps, quelque chose de très bon se produira.

Le point de vue d’Elon Musk sur le changement climatique ELON MUSK : Eh bien, je veux dire, mon estimation serait, vous savez, un peu plus agressive que ça. Mais ce n’est pas le genre de trucs comme « nous allons tous mourir dans cinq ans » qui sont évidemment des conneries.

Mais je veux dire, mon point de vue est que si vous regardez simplement le dernier million qui augmente chaque année, vous savez, vous obtenez en quelque sorte deux ou trois millions de CO2 par an. Je veux dire, je pense que c’est en partie problématique si cela s’accélère, si vous commencez à passer de deux ou trois à, disons, cinq. Et puis il peut y avoir des situations où vous obtenez une augmentation radicale du CO2. Et je pense que nous ne voulons pas – nous ne voulons pas nous approcher trop près de mille PPM parce que c’est en fait inconfortable d’être d’accord, comme si le simple fait d’exister à mille PPM de CO2 est considéré comme un risque industriel.

Donc, vous savez, vous commencez à avoir des maux de tête et tout ça. Donc, même sans réchauffement climatique, ce n’est pas confortable. Il ne faut donc pas trop s’en approcher.

Transition vers une énergie durable ELON MUSK : Mais je pense que nous devons simplement passer à autre chose et, si je ne sais pas, dans 50 à 100 ans, nous serons en grande partie durables. Je pense que ce sera probablement OK. Ce n’est donc pas comme si la maison brûlait immédiatement, mais je pense que c’est quelque chose vers quoi nous devons nous diriger et, vous savez, tout compte fait, il vaut probablement mieux y aller plus vite que plus lentement.

Mais comme je l’ai dit, sans vilipender l’industrie pétrolière et gazière et sans causer de difficultés à court terme, je pense que cela peut être fait sans que les gens puissent toujours avoir un intérêt et conduire des voitures à essence et, vous savez, c’est OK.

C’est comme si ce n’était pas le cas – je ne pense pas que nous devrions vilipender les gens pour cela, mais je pense que nous devrions simplement nous orienter vers la durabilité. Et je pense en fait que l’énergie solaire représentera la majorité de notre production d’énergie à l’avenir et que la tendance va certainement dans ce sens. Et donc vous avez l’énergie solaire, attention à cela avec les batteries. Donc, parce que le soleil ne brille pas la nuit et qu’ils l’utilisent pour recharger les voitures électriques, vous avez une solution durable à long terme.

L’approche de Tesla en matière d’environnementalisme ELON MUSK : Et vous savez, c’est vers cela que Tesla essaie de faire évoluer les choses. Et je pense que nous avons fait beaucoup de progrès et de progrès à cet égard. Mais quand vous regardez nos voitures, nous ne croyons pas que l’environnementalisme, que se soucier de l’environnement devrait signifier que vous devez souffrir. Nous veillons donc à ce que nos voitures soient belles, qu’elles se conduisent bien, qu’elles soient rapides, qu’elles soient, vous savez, sexy.

Je veux dire, ils sont cool. Je veux dire, la blague sexy sur les modèles S, 3, X et Y montre que le sexy est probablement la blague la plus chère qui existe. Mais, vous savez, je ne sais pas, j’aime l’humour ringard, vous savez, donc et mais je suis un grand fan du genre, ayons un avenir inspirant et travaillons pour, vous savez, un avenir meilleur et je le ferais sans diaboliser. C’est vrai.

Terminologie du changement climatique DONALD TRUMP : Je vais bien. Vous savez, c’est très intéressant. Vous utilisez le mot réchauffement climatique et aujourd’hui ils utilisent le mot changement climatique parce que, vous savez, vous avez des endroits qui augmentent et donc ils se sont mis un peu dans l’embarras avec le mot réchauffement climatique parce que tous les endroits ne se réchauffent pas. Certains endroits vont dans la direction opposée.

Mais, vous savez, j’attends en quelque sorte que vous mettiez des panneaux solaires sur les toits de vos voitures et sur les coffres des voitures. Et cela semble être quelque chose que vous allez inventer à un moment donné. Je suis sûr que vous serez le premier. Mais il semblerait qu’un panneau solaire sur le toit, vous savez, sur des surfaces planes, sur certaines surfaces, pourrait être une bonne chose, au moins dans certaines zones du pays ou du monde où vous avez du soleil.

Préoccupations liées au réchauffement nucléaire DONALD TRUMP : Mais je pense, et je n’en ai aucune idée, car ce n’est pas mon monde. Mais je pense que ce serait quelque chose qui serait intéressant. Mais, vous savez, la seule chose que je ne comprends pas, c’est que les gens parlent du réchauffement climatique ou du changement climatique, mais ils ne parlent jamais du réchauffement nucléaire. Et pour moi, c’est un problème immédiat car vous avez, comme je l’ai dit, cinq pays où vous avez des centrales nucléaires majeures et, vous savez, d’autres sont probablement en train de s’y mettre et c’est très dangereux.

C’est là qu’il faut un président américain fort, car vous ne voulez tout simplement pas avoir cette prolifération. Mais vous avez cinq pays et vous en arrivez à un point où, vous savez, la Chine est bien moins bien que nous en ce moment, mais ils vont nous rattraper plus tôt que les gens ne le pensent. Ils sont bien plus bas. La Russie et nous sommes numéro un et nous sommes en quelque sorte à égalité.

Et la Chine est loin derrière, mais elle se développe à un niveau qui, vous savez, vous n’êtes pas surpris d’entendre très vite. Ils finiront par rattraper leur retard, peut-être même par nous dépasser. Mais pour moi, le plus gros problème n’est pas le changement climatique. Ce n’est pas le cas et tout est un problème.

L’énergie nucléaire et la troisième guerre mondiale DONALD TRUMP : Mais pour moi, le gros problème est l’énergie nucléaire. La puissance du nucléaire est si grande. Et quand je dis que j’empêcherai la troisième guerre mondiale, je le ferai. Mais la vérité est que vous devez le faire, car il ne s’agit plus de chars d’assaut qui vont et viennent et se tirent dessus. Il s’agit d’un niveau de destruction et de puissance que personne n’a jamais vu auparavant.

ELON MUSK : Oui, en fait, il y a un mauvais côté au nucléaire, qui est la guerre nucléaire, un très mauvais côté. Mais il y a aussi, je pense, l’électricité nucléaire, absolument sous-estimée. Et en fait, vous savez, les gens ont cette peur du nucléaire, de la production d’électricité nucléaire, mais c’est en fait l’une des formes de production d’électricité les plus sûres.

C’est juste un énorme malentendu. Et si vous regardez les blessures et les décès, vous savez, causés par, disons, je veux dire, je ne vais pas m’en prendre à l’extraction du charbon, mais à n’importe quel type d’exploitation minière. Et il y a un certain nombre de blessures et de décès par an, et vous comparez cela au nucléaire. Le nucléaire est en fait bien meilleur.

Réglementation et perception de l’énergie nucléaire ELON MUSK : C’est donc une source d’électricité sous-estimée. Et je pense que c’est quelque chose qui mérite d’être reconsidéré. Mais il y a tellement de réglementation que les gens ne peuvent pas la faire. Donc, vous savez, —

DONALD TRUMP : Peut-être qu’ils devront changer le nom – le nom est le nom approximatif. Il y a des domaines comme ça, comme quand vous voyez ce qui s’est passé au Japon, la marque que nous devons lui donner un bon nom, nous allons le nommer d’après vous ou quelque chose comme ça, vous savez. Non, il y a un problème de marque.

Vous savez, quand vous voyez ce qui s’est passé, vous avez un problème de marque. Quand vous voyez ce qui s’est passé au Japon, où ils disent que vous ne pourrez pas aller sur le territoire pendant environ 3000 ans, avez-vous déjà vu cela ? Et en Russie, où ils ont eu le problème avec un, vous savez, il s’est passé beaucoup de mauvaises choses et ils ont un problème. Et ils disent que dans 2000 ans, les gens recommenceront à occuper le territoire.

Fukushima et la sécurité nucléaire DONALD TRUMP : Vous savez, vous réalisez que c’est assez grave,

ELON MUSK : Mais en fait, ce n’est pas si grave que ça. Donc, après l’accident de Fukushima au Japon, les gens en Californie me demandaient si nous étions inquiets d’un nuage nucléaire venant du Japon. Je leur ai répondu que non, c’était fou. En fait, ce n’est même pas dangereux à Fukushima. J’ai pris l’avion pour y aller et j’ai mangé des légumes cultivés localement à la télévision pour le prouver. Et j’ai fait don d’un système de traitement de l’eau à énergie solaire pour une usine de traitement des eaux.

DONALD TRUMP : Et oui, mais tu ne te sens pas très bien ces derniers temps, et ça m’inquiète.

ELON MUSK : Non, non, mais —

DONALD TRUMP : Je plaisante, tu sais, —

ELON MUSK : C’est comme si Hiroshima et Nagasaki avaient été bombardées, mais maintenant elles sont à nouveau des villes pleines. Ce n’est donc pas vraiment quelque chose qui, tu sais, n’est pas aussi effrayant que les gens le pensent, en gros. Mais voyons voir.

Je veux dire, je veux dire, il y a d’autres sujets que nous devrions aborder, vous savez, comme la guerre juridique. Je pense, vous savez, que nous devons nous inquiéter de…

DONALD TRUMP : Ce qu’ils ont fait à ce pays. Évidemment.

Guerre juridique et poursuites politiques DONALD TRUMP : Eh bien, nous venons de gagner le gros procès en Floride. C’était un… L’administration Biden a fait quelque chose qui n’a jamais été fait dans ce pays. Et c’est de s’en prendre à leur adversaire politique, moi, avec ces bêtises et juste des bêtises. Et la grande affaire en Floride, nous l’avons gagnée.

Mais ils ont toujours… ils ont toujours choisi un juge et un jury et ils utilisent les procureurs locaux. Ils utilisent les procureurs généraux locaux comme Fani, vous savez, Fani, qui s’écrit F-A-N-I, Fani. Et tout cela n’est qu’un gros canular. Et tout est parti de là.

Comme à Manhattan, l’un des hauts responsables du ministère de la Justice est allé diriger Manhattan, a dirigé l’État. L’affaire Letitia James a été menée par une personne du ministère de la Justice, Biden. Ils n’ont jamais fait ça auparavant. Et ils ont créé un très mauvais précédent. On appelle ça la guerre juridique, la guerre. C’est une chose terrible et ça n’est jamais arrivé dans notre pays. Cela arrive dans les républiques bananières et les pays du tiers monde, mais ça n’est jamais arrivé.

Et ce qui est incroyable, c’est que ça a fait grimper mes chiffres parce que les gens voient, vous savez, heureusement, j’ai une plateforme comme la vôtre ou, vous savez, en toute honnêteté, comme une conversation comme celle-ci où je peux en parler et les gens comprennent.

Intégrité des élections et inculpations DONALD TRUMP : Je veux dire, vous vous battez pour l’intégrité des élections et vous finissez par être inculpé parce que vous vous battez pour l’intégrité des élections. Et quand vient le jour où vous ne pouvez plus vous battre pour l’intégrité des élections, vous n’avez plus de pays. Alors que se passe-t-il ? Ce qui se passe, c’est qu’ils s’en sont pris à leur adversaire politique, moi.

Maintenant, Biden est, vous savez, proche du stade de légume, à mon avis. OK, je l’ai regardé aujourd’hui sur la plage et je me suis dit, pourquoi quelqu’un l’autoriserait-il ? Ce type pouvait à peine marcher. Pourquoi quelqu’un l’autoriserait-il ? A-t-il un conseiller politique qui pense que c’est bien ? Vous savez, il pense que c’est bien parce que c’est tellement moche et ridicule. Je veux dire, et il fait ça depuis longtemps. Vous savez, il ne peut pas soulever la chaise.

La chaise pèse environ 85 grammes. Elle est destinée aux enfants et aux personnes âgées. Et il ne peut pas la soulever. C’est complètement fou.

ELON MUSK : C’est clairement comme si nous n’avions tout simplement pas de président.

DONALD TRUMP : Vous n’avez pas de président. Et elle sera pire que lui parce qu’elle est une libérale de San Francisco qui a détruit San Francisco. Et puis en tant que procureure générale, elle a détruit la Californie.

Contexte politique de Kamala Harris DONALD TRUMP : Vous parlez de localisation et nous parlons du soleil et de l’eau et de tout. Il n’y a rien de mieux que la Californie. Elle a détruit cela. Elle était la procureure générale originale. Elle était la première – à San Francisco. Elle était la première procureure générale de Californie. Ce qu’elle a fait à la Californie, eh bien, vous le savez mieux que moi. Vous avez juste quitté la Californie pour beaucoup de ces raisons.

Et ce qu’elle a fait avec la criminalité, avec la caution sans espèces, où vous tuez quelqu’un. Je veux dire, nous avons des États qui disent que vous tuez quelqu’un et ils vous libèrent immédiatement. Je veux dire, vous n’avez même pas besoin de supporter. Et puis ils ne retrouvent jamais les gens à moins qu’ils ne tuent à nouveau et qu’ils les relâchent à nouveau.

Notre pays devient un endroit très dangereux. Et elle est une libérale radicale de gauche de San Francisco. Et maintenant, elle essaie de protéger. Maintenant, elle a l’air de vouloir être plus Trump que Trump, si c’est possible.

Les changements de politique de Kamala Harris DONALD TRUMP : Je ne pense pas que ce soit possible, mais elle veut être plus Trump que Trump. Je veux un mur. Vous savez, vous voulez libérer tous les prisonniers qui sont en détention. Et certains de ces types sont vraiment mauvais.

Cela vient d’être révélé aujourd’hui. Elle veut – elle ne veut pas construire le mur, même si les murs fonctionnent… des murs et des roues. Vous savez, dans votre entreprise, tout ce que vous faites est obsolète, pas les tunnels, mais tout est obsolète. Même vos fusées sont obsolètes un mois plus tard. Vous trouvez un meilleur moyen. La seule chose qui n’est pas obsolète, c’est un mur et une roue.

Et le mur – vous savez, j’ai construit des centaines de kilomètres de mur, et c’est pourquoi nous avons eu de si bons chiffres. J’allais ajouter 200 kilomètres. Nous l’avons acheté. Nous aurions pu le retourner, le retourner en trois semaines, et ils l’auraient vendu pour cinq cents le dollar. Cela signifiait que je me disais, wow, cela signifie qu’ils veulent vraiment avoir des frontières ouvertes. Elle veut avoir des frontières ouvertes. Et maintenant, elle fait comme si elle était dure à la frontière. C’est un tel mensonge.

ELON MUSK : Ouais, ce n’est tout simplement pas vrai.

DONALD TRUMP : C’est quelque chose que tout le monde sait. C’est une honte que vous puissiez le dire.

ELON MUSK : Non, je veux dire, évidemment, ce qui se passe en quelque sorte du jour au lendemain, c’est qu’ils réécrivent l’histoire et font passer Kamala pour une modérée alors qu’en fait elle est d’extrême gauche, d’extrême, d’extrême gauche —

DONALD TRUMP : Pire que Bernie Sanders.

La position politique de Kamala Harris DONALD TRUMP : Elle est considérée comme bien plus libérale que Bernie Sanders. C’est une folle de gauche radicale. Et si elle devient notre présidente, très rapidement, nous n’aurons plus de pays. Et elle reviendra à toutes les choses auxquelles elle croit.

Elle croit au définancement de la police. Elle croit à l’absence de fracturation hydraulique, zéro. Maintenant, tout d’un coup, elle dit : « Non, je le ferai. Je veux vraiment voir des fracturations – si elles arrivent au pouvoir le jour où elle est arrivée au pouvoir, elle mettra fin à la fracturation hydraulique. »

Et au fait, si les gens ne pensaient pas que les fous en qui ils croient vraiment ne voteront pas, vous savez, comme les Palestiniens et Israël. Elle est tellement anti-israélienne et elle est mauvaise pour les deux. Biden a en fait fait quelque chose d’impossible. Les deux camps le détestent. Vous savez, les deux camps. C’était une chose difficile à faire.

ELON MUSK : Ouais, non, non. Je veux dire, je veux dire, vous savez, Netanyahou est venu donner une conférence lors d’une séance conjointe du Sénat et de la Chambre et j’étais là et Kamala lui a posé un lapin. Tu sais, ça veut dire quoi ?

DONALD TRUMP : Je pense que c’est très irrespectueux. Et je dis, si vous êtes juif ou si vous croyez en Israël, si vous êtes une personne qui, vous savez, est très pro-israélienne, si vous votez pour elle, c’est pire que Biden.

Et Biden était mauvais. Mais si vous votez pour elle, vous devriez vous faire examiner la tête. Et vous voyez ce soir, je veux dire, pendant que nous faisons cela, je vois arriver des rapports selon lesquels ils s’attendent à une attaque ce soir ou demain par des centaines et peut-être des milliers de roquettes. Vous savez, leur Dôme de Fer, comme ils l’appellent, comme nous l’appelons tous, mais leur bouclier qu’ils ont construit, qui peut être submergé.

Inquiétudes concernant la sécurité d’Israël DONALD TRUMP : Nous allons utiliser un terme qui est approprié. Swamp. Mais ils l’envahissent en tirant suffisamment de missiles. Vous le savez mieux que quiconque.

En tirant suffisamment de missiles, ils ne peuvent pas se défendre. Vous savez, ils anéantissent tout l’endroit. Et c’est ce que certains pensent qu’ils cherchent à faire. Et nous n’avons aucun leadership. Ces gens n’ont aucun respect pour les États-Unis d’Amérique. Et je vous le dis, vous serez pire que lui parce qu’il croit en la gauche radicale. Et il ne l’était pas.

ELON MUSK : Je pense que vous avez raison. Je veux dire, il est vraiment important pour le public qui peut écouter ceci de dire de regarder le bilan de Kamala, vous savez, avant le dernier mois et de se dire, est-ce un bilan avec lequel vous êtes d’accord ? Et je pense que si vous êtes un modéré indépendant, vous ne serez certainement pas d’accord avec cela parce que son comportement a été d’extrême gauche. Et nous assistons simplement à une tentative de propagande du jour au lendemain pour réécrire l’histoire et faire croire que Kamala est modérée alors qu’en fait, elle ne l’est pas.

Politiques controversées DONALD TRUMP : Eh bien, son colistier a approuvé, signé une loi, pour les tampons dans les toilettes des garçons. OK, maintenant c’est tout ce que j’ai à entendre. Des tampons dans les toilettes des garçons. Et cela signifie qu’elle y croit aussi. Je veux dire, elle a choisi ce gars parce qu’il était le plus proche d’elle.

Beaucoup de gens pensaient qu’elle choisirait le contraire, mais elle a choisi une personne radicale de gauche anti-israélienne. Mais elle est bien pire, disent-ils, que Bernie Sanders. Si nous l’avons comme présidente, si nous avons un démocrate à la présidence en ce moment, je ne pense pas que notre pays puisse survivre.

ELON MUSK : Je pense que c’est un énorme problème, je pense que nous sommes dans une situation très difficile, franchement, avec une administration Kamala. Et c’est mon opinion honnête. Et je pense qu’il est vraiment essentiel que vous gagniez pour le bien du pays cette élection. Et je veux dire, c’est un euphémisme.

La Commission européenne et la censure ELON MUSK : Vous savez, vous avez peut-être vu cela, mais j’ai reçu une lettre de la Commission européenne. La Commission européenne dit qu’il ne faut pas désinformer pendant cette discussion, mais il y a beaucoup de tentatives de censure et d’imposition de la censure, même sur les Américains d’autres pays. Et vous savez, qu’en pensez-vous ?

DONALD TRUMP : Je connais très bien l’Union européenne. Elle profite grandement des États-Unis dans le commerce, comme vous le savez. Nous, par le biais d’une autre forme, l’OTAN, nous les protégeons. Et pourtant, si vous construisez une voiture aux États-Unis, vous ne pouvez pas la vendre en Europe. Vous ne pouvez tout simplement pas la vendre. C’est impossible.

C’est la même chose avec nos agriculteurs. Nos agriculteurs ont beaucoup de mal à faire des affaires. Vous savez, nous avons un déficit de 250 milliards de dollars avec eux, ce que les gens ne savent pas. Cela semble si bien, l’Union européenne.

Déséquilibres commerciaux avec l’UE DONALD TRUMP : Mais laissez-moi vous dire qu’ils ne sont pas aussi durs que la Chine, mais ils sont mauvais. Et je le leur ai fait savoir. Et c’est probablement pour cela qu’ils vous ont prévenu. Non, ils ne traitent pas bien notre pays.

Nous les défendons, vous savez, avec l’Ukraine. Nous sommes donc en jeu pour 250 milliards de dollars, et eux pour environ 71 milliards de dollars. Et ils ont la même taille. Si vous additionnez les nations européennes qui, vous savez, en termes d’économie, c’est à peu près la même taille que nous, n’est-ce pas ?

Et ils courent un risque beaucoup plus grand. Ils sont juste là. Nous avons un océan qui nous sépare de, dans ce cas, l’ennemi serait la Russie. C’était le cas pour l’Union soviétique, mais supposons qu’ils soient assez proches.

Disparités de financement de l’OTAN DONALD TRUMP : Et ce qui se passe, c’est qu’ils sont en jeu pour 70 millions de dollars, je pense, je pense même moins que ça, milliards. Et nous, nous sommes en jeu pour environ 250 milliards de dollars, et cela pourrait être beaucoup plus élevé que ça. Et je dis, pourquoi n’allez-vous pas égaliser ? Pourquoi ne paient-ils pas ce que nous payons ?

Et ils sont beaucoup plus impliqués, vous savez, ils sont, c’est beaucoup plus important pour eux parce que, vous savez, ils sont tout près de là. Je veux dire, ils sont tous en quelque sorte à cet endroit. Nous ne le sommes pas. Mais ils devraient, ils devraient, et je l’ai fait avec l’OTAN.

Nous étions, il n’y avait que sept pays qui payaient pour l’OTAN sur 28 à l’époque. Et les États-Unis, les États-Unis subventionnaient l’OTAN, subventionnaient énormément l’OTAN. Et j’ai dit, je suis allé là-bas et j’ai dit, vous devez payer. Si vous ne payez pas, nous ne vous défendrons plus.

J’ai subi beaucoup de critiques. Mais vous savez ce qui s’est passé ? Des milliards et des milliards de dollars ont afflué. Et —

ELON MUSK : Oui, je pense qu’une grande partie du public n’est pas consciente du fait que les États-Unis paient une part disproportionnée des dépenses de l’OTAN.

DONALD TRUMP : Et nous pouvons alors tirer profit du commerce. Alors réfléchissez bien, —

ELON MUSK : Je veux dire, le but de l’OTAN est de défendre l’Europe. Et c’est, vous savez, c’est comme, d’accord, eh bien, pourquoi, pourquoi les États-Unis paient-ils disproportionnellement plus pour défendre l’Europe que l’Europe ? Cela n’a pas de sens. C’est injuste. Et c’est une question appropriée à aborder.

Situation en Ukraine et destitution DONALD TRUMP : Eh bien, vous savez, quand vous parlez de réduction des coûts et d’économies et de tout le reste, je veux dire, honnêtement, écoutez, personne ne se sent plus mal que moi à propos de la situation en Ukraine, parce que je sais que cela ne serait jamais arrivé. Je connais Zelensky. Il a été très honorable envers moi, parce que lorsqu’ils ont lancé le canular russe, et ils ont dit, j’ai eu un appel téléphonique avec lui. Il a dit que c’était un appel téléphonique parfait. C’était un appel téléphonique formidable. Il aurait pu faire la fête et, vous savez, dire, Oh, il, il était très menaçant.

Il a dit, Non, c’était un appel téléphonique très agréable. Je l’ai appelé pour le féliciter de sa victoire. Et vous finissez par être destitué, parce que ces gens sont des fous. Vous savez, je parlais de la différence entre les gens de l’intérieur et les ennemis de l’extérieur.

Dans de nombreux cas, les gens de l’intérieur sont plus dangereux pour notre pays que ceux de la Russie et de la Chine. Si vous avez un président intelligent, vous n’aurez pas de problème avec eux. Vous allez faire des choses.

ELON MUSK : Oui.

DONALD TRUMP : Maintenant, ils ont incroyablement profité de nous, mais vous allez faire des choses avec la bonne personne.

Liberté d’expression et attaques médiatiques ELON MUSK : Oui, eh bien, je pense qu’il est évident que vous croyez et défendez la liberté d’expression, car pendant votre premier mandat de président, vous avez été attaqué sans relâche chaque jour, souvent de manière très injuste, vous savez, avec de fausses attaques. Et vous n’avez pas essayé de faire taire les médias. Vous n’avez pas essayé d’entraver leur liberté d’expression. Et je pense que cela en dit long.

DONALD TRUMP : Eh bien, la bonne nouvelle, c’est que vous et moi avons réussi, et certaines personnes, très peu nombreuses, à faire passer le message. Même si parfois c’est difficile parce qu’ils ne veulent pas le publier, vous savez, comme si nous avions une excellente conversation en ce moment. Kamala n’aurait pas eu cette conversation. Elle ne peut pas parce qu’elle ne l’est pas. Vous savez, elle n’est pas une personne intelligente, d’ailleurs. Elle ne peut pas avoir cette conversation. Et Biden, nous n’avons même pas besoin d’en parler.

Je veux dire, il n’aurait pas pu avoir cette conversation. Il aurait abandonné la première moitié d’une question. Il serait parti. Il aurait dit, où suis-je ? Où vais-je ? Bref, mais oui, non, il n’aurait pas eu ça.

ELON MUSK : C’est vrai.

DONALD TRUMP : Peu de gens auraient eu cette conversation.

L’importance d’un dialogue ouvert DONALD TRUMP : Mais vous savez, nous couvrons un vaste territoire. Mais la beauté, c’est que nous pouvons avoir une conversation. Et oui, je suis capable de le faire sans parce que —

ELON MUSK : J’ai vraiment compris un point important. Vous pouvez réellement avoir une conversation avec vous. C’est bien, n’est-ce pas ? Et vous pouvez avoir une conversation avec Biden ou Kamala. C’est comme si ce n’était pas possible. Oui, c’est comme parler à un PNJ. Maintenant, c’est tout simplement impossible.

DONALD TRUMP : Mais pensez-y. Nous avons besoin d’un homme ou d’une personne qui soit incroyablement vif pour arrêter tout le danger nucléaire et tous les dangers dont je parle. Et je m’entends bien avec tout ça.

Donald Trump : Vous savez, je m’entendais bien avec Kim Jong-un. Nous avons dîné ensemble. Nous avons tout mangé. Et il m’aimait vraiment beaucoup. Et je m’entendais très bien avec lui. Au fait, c’est le patron absolu là-bas. Vous savez, beaucoup de gens ont dit : « Oh, vous pensez qu’il le fera ? » Laissez-moi vous dire que j’ai vu des choses que vous ne voulez pas savoir. C’est le patron. Mais nous avions une bonne relation. Et il n’aime pas Biden. Il le considère comme un homme stupide. Il a dit que c’était un homme stupide.

Eh bien, au moins, il dit ce qu’il pense. Mais, vous savez, dans ce pays, vous n’avez pas le droit de le dire. Mais je suppose que vous l’avez. Vous devriez avoir le droit de dire que c’est vrai. Mais nous avons vraiment besoin de gens intelligents. Et nous avons besoin de gens qui ont la capacité de diriger. Et elle n’a pas cette capacité.

Pouvez-vous imaginer ? Maintenant, vous connaissez très bien le président Xi. Pouvez-vous l’imaginer en train de négocier ou même de se tenir ensemble ? C'est tout le concept qui est ridicule.

À LIRE AUSSI : Transcription intégrale : « La bataille pour l'âme de la nation » - Discours de Joe Biden à Gettysburg Représentation médiatique de Kamala Harris DONALD TRUMP : Elle est terrible. Elle est terrible. Mais elle a un parcours gratuit. J'ai vu une photo d'elle dans le magazine Time aujourd'hui. Elle ressemble à la plus belle actrice ayant jamais vécu. C'était un dessin. Et en fait, elle ressemblait beaucoup à une grande première dame, Melania. Elle ne ressemblait pas - elle ne ressemblait pas à Camilla. C'est vrai. Mais bien sûr, c'est une belle femme. Alors nous en resterons là, n'est-ce pas ?

ELON MUSK : Ouais, eh bien, vous savez, peut-être que je pense qu'une partie de ce que les Américains veulent, vous savez, les Américains veulent se sentir excités et inspirés par l'avenir. Nous voulons avoir l'impression que l'avenir sera meilleur que le passé. Et que l’Amérique va faire des choses plus grandes que ce que nous avons fait dans le passé, atteindre de nouveaux sommets qui vous rendront fier d’être américain et enthousiaste pour l’avenir.

Le rêve américain DONALD TRUMP : Ils veulent que le rêve américain revienne. Vous savez, ils veulent que le rêve américain revienne plus important que tout le reste. C’est comme si vous n’aviez plus ça aujourd’hui parce que les gens – ils se sont juste fait avoir. Ils voient des gens incompétents diriger notre… l’affaire Biden est très intéressante. Les gens les ont juste trouvés incompétents. Et quand j’ai débattu avec lui, je me suis dit : est-ce que c’est vrai ?

ELON MUSK : C’était vrai. Oui, c’était tout simplement absurde. Mais, vous savez, je pense qu’il y a comme, vous savez, quelques grands projets que nous pourrions faire. Je veux dire, je pense, vous savez, que nous pourrions construire une base sur la Lune.

Nous pourrions envoyer des astronautes américains sur Mars. Nous pourrions construire des connexions à grande vitesse qui sont plus avancées que tout ce qui existe au monde entre nos villes. Ainsi, les gens ont des transports rapides. Vous savez, il est possible de résoudre le problème du trafic grâce aux tunnels.

Vous savez, nous avons déjà fait de grands progrès à Las Vegas en faisant cela. Et vous savez, il suffit de faire des choses passionnantes, inspirantes, qui donnent l’impression que l’avenir est meilleur que le passé.

Projet de tunnel de Las Vegas DONALD TRUMP : Eh bien, j’ai vu ce que vous avez fait à Vegas, et je peux vous dire que c’était incroyable. J’ai pu voir, j’ai eu un grand aperçu de tout cela. Et c’est incroyable ce que vous savez, c’est incroyable. Et vous pourriez faire ça partout. Vous pourriez faire ça partout. C’est profond.

ELON MUSK : Ouais.

DONALD TRUMP : Vous n’avez même pas besoin de beaucoup de structure, vous savez, en supposant que vous soyez dans la bonne zone.

ELON MUSK : Non, c’est simple. C’est incroyable.

Transport à grande vitesse ELON MUSK : Je pense donc que nous pourrions faire certaines choses comme la Chine qui a un train à grande vitesse incroyable entre ses villes. Mais je pense que c’est possible avec les tunnels. Il s’agissait d’une déréglementation avec la possibilité de réellement – ​​c’était comme légal de faire ce truc de tunnel. On pourrait avoir des tunnels à grande vitesse qui sont en fait meilleurs que tout ce qui existe dans le monde pour le transport à grande vitesse entre les villes.

Et ce serait quelque chose qui, vous savez, les Américains pourraient dire, wow, OK, nous avons quelque chose de plus cool que n’importe qui d’autre dans le monde. C’est ce genre de chose qui vous rend fier d’être —

DONALD TRUMP : beaucoup plus sûr que les trains de surface où il y a un danger, vous savez, avec des gens fous. C’est beaucoup plus sûr, beaucoup mieux.

Et, vous savez, c’est triste parce que j’ai vu certains des meilleurs trains. Je trouve ça fascinant. Et j’ai vu les systèmes et comment ils fonctionnent et les trains à grande vitesse, comme ils les appellent, je suppose. Et ils vont incroyablement vite, incroyablement confortablement et sans problème. Et nous n’avons rien de tel dans ce pays, loin de là. Et cela n’a pas de sens que nous n’ayons pas — cela n’a pas de sens.

Réforme réglementaire ELON MUSK : Oui, je pense aussi qu’il y a, vous savez, je suis juste en train de sauter sur l’excès de réglementation. Mais je pense que les gens peuvent généralement comprendre que les lois et les réglementations se multiplient chaque année. Et à moins qu’il n’y ait un processus pour les nettoyer, tout devient illégal.

Et cela ralentit en fait le développement de nouvelles technologies. Je veux dire, si vous prenez ce genre de choses, je pense qu’il y a de la place pour une réforme à la FDA afin d’améliorer la vitesse à laquelle nous approuvons les médicaments qui pourraient aider à sauver des vies et à améliorer la vie des gens.

DONALD TRUMP : Et j’ai travaillé très dur là-dessus. Vous savez, nous avons réduit ce nombre au plus bas jamais atteint. Et nous avons obtenu l’approbation de produits thérapeutiques par la FDA à une vitesse à laquelle les gens ne peuvent même pas croire. Mais je les ai affrontés. Je ne pense pas qu’ils m’aiment beaucoup, mais j’ai obtenu l’approbation de choses par la FDA à des chiffres qu’ils ne croiraient pas. Et, vous savez, c’est un groupe très bureaucratique.

En fait, c’est un bon groupe de personnes dans de nombreux cas. J’ai appris à connaître beaucoup d’entre eux, mais je les poussais vraiment à fond pour des produits régénérants pour tellement de choses différentes que c’était vraiment assez incroyable. Mais la FDA prend trop de temps. Il faut 12 ans pour obtenir l’approbation d’un produit. J’ai réduit ce délai à quatre ans. Et j’ai fait certaines choses très rapidement. Mais c’est vraiment quelque chose sur lequel il va falloir travailler parce que cela prend trop de temps. Cela prend tout simplement trop de temps.

ELON MUSK : Oui, cela prend tout simplement trop de temps. Et vous vous retrouvez dans la même situation avec l’approbation. Mais cela prend des années au lieu de quelque chose qui, je pense, pourrait potentiellement prendre des mois et améliorer la vie des gens. Je pense, vous savez, mais je voulais juste souligner ce point, comme s’il devait y avoir un processus actif pour réduire les règles et les réglementations, car sinon elles ne font que s’accumuler chaque année pour provoquer un durcissement des artères.

Et finalement, tout devient illégal ou prend une éternité. Et puis, nous nous ossifions en tant que société. Nous ne pouvons tout simplement pas faire de progrès. Et c’est vraiment un gros problème.

Législation sur le droit d’essayer DONALD TRUMP : Vous savez, pour revenir à la FDA, j’ai fait quelque chose qui s’appelle le droit d’essayer. C’est là que vous pouvez aller et si vous êtes en phase terminale, vous pouvez utiliser un médicament de l’ère spatiale ou quoi que ce soit d’autre. Nous avons les meilleurs médecins, les meilleurs laboratoires du monde. Nous en avons vraiment.

Et les gens allaient dans d’autres pays parce que vous ne pouviez pas utiliser ce produit, même s’ils pensaient qu’il fonctionnait parce qu’il passe par la FDA. Je l’ai fait approuver là où c’était possible. Écoutez, personne ne voulait que les médecins n’en voulaient pas à cause de la responsabilité. Le pays n’en voulait pas. Notre pays parce qu’il ne voulait pas être poursuivi en justice. Ce sont des personnes en phase terminale.

Les compagnies d’assurance n’en voulaient pas. Et les sociétés pharmaceutiques, personne n’en voulait. J’ai réuni tout le monde dans une pièce et nous avons conclu un accord selon lequel vous ne serez pas poursuivi en justice. Ils ne voulaient pas non plus que le casier judiciaire mentionne le décès d’une personne en phase terminale après avoir pris un médicament.

Nous avons donc établi une deuxième liste, une liste séparée, si quelqu’un était – pour que cela ne soit pas considéré comme négatif. OK. Et comme vous le savez, nous avons réussi. Nous avons économisé le droit d’essayer. Ils essaient de faire cela depuis 58 ans. Et cela semble simple, mais ce n’était pas le cas parce que, vous savez, je veux dire, vous savez, les compagnies d’assurance, personne ne le voulait, mais nous l’avons fait. Quelqu’un signe. Vous signez un document selon lequel vous n’allez pas poursuivre les compagnies d’assurance, le pays.

Vous n’allez poursuivre personne. Et nous l’avons fait. Et nous sauvons des dizaines de milliers de vies juste pour essayer. Avec un peu de chance, vous n’en aurez jamais besoin. Mais si vous en avez besoin, vous n’avez pas besoin de voyager en Asie. Vous savez, les gens, s’ils ont de l’argent, ils vont en Asie. Ils vont en Europe. S’ils n’ont pas d’argent, ils rentrent chez eux et meurent. C’est ce qui s’est passé. Ils rentraient chez eux et mouraient.

Processus d’approbation des médicaments ELON MUSK : Ouais. En fait, pour vous donner un peu d’inspiration, c’est comme si un médicament était approuvé en Europe, où il y a un nombre incroyable de réglementations, il devrait évidemment être approuvé aux États-Unis. Je veux dire, ils ont plus de réglementations que nous. Alors pourquoi un médicament serait-il approuvé en Europe et pas aux États-Unis ? C’est fou.

DONALD TRUMP : Eh bien, nous l’avons fait. Nous avons fait quelque chose qui – ils essayaient de le faire depuis 50 ans et ils n’y arrivaient tout simplement pas. Et j’y suis parvenu. Et c’est vraiment quelque chose. Mais vous avez raison. Certaines personnes vont en Europe parce qu’un médicament n’est pas approuvé ici, mais il est approuvé en Europe. Et c’est un médicament qui, en général, fonctionnerait. C’est assez fou.

ELON MUSK : Tout à fait vrai. Et je pense que tant que les gens sont correctement informés des avantages et des inconvénients et des risques, vous savez, c’est un risque. Et vous prenez votre propre décision. C’est logique.

Remarques finales DONALD TRUMP : Eh bien, je pense que, vous savez, en quelque sorte, pour conclure et au fait, je regarde les chiffres, vous avez beaucoup de gens qui vous écoutent. J'espère que vous ne devenez pas nerveux parce que vous avez beaucoup de gens qui vous écoutent en ce moment, comme 60 millions ou quelque chose comme ça. Quel est ce chiffre ? C'est fou.

C'est incroyable comme on peut le voir tout de suite. Combien ? Quel est le nombre ? Waouh. Quel est-il ?

ELON MUSK : Eh bien, je pense que c'est un gros —

DONALD TRUMP : C'est plus que ce que vous avez dit. Vous avez dit 25 et vous êtes plus que bien plus que le double de ce nombre. 25 millions. Je pense que vous allez être 60 ou 70. Et je suppose que sur une période de temps. Hé, c'est pour ça que je vous félicite. Est-ce que je suis payé pour ça ou pas ?

ELON MUSK : Eh bien, je pense qu’en fait, en termes de nombre de personnes qui entendront cette conversation au cours des prochains jours, des prochaines semaines, ce sera une centaine.

DONALD TRUMP : C’est ce qu’ils disent. Oui, c’est bien. Eh bien, écoutez, c’est un honneur. Mais je pose juste cette question. Êtes-vous mieux lotis maintenant ou étiez-vous mieux lotis lorsque j’étais président ? Personne ne se porte mieux maintenant. Nous avons publié des sondages à ce sujet et personne ne se porte mieux maintenant. L’inflation a tué tout cela. Et, vous savez, ils se sentent également très en danger. Vous regardez ce qui se passe dans beaucoup de choses différentes. Vous regardez les émeutes que nous avons eues dans les universités. Je veux dire, c’est ridicule, mais tout à fait normal.

Ils ne se sentent tout simplement pas en sécurité. Et maintenant, ils se sentent vraiment en danger parce qu’il y a une nouvelle forme de criminalité. On l’appelle la criminalité des migrants. Je l’appelle la criminalité des migrants de Biden. Peut-être que je l’appellerai la criminalité des migrants de Kamala.

Crime à New York ELON MUSK : Mais vous savez, je veux dire, avec toutes ces choses, j'essaie toujours d'aller au fond des choses en interrogeant simplement les gens. Et, vous savez, ma mère vit à New York. Et je lui ai dit, tu sais, maman, tu sais, est-ce que l'un de tes amis a été attaqué ou agressé ?

Et elle a dit, oui, trois de ses amis ont été agressés lors de trois incidents distincts. Juste au cours des derniers mois, alors qu'ils se promenaient dans les rues de New York. Et j'ai dit, eh bien, qu'est-il arrivé aux gens qui... ? Oh, rien. Ils s'en sont sortis.

DONALD TRUMP : Et ils s'en sont toujours sortis.

ELON MUSK : Rien. Et ils ne prennent même pas la peine de le signaler parce qu'il n'y a pas de... les gens vont être poursuivis. Ils laissent simplement sortir, vous savez, les criminels violents à New York.

DONALD TRUMP : Le seul qui est poursuivi, c'est Donald Trump. Ils ne comprennent pas – ils poursuivent Trump.

ELON MUSK : Oui. Je veux dire, c’est juste que c’est clairement dégueulasse. Des criminels violents s’en tirent à bon compte. Et pendant ce temps, New York dépense des ressources massives pour vous poursuivre. Et c’est comme, qu’est-ce que c’est ?

Vous savez, et je pense que le public sensé a regardé cela et s’est demandé : « Mais qu’est-ce qui se passe ici ? » Il s’agit manifestement d’un abus du système juridique. Vous savez, le système juridique est censé protéger le public des criminels violents. Et il devrait évidemment permettre au public de prendre sa propre décision sur qui devrait être président, plutôt que de se lancer dans une affaire judiciaire.

Inquiétudes concernant le précédent juridique DONALD TRUMP : Une fois qu’ils ont commencé à créer ce précédent, car cela peut se poursuivre avec le suivant. Je veux dire, c’est un très mauvais précédent, ce qu’ils font en termes de poursuites contre leur adversaire politique. Et c’est tout ce que c’est. Ils s’en prennent à leur adversaire politique.

Et puis vous avez un juge qui est, vous savez, un démocrate convaincu. Et je suis gentil quand je dis que dans de nombreux cas, il est extrêmement corrompu. Mais vous avez un juge et vous vous retrouvez dans une zone où un républicain obtient trois ou quatre pour cent des voix. Et vous savez, vous aurez un jury composé de personnes qui détestent les républicains ou qui détestent.

Cela pourrait aussi être l’inverse, bien sûr, car cela pourrait commencer dans l’autre sens dans les régions où ils détestent les démocrates. Et vous vous retrouvez dans une boîte de Pandore ; c’est une chose très dangereuse pour ce pays et même pour l’État. La ville et l’État de New York perdent beaucoup d’affaires à cause de ce qu’ils m’ont fait parce que ces gens disent : « Nous ne voulons pas que cela nous arrive. Ce n’est pas un système judiciaire. »

Vous avez un système judiciaire injuste et cela coûte énormément d’argent à l’État de New York. Les gens partent et les entreprises partent et ne reviendront pas. Donc, vous savez, tout cela est important. Mais l’économie est maintenant le problème le plus important.

Reprise économique DONALD TRUMP : Et nous pouvons relancer cette économie si vite que les gens reviendront. Nous allons nous débarrasser de. Je pense qu’il y a beaucoup de choses qui ont raison.

ELON MUSK : Absolument.

DONALD TRUMP : Je tiens donc à vous féliciter. Vous avez fait un travail incroyable. Vous avez vraiment un esprit fertile. Vous savez, nous pouvons parler. Vous et moi pouvons parler de fusées. C’est gentil de votre part de dire, eh bien, nous pouvons parler de tunnels et de fusées et de voitures électriques, de tant de choses. Et maintenant, vous vous lancez dans l’IA. Et ça va être une autre merveille. Je dirais. Donc c’est oui, c’est une chose incroyable, c’est une chose incroyable que vous avez faite, Elon. C’est une chose incroyable. Et je vous félicite.

ELON MUSK : Je veux dire, merci. Et bien, je veux dire, je dis juste, vous savez, voici un avenir passionnant et inspirant que les gens peuvent attendre avec impatience et être optimistes et enthousiasmés par ce qui se passera ensuite. Et c’est le genre d’avenir que je pense que vous apporterez en tant que président. Et c’est pourquoi je vous soutiens.

Make America Great Again DONALD TRUMP : Eh bien, j’apprécie cela. Ce soutien a beaucoup compté pour moi. Pour être honnête, tous les soutiens ne signifient pas grand-chose. Votre soutien a beaucoup compté. Et vous savez, nous avons une expression, « make America great again » (rendre sa grandeur à l’Amérique). C’est assez simple, mais cela signifie vraiment que nous voulons rendre sa grandeur à l’Amérique. Et nous pouvons le faire. Nous pouvons le faire maintenant.

Mais si nous devions souffrir encore quatre ans comme nous avons souffert ces quatre dernières années, je ne suis pas sûr que le pays puisse un jour s’en remettre. C’est à quel point la situation est mauvaise. C’est tellement grave. Nous devons – nous devons faire beaucoup.

ELON MUSK : Je pense que c’est très réel. C’est un risque énorme. C’est un risque très réel. Et, vous savez, j’aimerais faire remarquer aux gens qui nous écoutent que je n’ai jamais été très politique auparavant.

Le parcours politique d’Elon Musk ELON MUSK : Et si vous regardez mon parcours, vous verrez que je ne suis pas vraiment quelqu’un qui a essayé de me dépeindre comme un homme d’extrême droite, ce qui est absurde parce que j’aime fabriquer des véhicules électriques, des panneaux solaires et des batteries, et aider l’environnement. Et en fait, j’ai soutenu Obama. J’ai fait la queue pendant six heures pour lui serrer la main lorsqu’il se présentait à la présidence. Et je ne suis pas un républicain pur et dur.

En fait, je me considère comme un démocrate modéré. Mais aujourd’hui, j’ai l’impression que nous sommes vraiment à un tournant critique pour le pays. Je pense que beaucoup de gens pensaient que l’administration Biden serait une administration modérée, mais ce n’est pas le cas. Et évidemment, nous allons voir une administration encore plus à gauche avec Kamala.

C’est mon opinion honnête. Je veux dire, son père est littéralement, je veux dire, son père est comme un économiste marxiste. Vous pouvez le chercher sur Google. Je veux dire, ce n’est pas une… nous n’inventons pas ça.

L’Amérique à la croisée des chemins ELON MUSK : Vous savez, c’est comme ça qu’elle a été élevée. Donc, nous voulons juste avoir un avenir prospère. Et je pense que nous sommes juste à ce tournant critique. Et je pense que c’est un cas où l’Amérique va se retrouver à la croisée des chemins. Et je pense qu’il prendra – il prendra le chemin que vous êtes le chemin de la prospérité. Et je pense que Kamala est le contraire. Alors c’est mon – je veux dire, c’est mon opinion. Je vais – je vais être attaqué comme un fou.

Et, vous savez, j’ai aussi moi-même vécu pas mal de guerre juridique. Et mais j’essaie juste de dire aux gens mon opinion honnête. Et je n’ai jamais été actif et vraiment actif en politique auparavant. Et j’essaie juste de souligner que mon bilan historique a été modéré, voire modéré, légèrement à gauche.

Et donc ce sont les gens qui sont dans le camp modéré qui disent, je pense que vous devriez soutenir Donald Trump pour la présidence. Et je pense que c’est en fait un carrefour très important sur la route. Et nous aurions de gros problèmes si cela allait dans l’autre sens.

Le déclin de San Francisco et de la Californie DONALD TRUMP : Eh bien, je veux vous remercier. Et, vous savez, en fait, j’ai toujours pensé que vous étiez plutôt à gauche. Je dois le dire. C’est donc un honneur d’avoir votre soutien. Je sais à quel point vous êtes convaincus.

Mais vous savez, quand vous pensez à elle, San Francisco, il y a 15 ans, j’avais un grand ami, Bob Tisch. Il disait que c’était la plus grande ville d’Amérique. Et maintenant, ce n’est plus le cas – c’est presque invivable là-bas. Et la Californie, pareil. Et elle a été impliquée dans la destruction de San Francisco et de la Californie. Et elle sera impliquée dans la destruction de notre pays si les gens sont assez imprudents pour l’élire. Et j’espère que cela n’arrivera pas. Et j’espère que les élections seront menées honnêtement.

Lutter contre la criminalité et l’immigration DONALD TRUMP : Et nous allons redresser ce pays. Nous allons – nous allons faire des choses que nous pouvons faire assez rapidement. Et nous devons nous débarrasser des criminels qui nous ont été donnés par d’autres pays alors qu’ils se moquent de nous. Ils pensent que nous sommes stupides d’accepter ces gens. Il s’agit souvent de tueurs radicaux et de terroristes. Il y en a des centaines de milliers dans notre pays.

ELON MUSK : Oui.

DONALD TRUMP : Et nous devons les éliminer.

Des politiques de bon sens ELON MUSK : Oui, je veux dire, si je pouvais résumer, peut-être, vous savez, je pense que ce sont des questions sur lesquelles je pense que la plupart des Américains seraient d’accord, à savoir que nous voulons des villes sûres et propres. Nous voulons des frontières sûres. Nous voulons des dépenses publiques raisonnables.

Nous voulons rétablir à la fois la perception et la réalité du respect dans le système judiciaire. Il faut juste, vous savez, mettre un terme à la guerre juridique. Et je pense que c’est comme ça, et comment ces positions sont-elles même de droite ? Je pense que ce sont juste – c’est juste du bon sens. Et je veux dire, êtes-vous d’accord avec ça ?

DONALD TRUMP : À cent pour cent. Je ne comprends pas, vous savez, tout ce qu’ils appellent ça progressiste. Ils n’aiment plus le mot libéral, mais ils l’appellent libéral ou progressiste. Je ne comprends pas comment quelqu’un peut dire qu’il est acceptable qu’ils vident les prisons dans notre pays. Et encore une fois, je vous ai dit que les taux de criminalité dans le monde entier sont en baisse, ce qui est logique. En fait, la prochaine fois, ce que nous ferons, si quelque chose se passe avec cette élection, ce qui serait un spectacle d’horreur, c’est que nous nous réunirons la prochaine fois au Venezuela parce que ce sera un endroit beaucoup plus sûr pour se réunir que notre pays. OK, alors nous irons.

Vous et moi irons au Venezuela et nous aurons une réunion et un dîner parce que c’est ce qui se passe. Leur taux de criminalité baisse et le nôtre monte en flèche. Et c’est si simple. Et vous n’avez encore rien vu parce que ces gens sont arrivés dans notre pays et ils s’acclimatent et ils ne savent pas ce que sont les forces de l’ordre politiquement correctes ou l’absence de forces de l’ordre.

Soutien aux forces de l’ordre DONALD TRUMP : Et notre police, je dois juste terminer avec ça. Nous avons une excellente police. Nous avons une excellente police, mais elle n’est pas autorisée à faire son travail. Elle doit pouvoir faire son travail sans être détruite.

ELON MUSK : Eh bien, absolument. Et c’est évidemment démoralisant pour un policier qui risque sa vie pour, vous savez, pour, vous savez, pour arrêter des criminels violents qui pourraient vous tuer et qui vous tuent parfois. Et puis vous arrêtez le criminel violent et ensuite le procureur, vous savez, ne le poursuit pas et cela laisse le gars en liberté. Alors, pourquoi ?

Pourquoi un policier devrait-il risquer sa vie pour arrêter un criminel violent ?

DONALD TRUMP : Pire encore, rien ne va se passer. Pire encore. Ils poursuivent le policier. Ils le poursuivent et lui retirent sa pension. Ils lui retirent son travail. Il perd sa famille. Il perd sa maison.

Incidents récents de violence contre la police ELON MUSK : Eh bien, j'ai trouvé très révélateur, incroyablement révélateur, qu'il y ait eu un cas où une sorte de bande de voyous a battu des policiers. Je crois que c'était à Times Square à New York. Et puis rien n'est arrivé à ces types. Ils ont été libérés. Aucune caution. Et je crois qu'un certain nombre d'entre eux ont reçu des billets gratuits pour la Californie.

Eh bien, qu'est-ce que je veux dire, c'est une indignité grossière contre les États-Unis. Et c'est comme ça que je veux dire, c'est insensé. Avons-nous perdu toute fierté ? Comment une telle chose peut-elle se produire ?

DONALD TRUMP : Je n’ai jamais rien vu. Vous savez, nous voyons des gens se faire tirer dessus. C’est un métier très dangereux, mais dont ils sont très fiers et ils veulent pouvoir faire leur travail. Mais j’en ai vu se faire tirer dessus. J’en ai vu beaucoup, mais je n’ai jamais vu ces types se tenir debout au milieu d’une grande rue, tout le monde les regardant. Et ils boxent littéralement, comme s’ils donnaient des coups de poing, se battent debout contre un policier.

Ils étaient deux et pourtant ils sont six. Et ils les frappent comme des dingues. Et dans leur propre pays, ils seraient morts s’ils faisaient ça. Ils seraient abattus. Ils seraient abattus instantanément. Et, vous savez, ils viennent de ces pays et il leur faut un certain temps pour se rendre compte que nous ne faisons pas ça dans ce pays. Mais dans leur propre pays, s’ils se tenaient dans la rue et se battaient avec un policier, ils seraient abattus. Il n’y a pas de rectitude politique.

Et c’est tellement triste. C’est tellement triste à voir. Et c’est la raison pour laquelle vous avez du temps, d’ailleurs, parce que nous ne faisons rien à ce sujet.

ELON MUSK : Oui, nous ne pouvons pas accepter une situation où nos policiers sont battus devant la caméra par, vous savez, une bande d’immigrés illégaux. Et puis rien n’arrive aux gars qui tabassent les flics. Je veux dire, et ils sont libérés. C’est inacceptable.

Expulser les immigrants criminels DONALD TRUMP : Nous allons changer cela et nous allons les faire sortir du pays. Vous savez, quand je me suis impliqué pour la première fois, ils ont dit qu’on ne pouvait pas les ramener dans ces pays. On ne pouvait pas les ramener. Dans le cas du Guatemala, du Honduras, du Salvador, d’autres, on ne pouvait pas les ramener. Et j’ai dit, vraiment ?

Oh, on ne peut pas le récupérer ? Parce que sous Obama, il n’a pas pu le récupérer. Ils l’ont fait venir par avion et ont mis des avions sur les pistes de ces pays. Il ne pouvait pas atterrir. Ils l’ont ramené. Et le général m’a dit, les généraux m’ont dit, bien sûr, nous ne pouvons pas le ramener. Les pays n’accepteront pas les membres du gang MS-13. Ils ne les accepteront pas.

Et j’ai demandé, vraiment, combien payons-nous à ces différents pays en termes d’aide économique, ce qui est aussi un peu ridicule ? Et la réponse a été 750 millions de dollars. J’ai dit, bien. Dites-leur qu’ils sont en défaut. Ils sont en retard. Nous n’allons pas le faire. Nous ne les payons plus parce qu’ils ne l’acceptent pas. Et vous savez ce qui s’est passé ?

Ils m’ont tous appelé, chacun d’entre eux. Ils ont dit, nous serions honorés de les reprendre, monsieur. Nous serions honorés. C’était si facile. Mais c’est l’une de ces choses. Et nous l’avons récupéré. Nous en avons accueilli tellement. Vous savez, MS-13 est probablement le pire gang du monde. C’est la violence la plus vicieuse. Nous les avons fait sortir d’ici par milliers et les avons fait sortir d’ici. Et leurs pays les ont repris. Et parce que j’ai dit, vous n’obtiendrez plus d’aide économique.

Et une fois que j’ai dit cela, ils ont été gentils. Ils ne les ont pas repris pour Obama. Ils ne les reprendraient pour personne. Et maintenant, nous avons un problème parce que nous avons ce type. Et encore une fois, ils ne les reprennent plus avec Biden parce qu'ils ne le respectent pas.

ELON MUSK : Ouais, ouais. Donc il faut le faire. On ne peut pas avoir, qu'ils soient citoyens ou non, on ne peut pas avoir. Parce qu'ils ne poursuivront pas non plus les citoyens, pas seulement les clandestins. On ne peut donc pas avoir de récidivistes violents qui ne sont pas incarcérés. Parce qu'ils continueront évidemment, par définition, à faire du mal aux gens. Et je pense que cela vient en partie du fait que, et je me considère en quelque sorte comme libéral à certains égards.

Empathie pour les victimes contre criminels ELON MUSK : Je veux dire, c'est juste qu'il faut avoir de l'empathie pour les gens. Évidemment, il faut avoir de l'empathie pour les gens. Je suis tout à fait d'accord avec ça. Il faut avoir de l'empathie. Mais il faut aussi avoir de l'empathie pour les victimes des criminels. Et si vous n’avez que de l’empathie pour les criminels, c’est en fait une empathie superficielle. Ce n’est pas réel. Vous ne réfléchissez pas.


Une version audio de la traduction en français par Ze American dream sur Youtube

 

Vous avez une empathie profonde. Vous devez vous dire, si vous n’emprisonnez pas cette personne, à qui va-t-elle faire du mal ? Elle pourrait tuer quelqu’un. Elle pourrait violer quelqu’un. Si vous ne l’emprisonnez pas, vous devez avoir de l’empathie pour les victimes. Et il y a un manque d’empathie pour les victimes des criminels et trop d’empathie pour les criminels. Cela n’a pas de sens. C’est pourquoi vous voulez avoir une empathie profonde pour la société dans son ensemble, et non une empathie superficielle pour les criminels.

Soutenir les forces de l’ordre DONALD TRUMP : Et nous devons donner à nos policiers la dignité et le respect qu’ils méritent. Et nous devons les laisser faire leur travail. Ils peuvent faire un excellent travail. Mais nous devons les laisser faire leur travail.

Et si nous ne le faisons pas, tout cela va disparaître. Il n’y a jamais eu de société comme celle-ci, où l’on a le droit de faire tout ce que l’on veut et où rien ne se passe. Et je parle de crimes violents. Et cela va devenir encore plus violent parce que ce sont des gens vraiment, vraiment violents.

Et nous allons les faire sortir de notre pays. Et nous allons les ramener là où ils ont été envoyés – parce que les présidents et les différentes personnes qui dirigent ces pays les ont envoyés ici. Et je connais chacun de ces types. Et ce sont des gens intelligents. Et ce sont des gens débrouillards. Et ils pensent vraiment que les États-Unis sont stupides. Ils pensent que nous sommes dirigés par des gens stupides. Et ils ont raison.

Lutter contre la violence des gangs DONALD TRUMP : Mais quand j’étais là-bas, nous n’avions aucun problème. Nous les avons fait sortir. Nous avons éliminé des milliers de membres du gang MS-13. Nous les avons ramenés. Et maintenant, c’est encore la même vieille histoire. Nous ne le faisons pas. Et ils leur ont en fait accordé une forte augmentation de l’aide. Ils l’ont portée à des milliards de dollars.

Et ils n’obtiennent rien en retour. Donc, vous savez, j’espère que tout le monde va voter pour Trump. Et nous allons avoir ce pays. Et je n’avais pas besoin de ça.

Le sacrifice personnel de Trump DONALD TRUMP : Je me disais que je n’avais pas besoin de ça. J’avais une très belle vie. Je n’avais pas besoin d’aller au tribunal et de passer par toutes les autres choses et de me présenter en même temps. Je dois me présenter. Je dois passer par de faux procès avec, dans certains cas, des juges corrompus, des juges totalement corrompus. Je n’en avais pas besoin. J’avais une belle vie. J’ai de superbes endroits.

J’ai de beaux océans et des endroits. Vous savez, c’était le cas, mais j’ai senti que c’était important. Et si je devais le refaire, vous pensez probablement que je suis fou de le faire, en fait. Mais si je devais le refaire, je l’aurais refait parce que c’est tellement plus important que moi ou ma vie.

Sauver le pays DONALD TRUMP : C’est – nous allons sauver ce pays. Ce pays est en train de s’effondrer. Et ces gens contre lesquels nous nous présentons sont de mauvaises personnes. Et ce sont des menteurs. Ils font des déclarations. Ils font des choses qui sont tellement mauvaises. Ils disent qu’ils vont construire une frontière solide. Ils disent qu’ils ont été formidables à la frontière. Et ils ont été les pires de l’histoire. Ils disent qu’ils vont mettre fin à la criminalité.

ELON MUSK : Les faits parlent d’eux-mêmes.

DONALD TRUMP : C’est tellement incroyable.

ELON MUSK : Parce que nous en sommes arrivés au point où les gens ne prennent même plus la peine de signaler les crimes dans beaucoup de cas, c’est vrai, parce qu’ils savent que rien ne va se passer. Vous savez, c’est ce que j’entends tout le temps de la part des gens.

La vision d’Elon Musk pour l’avenir ELON MUSK : Donc, vous savez, ce sont juste, vous savez, mes valeurs, je dis juste aux gens là-bas comme vous savez, les choses que je pense être importantes pour l’avenir sont comme, nous devons avoir des villes sûres. Nous allons avoir des frontières sécurisées. Nous allons avoir des dépenses raisonnables. Et nous avons et nous allons avoir une déréglementation.

Et ainsi nous pouvons avoir un avenir prospère. Et puis nous voulons avoir des projets passionnants, vous savez, des projets lunaires qui peuvent enthousiasmer les gens. Et, vous savez, c’est l’avenir que je recherche. Et, vous savez, je suis pour l’environnement, mais je ne suis pas contre, vous savez, je ne pense pas que nous devrions vilipender l’industrie pétrolière et gazière parce qu’elle maintient la civilisation en marche en ce moment. Et mais je pense que nous voulons avancer, vous savez, vous savez, à une vitesse raisonnable vers une économie énergétique durable. Ce sont mes valeurs.

Et je pense que c’est pour cela que je vous soutiens dans votre candidature à la présidence.

DONALD TRUMP : Eh bien, j’apprécie

Incitations économiques et création d’emplois DONALD TRUMP : Nous allons créer – nous allons donner des incitations aux entreprises pour qu’elles viennent dans notre pays, pas pour qu’elles le quittent. Nous allons offrir des incitations considérables. Nous voulons que les entreprises construisent ici, pas ailleurs.

Et nous voulons créer des emplois. Et encore une fois, il s’agit du rêve américain. Vous n’entendez plus parler du rêve américain, Elon. Vous n’entendez plus parler du rêve américain au sens propre du terme, mais vous n’entendez plus parler du rêve américain.

Et vous allez en entendre parler. Les gens ont besoin de cette incitation pour sortir et se lancer. Et ils vont aimer leur vie. Je veux dire, ils vont adorer – ils vont avoir hâte de se lever le matin et d’aller, vous savez, aller à un travail qu’ils aiment, pas un travail qu’ils ne peuvent pas envoyer ou aucun travail du tout où ils n’ont pas d’argent, où ils n’ont littéralement pas d’argent.

Et puis ils se retrouvent avec la violence et beaucoup d’autres problèmes. Maintenant, nous allons faire – nous allons faire de grandes choses. Et j’ai beaucoup appris au début. Nous avions une excellente économie et tout ça.

Apprendre de l’expérience DONALD TRUMP : Nous avons reconstruit l’armée. Nous avons fait tellement de choses. Mais j’ai aussi appris et j’ai aussi appris à connaître les meilleures personnes. J’ai appris à connaître les bonnes personnes, les personnes intelligentes, les personnes stupides, les personnes qui peuvent faire des choses que, vous savez, vous apprenez.

Quand je suis arrivé, j’ai dit aux gens que je n’étais allé à Washington que 17 fois, selon les médias de fausses nouvelles. J’y suis allé 17 fois. Je n’y suis jamais resté. Et vous ne connaissez personne. Vous comptez sur les autres pour vous donner des noms. Et puis vous réalisez que les personnes sur lesquelles vous comptiez n’étaient pas si bonnes. Nous avions des gens formidables, mais nous en avions aussi certains que je n’aurais pas utilisés si je les avais connus. Maintenant, je connais tout le monde.

Remarques finales DONALD TRUMP : Et je pense que nous allons vraiment changer les choses rapidement. Nous n’avons pas le choix. Sinon, nous n’aurons pas de pays. Et j’apprécie vraiment que cela ait été – pour moi, cela a été très amusant d’être avec vous. Vous êtes un gars incroyable. Vous avez fait un travail incroyable et une grande inspiration pour les gens, une grande inspiration. Et j’espère que vous continuerez et que vous continuerez à bien vous débrouiller.

Et nous allons avoir une grande élection à venir. Et je pense que le 5 novembre sera le jour le plus important de l’histoire de notre pays. Je pense que cette élection sera l’élection la plus importante et je pense qu’elle finira par être peut-être le jour le plus important de l’histoire de notre pays parce que si nous ne gagnons pas, je me sens vraiment désolé pour tout le monde.

ELON MUSK : Non, je pense que nous sommes à la croisée des chemins du destin de la civilisation et je pense que nous devons prendre le bon chemin et je pense que vous êtes sur le bon chemin. Je pense donc que c’est à cela que tout se résume.

DONALD TRUMP : Merci beaucoup Elon. C’est un grand honneur et nous le referons un jour et c’était vraiment amusant et j’espère que vous aurez beaucoup de téléspectateurs et j’ai entendu dire que vous en avez eu beaucoup.

Donc j’apprécie. Je vous verrai bientôt.

ELON MUSK : Oui, merci.

DONALD TRUMP : Merci Elon. Merci beaucoup. Au revoir.

 

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