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24/10/2025

Suunto Race S : une montre connectée qui ne perd pas le Nord

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La Suunto Race S : Quand la Finlande Chausse les Lacets d'une Montre Connectée qui ne perd pas le Nord. Les montres connectées ! Ces petits tyrans numériques qui vibrent à votre poignet pour vous rappeler que vous avez oublié de boire votre huitième café de la journée, ou pire, que votre marathon mental contre la procrastination vient de s'achever par un KO technique. Imaginez, un gadget qui sait plus de choses sur votre rythme cardiaque que votre ex sur vos faiblesses émotionnelles.
 
 
Bienvenue dans l'ère où le temps n'est plus une ligne droite, mais un GPS personnel qui vous hurle "Re-calculez l'itinéraire !" dès que vous déviez vers le frigo. Aujourd'hui, nous plongeons dans les méandres high-tech de la Suunto Race S, cette montre finlandaise qui promet de transformer vos sueurs froides en sueurs... chaudes, grâce à un cocktail de précision nordique, d'humour glacial et de critiques bien senties. Spoiler : elle court plus vite que votre résolution du Nouvel An, mais attention, elle n'hésite pas à vous faire trébucher sur ses lacunes logicielles.Mais avant de boucler notre chrono, remontons le temps – parce que, ironie du sort, ces montres adorent nous faire regarder en arrière tout en nous projetant vers l'avenir.
 
Ce n'est pas une invention sortie d'un labo secret d'Elon Musk hier matin. Non, leur saga commence bien avant que les smartphones ne nous transforment en zombies scrollant. Dès 1927, un certain John Harwood imagine une montre à affichage digital, mais c'est en 1972 que Hamilton Watch Company et Electro/Data Inc. lâchent la première bombe : la Pulsar, une LED prototype qui clignote comme un sapin de Noël sous amphétamines.
 
Imaginez, pas de TikTok, mais déjà l'idée de porter un mini-ordinateur au poignet. Les années 80 et 90 voient un boom – Seiko lance le Ruputer en 1998, capable de... running des apps basiques, ce qui, à l'époque, équivaut à révolutionner la vie comme l'iPhone l'a fait pour les selfies ratés.
 
Puis vient le grand saut, l'Apple Watch en 2015, qui transforme le poignet en extension du cerveau (ou du portefeuille, selon les puristes). Aujourd'hui, en 2025, le marché explose avec des mastodontes comme Garmin, Fitbit et nos amis nordiques. Ces bijoux high-tech ne se contentent plus de donner l'heure ; elles trackent vos pas comme un détective privé obsédé, prédisent la pluie mieux que votre grand-mère, et vous motivent avec des badges virtuels qui valent moins que des likes sur Instagram.
 
Mais qu'est-ce qu'une montre connectée, au juste ? C'est un mini-ordinateur portable, étanche (souvent), avec écran tactile, capteurs (cœur, GPS, accéléromètre), et une app compagnon qui sync vos données sur votre phone. Elle mesure, analyse, et – miracle – vous fait croire que vous êtes un athlète olympique... jusqu'à ce que le lundi revienne.Critique matinale : ces gadgets nous vendent la liberté, mais nous enchaînent à des notifications incessantes. "Bougez plus !" qu'elles piaillent, pendant que vous marchez déjà vers la machine à café. C'est comme un sauna qui vous dit "Transpirez, mais pas trop, ou je vous taxe en batterie"
 
.Suunto est la marque qui aime les neiges éternelles et les défis épiques. Pour apprivoiser la Race S, il faut d'abord saluer sa maison mère car Suunto est une  légende finlandaise née en 1936 des mains gantées de Tuomas Vohlonen, un orienteur frustré par les compas foireux de l'époque.

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Knee-deep in snow, comme on dit, il invente un compas liquide-filled, et boom : Suunto devient le phare des aventuriers. Des expéditions himalayennes aux plongées abyssales, la marque forge sa réputation en outdoor pur jus – GPS, altimètres, tout pour ne pas se perdre dans la toundra ou votre sentier de randonnée dominical.Aujourd'hui, Suunto est une filiale d'Amer Sports (rachetée en 2019 par le géant chinois Anta Sports, aux côtés de Wilson et Salomon).
 
Ironie du sort, voilà une marque finlandaise "made in China" ? C'est comme du saumon fumé vegan – ça marche, mais ça gratte un peu les puristes. Pourtant, Suunto reste fidèle à son ADN : robustesse nordique, design minimaliste, et une obsession pour la précision. Pas de bling-bling Apple, ici c'est du fonctionnel qui dure, comme un sauna qui refuse de s'éteindre. Sous pavillon chinois, on craint une dilution de l'âme finlandaise, mais les produits parlent d'eux-mêmes. Et la Race S ? C'est leur coup de maître 2024, une version "lite" de la Race originale, plus compacte, plus abordable, et – attendez – plus feature-packed. Parce que chez Suunto, on n'aime pas les demi-mesures.
 
La Race S déballée propose des  versions, looks et matériaux qui ffont mouche (ou pPas) .Ouvrons la boîte – virtuellement, hein, pas de gaspillage carbone. La Suunto Race S arrive en plusieurs saveurs, pour coller à votre vibe d'aventurier citadin ou de traileur masochiste. La version de base (46mm) en acier inoxydable : All Black pour le stealth mode, Power Orange pour hurler "Je cours, regardez-moi !", ou Titanium Canary (jaune vif, 449$) pour les premium qui veulent briller sans se ruiner.
 
Il y a aussi une variante Titanium plus chic à 449$, avec boîtier titane ultra-léger (49g seulement, contre 69g pour la Race standard). Pas de 42mm pour les minus poitrines, désolé les poignets de porcelaine – c'est du 46mm ou rien, ce qui la rend un poil massive pour les yoga-moms. Esthétiquement ? Un pur design scandinave : cadran rond AMOLED 1.43" (466x466 pixels), lumineux comme un aurore boréale, avec verre saphir anti-rayures qui défie vos chutes maladroites. Le bezel en acier poli ou titane mate respire l'élégance sobre – pas de strass, mais une finesse qui la fait passer pour une montre "normale" au bureau. Pour les matériaux : acier 316L recyclé pour l'éco-friendly (bravo Suunto !), titane grade 5 pour la version pro, et bracelet silicone respirant, interchangeable en un clin d'œil. Humour : c'est comme une armure viking en mode low-carb – robuste, mais si légère que vous oubliez qu'elle tracke vos calories brûlées (ou pas).Critique piquante : l'AMOLED est top, mais en plein soleil, il lave un peu les couleurs. Et le titane ? Sexy, mais à 100$ de plus, c'est du snobisme justifié seulement si vous escaladez l'Everest en costard.
 
Et les Fonctions : GPS et Météo en Têtes d'Affiche, Plus un Buffet MultisportsC'est là que la Race S brille – ou gémit, selon l'humeur. D'abord, qu'est-ce qu'une montre connectée sans GPS ? Un bracelet qui ment sur vos pas. La Race S embarque un dual-band GNSS (GPS, GLONASS, Galileo, BeiDou), précis au mètre près, même en openwater ou sous forêt dense.

Une bonne synthèse avec DC Rainmaker:  Voici tout ce que vous devez savoir sur la nouvelle Suunto Race S : nouvelles fonctionnalités, précision et bien plus encore ! Voici les nouveautés (par rapport à la Suunto Race existante, plus grande) :

– La Suunto Race S présente un boîtier de 45 mm et un écran tactile AMOLED de 1,32 pouce.
– Nouveau capteur optique de fréquence cardiaque.
– Fabriquée en Finlande (voir notes ci-dessous).
– Ajout du guidage Suunto Climb (une fonctionnalité similaire à ClimbPro).
– Ajout de trois nouveaux cadrans.
– Possibilité de personnaliser les cadrans, les couleurs et les complications (depuis la montre).
– Ajout d'émojis colorés (au lieu d'émojis noirs et blancs au pochoir).
– Augmentation du nombre d'émojis de 300 à environ 1 000.
– Amélioration des performances et de la réactivité de l'interface utilisateur (plus de problèmes).
– Ajout de paramètres d'affichage spécifiques aux modes sportifs (luminosité, etc.).
– Ajout d'un nouvel écran de pause (permettant d'afficher les données d'entraînement en pause).
– Augmentation du niveau de zoom de la carte jusqu'à 20 km (depuis 2KM)
– Notifications étape par étape réduites au bas de l'écran (au lieu d'un affichage plein écran)
– Ajout de plus d'une demi-douzaine d'applications Suunto dans le cadre de la mise à jour de juin 2024 (dont la prise en charge du capteur Moxy)
– Suivi du cycle menstruel dans l'application Suunto (enregistrement/suivi manuel pour le moment)
– Amélioration du compteur de pas pour réduire les erreurs de détection (par exemple, réduction du nombre de pas de brossage de dents)
– Prise en charge du vietnamien
– Augmentation de la capacité de stockage cartographique à 32 Go (au lieu de 16 Go pour la montre Race en acier inoxydable)
– 28 % plus légère que la Suunto Race (60 g contre 83 g)
– 14 % plus fine que la Suunto Race (11,4 mm pour la montre S contre 13,3 mm)
– Étanchéité à 50 m, au lieu de 100 m pour la Suunto Race
– Maintien de la compensation carbone à 100 %
– Maintien de la double fréquence/multibande GNSS
– Conserve le même design de bracelet de 22 mm
– Verre Gorilla Glass (contrairement au verre saphir de la Suunto Race)
– Lunette en acier inoxydable
– Prix : 349 EUR

 
 
Testé en mer ou trail, il capte les signaux comme un radar finlandais dans le brouillard – adieu les écarts de 50m chez les concurrents. Ajoutez l'Epoch 8 chipset pour une accuracy cardiaque optique upgradée, et vous avez un coach personnel qui ne juge pas vos sprints vers le kebab.Mais l'étoile du show ?
Les fonctions météo. Grâce à un altimètre barométrique haute précision, elle prédit les orages mieux que Météo-France un lundi férié. Température ambiante, pression, prévisions locales via connectivité – imaginez : "Pluie dans 2h, rentrez votre linge... ou votre ego surdimensionné après ce 10km".
 
C'est votre baromètre personnel, qui vous prévient non seulement de la pluie, mais aussi de la "tempête" si vous ignorez son alerte "Marchez plus, feignasse !".Autres perles : 95+ modes sports (course, natation, ski – oui, Suunto adore la neige), musique offline (Spotify/Deezer, 8GB stock), VO2 max, recovery time, et même un "Training Load" qui analyse si vous êtes un surentraîné ou un sous-doué. Batterie ? 26h en GPS full, 12 jours en mode montre – impressionnant pour un AMOLED, qui bouffe comme un ogre.
 
Le logiciel Suunto est parfois buggy – sync lent avec l'app, et pas de Siri-like assistant. Et la musique ? Top, mais pas de haut-parleur intégré, désolé les shower-concertistes.Versions diffèrent peu : la Titanium ajoute juste du titane et un look pro, mais mêmes fonctions. Pas de "S Lite" ou quoi – Suunto garde ça simple, comme un plat de saucisses finlandaises.
Le rapport qualité-prix : Un vol en plein diront nombre d'amateur. Pour votre portefeuilleÀ 349$ (ou 449$ Titanium), la Race S est un braquage légal mais c'est aussi le bon modèle disponible, en plus avant Noël. 
 
Contre un Garmin Forerunner 265 à 450$, elle offre plus de batterie, un écran plus vif, et un GPS qui ne fait pas la sieste en forêt. Valeur pour money ? Énorme – feature-packed sans le premium tax, à ce prix, on attend zéro lag, mais Suunto patine encore sur les updates. C'est comme payer un billet pour Helsinki et atterrir avec un sauna gratuit – deal du siècle, tant que le vol n'est pas annulé par bug.
 
au niveau des accessoires, parce qu'une montre sans bling, c'est triste, Suunto ne vous lâche pas nu : bracelets quick-release (silicone 22mm, cuir vegan, nylon pour 30-50$), support vélo (29$), ou straps métal pour le bureau (79$). Chargeur magnétique inclus, mais pas de dock fancy. Les options éco-friendly sont bienvenues, mais où est le chargeur solaire pour les puristes green ? Changez de bracelet plus souvent que de chaussettes après un trail, et vous passez de randonneur à dandy en un clic.Compatibilité : iOS, Android, et Votre Bon SensSync flawless avec l'app Suunto (iOS/Android), qui déverse vos data sur Strava, TrainingPeaks, ou HealthKit. Bluetooth 5.0, WiFi pour maps offline. Pas de drama cross-platform – elle joue avec tout, sauf peut-être votre vieux Nokia 3310. L'app est intuitive, mais manque de polish comparé à Garmin Connect. "Où est mon dashboard 3D ?" geignent les geeks.Les Retours des Acheteurs : Éloges glacés et piques chaudesSur X (ex-Twitter), les users adorent : "GPS précis comme un sniper finlandais, batterie qui tient le coup même en ultra-trail" (@waitin4agi_, mai 2025).
 
Un autre : "Valeur insane à 349$, accuracy upgradée sur openwater" (de reviews croisées).
 
Pros : légèreté, maps, autonomie (40% fin de journée light use).
 
Cons : "Charging inconsistent, parfois lent comme un escargot saoul" ; logiciel "buggy en sync" ; et "pas d'ANC pour la musique, wait what ?". Global : 4.5/5 sur Wareable, "worthy Garmin killer".
 
Les haters disent "trop basique", mais c'est comme critiquer un sauna pour manque de jacuzzi – c'est pas le point !Conclusion : La Race S, Course vers l'Aventure... ou le Canapé ?La Suunto Race S n'est pas parfaite – son soft traîne des skis, et elle snobe les petits poignets. Mais pour 349$, c'est un triomphe : GPS/météo au top, design qui en jette sans forcer, et un rapport Q/P qui fait rougir les géants. Si vous courez, marchez, ou juste survivez au quotidien, elle vous portera loin.
Suunto, uppez ce firmware, ou on vous envoie en Sibérie tester le cold boot. Pour les fans, portez-la, et vous ne perdrez plus jamais le nord – sauf si c'est pour trouver le frigo.

08:03 Publié dans Actualité, Gadgets, Montre connectée | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!