19/07/2014
Rennes-le-Château à l'ombre des Grands Anciens
L'abbé François Béranger Saunière s'installe au minuscule et pauvre village de Rennes-le-Château en 1885. C'est en entreprenant des travaux de rénovation de son église en 1891 qu'il aurait découvert un trésor accompagné de mystérieux parchemins. L'origine de sa soudaine et considérable fortune sont le sujet de nombreuses théories à l'origine de légende du mystérieux trésor de Rennes-le-Château. À sa mort en 1917, sa fidèle servante Marie Dénarnaud héritera de sa fortune dont une étrange villa Bethania.
Vous pouvez aussi retrouver Jean-Paul Bourre, conteur, écrivain et animateur de Radio Ici et Maintenant sur le site de la radio à travers de nombreuses émissions.
Rendez-vous le 24 juillet à Rennes-le-Château, la ville est situé dans le sud du département de l'Aude à quelques kilomètres de Couiza. Le village est juché sur un piton rocheux dominant la région naturelle du Razès, ancien comté rattaché au comté de Carcassonne. pour Mystérieuses connexions. C'est à partir de 10h00, salle de la Capitelle (à côté de la Mairie). Au programme : Arnaud de l'Estoile, Tony Baillargeat, Jean-Paul Bourre (qui évoquera les "Grands Anciens", ces lieux, ces points de jonction où nos origines reviennent par un mouvement tournant, comme revenant du futur), Christian Doumergue, André Douzet et David Galley ! Il sera question du Prieuré de Sion et de Rennes-le-Château, des ovnis dans le passé, des "Pyrénées égyptiennes" et des Grands Anciens ! Les auteurs présents dédicaceront leurs ouvrages.
Le célèbre domaine de l'abbé Saunière ne sera pas le seul sujet des conférenciers et c'est aussi une belle promenade pour les yeux et l'esprit si vous passez entre Toulouse et Perpignan.
09:24 Publié dans Actualité, Loisirs Jeux Salons | Tags : rennes-le-château, conférence, dédicaces, bourre | Lien permanent | Commentaires (1) | |
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08/07/2014
Rainbow Loom pour Elites
Animaux et petits personnages sont un jeu d'enfant et le résultat de quelques minutes du moins si les parents font preuve d'un peu de bonne volonté pour expliquer les bases
Suite à notre petit article concernant les Rainbow Loom, loisir créatif d'une très grande simplicité qui fait la joie des enfants et permet aux parents de démontrer patience et dextérité par l'exemple, nous vous proposons cette fois une sélection pour les plus doués qui cherchent à réaliser des créations un peu moins simplistes, aux formes moins géométriques et qui feront la fierté des artistes en herbe. Le succès de ce phénomène bien sympathique se confirme donc chez les jeunes de 7 à 14 ans et le passe-temps favori de l'été 2013 en Amérique du Nord selon le NY Times est désormais semblable en europe cette année. Ce sont désormais des centaines de vidéos qui présentent la manière de réaliser les sujets les plus divers de la faune ou les personnages phares des dessins animés. La chaîne Rainbow Loom's YouTube avec ses 66 "suivez le guide" aurait dépassé les 4 millions de visites.
Afin de conserver l'aspect ludique et tout public de ces réalisation, nous avons sélectionnés des guides dans un anglais très simple (d'ailleurs papa parle parfaitement anglais comme le précise son CV) et illustrés par l'image.
Un Nain forcément charmant
Hello Kitty, mais si!
Le tigre avec ses grosses papattes
Père de famille responsable ne passant pas son week-end et ses RTT à jouer avec une pelle et un sceau dans le jardin ou devant un jeu vidéo mais assistant ses enfants dans un cadre ludo-éducatif favorisant l'épanouissement.
Les mignons 3D Fuzzies
Les schtroumpfs
Papa viens m'aider stp!
Les sandales de Jacy. Indispensables cet été!
Les papillons
15:02 Publié dans Actualité, Gadgets, Loisirs Jeux Salons | Tags : rainbowloom, elite, rainbow, loom, schtroumpf | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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20/06/2014
Mosquée bleue, un voyage 3D en Turquie
Si un simple écran ne remplacera jamais la réalité, l'évolution de nos matériels permet, si on fait un petit effort, de retrouver parfois et surtout devant des sujets d'rxception, une émotion, de respirer un air différent. Les documentaires ont pour cette raison toujours obtenus un grand succès sur le petit écran et ce, même à l'époque du noir et blanc. Pour réconforter ceux qui ne peuvent partir cet été, nous allons sélectionner de manière régulière quelques expressions sur le Web des grands lieux de civilisation ou de la nature. Surtout ne fermez pas les yeux car les efforts et les progrès grâce à la 3D, à la haute définition autorisent des petites merveilles. La première visite nous conduit en Turquie pour un monument spectaculaire, la Mosquée bleue (nommée ainsi en raison des mosaïques bleues qui ornent les murs internes) ou Sultanahmet Camii. Cette mosquée historique est au coeur d'Istamboul, plus grande ville du pays et longtemps capitale.
“ Déjà voici les kiosques impériaux et les grands harems; Puis la série des palais tout blancs aux quais de marbre. Et enfin, là-bas et là-haut, sortant tout à coup d'une brume qui se déchire, la silhouette incomparable de Stamboul. Oh ! Stamboul est là! Bien réel, très vite rapproché maintenant, sous un éclairage net et banal, ramené à son apparence la plus ordinaire, que dix ans de rêve m'avaient un peu changée, mais presque aussi beau pourtant que dans mon souvenir. Et je m'étonne d'être de plus en plus tranquille d'âme, causant même avec les compagnons de route que le hasard m'a donnés, et leur nommant comme un guide les palais et les mosquées. Le mouillage est bruyant en milieu du fouillis des paquebots, des voiliers, portant tous les pavillons d'Europe. Et aussitôt commence l'invasion furieuse des bateliers, des douaniers et des portefaix; cent caïques nous prennent à l'assaut, et tous ces gens, qui montent à bord comme une marée, parlent et crient dans toutes les langues du Levant. Oh ! je connais si bien cela, ce brouhaha des arrivées, ces voix, ces intonations, ces visages; et cet amas de navires autour de nous, et ces fumées noires – au-dessus desquelles montent, là-bas dans le ciel clair, les dômes des saintes mosquées! Je me mêle moi-même à tout ce bruit; d'ailleurs les mots turcs, même les plus oubliés, me reviennent tous ensemble. Avec des bateliers pour mon passage, avec des portefaix pour mes malles, je discute des questions qui me sont absolument indifférentes, par besoin de m'agiter et de parler aussi. Jusque dans la barque, où je suis enfin installé avec mes valises, je continue, je ne sais quel étonnant marchandage, – et ainsi presque sans émotion, à part un tremblement peut-être quand mon pied s'y pose, je me trouve à terre, sur le quai de Constantinople.” (Pierre Loti, Fantôme d'Orient)
Construite entre 1609 et 1616, sous le règne de sultan Ahmet Ier, la Mosquée Bleue renferme outre la tombe du fondateur, une médersa et un hospice. Point de départ de pèlerinages à La Mecque, elle se distingue par le privilège islamique de présenter six minarets (seule la Ka'ba en dispose de sept), la Mecque étant l'endroit où il doit y en avoir le plus grand nombre. Cet édifice impressionant par ses dimensions devenu un lieu touristique inévitable possède une architecture spectaculaire. Il a ainsi été prévu que le sultan puisse se rendre dans sa loge à l'étage à dos de cheval, vous ne vous sentirez donc pas à l'étroit malgré la foule.
Le sultan Ahmet Ier
Dirigeant fort peu doué pour les conquêtes et défait par la Perse, Ahmet Ier décida de construire une grande mosquée à Istanbul pour apaiser Dieu. Contrairement aux constructions de ses prédécesseurs, elle ne fut donc pas financée par le butin des guerres mais par les fonds du Trésor ce qui mécontenta gravement à l'époque l'équivalent de nos "technocrates", les oulémas, les juristes musulmans. La mosquée devait être construite sur le site du palais des empereurs byzantins, face à la basilique Ayasofya (à cette époque, la mosquée la plus vénérée à Istanboul) et l'hippodrome, site on ne peu plus symbolique. De grandes parties de la rive sud de la mosquée reposent sur les fondations, les voûtes de l'ancien Grand Palais. Plusieurs palais, déjà construits sur cet emplacement ont dû être achetés puis détruits, en particulier le palais de Sokollu Mehmet Paşa, et de grandes parties de l'hippodrome byzantin.
La construction de la mosquée a débuté en août 1609 et le sultan lui-même vint donner le premier coup de pioche, c'était déjà tendance. Les cérémonies d'ouverture ont eu lieu en 1617. Bâtie en partie sur le site du palais des empereurs byzantins, face à la basilique Ayasofya ou basilique Sainte-Sophie, ancienne église chrétienne de Constantinople du VIᵉ siècle, devenue une mosquée au XVᵉ siècle sous l'impulsion du sultan Mehmed II.
Une rapide découverte vidéo
Ce positionnement très stratégique exprime clairement le souhait de démontrer que les architectes ottomans n'ont rien à envier à leurs prédécesseurs chrétiens. Le plan de la mosquée s'inspire donc sans hésitation de celui de la cathédrale de Justinien, édifiée quelques... mille ans plus tôt. Toutefois, l'inspiration byzantine n'a pu être égalée, la coupole ne pouvant rivaliser en dimensions avec celle d'Ayasofya (23,5 m de diamètre, contre 30 m à Ayasofya). Mais cette mosquée hors norme dont la coupole est soutenue par quatre piliers massifs en « pattes d'éléphants » et contrebutée par quatre demi-coupoles, 260 fenêtres, décorée de 21 043 carreaux de faïence d'Iznik à dominante bleue mérite toute votre attention.
Un petit clic sur l'image pour commencer votre visite...
09:06 Publié dans Actualité, Loisirs Jeux Salons | Tags : 3d, istamboul, mosquée, voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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18/06/2014
Rainbow Loom, la paix des ménages
Attention à votre carte Visa, les Rainbow Loom débarquent en France et on peut même dire submergent la planète. Vous avez peut être échappé à ce nouveau gadget digne héritier des scoubidous qui après avoir frappé les écoles américaines prolifère désormais à un rythme accéléré gagnant parfois le poignet des adultes. De quoi s'agit-il? Rien de bien nouveau si vous connaissez l'Amérique Centrale ou du Sud où petit personnages, bracelets tressés multicolores sont crées par nombre d'enfants dès le plus jeune age. Une tradition bien répendu dans le monde car on la retrouve aussi en Asie, en particulier au Laos, en Malaisie, pays d'origine du créateur du produit Cheong Choon Ng qui s'installe en 1991 aux États-Unis. Rien de nouveau non plus pour les survivalistes ou militaires qui depuis longtemps tressent de la paracorde pour avoir un bracelet utile, une poignée de couteau etc. La nouveauté est ici dans la formule qui associe un kit de fabrication et non pas du fil, de la corde mais pour faire plus simple et moins cher, de simples élastiques. Un couple de Quimper, Emmanuel et Morgane Laurençon rapportera de Floride le produit et on a semble t-il pas encore découvert de vaccin. Ce sont donc quelques 50.000 kits de "rainbow loom" qui se vendent par mois en France.
Bracelets de survie en paracorde, un air de famille
Vendu entre 18 et 35€ les kits, les lots d'élastiques de toutes couleurs sont une mine d'or car le produit qui ne coûte rien est vendu avec une énorme marge et autorise sur le plan créatif une infinité de réalisations. Cette mode a un bon coté et bien des parents trouveront ici le moyen de détourner les enfants de la télévision en pleine coupe du monde football. Le succès du produit, déjà cloné, provoque aussi quelques irritations principalement écologiques. En effet, les petits élastiques sont dangereux pour l'estomac des animaux domestiques. Mais la mode, l'enthousiasme des enfants, la fierté des mamans résistent pour l'instant aux grincheux. Si vous craquez et manquez de matériaux, Ebay, Amazon sont vos amis. Il existe aussi un site officiel avec des informations, des guides pratiques qui ne seront pas de trop pour les pères célibataires qui n'auront pas d'excuse pendant la mi-temps : Rainbow Loom.
Tutoriaux :
1) Le bracelet simple à 3 rangs
2) Le bracelet avec perles
3) Un étui pour stylo
4) Spécial Coupe du monde
5) Le lapin
11:35 Publié dans Actualité, Gadgets, Loisirs Jeux Salons | Tags : rainbow, loom, gadget, mode, rainbowloom | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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