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31/10/2025

Le Fiio R7 révolutionne votre salon audiophile

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Dans l'univers en constante évolution de la haute-fidélité, un lecteur réseau audio est bien plus qu'un simple gadget pour écouter de la musique. Imaginez un hub centralisé, un cerveau numérique capable de puiser dans les vastes océans du streaming en ligne, de décoder des fichiers audio haute résolution stockés localement, et de les diffuser avec une pureté sonore qui fait frissonner les mélomanes. C'est un appareil qui bridge le fossé entre le monde analogique des amplificateurs traditionnels et le numérique effréné des plateformes comme Spotify ou Qobuz.
 
Au lieu de vous contenter d'un vieux lecteur CD poussiéreux ou d'un smartphone qui crachote du son compressé, un lecteur réseau audio comme le Fiio R7 transforme votre setup en une symphonie connectée, gérant tout de la diffusion sans fil à l'amplification casque, le tout avec une qualité qui rivalise avec les studios professionnels. Et le meilleur ? Il le fait sans vous obliger à vendre un rein – bien que, avouons-le, les audiophiles sont habitués à ces sacrifices pour un soupçon de clarté supplémentaire dans les aigus.
 
snap05868.jpgMaintenant, parlons de la marque derrière cette petite merveille : Fiio. Fondée en 2007 en Chine par un groupe d'ingénieurs passionnés par l'audio portable, Fiio s'est rapidement imposée comme un challenger audacieux face aux géants japonais et européens de la hi-fi. À l'origine spécialisée dans les baladeurs audio haute résolution (DAP pour Digital Audio Player), la marque a élargi son horizon vers des produits desktop comme le R7, en misant sur un rapport qualité-prix imbattable. Fiio, c'est l'histoire d'une entreprise qui a commencé modestement avec des amplificateurs portables et qui, aujourd'hui, rivalise avec des noms comme Astell&Kern ou Sony, tout en gardant un esprit innovant et accessible. Comme le dit un critique américain : "Fiio a maîtrisé l'art de packer des fonctionnalités premium dans des emballages abordables, rendant la hi-fi élitiste accessible aux masses" (Major HiFi).
 
Avec des produits vendus dans plus de 100 pays, Fiio incarne cette vague chinoise qui démocratise l'audio de qualité, sans compromettre sur les composants – pensez à des puces ESS Sabre pour les DAC, ou des amplificateurs THX pour une puissance propre. Le R7, lancé en 2023, est l'apothéose de cette philosophie : un tout-en-un qui vise à simplifier la vie des audiophiles tout en les comblant de détails sonores.
 
Mais plongeons dans les détails, car ce petit cube noir (ou blanc) cache bien son jeu.Le Look et la Conception : Un Design Minimaliste qui Cache une Bête TechniqueÀ première vue, le Fiio R7 pourrait passer pour un élégant boîtier multimédia posé sur votre bureau, mais ne vous y trompez pas : c'est un concentré de technologie audiophile déguisé en objet design. Disponible en noir ou blanc mat, avec des dimensions compactes de 110 x 134 x 160 mm (sans base), il pèse environ 1,28 kg – assez lourd pour inspirer confiance, sans être un monstre qui domine votre espace. Son châssis en alliage d'aluminium anodisé offre une finition premium, résistante aux rayures et aux empreintes digitales, avec des arêtes arrondies qui lui donnent un air moderne, presque futuriste.
 
Imaginez un croisement entre un mini-PC gamer et un ampli hi-fi vintage : l'écran tactile de 5 pouces (720 x 1280 pixels) occupe la face avant, encadré par un bouton volume rotatif multifonction (pour naviguer ou ajuster le son), et des ports discrets à l'arrière. Fiio a inclus deux bases optionnelles – une plate à 0° et une inclinée à 7° – pour adapter l'angle de vue, parfait si vous l'utilisez comme centre de contrôle sur un bureau ou une étagère.Sous le capot, la conception est un chef-d'œuvre d'ingénierie. Au cœur bat un processeur Snapdragon 660 de Qualcomm, couplé à 4 Go de RAM et 64 Go de stockage interne (extensible via SD jusqu'à 2 To théorique).
 

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C'est Android 10 qui anime le tout, avec une interface personnalisée par Fiio pour une fluidité exemplaire – pas de bloatware inutile, juste une navigation intuitive via gestes ou boutons virtuels. La puce audio principale est l'ESS ES9068AS, un DAC haut de gamme connu pour sa précision et sa faible distorsion, capable de gérer des résolutions jusqu'à 768 kHz/32 bits en PCM et DSD512 natif. Pour l'amplification, Fiio a opté pour deux modules THX AAA-788+, une technologie cinéma-grade qui délivre jusqu'à 3,6 W en balanced, avec un bruit de fond quasi inexistant (inférieur à 4 µV). Comme l'a noté un reviewer américain : "Le R7 produit un son équilibré, musical et engageant, avec une clarté cristalline qui respecte fidèlement la source" (traduit de Head-Fi).
 
Si votre ancien ampli était un vieux chef d'orchestre essoufflé, le R7 est un maestro dopé à l'IA, dirigeant chaque note avec une précision chirurgicale. Et pour la dissipation thermique ? Des ventilateurs discrets et un design aéré évitent la surchauffe, même lors de sessions marathon de streaming en haute rés.La facilité d'utilisation est un point fort : l'installation se fait en minutes, via WiFi ou Ethernet, et l'interface Android permet d'installer des apps tierces comme un vrai mini-ordinateur. Pas besoin d'être un geek pour naviguer – l'écran réactif répond aux doubles taps pour réveil, et les menus sont clairs, avec des options comme l'égaliseur 10 bandes dynamique (±12 dB) ou le PEQ personnalisable. Bien sûr, pour les puristes, il y a un mode "Pure Music" qui désactive tout le superflu pour une écoute immaculée.
 
Mais attention, Android 10 montre son âge avec quelques lags occasionnels sur des apps gourmandes ; rien de dramatique, mais un update vers une version plus récente serait bienvenu. Globalement, c'est un appareil qui invite à l'exploration, avec une courbe d'apprentissage douce – idéal pour les néophytes qui veulent upgrader leur système sans se noyer dans les manuels.
 
Pour less connectiques, c'est unn arsenal complet, avec un focus sur les prises symétriquesLe Fiio R7 brille par sa polyvalence connective, transformant n'importe quel setup en hub multimédia. À l'arrière, on trouve un véritable festival de ports : pour les entrées, un USB-C (USB 3.0 pour data et charge), un USB-A (USB 2.0 pour stockage externe), coaxial (RCA), optique (TOSLINK), et même un slot SD pour cartes mémoire. Côté sorties, c'est le paradis des audiophiles : des RCA single-ended pour les connexions classiques, mais surtout des prises symétriques qui font la différence.

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Parlons-en en détail, deux XLR 3-pins pour une sortie ligne balanced, offrant une immunité au bruit supérieure et une dynamique accrue – parfait pour connecter à un ampli de puissance ou des enceintes actives. Pour les casques, Fiio n'a pas lésiné, on trouve un jack 6,35 mm single-ended, un 4,4 mm Pentaconn balanced, et un XLR 4-pins balanced. Ces prises symétriques (ou balanced) utilisent une configuration qui annule les interférences électromagnétiques, résultant en un son plus propre, avec une séparation des canaux exemplaire et une puissance doublée (jusqu'à 3000 mW @ 32 ohms en balanced). Imaginez brancher vos IEMs high-end ou un casque planar comme l'Audeze LCD-X : le R7 les fait chanter avec une autorité qui ridiculise les sorties asymétriques. Et ce n'est pas tout, des sorties coaxial et optique pour daisy-chain avec d'autres DACs, plus un port Ethernet 100M pour une connexion filaire stable. Pas de HDMI eARC ici, mais c'est logique pour un focus audio pur. Un critique américain a résumé : "Avec ses nombreuses connexions et capacités d'expansion, le R7 offre une expérience hi-fi desktop excellente" (traduit de Head-Fi).
 
Si vous avez plus de câbles que de chaussettes propres, le R7 est votre nouveau meilleur ami – il les accueille tous sans jugement.Les Services de Streaming Compatibles : Un Buffet Musical Illimité. Le R7 n'est pas qu'un lecteur local ; c'est un streamer vorace qui s'intègre à quasiment tous les services populaires. Grâce à Android 10, vous pouvez installer directement les apps de Spotify, Tidal, Apple Music, Qobuz, Amazon Music HD, Deezer, SoundCloud, et bien d'autres via le Play Store. Spotify Connect pour un contrôle fluide depuis votre phone, Tidal avec MQA 8x unfolding pour du hi-res maître (jusqu'à 24 bits/192 kHz), Qobuz pour les puristes du FLAC lossless, et Apple Music avec son catalogue massif en Spatial Audio. Même Netflix ou YouTube pour du contenu vidéo-audio, bien que l'écran soit petit pour ça. Fiio supporte nativement DLNA/UPnP pour streamer depuis un NAS, et Roon Ready pour les setups avancés – Roon gère votre bibliothèque avec une élégance qui fait pâlir iTunes.
 
Et les "bien d'autres" ? Pensez à Bandcamp pour les indés, ou Pandora pour les radios personnalisées. Le tout en WiFi dual-band (2,4/5 GHz) pour une stabilité sans coupures. Avantage majeur, la qualité hi-res n'est pas downgradée, grâce au DAC ESS qui décode tout en natif. Inconvénient ? Certains services comme Spotify limitent à 320 kbps sans premium, mais c'est le jeu. Comme l'a observé un expert US : "Le R7 gère la plupart des services de streaming, y compris TIDAL, Apple Music, Amazon Music, Spotify et Soundcloud" (Forbes).
 
hands-fiio-r7.jpgAvec le R7, votre playlist devient un buffet all-you-can-eat – mais attention à ne pas indigest de basses trop grasses !La Connectivité : WiFi, AirPlay 2, Bluetooth, Roon et Plus EncoreLa connectivité du R7 est son superpouvoir : WiFi bi-bande pour du streaming sans fil fluide, AirPlay 2 pour les utilisateurs Apple (diffusez depuis iPhone avec multi-room sync), Bluetooth 5.0 bidirectionnel (émission en LDAC/aptX HD pour casques sans fil, réception en LDAC pour sources BT). Roon Ready transforme le R7 en endpoint intelligent, gérant des bibliothèques massives avec métadonnées riches.
 
Ajoutez DLNA pour NAS, et même WiFi direct pour transferts locaux. Ethernet pour les connexions critiques, USB DAC pour PC/Mac. Plus encore ? Support All-to-DSD pour upsampler tout en DSD, et MQA pour les masters studio. Le R7 est si connecté qu'il pourrait presque matcher sur Tinder – "cherche source audio pour relation longue durée".
 
Comment est-il piloté ? Applications Dédiées, Avantages et InconvénientsLe pilotage se fait via l'écran tactile, mais Fiio propose des apps dédiées : FiiO Music pour gérer la biblio locale (avantages : interface clean, EQ avancé ; inconvénients : pas toujours intuitive pour streaming). FiiO Control pour remote via Bluetooth/WiFi (pros : contrôle volume/playlist depuis canapé ; cons : lags occasionnels sur iOS). FiiO Link pour mirroring. Ses avantages globaux sont la flexibilité et l'accès à des m"dias gratuits., gratuites. En inconvénient, notons la dépendance Android,  desbugs mineurs. Une télécommande optionnelle RM3 aide.
Les protocoles audio acceptés restent d'avenir. Du Hi-Res à l'ExtrêmePCM jusqu'à 768 kHz/32 bits, DSD512, MQA 8x, DTS decoding, All-to-DSD. Bluetooth codecs : LDAC, aptX HD, etc.
 
Accessoires en Option : Télécommande et AlimentationLa télécommande Bluetooth RM3 (20-30 € sur Amazon/eBay) pour contrôle distant. Alimentation externe 12V optionnelle (50-100 €, pour bypass interne et son amélioré).Conclusion : Le R7, un Compagnon Indispensable avec une Touche d'HumourLe Fiio R7 est un tour de force – polyvalent, puissant, et abordable (~700 €). Comme dit un critique : "Un ampli desktop fantastiquement versatile" (traduit de Apos).
 
Si le R7 faisait le café, il serait parfait – mais pour l'audio, il l'est déjà !
 

L'avis toujours pernitent de Aaron de GearUp.
 
 
Caractéristiques
 
Dimensions
110 x 160 x 134 mm (4.33 x 6.3 x 5.28 inches)
Poids
1.3 kg (2.87 lbs)
Spécifications techniques
- THD+N (Distorsion Harmonique Totale + Bruit) : ≤0.0004% (1kHz/32Ω)<br>- Piste de bruit : LO≤1.5μV (A-weighted), PO≤4μV (A-weighted), BAL LO≤2.4μV (A-weighted), BAL≤5.5μV (A-weighted)
Connectivité Audio
- Sortie Casque : Jack 3.5mm (non-équilibré) et Jack 4.4mm (équilibré)<br>- USB : Port(s) USB pour connexion au PC ou alimentation externe<br>- Bluetooth : Support du streaming audio sans fil
Connectivité Réseau
- Wi-Fi : Connectivité sans fil pour le streaming de contenu

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24/10/2025

Suunto Race S : une montre connectée qui ne perd pas le Nord

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La Suunto Race S : Quand la Finlande Chausse les Lacets d'une Montre Connectée qui ne perd pas le Nord. Les montres connectées ! Ces petits tyrans numériques qui vibrent à votre poignet pour vous rappeler que vous avez oublié de boire votre huitième café de la journée, ou pire, que votre marathon mental contre la procrastination vient de s'achever par un KO technique. Imaginez, un gadget qui sait plus de choses sur votre rythme cardiaque que votre ex sur vos faiblesses émotionnelles.
 
 
Bienvenue dans l'ère où le temps n'est plus une ligne droite, mais un GPS personnel qui vous hurle "Re-calculez l'itinéraire !" dès que vous déviez vers le frigo. Aujourd'hui, nous plongeons dans les méandres high-tech de la Suunto Race S, cette montre finlandaise qui promet de transformer vos sueurs froides en sueurs... chaudes, grâce à un cocktail de précision nordique, d'humour glacial et de critiques bien senties. Spoiler : elle court plus vite que votre résolution du Nouvel An, mais attention, elle n'hésite pas à vous faire trébucher sur ses lacunes logicielles.Mais avant de boucler notre chrono, remontons le temps – parce que, ironie du sort, ces montres adorent nous faire regarder en arrière tout en nous projetant vers l'avenir.
 
Ce n'est pas une invention sortie d'un labo secret d'Elon Musk hier matin. Non, leur saga commence bien avant que les smartphones ne nous transforment en zombies scrollant. Dès 1927, un certain John Harwood imagine une montre à affichage digital, mais c'est en 1972 que Hamilton Watch Company et Electro/Data Inc. lâchent la première bombe : la Pulsar, une LED prototype qui clignote comme un sapin de Noël sous amphétamines.
 
Imaginez, pas de TikTok, mais déjà l'idée de porter un mini-ordinateur au poignet. Les années 80 et 90 voient un boom – Seiko lance le Ruputer en 1998, capable de... running des apps basiques, ce qui, à l'époque, équivaut à révolutionner la vie comme l'iPhone l'a fait pour les selfies ratés.
 
Puis vient le grand saut, l'Apple Watch en 2015, qui transforme le poignet en extension du cerveau (ou du portefeuille, selon les puristes). Aujourd'hui, en 2025, le marché explose avec des mastodontes comme Garmin, Fitbit et nos amis nordiques. Ces bijoux high-tech ne se contentent plus de donner l'heure ; elles trackent vos pas comme un détective privé obsédé, prédisent la pluie mieux que votre grand-mère, et vous motivent avec des badges virtuels qui valent moins que des likes sur Instagram.
 
Mais qu'est-ce qu'une montre connectée, au juste ? C'est un mini-ordinateur portable, étanche (souvent), avec écran tactile, capteurs (cœur, GPS, accéléromètre), et une app compagnon qui sync vos données sur votre phone. Elle mesure, analyse, et – miracle – vous fait croire que vous êtes un athlète olympique... jusqu'à ce que le lundi revienne.Critique matinale : ces gadgets nous vendent la liberté, mais nous enchaînent à des notifications incessantes. "Bougez plus !" qu'elles piaillent, pendant que vous marchez déjà vers la machine à café. C'est comme un sauna qui vous dit "Transpirez, mais pas trop, ou je vous taxe en batterie"
 
.Suunto est la marque qui aime les neiges éternelles et les défis épiques. Pour apprivoiser la Race S, il faut d'abord saluer sa maison mère car Suunto est une  légende finlandaise née en 1936 des mains gantées de Tuomas Vohlonen, un orienteur frustré par les compas foireux de l'époque.

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Knee-deep in snow, comme on dit, il invente un compas liquide-filled, et boom : Suunto devient le phare des aventuriers. Des expéditions himalayennes aux plongées abyssales, la marque forge sa réputation en outdoor pur jus – GPS, altimètres, tout pour ne pas se perdre dans la toundra ou votre sentier de randonnée dominical.Aujourd'hui, Suunto est une filiale d'Amer Sports (rachetée en 2019 par le géant chinois Anta Sports, aux côtés de Wilson et Salomon).
 
Ironie du sort, voilà une marque finlandaise "made in China" ? C'est comme du saumon fumé vegan – ça marche, mais ça gratte un peu les puristes. Pourtant, Suunto reste fidèle à son ADN : robustesse nordique, design minimaliste, et une obsession pour la précision. Pas de bling-bling Apple, ici c'est du fonctionnel qui dure, comme un sauna qui refuse de s'éteindre. Sous pavillon chinois, on craint une dilution de l'âme finlandaise, mais les produits parlent d'eux-mêmes. Et la Race S ? C'est leur coup de maître 2024, une version "lite" de la Race originale, plus compacte, plus abordable, et – attendez – plus feature-packed. Parce que chez Suunto, on n'aime pas les demi-mesures.
 
La Race S déballée propose des  versions, looks et matériaux qui ffont mouche (ou pPas) .Ouvrons la boîte – virtuellement, hein, pas de gaspillage carbone. La Suunto Race S arrive en plusieurs saveurs, pour coller à votre vibe d'aventurier citadin ou de traileur masochiste. La version de base (46mm) en acier inoxydable : All Black pour le stealth mode, Power Orange pour hurler "Je cours, regardez-moi !", ou Titanium Canary (jaune vif, 449$) pour les premium qui veulent briller sans se ruiner.
 
Il y a aussi une variante Titanium plus chic à 449$, avec boîtier titane ultra-léger (49g seulement, contre 69g pour la Race standard). Pas de 42mm pour les minus poitrines, désolé les poignets de porcelaine – c'est du 46mm ou rien, ce qui la rend un poil massive pour les yoga-moms. Esthétiquement ? Un pur design scandinave : cadran rond AMOLED 1.43" (466x466 pixels), lumineux comme un aurore boréale, avec verre saphir anti-rayures qui défie vos chutes maladroites. Le bezel en acier poli ou titane mate respire l'élégance sobre – pas de strass, mais une finesse qui la fait passer pour une montre "normale" au bureau. Pour les matériaux : acier 316L recyclé pour l'éco-friendly (bravo Suunto !), titane grade 5 pour la version pro, et bracelet silicone respirant, interchangeable en un clin d'œil. Humour : c'est comme une armure viking en mode low-carb – robuste, mais si légère que vous oubliez qu'elle tracke vos calories brûlées (ou pas).Critique piquante : l'AMOLED est top, mais en plein soleil, il lave un peu les couleurs. Et le titane ? Sexy, mais à 100$ de plus, c'est du snobisme justifié seulement si vous escaladez l'Everest en costard.
 
Et les Fonctions : GPS et Météo en Têtes d'Affiche, Plus un Buffet MultisportsC'est là que la Race S brille – ou gémit, selon l'humeur. D'abord, qu'est-ce qu'une montre connectée sans GPS ? Un bracelet qui ment sur vos pas. La Race S embarque un dual-band GNSS (GPS, GLONASS, Galileo, BeiDou), précis au mètre près, même en openwater ou sous forêt dense.

Une bonne synthèse avec DC Rainmaker:  Voici tout ce que vous devez savoir sur la nouvelle Suunto Race S : nouvelles fonctionnalités, précision et bien plus encore ! Voici les nouveautés (par rapport à la Suunto Race existante, plus grande) :

– La Suunto Race S présente un boîtier de 45 mm et un écran tactile AMOLED de 1,32 pouce.
– Nouveau capteur optique de fréquence cardiaque.
– Fabriquée en Finlande (voir notes ci-dessous).
– Ajout du guidage Suunto Climb (une fonctionnalité similaire à ClimbPro).
– Ajout de trois nouveaux cadrans.
– Possibilité de personnaliser les cadrans, les couleurs et les complications (depuis la montre).
– Ajout d'émojis colorés (au lieu d'émojis noirs et blancs au pochoir).
– Augmentation du nombre d'émojis de 300 à environ 1 000.
– Amélioration des performances et de la réactivité de l'interface utilisateur (plus de problèmes).
– Ajout de paramètres d'affichage spécifiques aux modes sportifs (luminosité, etc.).
– Ajout d'un nouvel écran de pause (permettant d'afficher les données d'entraînement en pause).
– Augmentation du niveau de zoom de la carte jusqu'à 20 km (depuis 2KM)
– Notifications étape par étape réduites au bas de l'écran (au lieu d'un affichage plein écran)
– Ajout de plus d'une demi-douzaine d'applications Suunto dans le cadre de la mise à jour de juin 2024 (dont la prise en charge du capteur Moxy)
– Suivi du cycle menstruel dans l'application Suunto (enregistrement/suivi manuel pour le moment)
– Amélioration du compteur de pas pour réduire les erreurs de détection (par exemple, réduction du nombre de pas de brossage de dents)
– Prise en charge du vietnamien
– Augmentation de la capacité de stockage cartographique à 32 Go (au lieu de 16 Go pour la montre Race en acier inoxydable)
– 28 % plus légère que la Suunto Race (60 g contre 83 g)
– 14 % plus fine que la Suunto Race (11,4 mm pour la montre S contre 13,3 mm)
– Étanchéité à 50 m, au lieu de 100 m pour la Suunto Race
– Maintien de la compensation carbone à 100 %
– Maintien de la double fréquence/multibande GNSS
– Conserve le même design de bracelet de 22 mm
– Verre Gorilla Glass (contrairement au verre saphir de la Suunto Race)
– Lunette en acier inoxydable
– Prix : 349 EUR

 
 
Testé en mer ou trail, il capte les signaux comme un radar finlandais dans le brouillard – adieu les écarts de 50m chez les concurrents. Ajoutez l'Epoch 8 chipset pour une accuracy cardiaque optique upgradée, et vous avez un coach personnel qui ne juge pas vos sprints vers le kebab.Mais l'étoile du show ?
Les fonctions météo. Grâce à un altimètre barométrique haute précision, elle prédit les orages mieux que Météo-France un lundi férié. Température ambiante, pression, prévisions locales via connectivité – imaginez : "Pluie dans 2h, rentrez votre linge... ou votre ego surdimensionné après ce 10km".
 
C'est votre baromètre personnel, qui vous prévient non seulement de la pluie, mais aussi de la "tempête" si vous ignorez son alerte "Marchez plus, feignasse !".Autres perles : 95+ modes sports (course, natation, ski – oui, Suunto adore la neige), musique offline (Spotify/Deezer, 8GB stock), VO2 max, recovery time, et même un "Training Load" qui analyse si vous êtes un surentraîné ou un sous-doué. Batterie ? 26h en GPS full, 12 jours en mode montre – impressionnant pour un AMOLED, qui bouffe comme un ogre.
 
Le logiciel Suunto est parfois buggy – sync lent avec l'app, et pas de Siri-like assistant. Et la musique ? Top, mais pas de haut-parleur intégré, désolé les shower-concertistes.Versions diffèrent peu : la Titanium ajoute juste du titane et un look pro, mais mêmes fonctions. Pas de "S Lite" ou quoi – Suunto garde ça simple, comme un plat de saucisses finlandaises.
Le rapport qualité-prix : Un vol en plein diront nombre d'amateur. Pour votre portefeuilleÀ 349$ (ou 449$ Titanium), la Race S est un braquage légal mais c'est aussi le bon modèle disponible, en plus avant Noël. 
 
Contre un Garmin Forerunner 265 à 450$, elle offre plus de batterie, un écran plus vif, et un GPS qui ne fait pas la sieste en forêt. Valeur pour money ? Énorme – feature-packed sans le premium tax, à ce prix, on attend zéro lag, mais Suunto patine encore sur les updates. C'est comme payer un billet pour Helsinki et atterrir avec un sauna gratuit – deal du siècle, tant que le vol n'est pas annulé par bug.
 
au niveau des accessoires, parce qu'une montre sans bling, c'est triste, Suunto ne vous lâche pas nu : bracelets quick-release (silicone 22mm, cuir vegan, nylon pour 30-50$), support vélo (29$), ou straps métal pour le bureau (79$). Chargeur magnétique inclus, mais pas de dock fancy. Les options éco-friendly sont bienvenues, mais où est le chargeur solaire pour les puristes green ? Changez de bracelet plus souvent que de chaussettes après un trail, et vous passez de randonneur à dandy en un clic.Compatibilité : iOS, Android, et Votre Bon SensSync flawless avec l'app Suunto (iOS/Android), qui déverse vos data sur Strava, TrainingPeaks, ou HealthKit. Bluetooth 5.0, WiFi pour maps offline. Pas de drama cross-platform – elle joue avec tout, sauf peut-être votre vieux Nokia 3310. L'app est intuitive, mais manque de polish comparé à Garmin Connect. "Où est mon dashboard 3D ?" geignent les geeks.Les Retours des Acheteurs : Éloges glacés et piques chaudesSur X (ex-Twitter), les users adorent : "GPS précis comme un sniper finlandais, batterie qui tient le coup même en ultra-trail" (@waitin4agi_, mai 2025).
 
Un autre : "Valeur insane à 349$, accuracy upgradée sur openwater" (de reviews croisées).
 
Pros : légèreté, maps, autonomie (40% fin de journée light use).
 
Cons : "Charging inconsistent, parfois lent comme un escargot saoul" ; logiciel "buggy en sync" ; et "pas d'ANC pour la musique, wait what ?". Global : 4.5/5 sur Wareable, "worthy Garmin killer".
 
Les haters disent "trop basique", mais c'est comme critiquer un sauna pour manque de jacuzzi – c'est pas le point !Conclusion : La Race S, Course vers l'Aventure... ou le Canapé ?La Suunto Race S n'est pas parfaite – son soft traîne des skis, et elle snobe les petits poignets. Mais pour 349$, c'est un triomphe : GPS/météo au top, design qui en jette sans forcer, et un rapport Q/P qui fait rougir les géants. Si vous courez, marchez, ou juste survivez au quotidien, elle vous portera loin.
Suunto, uppez ce firmware, ou on vous envoie en Sibérie tester le cold boot. Pour les fans, portez-la, et vous ne perdrez plus jamais le nord – sauf si c'est pour trouver le frigo.

08:03 Publié dans Actualité, Gadgets, Montre connectée | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

17/10/2025

De Windows 10 à 11 dans la pratique

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Un grand nombre d'utilisateurs de Windows 10 expriment une réticence marquée à migrer vers Windows 11, pour plusieurs raisons bien documentées. Tout d'abord, les exigences matérielles strictes imposées par Microsoft constituent un frein majeur. Windows 11 nécessite un processeur compatible (généralement de génération récente, comme Intel 8e gen ou AMD Ryzen 2000 et plus), un module TPM 2.0 activé, et au moins 4 Go de RAM avec un stockage de 64 Go. De nombreux PC plus anciens, pourtant performants pour des tâches quotidiennes, ne remplissent pas ces critères, obligeant les utilisateurs à investir dans du nouveau matériel ou à contourner ces restrictions via des hacks non officiels, ce qui pose des risques de sécurité. Par exemple, des forums comme Reddit regorgent de témoignages d'utilisateurs qui préfèrent rester sur Windows 10 jusqu'à la fin de son support, arguant que leur machine actuelle fonctionne parfaitement pour la navigation web, la bureautique ou même le gaming léger. Ensuite, la satisfaction globale avec Windows 10 joue un rôle clé. Beaucoup considèrent que l'interface de Windows 10 est plus intuitive et personnalisable que celle de Windows 11. La barre des tâches centrée par défaut dans Windows 11, le menu Démarrer redessiné (qui intègre plus d'éléments publicitaires comme des recommandations d'apps ou de services Microsoft), et l'intégration forcée de fonctionnalités comme Copilot (basé sur l'IA) sont perçus comme des changements inutiles ou intrusifs.
 
 
Des critiques soulignent que Windows 11 introduit plus d'annonces et de bloatware, ce qui dégrade l'expérience utilisateur par rapport à un Windows 10 "propre" et stable. De plus, pour les professionnels ou les gamers, la compatibilité logicielle n'apporte pas d'améliorations substantielles justifiant la migration, surtout si des applications legacy fonctionnent mieux sous Windows 10.
La fin du support gratuit de Windows 10 en octobre 2025 accentue ce dilemme : après cette date, Microsoft cessera de fournir des mises à jour de sécurité gratuites, exposant les utilisateurs à des vulnérabilités. Pourtant, des options comme le paiement pour un support étendu (Extended Security Updates, ESU) à environ 30-60 dollars par an permettent de prolonger la vie de Windows 10, ce que choisissent certains pour éviter la migration.
 
D'autres, frustrés par ces contraintes, se tournent vers des alternatives comme Linux, contribuant à sa croissance récente. Des analyses indiquent que cette réticence a ralenti l'adoption de Windows 11, qui n'atteint pas les niveaux espérés par Microsoft, avec seulement une partie des utilisateurs de Windows 10 ayant migré malgré les incitations.
 
Passons maintenant à la situation de Linux, qui émerge comme une alternative viable dans ce paysage. En 2025, Linux représente environ 4-5 % des OS desktops mondiaux, mais sa part grimpe dans des niches spécifiques, comme les développeurs, les serveurs (où il domine avec plus de 80 % du marché) et de plus en plus les utilisateurs domestiques. En France, les chiffres sont encourageants : plus de 2 millions d'utilisateurs sur PC, avec une part de marché de 4,28 % en juin 2025, soit une augmentation de 1,28 point en un an.
 
Cette progression s'explique par plusieurs facteurs : la gratuité, la personnalisation (via des distributions comme Ubuntu, Fedora ou Mint), une meilleure sécurité contre les malwares, et une communauté active qui améliore constamment l'OS. De plus, le malaise autour de Windows – publicités, exigences hardware, et préoccupations sur la vie privée – pousse des utilisateurs à tester Linux, surtout avec des outils comme Steam Proton pour le gaming.Dans les administrations et services publics, Linux connaît une adoption croissante, motivée par des enjeux de souveraineté numérique, de coût et d'ouverture. Mondialement, des gouvernements comme ceux de l'Inde, du Brésil ou de l'Allemagne migrent vers Linux pour réduire la dépendance à des géants américains comme Microsoft, favorisant l'open source pour des raisons de sécurité et d'économie.
 
En Europe, la Linux Foundation met en avant l'open source comme un avantage stratégique, avec des rapports soulignant des gaps en leadership mais un potentiel énorme pour l'innovation et la souveraineté digitale. Des initiatives comme l'UN Open Source Week 2025 soulignent la collaboration globale pour bâtir des infrastructures publiques digitales via l'open source.
 
En France, la situation est particulièrement dynamique. Les administrations publiques promeuvent l'utilisation de logiciels libres depuis des années, via le Socle Interministériel de Logiciels Libres (SILL), qui recommande des distributions Linux pour divers usages. En 2025, on observe une vague de craintes envers Microsoft, liée aux politiques américaines (comme le Cloud Act) et aux incidents de sécurité, poussant des entités comme le Ministère des Armées ou des collectivités territoriales à adopter Linux.
 
Par exemple, des projets comme EU-OS, une distribution Linux conçue pour le secteur public européen, visent à fournir une alternative souveraine et sécurisée. L'adoption domestique massive (2 millions d'utilisateurs) renforce cela, avec une utilisation deux fois supérieure à domicile qu'en entreprise, indiquant un choix personnel qui pourrait s'étendre aux sphères publiques.
 
Quant à l'avenir de Linux dans les administrations et services publics, il semble prometteur. Les projections pour 2025-2034 anticipent une croissance annuelle composée de 10-15 % pour le marché Linux, tirée par l'open source dans le cloud, l'IA et les HPC (High Performance Computing).
 
En France et en Europe, des régulations comme le Digital Markets Act et des investissements dans la souveraineté numérique (via NextGenerationEU) favoriseront l'adoption. On pourrait voir Linux atteindre 10 % dans les administrations d'ici 2030, surtout si des migrations massives post-Windows 10 se concrétisent. Des défis persistent, comme la formation des agents et la compatibilité avec certains logiciels propriétaires, mais l'écosystème mature (avec des outils comme LibreOffice ou GIMP) et les économies (jusqu'à 50 % sur les licences) rendent cela viable.
 
Au final, Linux n'est plus une niche ; il pourrait devenir un pilier des services publics, promouvant une informatique éthique et indépendante.En conclusion, le marché des OS en 2025 illustre une tension entre inertie et innovation : Windows domine mais peine à convertir ses fidèles de Windows 10, tandis que Linux gagne du terrain, particulièrement dans les sphères publiques où la souveraineté prime. Cette évolution pourrait redessiner le paysage informatique dans les années à venir.
 
Passer de Windows 10 Famille à Windows 11 Famille est une opération relativement simple et gratuite si votre PC répond aux exigences minimales et que votre version de Windows 10 est activée. Cette mise à niveau conserve généralement vos fichiers, applications et paramètres, mais il est essentiel de prendre des précautions pour éviter toute perte de données ou problème technique. La procédure décrite ci-dessous est adaptée à une édition française en 64 bits, qui est la norme pour la plupart des PC modernes. Microsoft propose des outils officiels qui détectent automatiquement la langue et l'architecture de votre système (français et 64 bits), ou vous permettent de les sélectionner lors de la création d'un support d'installation.Je vais d'abord détailler les précautions à prendre, puis la procédure étape par étape avec les différentes méthodes recommandées par Microsoft. Notez que la date actuelle est le 13 octobre 2025, et que le support de Windows 10 se termine le 14 octobre 2025, rendant cette mise à niveau urgente pour maintenir la sécurité de votre PC.
 

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Avant de commencer, il est crucial de préparer votre PC pour éviter des surprises désagréables. Voici les principales précautions, basées sur les recommandations officielles de Microsoft :
 
Vérifiez la compatibilité de votre PC :
    • Windows 11 impose des exigences strictes : processeur 64 bits compatible (Intel 8e génération ou plus récent, AMD Ryzen 2000 ou plus récent, ou certains Qualcomm Snapdragon), au moins 4 Go de RAM (8 Go recommandés), 64 Go d'espace disque libre, carte graphique compatible DirectX 12 avec pilote WDDM 2.0, TPM 2.0 activé, et Secure Boot activé dans le BIOS/UEFI.
    • Téléchargez et exécutez l'application Contrôle d'intégrité du PC (PC Health Check) pour vérifier si votre PC est éligible. Lien de téléchargement : [https://www.microsoft.com/fr-fr/windows/windows-11#pcheal...
       
       
      . Si votre PC n'est pas compatible, la mise à niveau échouera, et vous devrez peut-être acheter un nouveau matériel ou contourner les exigences (non recommandé, car cela peut compromettre la sécurité et les mises à jour futures).
    • Vérifiez les spécifications complètes ici : [https://www.microsoft.com/fr-fr/windows/windows-11-specif...
       
       
      .
    • Si vous avez un processeur ARM (rare sur PC), l'assistant d'installation ne fonctionnera pas ; attendez une notification via Windows Update.

 

2 . Sauvegardez vos données :

    • Effectuez une sauvegarde complète de vos fichiers, photos, documents et paramètres. Utilisez OneDrive (inclus dans Windows) pour une sauvegarde automatique : consultez le guide [https://support.microsoft.com/fr-fr/office/sauvegarder-vo...
       
       
      . Alternativement, utilisez un disque externe ou un service cloud comme Google Drive.
    • Notez vos mots de passe et licences logicielles, car certains programmes pourraient nécessiter une réactivation après la mise à niveau.
    • Évitez de stocker des données sensibles sur le disque C: sans backup, car bien que la mise à niveau conserve les fichiers par défaut, un problème technique pourrait les effacer.
  1. Mettez à jour Windows 10 :
    • Assurez-vous que votre Windows 10 est à jour (version 2004 ou ultérieure). Allez dans Paramètres > Mise à jour et sécurité > Windows Update et installez toutes les mises à jour disponibles. Cela peut débloquer l'offre de mise à niveau vers Windows 11.
    • Vérifiez les problèmes connus : Consultez [https://aka.ms/windowsreleasehealth]
       
       
      pour voir si des bugs affectent votre matériel (par exemple, incompatibilités avec certains pilotes Intel ou AMD).
  2. Préparez votre environnement :
    • Ayez une connexion internet stable et rapide (au moins 9 Go d'espace disque libre pour le téléchargement).
    • Fermez tous les programmes et sauvegardez votre travail en cours.
    • Prévoyez du temps : La mise à niveau peut prendre de 1 à plusieurs heures, selon votre connexion et votre PC. Ne l'interrompez pas, car cela pourrait corrompre le système.
    • Si vous avez des périphériques anciens (imprimantes, scanners), vérifiez la disponibilité de pilotes compatibles Windows 11 sur le site du fabricant. Certains pilotes obsolètes pourraient causer des problèmes post-mise à niveau.
    • Désactivez temporairement votre antivirus tiers (gardez Windows Defender actif) pour éviter des interférences.
    • Si vous rencontrez des erreurs, consultez le guide de dépannage : [https://support.microsoft.com/fr-fr/windows/obtenir-de-l-...
       
       
      .
  3. Autres considérations :
    • Si votre Windows 10 n'est pas activé, activez-le d'abord avec une clé produit valide.
    • Certaines fonctionnalités de Windows 10 (comme le mode S ou certains widgets) pourraient changer ou disparaître dans Windows 11.
    • En cas de doute, testez la mise à niveau sur un PC secondaire si possible.
    • Après la mise à niveau, vous avez 10 jours pour revenir à Windows 10 via Paramètres > Mise à jour et sécurité > Récupération si quelque chose ne va pas.
Procédure étape par étape pour la mise à niveauMicrosoft propose trois méthodes principales pour la mise à niveau. La plus simple est via Windows Update, mais si elle n'est pas disponible, utilisez l'Assistant d'installation ou un support d'installation. Toutes ces méthodes supportent l'édition française 64 bits automatiquement (basé sur votre système actuel) ou via sélection lors de la création d'un ISO.Méthode 1 : Mise à niveau via Windows Update (recommandée, la plus simple)Cette méthode est automatique si votre PC est éligible. Elle conserve tous vos fichiers et applications.
  1. Ouvrez Paramètres (appuyez sur Windows + I).
  2. Allez dans Mise à jour et sécurité > Windows Update (ou tapez "ms-settings:windowsupdate" dans la barre de recherche).
  3. Cliquez sur Rechercher les mises à jour.
  4. Si des mises à jour pour Windows 10 sont disponibles, installez-les et redémarrez votre PC. Répétez l'étape 3.
  5. Une fois prêt, un message "La mise à niveau vers Windows 11 est prête" apparaîtra. Cliquez sur Télécharger et installer
     
     
    .
  6. Acceptez les conditions de licence en cliquant sur Accepter et installer.
  7. Le téléchargement commence (cela peut prendre du temps). Vous pouvez planifier l'installation pour plus tard.
  8. Une fois prêt, cliquez sur Redémarrer maintenant (ou attendez la notification).
  9. Votre PC redémarrera plusieurs fois automatiquement. Ne l'éteignez pas !
  10. À la fin, connectez-vous à votre compte. Windows 11 s'ouvrira, et vous pourrez configurer les nouveautés (comme le menu Démarrer centré).
Si Windows 11 n'apparaît pas, votre PC n'est peut-être pas encore éligible ; patientez ou passez à une autre méthode.Méthode 2 : Utiliser l'Assistant d'installation de Windows 11Idéal si Windows Update ne propose pas la mise à niveau.
  1. Téléchargez l'Assistant d'installation depuis le site officiel : [https://www.microsoft.com/fr-fr/software-download/windows...
     
     
    . Cliquez sur "Télécharger maintenant" sous "Assistant d’installation de Windows 11".
  2. Exécutez le fichier téléchargé (vous devez être administrateur).
  3. L'assistant vérifie la compatibilité. Si OK, acceptez les conditions de licence.
  4. Cliquez sur Accepter et installer.
  5. Le téléchargement et l'installation commencent. Votre PC redémarrera plusieurs fois.
  6. À la fin, connectez-vous et configurez Windows 11.
Méthode 3 : Utiliser un support d'installation (clé USB ou ISO)Utile pour une mise à niveau manuelle ou si les méthodes précédentes échouent. Cela permet de sélectionner explicitement l'édition française 64 bits.
  1. Téléchargez l'outil de création de support depuis [https://www.microsoft.com/fr-fr/software-download/windows...
     
     
    . Cliquez sur "Télécharger maintenant" sous "Créer un support d’installation pour Windows 11".
  2. Exécutez l'outil et acceptez les conditions.
  3. Sélectionnez "Créer un support d’installation (clé USB, DVD ou fichier ISO) pour un autre PC".
  4. Choisissez la langue : Français (France), édition : Windows 11 Home, architecture : 64 bits.
  5. Sélectionnez "Fichier ISO" (pour graver plus tard) ou "Clé USB" (insérez une clé de 8 Go minimum).
  6. Une fois créé, insérez la clé USB ou montez l'ISO (clic droit > Monter).
  7. Ouvrez l'Explorateur de fichiers, allez sur le support, et exécutez setup.exe.
  8. Suivez les instructions : Choisissez "Conserver les fichiers personnels et les applications" pour une mise à niveau.
  9. Acceptez les licences et installez. Le PC redémarrera plusieurs fois.
  10. À la fin, configurez Windows 11.
Pour plus de détails sur la création du support : [https://support.microsoft.com/fr-fr/windows/cr%C3%A9ation...
 

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.Après la mise à niveau
  • Vérifiez les mises à jour dans Paramètres > Windows Update.
  • Réinstallez les pilotes si nécessaire (via le Gestionnaire de périphériques).
  • Si des problèmes surgissent, utilisez l'outil de dépannage intégré ou revenez à Windows 10 dans les 10 jours.

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10/10/2025

En passant par Windows 11

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En 2025, le marché des systèmes d'exploitation (OS) pour ordinateurs personnels (PC) reste dominé par quelques acteurs principaux, avec une répartition qui reflète à la fois l'héritage historique et les évolutions technologiques récentes. Selon les données mondiales compilées par des sources comme StatCounter et Statista, Windows de Microsoft conserve une position hégémonique, capturant environ 70 à 72 % des parts de marché sur les desktops. Ce chiffre inclut à la fois Windows 10 et Windows 11, bien que la transition entre les deux versions soit un point de friction majeur. macOS d'Apple suit avec une part estimée entre 15 et 18 %, particulièrement forte dans les pays occidentaux comme les États-Unis, où elle bénéficie d'une intégration fluide avec l'écosystème Apple. Linux, quant à lui, progresse lentement mais sûrement, atteignant 4 à 5 % mondialement, avec des pics notables dans certains marchés comme les États-Unis (5,03 % en juin 2025) ou la France (4,28 %). ChromeOS de Google, souvent considéré à part pour son orientation cloud, oscille autour de 2 %, tandis que d'autres OS mineurs (comme BSD ou des distributions exotiques) représentent moins de 1 % collectivement.
Cette répartition n'est pas statique ; elle est influencée par des facteurs comme la fin du support de Windows 10, prévue pour le 14 octobre 2025, qui pousse les utilisateurs à reconsidérer leurs choix. Historiquement, Windows a dominé grâce à sa compatibilité avec une vaste gamme de logiciels professionnels et de jeux, ainsi qu'à son adoption massive dans les entreprises. En 2025, cependant, on observe une légère érosion de cette dominance, avec une croissance de Linux attribuable en partie au malaise autour de la migration vers Windows 11. Les statistiques montrent que Windows 10 représente encore une portion significative des installations Windows, autour de 25-30 % du total des OS desktops, même si ce chiffre diminue progressivement. Cela s'explique par le fait que de nombreux utilisateurs satisfaits de Windows 10 ne voient pas d'intérêt immédiat à passer à Windows 11.

 

Windows 11... Ce système d'exploitation qui est arrivé comme un invité surprise à une fête où tout le monde s'amusait encore avec Windows 10. Lancé en octobre 2021 par Microsoft, il promettait une révolution esthétique et fonctionnelle, mais a souvent été accueilli par un mélange de "waouh" et de "pourquoi ?". Dans cet article, nous plongerons dans les méandres de son histoire, ses apports (ou prétendus tels), les critiques qui pleuvent comme des mises à jour forcées, et les raisons pour lesquelles vous devriez – ou non – sauter le pas. Avec une pointe d'humour, parce que franchement, qui n'a pas ri jaune en voyant son PC refuser de démarrer après une update ?
 
Et pour couronner le tout, nous évoquerons l'ombre de Windows 12 qui plane, tel un teaser de film hollywoodien qui nous fait hésiter à acheter le billet pour la séance actuelle.Préparez-vous à un voyage détaillé, car nous ne lésinerons pas sur les détails. Après tout, dans le monde de la tech, plus c'est long, plus c'est... explicatif. Allons-y !Un Petit Historique : Des Racines dans le Soleil de la ValléeWindows 11 n'est pas sorti du chapeau d'un magicien chez Microsoft. Son origine remonte à une lignée prestigieuse de systèmes d'exploitation qui ont marqué l'histoire de l'informatique personnelle. Pour rappel, la saga Windows a débuté en 1985 avec Windows 1.0, une interface graphique greffée sur MS-DOS, inspirée (pour ne pas dire copiée) des idées de Xerox et Apple.
 
Mais accélérons jusqu'aux années 2010.Windows 10, lancé en 2015, était censé être la "dernière version de Windows" selon les dires de Microsoft à l'époque – une promesse qui a tenu autant que celle d'un politicien en campagne. En réalité, Windows 11 a émergé d'un projet interne baptisé "Sun Valley", une refonte visuelle et fonctionnelle de Windows 10. Annoncé le 24 juin 2021 lors d'un événement virtuel, il a été officiellement released le 5 octobre 2021. Pourquoi ce saut de numéro ? Microsoft a sauté Windows 9 pour éviter des confusions avec des codes legacy de Windows 95/98, et pour Windows 11, c'était une façon de marquer une rupture, même si sous le capot, c'est toujours le noyau NT qui ronronne.Selon des sources internes relayées par Wikipedia, le développement a commencé bien avant l'annonce, avec des builds fuités dès juin 2021 qui ont excité la communauté tech. "Windows 11 est une version majeure du système d'exploitation Windows NT développé par Microsoft, released en octobre 2021"
 
 Mais pourquoi l'avoir créé ? Certains spéculent que c'était pour imposer de nouvelles exigences hardware, comme le support du TPM 2.0 et des processeurs récents, afin de booster les ventes de PC. D'autres y voient une réponse à la concurrence d'Apple avec macOS et de Google avec Chrome OS. En tout cas, comme l'a dit un podcaster tech anonyme sur Reddit, "C'était pour distinguer les versions Windows qui requièrent des processeurs de 8e génération ou plus". Microsoft, qui domine 70% du marché desktop, se sent menacé par des outsiders.Pour enrichir ce récit, citons Satya Nadella, CEO de Microsoft, dans une interview au Wall Street Journal : "Windows devient de plus en plus le dispositif qui relie tous ces écosystèmes" (WSJ, 2021). Une vision poétique pour un OS qui, au fond, gère juste nos fichiers et nos plantages.
 
Mais creusons plus profond. L'histoire de Windows est jalonnée de succès et d'échecs. Windows 95 a révolutionné avec son menu Démarrer, Windows XP a stabilisé le tout, Vista a été un flop ergonomique, 7 un chouchou, 8 une catastrophe tactile, et 10 une synthèse solide. Windows 11 ? C'est comme si Microsoft avait pris Windows 10, l'avait passé au lave-linge avec du Fluent Design (leur langage visuel arrondi et transparent), et ajouté une dose d'IA pour faire moderne. Le codename "Sun Valley" évoque les montagnes ensoleillées de l'Idaho, mais pour beaucoup d'utilisateurs, c'était plutôt une vallée de larmes au lancement.Le développement a probablement commencé vers 2019-2020, avec des fuites en 2021.
 
Une question sur Reddit demande : "Quand Microsoft a-t-il commencé à développer Windows 11 ? Environ 2-3 ans avant la release, comme la plupart des OS majeurs. Et pour l'origine plus large, rappelons que Windows NT, le cœur de tout, date de 1993, conçu par David Cutler, ex-DEC.Ce Que Windows 11 Apporte Après Windows 10 : Une Cure de Jouvence ou du Maquillage ?Passons aux nouveautés. Windows 11 n'est pas une révolution, mais une évolution polie de Windows 10. Visuellement, c'est le grand changement : coins arrondis, transparence Mica, animations fluides. Le menu Démarrer est centré (inspiré de macOS ?), avec des icônes pinnées et des recommandations basées sur l'usage. "Windows 11 présente une interface plus élégante et cohérente que Windows 10, avec des coins arrondis sur les fenêtres des programmes" (PCMag, 2025).
 
Fonctionnellement, Snap Layouts pour organiser les fenêtres facilement, des widgets pour des infos rapides (météo, news, mais souvent critiqués pour être envahissants), intégration native de Microsoft Teams (parce que Zoom n'était pas assez ?), et des améliorations pour les tablettes avec un mode tactile plus intuitif. Pour les gamers, DirectStorage accélère les chargements, et Auto HDR embellit les vieux jeux. Sous le capot : meilleure gestion de la mémoire, reprise plus rapide du sommeil, et des mises à jour plus petites. "Windows 11 améliore les performances par rapport à Windows 10 en optimisant la gestion de la mémoire, en améliorant l'autonomie de la batterie, en accélérant la reprise du sommeil, en réduisant la taille des mises à jour" (Support JCCMI, 2025).
 
Comparé à Windows 10 : Ce dernier avait un menu Démarrer à gauche, plus personnalisable mais daté. Windows 11 est plus "zen", avec un focus sur la productivité. Mais est-ce suffisant ? Comme le note un article de How-To Geek : "J'ai enfin switché à Windows 11 et je regrette déjà certaines fonctionnalités de Windows 10" (2024).
 
Par exemple, le tri dans l'Explorateur de fichiers est similaire, mais l'UI est différente, et certains regrettent la barre des tâches plus flexible de 10.Côté sécurité : TPM 2.0 obligatoire pour le chiffrement, et des features comme Memory Integrity pour bloquer les malwares. Pour les pros, BitLocker est plus accessible. Et avec l'arrivée de Copilot (l'IA de Microsoft), Windows 11 devient un assistant personnel – ou un espion, selon votre paranoïa. Windows 11 apporte des "snap groups" pour grouper les fenêtres, parfait pour ceux qui ont 42 onglets ouverts comme moi. Pourtant, c'est comme si Microsoft disait : "On sait que vous êtes désorganisés, on va vous aider... en vous forçant à adopter notre vision". Et les widgets ? Une barre latérale qui pousse des news MSN, souvent sensationnalistes. "Les widgets sont limités et ne contiennent que les partenaires de Microsoft" (Scott R. Larson, 2025).
 

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 Pas de quoi sauter au plafond.En profondeur, explorons les mises à jour annuelles. La version 22H2 a ajouté des dossiers dans le menu Démarrer, 23H2 a intégré Copilot, et 24H2 apporte plus d'IA comme un éditeur vidéo virtuel et une lecture d'écran polyglotte. "Microsoft publie une grande mise à jour de Windows 11 avec Copilot AI inclus" (CNBC, 2023)..
 
Pour les devs, support amélioré de WSL (Windows Subsystem for Linux), rendant l'OS plus attractif pour les codeurs.Les Critiques à la Sortie et Depuis : Un Festival de Bugs et de FrustrationsÀ sa sortie, Windows 11 a été salué pour son look, mais fustigé pour ses exigences hardware draconiennes. Pas de processeur Intel 8e gen ou AMD Ryzen 2000 ? Désolé, restez sur 10. "Les exigences hardware de Windows 11 sont trop strictes" (PCMag, 2024).
 
Des millions de PC perfectly fonctionnels ont été exclus, forçant des upgrades coûteux. Humour noir : Microsoft aide l'environnement en encourageant le recyclage... de vieux PC vers la poubelle.Critiques persistantes : L'UI est inconsistante – certains menus sont modernes, d'autres datent de Windows 95. "Windows 11 est joli, mais horriblement incomplet et incohérent, avec des régressions fonctionnelles majeures" (Thurrott.com, 2021).
La barre des tâches est moins personnalisable (pas de drag-and-drop au lancement), et les pubs intégrées (dans les widgets, le menu Démarrer) irritent. "Pourquoi Windows 11 est-il si agaçant ?" (The Verge, 2024).
Depuis, les bugs s'accumulent : Problèmes de performances sur AMD au lancement, crashes d'Explorer, et avec 24H2, des incompatibilités avec des drivers Intel. "Intel et Microsoft ont trouvé des problèmes d'incompatibilité avec certaines versions de drivers pour Intel Smart Sound Technology" (Microsoft Learn, 2024).
 
Et l'IA ? Copilot est utile, mais envahissant. Un podcaster sur TWiT Tech Podcast dit : "Windows 11 : Petits changements" (2021), soulignant le manque de features must-have. Windows 11 semble conçu pour les tablettes et les laptops neufs, laissant les desktops en plan. "Windows 11 est une refonte en cours" (The Verge, 2021).
Et avec plus de processus en fond, il peut être plus gourmand. Un utilisateur sur Reddit : "L'UI est compliquée, les menus convolutés, il faut plus de clics" (2024).Pour Wired : "Do You Really Have to Stop Using Windows 10?" (2025), critiquant l'approche "achetez un nouveau PC" de Microsoft. 
La Fin Imminente de Windows 10Pourquoi passer à 11 ? Parce que Windows 10 tire sa révérence le 14 octobre 2025. "Windows 10 atteindra sa fin de support le 14 octobre 2025. Après cette date, Microsoft ne fournira plus de mises à jour logicielles, de correctifs de sécurité ou d'assistance technique" (Microsoft, 2025).
 
Sans updates, votre PC devient vulnérable aux virus, comme une maison sans serrure.Intérêt : Sécurité renforcée, support jusqu'en 2031 potentiellement, et features modernes comme l'IA. Pour les entreprises, c'est crucial ; pour les particuliers, c'est une question de paix d'esprit. Mais avec humour : Si vous aimez vivre dangereusement, restez sur 10 – c'est comme rouler sans ceinture, excitant mais risqué.Microsoft offre des extensions payantes pour 10 jusqu'en 2026 (30$ par an), mais c'est un pansement. "Microsoft étend gratuitement les mises à jour de sécurité de Windows 10 jusqu'en 2026" (Reddit, 2025).
 
Pourtant, adopter 11 est inévitable pour rester à jour.Les Problèmes de Pilotes : Un Casse-Tête PériphériqueUn hic majeur : Les pilotes pour périphériques anciens ne sont pas toujours compatibles. "Vous recevez ce message parce que le paramètre Intégrité de la Mémoire dans Windows Security empêche un driver de se charger sur votre appareil" (Microsoft Support).
 
Imprimantes, scanners, cartes graphiques old-school peuvent causer des BSOD (Blue Screen of Death).Solutions : Vérifiez dans le Gestionnaire de Périphériques, mettez à jour via Windows Update, ou cherchez sur les sites fabricants. Mais pour les très vieux hardware, c'est mort. "Problèmes d'incompatibilité avec Intel SST drivers sur Windows 11 24H2" (Intel Community, 2025).
 
C'est Microsoft qui dit "Upgrade or die" – littéralement pour vos périphériques.L'Arrivée Prochaine de Windows 12 : Une Bonne Raison d'Attendre ?Et si on attend Windows 12 ? Les rumeurs bouillonnent : Focus sur l'IA avancée, design modulaire, peut-être une release fin 2025. "Windows 12 pourrait arriver dès juin 2024 si on croit les fuites" (Mashable), mais Microsoft se concentre sur Windows 11 25H2. "La release de Windows 12 est repoussée d'au moins un an alors que Microsoft annonce Windows 11 version 25H2" (Tom's Hardware, 2025).
Bloomberg et d'autres spéculent sur un OS "AI-first". "Plus de features AI et un design modulaire sont parmi les plus grosses rumeurs sur Windows 12" (PCMag, 2025). Raison d'attendre : Si 11 est une transition, 12 pourrait être la vraie révolution. Mais comme dit un podcaster : "Windows 12 sera probablement dans les 2 prochaines années, avec un focus sur l'IA" (Reddit, 2025).
 
En conclusion, Windows 11 est un OS solide mais imparfait, avec du potentiel. Adoptez-le si votre PC le supporte et que la fin de 10 vous inquiète ; sinon, attendez 12 pour un saut plus excitant. Comme le dit Nadella : "Windows a un rôle à jouer comme l'écosystème le plus ouvert" (WSJ, 2021). Mais ouvert à quoi ? À nos critiques, espérons-le.
 
 

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