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15/05/2021

Le Capitalisme est condamné à mort (4/x)

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Une Révolution ne met pas l'être à genoux pas plus qu'elle n'élargit l'uniforme à la femme sous le prétexte menteur de sa libération. Les systèmes socialistes ayant abusé du qualificatif communiste ont toujours été des capitalismes d'état.

 

Le Capitalisme est condamné à mort (1/x)

Le Capitalisme est condamné à mort (2/x)

Le Capitalisme est condamné à mort (3/x)

 

La révolution communiste est le conflit le plus contradictoirement achevé qui soit entre les classes puisqu’il va jusqu’à son terme en les abolissant… C’est la détermination ultime du procès contradictoire de la dialectique du Capital comme opposition radicale entre le prolétariat et le spectacle de la marchandise en ce que cela formalise le procès d’auto-dépassement de la lutte revendicative qui s’engage ainsi  dans ce territoire singulier où le réformisme devient irréductiblement inconciliable avec lui-même quand le mouvement de sa reproduction, du sein de sa propre cohérence organique, prescrit des exigences de sur-passement en remettant en cause la logique même de reproduction de l’exploitation capitaliste… Et, par cette dialectique nécessaire, l’exploitation tend à remettre en question les conditions mêmes d’existence de son existence. C’est-à-dire qu’elle devient impossible simplement lorsqu’elle devient le contraire de son possible poursuivi, dans le cours surgissant de la lutte revendicative devenu impraticable quand l’extrémisme maximaliste se développe jusqu’à ce point de radicalité où l’auto-organisation de la lutte prolétaire se formalise en tant que dé-passer révolutionnaire de toutes les luttes revendicatives.

L’unité dialectique qui fonde le rapport de production capitaliste c’est ce qui ordonne la production de la séparation du travailleur et de ses conditions de travail, la forme sociale spécifique de l’aliénation qui engendre le travail salarié dans sa relation au Capital  et qui fait  que chacun des deux est fondamentalement  la production et la postulation de l’autre par le mouvement de production de son propre postuler… Matière historique du Travail salarié et Histoire de la matière-Capital ont par là un contenu chronologique identique qui s’appelle l’exploitation laquelle est le contenu dialectique de leur reproduction réciproque et du même coup leur seule et véritable contradiction et identité : contradiction dans et par l’identité et identité dans et par la contradiction. L’exploitation n’est en effet rien d’autre que la production de la plus-value comme dynamique historique de la reproduction du Capital. L’exploitation est ainsi l’articulation centrale de ce qui détermine la domination du travail par le Capital. Elle n’est pas là simplement la production d’un incrément quantitatif de valeur, elle est le procès qualitatif de l’histoire de la sur-valeur comme système d’exaction et de détournement ontologique qui définit le prolétariat comme classe, c’est à dire comme être-objet de la civilisation des objets-êtres telle que cette dernière formalise là le mode de la reproduction capitaliste. Et c’est ce mode de reproduction-développement des forces productives de l’abondance aliénatoire marchande qui fait que le prolétariat est foncièrement la progression productive continue de l’auto-implication de l’autre pôle de la société, le mouvement du Capital lui-même. La spécificité déterministe de cette implication, de cette appartenance à la civilisation du quantitatif abstrait qu’est l’exploitation (trans-positionnement des forces sociales du prolétariat en simple capital variable de par la nature des deux pôles qui forment la citoyenneté de la liberté despotique du profit ! ) conduit à ce que, dans le même mouvement où celle-ci est d’emblée la définition sociale du prolétariat comme classe en soi réformiste, l’exploitation se pose comme son propre dépassement en mouvement puisqu’elle signale que les forces sociales de la domestication travaillent d’abord à leur auto-dissolution et donc au jaillissement du prolétariat comme classe pour soi révolutionnaire…

Dans le prolonger de l’Introduction à la critique de l’économie politique de 1857 qui nous amène à effectuer le grand voyage méthodologique qui conduit des Grundrisse au Capital, nous savons que l’abstraction a pour objet la radicalité de la loi, c’est-à-dire l’essence nécessaire et révolutionnaire de tous les concrets donnés… C’est l’universel en tant que catégorie historique du tout et ceci par-delà l’ensemble des particularités initiales… La mesure objective de la valeur d’échange ne peut consister là que dans un attribut  commun à toutes les marchandises qui est précisément d’être propriété de la production aliénée  du travail. La quantité de travail trouve elle-même sa mesure dans sa relation au temps de son surgissement. Il ne s’agit évidemment pas là de travail particulier tel qu’il se réalise dans des valeurs d’usage spécifiques, autrement dit des marchandises répondant à des besoins qualitativement différents. Le travail dont il s’agit ici  ne peut être que du travail organique universel, non pas concret, mais abstrait. Seul importe à ce niveau, le caractère commun de toutes les dynamiques du travail : elles représentent toutes une dépense – différente d’un point de vue quantitatif et donc mesurable de la force de travail exploitée, indépendamment donc de la forme particulière sous laquelle la force de travail a été arraisonnée aux fins d’être dépensée sur le marché des réifications obligatoires. La critique radicale recherche ici non pas les manifestations phénoménales, empiriquement visibles du travail de la production chosifiante, mais le principe régulateur du déterminisme de la production-circulation mondiale des marchandises. Le temps de travail auquel on aboutit ne peut être que le temps qualitatif de travail moyen dans la société considérée. Il représente nécessairement une abstraction dans la mesure où il serait absurde de tenter de le calculer quantitativement. Néanmoins,  cette abstraction constitue une moyenne dialectique de régulation du marché de l’aliénation universelle, en mouvement permanent de modernisation et en fonction du développement de la productivité sociale qui tend toujours à réduire le temps de travail nécessaire à la production de chaque marchandise. C’est cette détermination moyenne abstraite qui détermine la dialectique générale de l’échange des marchandises planétaires sur le terrain de la formation sociale qui fait de la valeur d’échange le grand possesseur du monde.

Le concept d’équivalent général abstrait constitue donc l’essence dialectique du mouvement historique de l’argent qui s’objective  dans la réalité de la vie emprisonnée par la valeur d’échange et qui voit ainsi le temps de travail social général, s’attacher à une marchandise globale excluant toute originalité particulière, et à laquelle se rapportent toutes les autres marchandises, fractions du temps de travail général abstrait de la production sociale de la réalité renversée.

Ainsi, le travail abstrait n’est pas le résultat d’une abstraction mentale renvoyant aux opérations subjectives d’un sujet connaissant. Il se caractérise comme acte effectif d’abstraction par lequel la particularité de tel travail concret se rend historiquement indifférente à son contenu et par lequel se constitue dans les actes de travail une substance immanente qui est une pure dépense de travail quantifiable en raison même de cette indifférence aux contenus. C’est cette substance qui rend objectivement compte de la possibilité réelle de l’échange des marchandises selon leur valeur et elle a pour qualité d’équivalence centrale fétichiste d’être précisément une quantité réelle véritablement universelle. Elle se forme de façon immanente dès que les produits du travail tangible entrent visiblement en des relations d’échange et elle fonde désormais cet échange sans qu’il y ait à imaginer l’agissement de deux topographies sociales discordantes ; celle du travail immédiatement concret et une autre d’un travail abstraitement médiat. Le temps de l’équivalent général abstrait de toutes les marchandises n’est pas une manifestation phénoménale de leur substantialisation apparente, il est leur être comme temps de la domination de l’abstraction aliénatoire échangiste universelle. Si le travail concret est le travail produisant de la valeur d’usage alors que le travail abstrait est le travail produisant la possibilité de la domination autonome de la valeur d’échange afin de commander toutes les utilisations de la valeur d’usage, la relation entre travail concret et temps de travail abstrait est bien  organiquement co-constitutive de la dialectique de l’exploitation puisque le processus de l’échange spectaculairement omni-présent a fini désormais par s’identifier à tout usage praticable en tant que pratique de tous les usages de l’exploitation. Le travail de l’aliénation qui est ainsi mesuré par le temps de l’aliénation du travail n’apparaît pas comme l’exploitation  de prolétaires épars et différents, c’est le travail de la valeur d’usage dévorée par l’économie marchande surdéveloppée du travail de la valeur d’échange dont le  prolétariat universel n’est que le simple organe exploité du déploiement incessant du travaillisme du profit.

Le travail abstrait est immédiatement social, producteur d’une sociabilité inédite et spécifique en ce que le travail de chacun en l’échange aliénatoire ne peut plus être particularisé par sa concrétude mais par sa relation préalable à la substance mondiale de l’abstraction travailliste elle-même. Ce travail de l’abstraction qui révèle l’abstraction du travail est le travail librement égal de tous et de chacun en l’aliénation où chaque prolétaire est l’agent social laborieux d’une détermination émanatiste quantitative qui correspond au monde de la valeur d’échange du prolétariat en engendrement ininterrompu…

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L'exploitation dans sa diversité contemporaine roule bien entendu avec l'écologie, science capitaliste de la gestion de l'environnement.

L’exploitation est un lien social, le lien social moderne de l’indistinction du spectacle de l’argent. Et ce spectacle est bien l’équivalent général abstrait de toutes les marchandises mises en mouvement sur le marché de la réification humaine. L’abstraction instaure bien , la domination capitaliste réelle car elle est la puissance effective de ce lien spécifique qui réalise la capitalisation dominante.  L’équivalent général abstrait est toute la réalité historique de l’in-humanité toujours augmentée en tant que résultat d’une chronologie chosifiée condamnée au non intentionnel, dans un milieu où tous les actes qui se présentent doivent exclusivement exprimer les divers modes possibles de la constitution de la valeur d’échange en tant que seule géographie envisageable pour la manifestation de l’homme devenu intégralement marchandise. La force de travail humaine s’y détermine à la fois comme grandeur capitalisable, comme quantum homogène de rentabilisation divisible et comme acte d’énergie pratique du fétichisme de la marchandise. La dictature démocratique de l’équivalent général abstrait se caractérise par le fait que dans leurs gestes de travail multiples, les divers prolétaires se trouvent comme arrachés de leur propre concrétude puisque le vécu de travail devient une répétition quotidienne sans fin de l’identité abstraite d’un même agir d’indistinction qui se veut essentiellement obéissance et abaissement par renversement de toute énergie humaine en un dénouement implacablement capitalisant…  Les différentes valeurs d’échange en mouvement sont la conclusion de travaux individuellement différents alors que comme valeurs d’usage les marchandises produites figurent toute l’in-distinction du travail homogène, indifférencié, de la pratique générale dans lequel la spécificité de chaque prolétaire est effacée dans la péréquation mondialisée de l’accumulation capitaliste.

La cause du processus dialectique de toute crise rencontrée dans l’histoire du mode de production capitaliste est toujours la même, à un seuil simplement différent mais toujours plus exaspéré : c’est la baisse du taux de profit et la pénurie de plus-value qui en appert par rapport au Capital total accumulé. De la sorte, l’insuffisance de plus-value pose nécessairement la crise comme surproduction en tant que dialectique des déterminations de la sur-accumulation du Capital…. Ce qui est décisif, c’est que l’augmentation de la force productive du travail ne progresse pas dans le même rapport que le sur-travail et la discordance qui en découle est précisément ce qui de la matérialité même du monde de la marchandise réelle provoque l’irréalité matérielle de la marchandisation du monde … Alors que la masse des marchandises quant à elle ne cesse de s’agrandir dans un rapport identique à celui du mouvement de la force productive en occasionnant  nécessairement de la sorte une contradiction substantielle entre la carence de profit ( sous l’angle de son taux ! ) et sa croissance ( sous l’angle de sa masse ! ), la crise de surproduction qui se déclare vient prouver que plus le monde de la marchandise tente de surmonter cette contradiction, plus cette dernière devient explosive… La surproduction capitaliste ne signifie jamais autre chose que la pléthore des combinaisons échangistes de production aliénatoire (moyens de travail, de multiplication et de circulation du spectacle marchand ) pouvant exercer la fonction de production/reproduction du Capital, c’est-à-dire susceptibles d’être mis à profit pour exploiter le travail à un degré d’exploitation donné. Mais en domination pleinement réalisée de la valeur, c’est-à-dire dans le temps contemporain de toute la période issue des crises monétaires, financières et industrielles surgies sur la terminaison du siècle dernier,  le procès déterministe de la crise de la valeur d’échange s’affiche au niveau du cœur de la production/reproduction du Capital en tant que tel et apparaît comme une démonétisation endémique du capital marchandise et comme un verrouillage du marché lui-même puisque le Capital total se pose dorénavant comme limite capitaliste irréductible de sa propre totalité.

Pour chaque capital, la solution apparaît de toujours davantage s’établir dans l’élargissement de nouvelles parts de marché afin de conquérir des parts supplémentaires de sur-travail social à mesure que ce dernier devient sans cesse globalement insuffisant. Par ailleurs, toutes les entraves assemblées par la baisse du taux de profit (comme dialectique du déterminisme de l’accroissement de la composition organique) se positionnent comme anti-thèse à la création de capitaux additionnels et donc à l’amplification de la circulation nécessaire à la réalisation de la plus-value… Ce mouvement originel de la crise capitaliste de la surproduction de marchandises trouve sa dimension supérieure avec la domination réelle du capital survenue en 1914 et en train de totalement s’épanouir depuis 2018 laquelle fait désormais pleinement ressortir que les causes qui contrecarrent la baisse du taux de profit sont aujourd’hui devenus le principe même de l’accumulation fondée sur la plus-value relative… L’époque présente est le temps où le spectacle de la marchandise a fait du devenir de la dévalorisation le mouvement même de détermination du principe dialectique de l’accumulation puisque la valorisation en tant que production indispensable de la plus-value relative est devenue pour toujours dévalorisation impérieusement constante du Capital. Par-delà les crises cycliques classiques de la domination de la valorisation formelle (qui se résolvaient continuellement par l’avancée sociale, commerciale, industrielle, financière et militaire du mouvement capitalistique vers la domination réelle de la valeur), la domination aujourd’hui parfaitement réalisée de la valeur confère à la temporalité actuelle le caractère d’un procès capitaliste d’auto-invalidation irrémissible

08:36 Publié dans Actualité | Tags : capitalisme, crise, exploitation, travail | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

10/05/2021

Rappel à la loi

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A signaler aux nouveaux chiens de Pavlov qui se prennent pour les meilleurs amis de l'homme.

07:48 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

06/05/2021

Chuwi HiPad Plus tablette androïd recommandée 2021

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En 2021, une tablette est un  périphérique numérique qui devient indispensable en complément de votre PC. Ce périphérique doit répondre à certains critères. Il doit être capable de bien se connecter aux réseau Wi-Fi et Bluetooth. Il doit être sous le système androïd dans une version récente (soit au minimum 8). Il doit disposer d'une bonne autonomie énergétique. La définition d'écran doit être au minimum full HD. Enfin, l'extension du stockage de base doit être présente pour vos données et applications.

Ensuite, la tablette doit aussi bénéficier d'un prix raisonnable. Cet outil que vous allez manipuler régulièrement, emporter en week-end ou en voyage (si vous ne vivez pas dans un stalag sanitaire) peut être victime d'accidents tout comme un smartphone, voire d'un vol. Pour cette raison, nous éviterons toute tablette d'un prix excessif, de plus pas souvent justifié, par les performances.

Adieu donc les tablettes de grandes marques. Dernier point, n'oubliez jamais que la tablette pourrait devenir vitale en période de crise si vous n'avez plus les moyens physique d'alimenter votre PC ou si vous devez vous déplacer.

Ecran de 11 pouces 2K (2176 * 1600 Résolution et 245 PPI) pour un poids de 500g, une épaisseur de 6,9 ​​mm, un corps en alliage d'aluminium donnant une sensation de robustesse et une belle esthétique, la Chuwi HiPad Plus est architecturée autour d'un processeur Octa-core Mediatek MT8183, ARM Mali-G72 pour le GPU à 800Mhz, 4 Go LPDDR4 de mémoire vive, stockage extensible par le lecteur de carte avec de base 128 Go eMMC,  caméra arrière13MP et caméra frontale 5MP. La batterie est de 7600mAh (ce qui est correct mais il faudra cependant 3h au chargeur 10w pour obtenir 10-11h d'utilisation.

Tout ce qu'on est en droit de demander est présent sous Androïd 10 (il n'apporte pas grand chose à la version 9).

Sur le plan des réseaux on accède bien entendu au 2.4/5g et au Bluetooth 5.0

Elle est notre modèle recommandé, donnant accès au Net, à la visualisation de film avec une belle image, à vos mails et réseaux sociaux, à une liseuse de secours ou un vecteur de jeux avec un prix sur le site constructeur (chuwi.com) de 279$ avec une expédition d'Espagne ou à 238€ en livraison gratuite sur les sites de ventes en Asie (ajoutez 28€ pour un clavier externe).


Vue par les collègues de TechTablets.

 

Caractéristiques

 
Informations de base
 
Marque: CHUWI
 
Modèle:HiPad Plus
 
Système d'exploitation:Android 10
 
CPU: MT8183V/A
 
Noyau:Octa coreBRAS Cortex-A73 2.0 GHz-BRAS Cortex-A53 2.0 GHz
 
GPU: Mali G72 MP3, 700MHz
 
Batterie: 3.8V/7300MAH
 
Stockage
 
RAM: LPDDR4 4GO
 
ROM:128 GO eMMC
 
Carte TF stockage étendu: MAX. 128 go (non inclus)
 
À propos du stockage: le stockage interne disponible réel du téléphone peut varier en fonction de la configuration du logiciel de votre tablette.
 
 
Affichage
 
Type d'affichage: 16:10, IPS, INCELL Multi touch Type capacitif
 
Taille De l'écran:11 pouces(Diagonale)
 
Résolution: 2176*1600
 
 
Réseau
WiFi: 2.4G/5G, IEEE 802.11 a/b/g/n/ac
 
Bluetooth: BT4.2
 
Caméra
 
Type de caméra: double caméra
 
Caméra frontale: 5.0MP

Caméra arrière: 13.0MP
 
 
Connectivité
 
Emplacement pour carte TF: Support
 
Port USB: 1 * TYPE-C 2.0
 
D'amarrage: Soutien
 
 
Général
 

OTG: Soutien

 
FM: Soutien
 
G_sensor: Soutien
 
Capteur De lumière: Soutien
 
Capteur de Proxy: Support
 
Haut-parleur: 8R/1W * 2 pièces
 
MICRO: Double MICRO
 
Langue: anglais, russe, espagnol, néerlandais, français, portugais, allemand, italien, etc.
 
 
 
Dimensions
 
Taille: 248.3*179.5*6.95mm
 
Poids Net: environ 505g
 
 
Contenu de l'emballage
 
1 * tablette HiPad Plus
 
1 * chargeur/câble de type-c (5V/ 2A)
 
1 * Manuel de l'utilisateur
 
1 * carte de garantie

10:58 Publié dans Actualité, Tablette | Tags : tablette, androïd, 2k, chuwi, hipad | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!

29/04/2021

Le Capitalisme est condamné à mort (3/x)

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L'automation n'est en rien la libération du prolétaire des souffrances du travail vendue. Elle est cette nécessité du mouvement des forces de production ne produisant aucune richesse mais dissimulant une exploitation croissante accompagnée du chômage, des détériorations des conditions de vie, de la concentration du capital et précipitant sa crise.

Le Capitalisme est condamné à mort (1/x)

Le Capitalisme est condamné à mort (2/x)

 

L’histoire est devenue intégralement production marchande quand la production marchande est, elle-même,  devenue l’intégralité de l’histoire. Alors, le fétichisme de la marchandise a dû aussi faire de la fin de l’histoire, la marchandise la plus arrogante et la plus célèbre de sa production spectaculaire. Toutefois, toutes ces pauvres élucubrations et divagations qui visent, de mille manières imaginables, à nous expliquer que le Capital aurait tout digéré, se ramènent en fait à une seule et même logorrhée pitoyable d’inconnaissance et d’idiotisme… C’est celle de l’in-clairvoyance et de l’aveuglement devant ce fétiche qui se nomme la production industrielle fantasmagorique  de l’irréalisme mensonger généralisé et qui fait que devant le phénomène colossal de la baisse historique du taux de profit, on trouve – d’un côté – les pauvres représentants de commerce déclarés de l’économie politique de la fausseté qui l’ignorent délibérément et de l’autre – les ambassadeurs de la réflexion critique pastiche qui bavardent autour pour mieux ne point en empoigner le dénouement radical et en faire une simple variable du cours des choses…

L’accumulation des marchandises fabuleusement produites  pour l’espace-temps abstrait du marché de la domination totalement réalisée de la valeur a bien établi depuis la démence étatique du simulacre coronaviral que la logique de la fausse conscience ne peut cesser de se reproduire que lorsque la logique de la conscience vraie s’y substitue, c’est-à-dire lorsque la réalisation toujours plus poussée de la baisse du taux de profit reconnaît par sa propre auto-dissolution, la fin historique nécessaire de son mensonge généralisé.

Dans la concentration-unification du Capital de la domination totale aujourd’hui réalisée, ce qui s’annonce – n’en déplaise aux zélateurs, louangeurs ou déprimés, d’une histoire définitivement verrouillée, bien loin d’annoncer l’imminence de la solidification totale et incorrigible de la domestication, c’est le procès de liquéfaction généralisée par lequel la déliquescence de la loi de la valeur amorce son propre procès de sénescence puisque le mouvement de la dé-valorisation est lui-même tout entier devenu celui de sa propre in-vraisemblance.

La possibilité d’une révolution communiste mondiale pré-suppose le déclenchement du procès d’im-possibilisation de la répétition capitaliste planétaire qui seul permet dialectiquement l’apparition historique nécessaire d’une dynamique du prolétariat universel se posant comme auto-action consciente du processus d’abolition de l’argent et de l’État. Si la contre-révolution déclarée des panégyristes du Capital nie bien entendu que l’on puisse envisager l’existence même d’une telle orientation, les apologistes de la neurasthénie gauchiste en fin de pourrissement leur font en définitive écho honteux en allant, en dernier ressort,  dans la même direction même si c’est de manière perfide sous cette formulation ridicule selon laquelle ce que dit le Capital sur sa consécration illimitée pourrait bien être vrai car la réification achevée du Capital viendrait là signifier l’anéantissement de toute potentialité humaine révolutionnaire… Bref, les ambassadeurs de la marchandise mondialiste et les derniers cercueils de la marxologie péri-universitaire sont parfaitement ajustés dans cette harmonie obscurantiste qui nous affirme que le temps d’aujourd’hui est celui de  la  paralysie plénière et in-arrangeable de l’Histoire dans l’immortalisation totalitaire de la marchandise sempiternelle…

Toutefois, la lecture radicale de l’œuvre de Marx comme expression maximaliste du mouvement réel vers l’émancipation humaine, nous narre une autre histoire ; la vraie

capitalisme, crise, covid, automation

 Thierry Breton, Commissaire européen au Marché intérieur (ce qui nous enseigne que les commissaires n'ont pas disparu avec l'URSS et que l'urgence sanitaire proclamée est juste une question commerciale) , annonce le 21 mars que "nous n’aurons absolument pas besoin de Spoutnik V". En photo, le vaccinodrome du Palais des expositions à Nice qui malgré une propagande de la peur aussi intense que grotesque a fermé le 17 avril, faute de volontaires ou plutôt de masochistes.

En la dictature affirmée du spectacle de la mutilation capitaliste, la contradiction entre le prolétariat et le Capital est le même mouvement que celui du développement du fétichisme de la marchandise en ce qu’il pose là l’exploitation comme posant la nécessité de l’auto-révocation de l’exploitation… La nature révolutionnaire inhérente du prolétariat voulant retrouver la communauté survient et se forme en s’actualisant suivant les conditions déterministes du cours historique général du Capital et donc selon ce qui résulte de la dialectique même du parcours de la contradiction valorisation/dé-valorisation. Le contenu du rapport entre les classes dans la crise actuelle de la domination pleinement réalisée de la valeur est donné par la crise de la valorisation intensive telle qu’elle s’est développée jusqu’à présent en l’exhibition de la frénésie sanitaire autocratique, c’est-à-dire en tant que  crise d’un stade spécifique de la marchandise : celui de sa tyrannie absolument absolutiste… À ce niveau, les orientations qui ont porté la baisse du taux de profit se confondent avec le contenu du mensonge étatique coronaviral puisque ce dernier est précisément le mouvement universel le plus éminent de la crise du taux de profit du marché mondial.  Ce développement de la domination réelle du spectacle de la marchandise complète est une contradiction de classe et le passage à la domination réelle ou valorisation intensive ne peut être appréhendé comme une dynamique autonome du rendement capitaliste des univers imaginaires du Crédit frénétique mais avant tout comme dynamique historique contradictoire entre le prolétariat et le Capital…

Il s’agit là en effet du passage dialectique à un mode supérieur de l’exploitation qui – aujourd’hui, dans l’affirmation absolutiste du spectaculaire marchand des camouflages étatiques de la tyrannie coronavirale vient finalement signifier –  qu’il est principalement  le développement de la crise du taux de profit de l’univers du marché final… Ceci exprime cette cohérence historique décisive que le spectacle de la tyrannie sanitaire est l’autre face de l’argent qui ne peut plus désormais assurer la reproduction du monde de sa fallacieuse unité. Le devenir de l’exploitation est l’autre face du mouvement du profit, il est l’équivalent général abstrait de toutes les marchandises, de toutes les vies absorbées par le fétichisme de la marchandise par ce processus de la réification échangiste qui a assimilé tous les usages faisables de la terre à mesure que toute réalisation humaine devenue in-humaine réalité se convertissait en indéniable rabaissement de l’ensemble des qualités de l’être en vulgaires amas d’avoir… Par cela, l’exploitation indique son devenir comme la direction choisie par le monologue de la réification elle-même qui définit toute son histoire comme dialectique de la monnaie laquelle – bien loin d’être un simple et banal objet neutre – est l’autre nom mutilant du mouvement totalitaire de la valeur d’échange qui se définit par les trois fonctions qui fixent la détermination du rapport social de sa triade historique: unité de compte de l’exploitation, réserve de valeur de l’exploitation et intermédiaire des échanges de l’exploitation. Ainsi, c’est bien l’unité de l’exploitation qui se niche en la monnaie et l’unité de la monnaie qui se niche en l’exploitation…

Avec le temps de l’automation, qui est le temps le plus avancé de l’industrie moderne, l’usine globale mondiale des fétiches a terminé de faire du prolétariat, l’ensemble des hommes historiquement astreints à entretenir le travail vivant dont la domination par le travail mort élabore le rapport de production précisément dénommé Capital intégralement réalisé. Et le prolétariat constitue ainsi ce rapport historique bien spécifique par lequel il est cette force productive dont le sur-travail, toujours davantage exploité par le Capital, sert à accumuler tout le capital fixe qui permet à la tyrannie marchande d’accéder à sa souveraineté sans limitation laquelle devient dès lors à ce moment ; le procès d’auto-négation déterministe de la valeur. La révolution communiste n’est donc rien d’autre que l’accomplissement par le prolétariat de l’histoire du Capital en ce que l’aboutissement de la capitalisation est bien ce qui marque l’acte révolutionnaire d’aboutir du prolétariat qui démantèle le capitalisable par l’exécution de la sentence de sa propre auto-négation révolutionnaire… En tant qu’expression de la dialectique universelle du devenir des relations sociales du monde de la marchandise, le mouvement communiste de l’auto-suppression du prolétariat est la même dynamique que celle du procès historique de caducité de la valeur… Par là même et dans ce supprimer, le prolétariat abolit sa qualité de prolétariat en cette temporalité irréductible de crise terminale du spectacle de la marchandise où la relation du procès de vente de la force de travail au Capital qui faisait antérieurement du prolétariat un rapport social de modernisation de la chosification sans fin, marque justement la fin advenue du renouvellement envisageable du rapport entre le sur-travail et la valeur. L’exploitation en tant que contradiction dialectique entre le prolétariat et le Capital se détermine par le mouvement de l’implication réciproque de ces deux termes produisant à la fois le procès de chacun en sa propre particularité puis, à partir de chacun d’eux, la situation d’ensemble d’une pratique générale qui conditionne la négation de chacun d’entre eux par le biais de leur auto-négation mutuelle comme pré-détermination historique de leur auto-réfutation singulière.

Ce n’est pas l’exploitation en soi, ou le développement du mode de production capitaliste en crise finale – en tant qu’objets distincts et séparés d’un jeu quantitatif d’équations diverses –  qui portent par automatisme mécanique à dépassement révolutionnaire… En effet, ces derniers n’impliquent là la révolution sociale contre l’argent et l’Etat que parce qu’ils la portent dès l’origine en leur début unitaire comme leur fin impérative, dans leur relation qualitative de l’un à l’autre –  et  par la substance mondiale déterministe du mouvement  de leur organicité… Le devenir de l’in-subordination prolétarienne en tant que dynamisme de l’anti-valeur l’est de par la situation dialectique et l’activité spécifique du prolétariat devenu alors là et seulement là ; la classe de l’abolition de toutes les classes… Et par ce parcours révolutionnaire qui voit précisément cette classe essentielle du mode de production capitaliste –  en train de devenir lui-même impossible – éradiquer la possibilité même du devenir de l’essence de l’exploitation, le prolétariat prouve là lui-même l’impossibilité advenue de l’essence de son devenir aliénatoire…

09:31 Publié dans Actualité | Tags : capitalisme, crise, covid, automation | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | Pin it!