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Le 19 juin 2025, Forbes révélait une nouvelle alarmante : une fuite massive de 16 milliards de mots de passe, affectant des comptes de services aussi variés qu’Apple, Google, Telegram, GitHub, les réseaux sociaux, les VPN et même des ressources gouvernementales. Cette fuite, d’une ampleur sans précédent, met en lumière une réalité incontournable : posséder une configuration PC performante ne suffit pas. Sans une attention rigoureuse portée à la sécurité numérique, les utilisateurs s’exposent à des risques majeurs. Dans un monde où les cyberattaques se multiplient, l’utilisation d’outils comme les VPN, les antivirus et les pare-feu devient non seulement utile, mais essentielle.
Selon l’article de Forbes, les données compromises incluent des identifiants uniques, jamais détectés dans des fuites antérieures, ce qui aggrave la gravité de l’incident. Vilius Petkauskas, responsable de Cybernews, a qualifié cette fuite de « projet d’utilisation malveillante » (NSN, 19 juin 2025). Loin d’être un simple accident, cette opération semble orchestrée pour exploiter les failles de sécurité des utilisateurs et des organisations. Les cybercriminels, armés de ces milliards de mots de passe, peuvent accéder à des comptes personnels, professionnels ou même gouvernementaux, avec des conséquences potentiellement dévastatrices : vols d’identité, fraudes financières, espionnage industriel ou encore compromission de données sensibles.
Cette fuite illustre une tendance inquiétante. Selon le rapport Cybersecurity Ventures de 2024, les cyberattaques coûtent chaque année plus de 8 000 milliards de dollars à l’économie mondiale, un chiffre qui pourrait doubler d’ici 2030 si les mesures de sécurité ne s’améliorent pas. Comme le souligne Kevin Mitnick, célèbre hacker repenti, « la sécurité n’est pas un produit, mais un processus ». Ignorer ce processus, c’est s’exposer à des risques exponentiels dans un monde hyperconnecté.
Face à cette menace, Igor Beder, directeur du département d’enquête de T. Hunter, a appelé à la prudence sans céder à la panique. Dans une déclaration relayée par 360.ru le 19 juin, il a estimé que « changer les mots de passe et activer l’authentification à deux facteurs (2FA) peut réduire les risques de 90 % ». Cette recommandation, simple mais efficace, repose sur des principes de base de la cybersécurité. Un mot de passe robuste – idéalement de 12 caractères minimum, combinant lettres majuscules et minuscules, chiffres et caractères spéciaux – constitue une première ligne de défense. La 2FA, quant à elle, ajoute une couche supplémentaire de protection en exigeant une seconde vérification, comme un code envoyé sur un appareil de confiance.
Cependant, ces mesures ne suffisent pas seules. Kaspersky Lab, dans une communication du même jour, a insisté sur l’importance de mises à jour régulières des logiciels et des mots de passe, ainsi que sur l’utilisation d’antivirus fiables. Les logiciels obsolètes sont une porte d’entrée privilégiée pour les cybercriminels, qui exploitent les failles non corrigées. Par exemple, le rapport Verizon Data Breach Investigations de 2024 indique que 68 % des cyberattaques exploitent des vulnérabilités logicielles connues, mais non patchées. Un antivirus à jour, combiné à un pare-feu bien configuré, permet de détecter et de bloquer ces tentatives d’intrusion.
Dans ce contexte, les outils de protection comme les VPN, les antivirus et les pare-feu jouent un rôle central. Un VPN (réseau privé virtuel) crypte les données échangées sur Internet, rendant leur interception quasi impossible, même sur des réseaux publics non sécurisés comme ceux des cafés ou des aéroports. Selon une étude de NordVPN (2024), 62 % des utilisateurs de VPN ont adopté cet outil pour protéger leurs données personnelles contre les pirates, notamment lors de connexions à des réseaux Wi-Fi publics. En complément, un antivirus analyse en temps réel les fichiers et les activités suspectes, tandis qu’un pare-feu agit comme une barrière, filtrant les connexions entrantes et sortantes pour bloquer les accès non autorisés.
Cependant, ces outils ne sont efficaces que s’ils sont utilisés correctement. Par exemple, télécharger un logiciel depuis une source non vérifiée peut contourner toutes les protections, comme l’a rappelé Kaspersky Lab. De même, un VPN gratuit ou mal configuré peut compromettre la sécurité au lieu de l’améliorer. Comme le disait Bruce Schneier, expert en cybersécurité, « la sécurité est un compromis entre la commodité et la protection ». Choisir des outils fiables et les maintenir à jour est donc crucial.
Au-delà des recommandations techniques, la cybersécurité exige une prise de conscience globale. Les utilisateurs doivent adopter des habitudes responsables : éviter de réutiliser les mêmes mots de passe sur plusieurs plateformes, vérifier régulièrement l’intégrité de leurs comptes (via des services comme Have I Been Pwned), et se méfier des e-mails ou liens suspects, souvent utilisés dans des attaques de phishing. Selon le Global Cybersecurity Outlook 2024 du Forum économique mondial, 95 % des incidents de cybersécurité impliquent une erreur humaine, comme le clic sur un lien malveillant ou l’utilisation d’un mot de passe faible.
Les entreprises et les gouvernements ont également un rôle à jouer. La mise en place de normes de sécurité strictes, comme l’obligation de la 2FA pour les services sensibles, ou l’investissement dans des infrastructures sécurisées, est essentielle. Par exemple, l’Union européenne a renforcé sa législation avec le Cybersecurity Act (2019), qui impose des standards de sécurité aux entreprises technologiques. Pourtant, la fuite de 16 milliards de mots de passe montre que les efforts doivent être intensifiés.
La fuite massive de données révélée le 19 juin 2025 est un rappel brutal : dans l’ère numérique, une configuration PC performante n’a de sens que si elle s’accompagne d’une sécurité robuste. Les VPN, antivirus et pare-feu, bien que parfois perçus comme des contraintes, sont des remparts indispensables contre les cybermenaces. En combinant des outils fiables, des mises à jour régulières, des mots de passe forts et l’authentification à deux facteurs, les utilisateurs peuvent réduire considérablement leurs risques. Comme le résume l’adage attribué à Benjamin Franklin, adapté au contexte numérique : « Une once de prévention vaut mieux qu’une livre de remède. » Face à l’ingéniosité croissante des cybercriminels, la vigilance doit devenir une seconde nature.
Dans un contexte économique marqué par la crise et même la guerre, où les particuliers recherchent des solutions à la fois performantes, économiques et durables, cette configuration PC multimédia de moyen de gamme se distingue par sa polyvalence, sa robustesse et son potentiel évolutif. Conçue pour un utilisateur passionné de loisirs numériques – jeux vidéo, streaming, montage multimédia et productivité légère – ce setup équilibre habilement puissance, silence et modularité, tout en restant dans un budget raisonnable. Avec des composants soigneusement sélectionnés comme le processeur Intel Core i5-12400F, la carte graphique XFX Radeon RX 6750XT, le boîtier be quiet! Silent Base 601 et des périphériques haut de gamme comme le clavier Corsair K95 RGB Platinum, cette configuration répond aux attentes d’un utilisateur cherchant à profiter d’une expérience immersive sans compromettre la fiabilité ou la possibilité de futures mises à niveau.
Voici la présentation détaillée de cette configuration qui sera peut-être la récompense de bacheliers, mettant en lumière ses atouts pour les loisirs multimédias et son adaptabilité à long terme.
Le processeur Intel Core i5-12400F constitue le moteur de cette configuration, offrant un excellent rapport qualité-prix pour les tâches multimédias. Basé sur l’architecture Alder Lake (12e génération), ce CPU à 6 cœurs (P-Cores) et 12 threads délivre une fréquence de base de 2,5 GHz, boostant jusqu’à 4,4 GHz en mode Turbo, avec un TDP de 65 W (jusqu’à 117 W sous charge). Il excelle dans les jeux modernes, le montage vidéo léger (Adobe Premiere, DaVinci Resolve) et le multitâche, comme diffuser du contenu sur Twitch tout en jouant.
Compatible avec le socket LGA 1700 de la carte mère ASUS TUF GAMING B760-PLUS WIFI D4, il supporte la mémoire DDR4 (plus abordable que la DDR5) et PCIe 5.0, garantissant une évolutivité pour accueillir des GPU ou SSD de nouvelle génération. La pâte thermique ARCTIC MX-4, appliquée manuellement, optimise le transfert thermique, assurant des températures stables même en région chaude, où le ventirad ARCTIC Freezer 34 eSports Duo (ou le Deepcool AK400 en alternative) prend le relais. Ce ventirad, avec ses deux ventilateurs BioniX P de 120 mm et quatre caloducs à contact direct, gère efficacement un TDP jusqu’à 210 W, maintenant le i5-12400F à des températures basses (environ 60-70°C sous charge) et un niveau sonore réduit (0,5 sone max), idéal pour une immersion sans distraction sonore lors du visionnage de films ou du gaming.
La carte mère ASUS TUF GAMING B760-PLUS WIFI D4 est la colonne vertébrale de ce système, alliant robustesse et connectivité moderne. Avec son chipset B760, elle supporte les processeurs Intel de 12e à 14e générations et jusqu’à 128 Go de DDR4 (5333 MHz en OC) via quatre slots Q-DIMM, offrant une flexibilité pour augmenter la RAM à l’avenir. Son étage d’alimentation DrMOS 12+1 et ses dissipateurs thermiques garantissent une stabilité sous charge, tandis que trois slots M.2 PCIe 4.0 et un slot PCIe 5.0 x16 accueillent respectivement le SSD Crucial MX500 1 To (ou Crucial P3 Plus 1 To pour les gamers) et la carte graphique XFX Speedster QICK319 Radeon RX 6750XT 12 Go. Le SSD MX500, avec ses vitesses de lecture/écriture de 560/510 Mo/s, assure des démarrages rapides et des chargements fluides pour Windows 11 et les applications, tandis que le P3 Plus (jusqu’à 5000 Mo/s) offre des performances supérieures pour les jeux AAA à gros assets. Le disque dur Seagate BarraCuda 4 To (5400 RPM, 256 Mo de cache) complète le stockage, idéal pour archiver films, séries, musiques ou projets multimédias volumineux. La connectivité Wi-Fi 6, Ethernet 2.5 Gb et USB 3.2 Gen 2x2 Type-C de la carte mère facilitent le streaming, les transferts de fichiers et la connexion de périphériques comme la Creative Sound Blaster X4, un DAC USB externe offrant un son haute résolution (24 bits/192 kHz) et un surround 7.1 virtuel, parfait pour les films et les jeux immersifs, je pense bien entendu à Excel.
La XFX Speedster QICK319 Radeon RX 6750XT 12 Go, basée sur l’architecture AMD RDNA 2, est le cœur visuel de cette configuration, offrant des performances exceptionnelles en 1440p, résolution idéale pour l’écran LG UltraWide™ 34WR50QK-B. Avec 12 Go de GDDR6, 2560 processeurs de flux et une fréquence boost jusqu’à 2623 MHz, cette carte gère les jeux récents comme Cyberpunk 2077 ou Assassin’s Creed Valhalla avec des fréquences d’images élevées (60-100 FPS en 1440p, selon les réglages). Les technologies AMD FidelityFX Super Resolution (FSR) et FreeSync Premium synchronisent l’affichage avec l’écran LG (3440 x 1440, 100 Hz), éliminant les déchirures pour une fluidité optimale dans les jeux et les vidéos. Le logiciel AMD Adrenalin permet d’ajuster les performances, d’enregistrer des sessions de jeu ou de diffuser en direct avec un encodage AV1 efficace. Comparée à la NVIDIA RTX 4060, souvent critiquée pour son rapport qualité-prix, la RX 6750XT offre plus de VRAM et de puissance brute, un choix judicieux pour un setup multimédia évolutif. Son système de refroidissement à trois ventilateurs maintient des températures basses (environ 65-75°C sous charge) et un fonctionnement silencieux, s’intégrant parfaitement au boîtier be quiet! Silent Base 601, dont l’isolation phonique et les ventilateurs Pure Wings 2 (140 mm) réduisent le bruit à un minimum, même lors de sessions intensives, nous devons bien ça à John Coltrane
L’écran LG UltraWide™ 34WR50QK-B (34 pouces, 21:9) renforce l’immersion avec sa résolution WQHD, son panneau VA incurvé (1800R) et sa compatibilité HDR10, offrant des couleurs riches (99 % sRGB) et un contraste élevé (3000:1). Sa fonction Picture-by-Picture (PBP) permet d’afficher deux sources simultanément, idéal pour jouer tout en consultant un guide ou en streamant sur Discord. La Creative Sound Blaster X4 complète l’expérience audio avec son DAC haute fidélité, amplifiant casques et haut-parleurs pour une clarté exceptionnelle dans les dialogues de films, les bandes-son de jeux ou la musique via Spotify. Le logiciel Sound Blaster Command personnalise l’égaliseur, tandis que le mode Scout améliore les repères auditifs dans les FPS. Pour les contenus physiques, le graveur Blu-ray externe QDSYLQ (USB 3.0/Type-C) permet de lire et graver des disques Blu-ray, DVD et CD, utile pour sauvegarder des projets vidéo ou visionner des films en haute qualité, une alternative économique aux services de streaming en période de crise.
Les périphériques de cette configuration renforcent son ergonomie et sa polyvalence. Le clavier Corsair K95 RGB Platinum (switches Cherry MX Speed, AZERTY) offre une réactivité fulgurante pour le gaming et une frappe confortable pour la bureautique, avec six touches macro programmables via Corsair iCUE pour automatiser des tâches (lancement d’OBS, raccourcis Photoshop). Son repose-poignet magnétique et son éclairage RGB personnalisable ajoutent du confort et de l’esthétique. La souris ROCCAT Kova AIMO, ambidextre avec 12 boutons programmables et un capteur optique Pro-Optic R6 (7000 DPI), convient aux gamers comme aux créateurs, avec un poids léger (99 g) et un grip adaptable. Le logiciel ROCCAT Swarm permet de synchroniser l’éclairage RGB avec le clavier, créant une ambiance cohérente pour les sessions nocturnes.
L’alimentation Corsair RM850 80PLUS Gold (850 W, modulaire) garantit une stabilité énergétique pour cette configuration et laisse une marge pour des upgrades futurs, comme un GPU plus puissant (RTX 5080, RX 8800 XT) ou un processeur Intel Core i7/i9. Sa certification 80PLUS Gold (efficacité jusqu’à 90 %) et son ventilateur Zero RPM réduisent la consommation et le bruit, en synergie avec le Silent Base 601. La mémoire Corsair Vengeance LPX 32 Go (2 x 16 Go, DDR4 3200 MHz, CL16) offre une capacité généreuse pour le multitâche intensif (édition vidéo 4K, virtualisation) et reste compatible avec les futures cartes mères DDR4, prolongeant la durée de vie du système. L’évolutivité est également assurée par les trois slots M.2 libres sur la carte mère et les quatre ports SATA pour ajouter des SSD/HDD, ainsi que par la compatibilité PCIe 5.0 pour des composants de nouvelle génération.
Cette configuration permet à un particulier de profiter pleinement du champs le plus large des loisirs numériques. Pour le gaming, elle offre des performances fluides en 1440p ultra-wide, avec des jeux comme Elden Ring ou Starfield tournant à 60+ FPS grâce à la RX 6750XT et au i5-12400F. Le clavier et la souris assurent une précision compétitive, tandis que la Sound Blaster X4 et l’écran LG créent une immersion sonore et visuelle. Pour le multimédia, le SSD rapide et les 32 Go de RAM permettent de monter des vidéos 1080p/4K sans ralentissement, tandis que le graveur Blu-ray facilite la création de disques pour des projets personnels ( je pense à cette séquence MP4 ou votre petit dernier fait tomber le portable de belle-maman dans la piscine et que vous regardez en boucle en cas de déprime ) .
Le streaming sur Netflix ou YouTube bénéficie de l’écran 21:9 et des haut-parleurs de la Sound Blaster X4, tandis que le Wi-Fi 6 garantit une connexion stable. Pour la productivité légère, la configuration gère la bureautique, la navigation web avec des dizaines d’onglets et des tâches comme la retouche photo (Photoshop, Lightroom). En période de crise, son coût optimisé (environ 1500-1800 € selon les revendeurs) et ses composants durables (garanties de 6 à 10 ans pour l’alimentation, le ventirad, le boîtier) en font un investissement raisonnable. Les logiciels associés (ASUS Armoury Crate, AMD Adrenalin, Corsair iCUE, Sound Blaster Command) centralisent la personnalisation, rendant le système accessible aux novices comme aux utilisateurs avancés.
9 juin 2025, Le Tucker Carlson Show. Pavel Durov, fondateur de Telegram, est assigné à résidence en France depuis son arrestation il y a dix mois. Pour la première fois, il explique pourquoi. Après l'affaire Pierre Jovanovic, il est urgent de s'éveiller.
Cette configuration PC multimédia au coût maitrisé est un compromis idéal pour un particulier passionné de loisirs numériques, mais conscient de contraintes économiques qui seront inévitablement pires demain. Sa polyvalence permet de jouer, créer et consommer du contenu avec confort, tandis que sa robustesse – grâce à des marques fiables comme Intel, ASUS, Corsair, be quiet! et Creative – garantit une longévité face à l’obsolescence. Son évolutivité, avec une alimentation surdimensionnée, une carte mère riche en connecteurs et une compatibilité PCIe 5.0, permet d’envisager des upgrades sans remplacer l’ensemble du système. En région chaude, le refroidissement efficace (ARCTIC Freezer 34, boîtier insonorisé) maintient des performances stables, tandis que le silence global du setup (ventirad, alimentation, boîtier) favorise une expérience immersive. Pour un utilisateur cherchant à allier plaisir, productivité et responsabilité budgétaire, ce PC offre une solution complète, esthétique et prête à évoluer avec les besoins futurs. Bien entendu, n'oubliez pas la fin du support de Windows 10 par Microsoft cet automne et priorité absolue, d'installer un VPN.
Carte son : Peu de slots donc on passe en carte externe ! Attention à la connerie suprême, le Super X-Fi de Creative des deux première cartes (utile seulement au casque) implique l'installation d'une application sur smartphone mais de communiquer en plus de vos coordonnées mail et téléphone, une photo du visage et de vos oreilles !! Scandaleux !
La Brother HL-L2445DW est une imprimante laser monochrome A4 conçue pour répondre aux besoins d’une configuration domestique, de loisir et même pour un petit bureau. Produite par Brother, une marque japonaise reconnue pour ses solutions d’impression fiables et économiques, cette imprimante se distingue par son efficacité, sa connectivité avancée et son design compact, idéal pour les environnements où l’espace est limité. Avec des dimensions de 356 x 360 x 183 mm et un poids de 7,1 kg, elle s’intègre facilement dans un setup PC aux côtés de composants comme le boîtier be quiet! Silent Base 601 ou la carte mère ASUS TUF GAMING B760-PLUS WIFI D4 donc chez ceux aimant silence et musique.
Dotée d’une résolution d’impression maximale de 1200 x 1200 DPI, elle produit des documents nets avec des textes précis et des graphiques monochromes bien définis, parfaits pour imprimer des scripts, des partitions, des documents de travail ou des supports pour des projets multimédias. Sa vitesse d’impression atteint 32 pages par minute (ppm) en mode simple face et 16 faces par minute en recto-verso automatique, ce qui en fait un outil rapide pour gérer des volumes d’impression modérés à élevés. Le bac d’alimentation de 250 feuilles, combiné à un bac manuel pour une feuille (pour enveloppes ou papier épais), réduit les rechargements fréquents, un atout pour les utilisateurs multitâches, comme les créateurs de contenu ou les gamers souhaitant imprimer des guides ou des notes.
L’un des principaux atouts de la HL-L2445DW est son économie et sa facilité d’utilisation, renforcées par une conception bien pensée. Elle utilise un système de consommables séparés (toner et tambour), avec un toner initial de 1200 pages inclus et des toners haute capacité (TN-2530XL) jusqu’à 3000 pages, réduisant le coût par page et la fréquence de remplacement. Le tambour (DR-2530) offre une durée de vie de 15 000 pages, garantissant une maintenance simplifiée. Cette approche, combinée à la certification ENERGY STAR et à un mode d’économie de toner, soutient une utilisation écoresponsable, un point fort pour les utilisateurs soucieux de l’environnement. La connectivité est un autre point fort : l’imprimante supporte USB 2.0, Ethernet 100 Mbps, Wi-Fi 2.4/5 GHz et Wi-Fi Direct, permettant une intégration fluide dans un réseau domestique ou professionnel.
L’application Brother Mobile Connect, disponible sur iOS et Android, offre une gestion intuitive, permettant d’imprimer à distance, de vérifier l’état du toner ou de personnaliser les paramètres, un avantage pour les utilisateurs mobiles ou ceux qui travaillent à domicile. Compatible avec AirPrint, Mopria et Google Cloud Print, elle permet d’imprimer directement depuis smartphones, tablettes ou ordinateurs (Windows, macOS, Linux), sans nécessiter de pilotes complexes dans la plupart des cas. La sécurité est également au rendez-vous, avec une triple couche de protection (appareil, réseau, documents), répondant aux normes modernes de confidentialité, un aspect crucial pour imprimer des documents sensibles dans un contexte multimédia.
La HL-L2445DW excelle également par son ergonomie et sa fiabilité, des qualités qui reflètent l’expertise de Brother, élue meilleure marque d’imprimantes par PC Pro pendant 10 ans consécutifs.
Son panneau de contrôle à une ligne LCD avec sept boutons est simple à naviguer, rendant l’imprimante accessible même aux utilisateurs novices. Le mode silencieux réduit le bruit à moins de 49 dB(A), un atout pour une configuration multimédia où le silence est essentiel, par exemple lors de l’utilisation du clavier Corsair K95 RGB Platinum ou de la carte son Creative Sound Blaster X4 pour des enregistrements audio. Avec une mémoire interne de 64 Mo, elle gère efficacement les travaux d’impression complexes, comme des documents multipages ou des PDF volumineux. Les retours d’utilisateurs vantent sa facilité d’installation (notamment via Wi-Fi) et la qualité d’impression constante, bien que certains notent l’absence de compatibilité native avec Windows 7 (un outil Brother, Depwizard_14438, résout ce problème). Le service EcoPro, avec un essai gratuit de 2 à 6 mois selon les régions, propose une livraison automatique de toners, renforçant la commodité pour les utilisateurs réguliers.
Avec un prix abordable (environ 150-200 €) et des coûts d’exploitation compétitifs, la Brother HL-L2445DW est un choix stratégique pour compléter une configuration multimédia, offrant rapidité, qualité et polyvalence pour les tâches d’impression occasionnelles ou intensives. Elle devient ainsi notre nouvelle imprimante conseillée car en plus les retours clients sur les sites comme Amzon sont positifs, un changement imposé car le modèle précédent, encore Brother, devient introuvable même sur Ebay.
Les États-Unis ont une longue histoire d'aide militaire à Israël, reflétant un engagement stratégique dans la région. Selon le Costs of War Project de l'Université Brown, entre le 7 octobre 2023 et le 30 septembre 2024, les États-Unis ont dépensé au moins 22,76 milliards de dollars pour soutenir les opérations militaires d'Israël et les opérations connexes des États-Unis dans la région. Ce rapport souligne que cette aide inclut des ventes d'armes et des déploiements militaires, comme la campagne navale contre les Houthis au Yémen. En 2025, des annonces récentes indiquent une augmentation de cette aide. Par exemple, le 1er mars 2025, le Secrétaire d'État Marco Rubio a signé une déclaration pour expédier environ 4 milliards de dollars d'aide militaire à Israël en utilisant des autorités d'urgence, en réponse à des tensions croissantes. De plus, en janvier 2025, le Département d'État a notifié au Congrès une vente d'armes de 8 milliards de dollars à Israël, incluant des missiles et des bombes.
Ces chiffres suggèrent que les dépenses américaines pour soutenir Israël en 2025 ont probablement augmenté, surtout avec la guerre Israël-Iran. Cependant, des estimations précises pour le coût direct de cette guerre spécifique en 2025 ne sont pas encore disponibles, car le conflit est récent (juin 2025). En se basant sur les tendances passées, il est raisonnable de supposer que les coûts supplémentaires pourraient être dans la fourchette de 5 à 10 milliards de dollars, en tenant compte des annonces récentes et de l'escalade du conflit. Cette estimation est cohérente avec des rapports antérieurs sur les coûts des conflits au Moyen-Orient, où les dépenses militaires américaines ont souvent atteint plusieurs milliards pour des engagements similaires.
Dès l'ouverture du sommet Trump met les choses au point :
« Le G7 était autrefois le G8 », dit-il lors de sa première rencontre avec le Premier ministre canadien Mark Carney. « Barack Obama et un certain Trudeau ne voulaient pas de la Russie. »
« Et je dirais que c'était une erreur, car je pense que vous n'auriez pas de guerre en ce moment si la Russie était présente, et vous n'auriez pas de guerre en ce moment si Trump était président il y a quatre ans »
L'ordre du jour du sommet du G7 de 2025 au Canada reflète les changements apportés par le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche et un regain d'intérêt pour la mission initiale du G7, selon les experts (Welsh, 2025). Lorsque le président Trump se joindra aux dirigeants mondiaux pour ce sommet à Kananaskis, en Alberta, du 15 au 17 juin 2025, il sera confronté à un programme différent des années précédentes. Contrairement aux sommets passés, l'hôte, le Premier ministre canadien Mark Carney, ne se concentrera pas principalement sur l'action climatique et l'égalité des sexes, des enjeux qui étaient autrefois au premier plan (Carney, 2025).
Les experts affirment que l'ordre du jour de cette année sera axé sur la sécurité énergétique, l'intelligence artificielle (IA), les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques et la stabilité économique mondiale. Ce changement de priorités reflète l'influence du retour de Trump et un retour aux fondamentaux du G7, qui est de promouvoir la stabilité et la croissance économiques mondiales (Welsh, 2025).
Les tensions commerciales, exacerbées par les récents tarifs douaniers américains, ainsi que les crises géopolitiques telles que l'escalade entre Israël et l'Iran, les hostilités entre la Russie et l'Ukraine, et le conflit à Gaza, seront également des sujets clés à discuter par les dirigeants (CBC News, 2025).
Le Premier ministre Carney est largement perçu comme adoptant une approche pragmatique pour s'assurer que le sommet aborde les questions les plus urgentes qui concernent tous les pays. Si des sujets tels que le changement climatique ou l'égalité des sexes sont abordés, il est peu probable que les dirigeants aillent au-delà des accords existants ou prennent de nouveaux engagements, selon des analyses de think tanks canadiens (CIGI, 2025).
De nombreuses organisations et certains pays espèrent encore des engagements en matière d'égalité des sexes et de climat, mais selon les experts, "cela ne se produira pas à cette table" (Samon, 2025). "Ils ne pourraient même pas l'inclure dans un communiqué avec le président Trump", a-t-il ajouté.
Ce sommet marque également le 50e anniversaire du G7, soulignant son rôle historique dans la gouvernance économique mondiale. Le groupe, qui comprend les États-Unis, le Canada, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni et l'Union européenne, représente plus de la moitié du PIB mondial (G7 Canada, 2025).
Un responsable américain a salué l'approche canadienne, déclarant : "Nous saluons l'approche canadienne de retour aux sources à l'égard du G7, axée sur les enjeux économiques fondamentaux et les défis pratiques sur lesquels le G7 peut avoir un impact significatif et mesurable" (The Epoch Times, 2025).
Les priorités du Canada pour ce sommet s'articulent autour de trois axes principaux (Carney, 2025) :
Protéger nos communautés et le monde : En s'attaquant à des défis tels que l'ingérence étrangère et la criminalité transnationale, ainsi qu'en améliorant la lutte conjointe contre les incendies de forêt.
Renforcer la sécurité énergétique et accélérer la transition numérique : En fortifiant les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques et en utilisant l'IA et les technologies quantiques pour stimuler la croissance économique.
Sécuriser les partenariats de l'avenir : En catalyant des investissements privés massifs pour construire des infrastructures plus solides, créer des emplois mieux rémunérés et ouvrir des marchés dynamiques où les entreprises peuvent concurrencer et réussir.
Les projets de reprise économique de Trump, tels que décrits dans ses discours et politiques, visent à stimuler l'économie, réduire le chômage et promouvoir la croissance, souvent via des réductions d'impôts et des investissements dans l'infrastructure. Cependant, une guerre au Moyen-Orient peut avoir des répercussions économiques significatives, tant directes qu'indirectes.
Les dépenses supplémentaires pour soutenir Israël, estimées à plusieurs milliards de dollars, pourraient poser des défis budgétaires. Avec un PIB américain d'environ 25 trillions de dollars, 5 à 10 milliards représentent une petite fraction (0,02 % à 0,04 %), mais cela pourrait accentuer les déficits fédéraux, surtout si ces dépenses ne sont pas compensées par des coupes ailleurs ou des hausses de revenus. Par exemple, si ces fonds proviennent de programmes domestiques comme l'infrastructure ou la santé, cela pourrait ralentir les initiatives de reprise économique. De plus, des dépenses militaires imprévues pourraient être politiquement controversées, surtout si elles divisent la base de Trump, comme le suggère un article récent sur les tensions au sein de son électorat concernant le soutien à Israël. Un aspect crucial est l'impact sur les prix du pétrole. L'escalade des tensions entre Israël et l'Iran en juin 2025 a entraîné une hausse des prix du pétrole, avec une augmentation de 11 % après les frappes israéliennes, selon des analyses récentes. Une hausse prolongée des prix du pétrole pourrait relancer l'inflation, augmentant les coûts pour les entreprises et les consommateurs, ce qui pourrait ralentir la croissance économique. Par exemple, une augmentation de 10 dollars par baril pourrait réduire la croissance du PIB mondial de 0,1 à 0,2 point de pourcentage, selon des estimations, affectant les États-Unis avec un impact potentiel de 25 milliards de dollars sur un PIB de 25 trillions. Cela pourrait contrecarrer les efforts de Trump pour maintenir une économie en croissance, surtout si l'inflation réduit le pouvoir d'achat des ménages.
Le Premier ministre Carney a déclaré : "Le Sommet des dirigeants du G7 de Kananaskis est l'occasion pour le Canada de collaborer avec des partenaires de confiance pour relever ces défis ensemble, avec détermination" (Carney, 2025). "Le Canada est prêt à jouer un rôle de chef de file."
Les dirigeants se concentreront sur les domaines où ils peuvent trouver un terrain d'entente, notamment les chaînes d'approvisionnement énergétiques et les moyens de faire progresser l'IA et la révolution des données. Les discussions pourraient porter sur des projets communs, des centres de données partagés et des moyens de renforcer les chaînes d'approvisionnement, éventuellement avec l'aide de partenaires comme l'Inde (Samon, 2025).
La première administration Trump estimait que le G7 s'était écarté de sa mission initiale en se concentrant trop sur des questions controversées, selon Caitlin Welsh, directrice du Programme mondial de sécurité alimentaire et hydrique au Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS), qui a servi au Conseil de sécurité nationale et au Conseil économique national pendant le premier mandat de Trump (Welsh, 2025). Lors d'une récente conférence de presse du CSIS, elle a déclaré que le programme de cette année semblait conforme à la mission initiale du G7, qui était de promouvoir la stabilité et la croissance économiques mondiales. "Vous remarquerez l'absence de termes comme 'changement climatique', 'genre' et autres à l'ordre du jour de ce sommet des dirigeants", a-t-elle déclaré. "Cette liste de priorités me montre que le Canada connaît son public."
La dernière fois que le Canada a accueilli un sommet du G7, en 2018 pendant le premier mandat de Trump, les relations entre le alors premier ministre Justin Trudeau et Trump étaient tendues. Le sommet de Charlevoix, au Québec, s'est terminé par une escalade des tensions commerciales, Trump partant prématurément et refusant d'approuver le communiqué conjoint. Pour la première fois dans l'histoire du G7, la déclaration finale n'a pas été approuvée à l'unanimité par tous les dirigeants.
Une photo emblématique de ce sommet montre la chancelière allemande Angela Merkel se penchant sur une table pour parler à Trump, qui la regarde les bras croisés, symbolisant la tension entre les dirigeants.
Selon les experts, un tel drame est peu probable en 2025. "La plupart des dirigeants européens n'ont aucune raison politique de créer artificiellement une confrontation avec Trump", a déclaré Max Bergmann, directeur du programme Europe, Russie et Eurasie au CSIS, lors d'un point de presse. "Comme nous l'avons vu ces derniers mois, la plupart des dirigeants adoptent une approche amicale, tout comme ils l'ont fait lors de leurs rencontres en face à face avec Trump à la Maison-Blanche."
La Chine sera un sujet majeur du sommet. Les dirigeants devraient exprimer leurs inquiétudes face à la montée des tensions en mer de Chine orientale et en mer de Chine méridionale, ainsi qu'au renforcement continu du dispositif militaire chinois. Comme les années précédentes, ils devraient souligner l'engagement du G7 en faveur de "la paix et de la stabilité des deux côtés du détroit de Taïwan".
Selon Paul Samon, la Chine sera un sujet de discussion clé lors du sommet, même si elle n'est pas mentionnée dans le communiqué final. Il a souligné que des points clés à l'ordre du jour, tels que la criminalité transnationale, les minéraux critiques et les technologies de pointe, visent à contrer l'influence croissante du régime chinois sur le monde.
Tensions Commerciales et Relations Bilatérales
Parallèlement, les échanges entre Carney et Trump seront étroitement surveillés, notamment dans le contexte des tensions commerciales. Les États-Unis ont récemment doublé les droits de douane sur l'acier et l'aluminium, invoquant l'afflux de métaux chinois bon marché sur les marchés mondiaux. Trump exerce également des pressions sur le Canada et le Mexique concernant le trafic de fentanyl et a proposé que le Canada devienne le 51e État américain, bénéficiant gratuitement de la protection du "dôme doré", un système de défense multilatéral proposé.
Contrairement aux mesures de rétorsion des années précédentes, Carney adopte une approche mesurée, exemptant certains biens des contre-tarifs pour protéger les entreprises et les consommateurs canadiens des hausses de prix. Selon les médias canadiens, il est également en pourparlers directs avec Trump pour conclure un accord commercial. Bien qu'aucun accord n'ait encore été trouvé, il n'est pas certain qu'un accord soit conclu avant que Carney et Trump ne se rencontrent en tête-à-tête en marge du sommet.
Situation en Israël et enjeux cachés de la guerre avec l'Iran Idriss Aberkane reçoit Meron Rapoport. Horaire : Les frappes ont commencé vers 03h30 heure locale (01h00 BST) le 13 juin 2025, en réponse aux frappes israéliennes sur l’Iran plus tôt ce jour-là. Échelle : L’Iran a lancé environ 100 à 150 missiles balistiques en deux salves et plus de 100 drones visant le territoire israélien. Cibles : Les frappes visaient des installations militaires, dont la base de Glilot près de Tel-Aviv (abritant le Mossad et l’Unité 8200), d’autres bases militaires et des zones civiles. Des explosions signalées à Tel-Aviv, Jérusalem, Ramat Gan et dans le sud d’Israël. Interception : Le Dôme de fer, le système antimissile Arrow 4 et les forces alliées (États-Unis, Royaume-Uni) ont intercepté la majorité des projectiles. Environ 88 % des missiles et 92 % des drones ont été abattus. 2. Déclarations iraniennes Guide suprême Ali Khamenei : A qualifié les frappes israéliennes de « déclaration de guerre » et affirmé qu’Israël « devrait s’attendre à une punition sévère ». Il a insisté pour ne pas exagérer ni minimiser l’attaque. Ministre des Affaires étrangères Abbas Araghchi : A dénoncé les actions israéliennes comme des « actes d’agression » et une « déclaration de guerre », revendiquant le droit de l’Iran à défendre sa souveraineté « avec toute sa force et de la manière qu’il juge appropriée ». L’Iran a condamné les frappes comme une violation du droit international et tenu les États-Unis pour responsables en tant que principal soutien d’Israël. Général Mohammad Pakpour (IRGC) : A promis d’ouvrir « les portes de l’enfer » en représailles, signalant une réponse militaire forte. Président Massoud Pezeshkian : A déclaré que l’Iran ne cherche pas la guerre mais fournira une « réponse proportionnée » à l’agression israélienne au moment opportun. Contexte de la riposte : L’Iran a présenté les frappes comme une légitime défense en réponse aux attaques israéliennes des 12-13 juin 2025, visant les installations nucléaires (Natanz, Fordow) et tuant des officiers militaires et scientifiques. 3. Évaluation des dommages Pertes et dégâts israéliens : Victimes : Entre 16 et plus de 40 blessés signalés, dont 2 graves, 1 modéré et 13 à 37 légers. Aucun décès israélien confirmé. Dégâts matériels : Dommages minimes rapportés. Neuf sites d’impact de missiles confirmés à travers Israël, avec des impacts à Tel-Aviv et dans le sud. Un incendie de forêt déclenché par des éclats. Bases militaires : Aucun dégât significatif aux installations clés comme la base de Glilot ou le site nucléaire de Dimona, bien que des impacts aient été signalés près de sites militaires. La base aérienne de Nevatim a subi des dommages mineurs mais reste opérationnelle. Revendications iraniennes : Les médias d’État et officiels iraniens ont minimisé les frappes israéliennes, affirmant des « dommages limités » aux systèmes radar et sites militaires à Téhéran, Khouzestan et Ilam. L’Iran a rapporté quatre soldats et un civil tués lors des frappes israéliennes, avec des allégations non vérifiées de victimes civiles, y compris des enfants. Revendications israéliennes : Israël a revendiqué des dommages importants aux programmes nucléaire et balistique iraniens, avec des frappes sur Natanz et Fordow causant un recul estimé de 6 à 8 ans. Une fuite de Cs-137 aurait eu lieu à l’UCF d’Ispahan, et les installations de missiles de Parchin auraient été détruites. La plupart du réseau de défense aérienne iranien, y compris les systèmes S-300, aurait été neutralisé, laissant Téhéran vulnérable à de futures frappes. Vérification indépendante : L’AIEA a signalé aucune augmentation des niveaux de radiation à Natanz, contredisant les allégations de dommages nucléaires significatifs. Les analyses d’images satellites et open-source sont en attente, mais les premiers rapports suggèrent que l’infrastructure militaire iranienne a subi plus de dégâts que ce qui est officiellement admis. 4. Contexte et risques d’escalade Déclencheur israélien : Les frappes iraniennes répondaient à l’opération israélienne des 12-13 juin 2025 (« Lion rugissant »), ciblant les sites nucléaires iraniens et tuant des figures clés comme des commandants du CGRI et des scientifiques nucléaires. Dynamiques régionales : Les États-Unis ont appelé à la désescalade, le président Biden espérant que cela marque la fin des échanges directs. Réponse iranienne potentielle : Les renseignements suggèrent que l’Iran pourrait planifier une riposte limitée, peut-être via des proxies en Irak, pour éviter une guerre totale. Implication des alliés : Les forces américaines, britanniques et jordaniennes ont aidé à intercepter les projectiles iraniens, soulignant le soutien de la coalition à Israël.
Pour conclure, il faut birn comprendre que ce planing du G7 risque d'être fort perturbé. Ces perturbations pourraient compliquer les plans de Trump, notamment s'il cherche à attirer des investissements étrangers ou à stimuler les exportations.
Voici un tableau récapitulatif des coûts estimés et des impacts potentiels :
Le coût direct de la guerre Israël-Iran de 2025 pour le contribuable américain est difficile à quantifier précisément en raison de la récence du conflit, mais il est probable qu'il s'élève à plusieurs milliards de dollars, potentiellement 5 à 10 milliards, en plus des 22,76 milliards déjà dépensés entre 2023 et 2024. Les effets indirects, tels que la hausse des prix du pétrole et les perturbations économiques, pourraient poser des défis significatifs aux projets de reprise économique du Président Trump en augmentant l'inflation et en ralentissant la croissance. Cependant, l'impact exact dépendra de l'évolution du conflit, de la durée des hausses des prix du pétrole et des mesures prises par l'administration américaine pour gérer ces coûts et leurs répercussions économiques.
Ce qui est certain, c'est que si Trump était au courant de l'attaque contre l'Iran, elle ne l'arrange pas et il est contraint de la valider en raison de la faillite américaine ( la facture du spectacle covidiste est à payer, on ne sait pas comment cette année, ou plutôt on sait trop commment, il faudra mendier ) et de la situation de mort-vivant du dollar. Mais il faut bien comprendre que l'agression de l'Iran contraignant à l'assistance contre l'intérêt et l'objectif américain de reprise économique à tendance industrielle est un véritable coup de poignard dans le dos du duo Trump - Musk. Elle va anéantir tous les espoirs du mouvement MAGA et coûter très cher sur le plan politique, d'autant que les Etats-Unis ne sont jamais remercié de l'aide apportée à un Israël depuis 1948 sous perfusion financière de Washington.
La HONOR Pad 9 (est une tablette Android de milieu de gamme qui se positionne comme un choix convaincant pour une configuration multimédia de loisir, alliant un design premium, un écran immersif et des performances adaptées aux besoins du gaming, du streaming et de la productivité légère. Lancée en décembre 2023 par HONOR, une marque chinoise en pleine expansion depuis sa séparation de Huawei en 2020, cette tablette incarne l’expertise de la marque dans la création de dispositifs abordables mais performants, rivalisant avec des alternatives comme l’iPad d’entrée de gamme ou la Samsung Galaxy Tab S9 FE.
Avec son écran IPS LCD de 12,1 pouces, sa résolution 2,5K (2560 x 1600 pixels) et son taux de rafraîchissement de 120 Hz, la HONOR Pad 9 offre une expérience visuelle fluide et éclatante, idéale pour regarder des films, jouer à des jeux ou naviguer sur le web. Alimentée par le processeur Qualcomm Snapdragon 6 Gen 1 (gravure en 4 nm) et équipée de 8 Go de RAM (extensibles à 16 Go via la technologie HONOR RAM Turbo), elle garantit une réactivité suffisante pour les tâches quotidiennes et le multitâche modéré. Ses 256 Go de stockage UFS 3.1, bien que non extensibles via microSD dans la version européenne, offrent un espace généreux pour stocker films, musiques et applications, avec une capacité estimée à 57 000 photos, 23 000 chansons ou 226 vidéos HD. Disponible en Space Grey ou Cyan Lake, son châssis en aluminium de 6,96 mm d’épaisseur et 555 g confère une sensation premium, tout en restant suffisamment légère pour une utilisation prolongée sans fatigue.
L’écran de la HONOR Pad 9 est l’un de ses atouts majeurs, particulièrement pour les amateurs de multimédia. Avec un rapport écran/corps de 88 %, une luminosité maximale mesurée à 613 cd/m² (moyenne de 570,1 cd/m²) et un contraste de 1533:1, cet écran IPS offre des couleurs vives (couverture de 99,8 % sRGB) et une netteté remarquable, surpassant de nombreux concurrents dans sa gamme de prix (environ 300 €).
La certification TÜV Rheinland pour la réduction de la lumière bleue et l’absence de scintillement (flicker-free) garantit un confort oculaire optimal, grâce à des technologies comme le Dynamic Dimming et le mode Circadian Night, qui ajuste automatiquement la température des couleurs après le coucher du soleil. Le taux de rafraîchissement adaptatif de 120 Hz assure une fluidité exemplaire lors du défilement, des jeux comme Asphalt 9 ou Call of Duty: Mobile, ou même de la navigation dans l’interface MagicOS 7.2 (basée sur Android 13). Bien que l’absence d’OLED limite les noirs profonds par rapport à des tablettes haut de gamme, la qualité visuelle reste impressionnante pour le streaming sur Netflix ou Disney+ (compatible Widevine L1, Dolby Vision, HDR10). Les huit haut-parleurs stéréo, optimisés par la technologie HONOR Histen, offrent un son immersif avec des aigus et médiums clairs, bien que les basses soient légèrement en retrait en raison de la finesse du châssis. Cette configuration audio, rare à ce prix, fait de la Pad 9 un excellent choix pour une expérience cinématographique sans casque, bien que des écouteurs soient recommandés pour les films nécessitant des basses profondes.
Du point de vue des performances et de l’ergonomie, la HONOR Pad 9 se distingue par son optimisation logicielle et matérielle. Le Snapdragon 6 Gen 1, avec ses quatre cœurs Cortex-A78 (2,2 GHz) et quatre Cortex-A55 (1,8 GHz), couplé à un GPU Adreno 710, gère efficacement les tâches courantes comme la navigation web, le streaming 4K et les jeux casual, bien que des titres exigeants comme Genshin Impact nécessitent des réglages graphiques bas pour maintenir la fluidité. La technologie HONOR RAM Turbo utilise une partie du stockage pour simuler 8 Go de RAM supplémentaire, facilitant le multitâche avec plusieurs applications ouvertes, comme Adobe Lightroom ou Chrome avec plusieurs onglets.
MagicOS 7.2 offre une interface intuitive, proche de l’expérience iPadOS, avec des fonctionnalités comme le multi-fenêtrage (jusqu’à trois applications), Magic Text pour extraire du texte d’images, et HONOR Connect pour une synchronisation fluide avec d’autres appareils HONOR (notifications partagées, continuité des applications). L’ergonomie est renforcée par un design symétrique avec des bordures uniformes, une caméra frontale de 8 Mpx positionnée sur le bord horizontal pour les appels vidéo en mode paysage, et des boutons physiques (volume et alimentation) sur un côté, bien que l’absence de capteur d’empreintes oblige à utiliser le déverrouillage facial ou un code PIN. La batterie de 8300 mAh offre jusqu’à 11 heures de streaming vidéo ou 15 heures de musique, avec une charge rapide de 35 W (charge complète en environ 2 heures), bien que certains utilisateurs notent que la vitesse de charge pourrait être améliorée. Compatible avec le stylet HONOR Magic Pencil 3 (vendu séparément, environ 100 €) et un clavier Bluetooth, la Pad 9 se prête également à la prise de notes et à la productivité légère, bien que l’absence d’accessoires inclus dans la version de base soit un léger bémol.
En conclusion, la HONOR Pad 9 est une tablette Android polyvalente qui excelle dans le domaine du multimédia grâce à son écran 2,5K de 12,1 pouces, son système audio à huit haut-parleurs et sa construction premium. HONOR, fort de son héritage Huawei, propose un produit qui rivalise avec des tablettes plus coûteuses tout en restant abordable, avec un prix souvent réduit à 229 € ( voire 198€ sur AliExpress avec une expédition d'Europe ) grâce à des promotions sur amazon. Malgré quelques limites, comme l’absence de port microSD, un processeur de milieu de gamme qui peut montrer ses limites dans des applications lourdes, et une mise à jour logicielle limitée (un seul passage à Android 14 prévu), la Pad 9 offre un excellent rapport qualité-prix.
Avis Express partage notre avis, pour ce prix et dans cette catégorie, c'est le bonheur !
Son design fin, sa batterie longue durée et ses fonctionnalités comme MagicOS 7.2 en font un choix idéal pour les utilisateurs cherchant une tablette pour le divertissement, le gaming occasionnel et la productivité légère. Les retours d’utilisateurs, notamment sur Amazon UK, louent sa qualité d’affichage, sa fluidité et sa construction robuste, bien que certains regrettent des problèmes mineurs comme une caméra arrière de 13 Mpx perfectible pour les photos en faible luminosité. Pour une configuration multimédia PC, la HONOR Pad 9 complète parfaitement des composants comme l’écran LG UltraWide™ 34WR50QK-B ou le clavier Corsair K95 RGB Platinum, offrant une solution portable et performante pour consommer et créer du contenu en déplacement. Ce modèle Honor est donc actuellement le produit que nous conseillons.