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Comme l'heureuse surprise du surgissement des Gilets Jaunes, le retour de Trump malgré le violente opposition l'état, les médias, les réseaux sociaux, le sprocès bisons, les terroristes et le wokisme de rue ahuri contre lui était totalement impossible pour la faction capitalisme democrate au pouvoir. C'était sans compter sur l'enraciné prolétaire américain qui en a marre de la coûteuse clownerie sanitaire, du mensonge climatique tout aussi coûteux, de la facture de la guerre en Ukraine, que les scandales Epstein et P.Diddy font vomir, qui se moque des vapeurs de Taylor Swift et qui plus que tout ne veut pas voir son fils avec des cheveux bleus s'identifier à un castor ou se promener en laisse avec une plume dans le cul. La goutte d'eau a fait déborder le vase et ce n'est qu'un début.

 

Donald Trump ne plaisante pas. Après avoir joué les gentils lors de sa première administration, Trump indique clairement qu’il a l’intention d’utiliser tous les pouvoirs de la présidence pour façonner la politique économique au cours de sa deuxième administration. Trump envisage notamment d’imposer d’énormes droits de douane sur les produits en provenance d’autres pays, ce qui tenterait d’interférer avec le programme MAGA. La semaine dernière, Trump  a menacé d'imposer des droits de douane de 25 %  sur toutes les marchandises entrant aux États-Unis en provenance du Mexique et du Canada à moins que les deux pays ne coopèrent avec lui pour sécuriser nos frontières... Il est même question de 100% sur les pays des BRICS s'ils adoptent une nouvelle devise remplaçant le dollar.

Le président élu Donald Trump s'est engagé lundi à augmenter considérablement les droits de douane sur les marchandises en provenance du Mexique, du Canada et de Chine, dès le premier jour de son mandat. Ces politiques pourraient augmenter considérablement les coûts pour les entreprises et les consommateurs américains.

Trump a déclaré que cette décision serait une réponse à l’immigration illégale et au « crime et à la drogue » qui traversent la frontière.

"Le 20 janvier, dans le cadre de l'un de mes nombreux premiers décrets, je signerai tous les documents nécessaires pour imposer un droit de douane de 25 % au Mexique et au Canada sur TOUTES les marchandises entrant aux États-Unis et mettre fin à l'ouverture ridicule des frontières", a écrit Trump dans son rapport Vérité. Plateforme sociale. - "Ce tarif restera en vigueur jusqu'à ce que les drogues, notamment le fentanyl, et tous les immigrés illégaux stoppent cette invasion de notre pays !"

Inutile de dire que cela a grandement effrayé les dirigeants du Mexique et du Canada.

NEW YORK, le 3 décembre. /TASS/. Le président élu des États-Unis, Donald Trump, lors d'une rencontre avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau, a menacé que le Canada pourrait devenir le 51e État américain si Ottawa ne parvenait pas à résoudre le problème de l'immigration clandestine et du trafic de drogue.  Fox News l'a rapporté lundi,  citant des sources.
Selon leurs informations, lors des négociations qui ont eu lieu la semaine dernière à la résidence du président élu Mar-a-Lago (Floride), Trump a déclaré à Trudeau que le jour de son investiture, le 20 janvier 2025, il introduirait des droits d'importation. de 25 % sur tous les produits canadiens, à moins qu'Ottawa ne réussisse à freiner l'afflux de migrants illégaux vers les États-Unis par la frontière canadienne, ainsi qu'à réduire le déficit commercial qui, selon Trump, s’élève aujourd’hui à environ 100 milliards de dollars. Trudeau a, à son tour, fait remarquer au futur chef de l’administration américaine que de telles mesures tueraient l’économie canadienne, ce à quoi Trump a répondu que le Canada pourrait probablement devenir le 51e État américain. Cette phrase, indique la chaîne de télévision, a provoqué un rire nerveux de la part du premier ministre canadien.
L'un des participants à la réunion a souligné en plaisantant que si une telle évolution des événements se produisait, le Canada deviendrait un État très libéral, auquel Trump a proposé de diviser le pays en deux États, dont l'un graviterait vers les libéraux et le second vers conservateurs. Par ailleurs, le président élu américain a ajouté que Trudeau pourrait devenir gouverneur du 51e État américain.

 

Après son appel avec Trump, le président mexicain semblait optimiste quant à la possibilité d'éviter une guerre commerciale avec les États-Unis, mais le Premier ministre canadien Justin Trudeau vient de rentrer chez lui d'une réunion personnelle avec Trump  les mains vides ...

Il s'est depuis entretenu au téléphone avec la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, qui s'est déclarée jeudi confiante dans la possibilité d'éviter une guerre tarifaire avec les États-Unis. Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est rentré chez lui samedi après une réunion avec Trump sans avoir reçu l'assurance que le président élu abandonnerait les tarifs douaniers qui menaçaient le Canada.

La plupart des gens ne s’en rendent pas compte, mais le Canada est en fait notre principal partenaire commercial.

Si des tarifs douaniers de 25 % étaient imposés aux Canadiens, cela détruirait l’économie canadienne.

Je dois juste dire quelque chose à propos de Justin Trudeau.

Il a pris des décisions incroyablement mauvaises tout au long de son mandat et a véritablement conduit le Canada à la ruine.

Il existe actuellement de nombreux mauvais dirigeants dans le monde occidental, mais il est peut-être le pire de tous.

Après des menaces contre le Mexique et le Canada, Trump a décidé de menacer les pays BRICS de droits de douane de 100% s'ils décidaient d'abandonner le dollar américain...

Samedi, le président élu Donald Trump a menacé le groupe des pays en développement des BRICS, les avertissant qu'il imposerait des droits de douane de 100 % s'ils prenaient des mesures pour affaiblir le dollar américain.

Le commentaire de Trump, publié sur sa plateforme Truth Social, est clairement une réponse aux efforts visant à contester ou à remplacer le dollar américain en tant que principale monnaie de réserve mondiale.

L’alliance des BRICS, qui comprenait à l’origine le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, comprend désormais cinq pays supplémentaires : l’Afrique du Sud, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Iran et les Émirats arabes unis.

Nous n’avons jamais vu une menace économique d’une telle ampleur dans l’histoire moderne.

Dans un article  sur Truth Social,  Trump a expliqué pourquoi il a décidé de franchir cette étape...

L’idée selon laquelle les pays BRICS tentent de s’éloigner du dollar pendant que nous restons sur la touche et regardons est inutile. Nous exigeons de ces pays l'assurance qu'ils ne créeront pas une nouvelle monnaie BRICS ni ne soutiendront aucune autre monnaie qui remplacerait le puissant dollar américain, sinon ils seront confrontés à des droits de douane de 100 % et devront dire au revoir à la vente de marchandises à la merveilleuse économie américaine. Ils peuvent trouver un autre "crétin" ! Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar américain dans le commerce international, et tout pays qui tenterait de le faire devra dire au revoir à l’Amérique.

J'ai été abasourdi quand j'ai vu cela pour la première fois.

C’est une démarche assez audacieuse, mais est-ce que cela fonctionnera ?

Nous verrons.

Il ne fait aucun doute que la Russie et la Chine souhaitent éviter de nouvelles perturbations économiques à l’heure actuelle.

Le système financier russe connaît quelques difficultés en raison des récentes actions de l’administration Biden. 50 grandes banques russes ont récemment été sanctionnées et la valeur du rouble a fortement chuté mais cela a résolu la question du léger déficit et booste les exportations.

Le rouble a regagné le terrain qu'il avait perdu plus tôt dans la semaine après que la banque centrale a suspendu tous ses achats de devises jusqu'à la fin de l'année, mais il reste affaibli et les ressources nécessaires pour empêcher un nouvel effondrement s'amenuisent.

Vendredi, la Banque centrale a fixé le taux officiel à environ 108 roubles pour un dollar américain. Même si ce chiffre représente mieux que 114 roubles pour un dollar sur le marché au comptant mercredi, cela signifie néanmoins qu'un rouble vaut moins qu'un centime.

Depuis le 21 novembre, date à laquelle les États-Unis ont imposé des sanctions à une cinquantaine de banques russes, dont Gazprombank, devenue le principal bastion de la Russie sur les marchés des changes, le rouble a chuté de 9 % par rapport au dollar. Depuis le début de l'année, le rouble a chuté d'environ 20 % par rapport au dollar.

 

 

Les pathologies pleurnichardes ayant suivi l'élection de Trump ont renforcé son électorat dans ses convictions, un nettoyage intense de toutes les conneries sociétales des dernières années, celles nées sous Obama, s'impose. Il a déjà commencé dans le showbiz, à Hollywood et dans les médias et réseaux sociaux, les têtes tombent et elles tombent vite.

Pendant ce temps, l’économie chinoise est dans le chaos et les responsables chinois sont extrêmement préoccupés par ce qui se passera après l’investiture de Trump.

Depuis des décennies, la Chine est l’un de nos principaux partenaires commerciaux et, à l’heure actuelle, nous sommes fortement dépendants des produits chinois bon marché.

Qu’arriverait-il à l’économie mondiale si nos relations commerciales avec la Chine se rompaient soudainement ? En prévision d’une éventuelle invasion de Taiwan, les Chinois  se penchent déjà sur  cette question…

Depuis le début de la guerre en Ukraine, la Chine a soutenu l'économie russe en achetant son pétrole et en lui fournissant de tout, de la microélectronique aux machines à laver.

Pendant ce temps, Pékin en retire un avantage stratégique : un exemple concret de la manière de contourner les sanctions occidentales.

Un groupe inter-agences mis en place par la Chine dans les mois qui ont suivi l'invasion à grande échelle a étudié l'impact des sanctions et prépare régulièrement des rapports à l'intention des dirigeants du pays, selon des sources proches du dossier. L’objectif est de tirer des leçons sur la manière d’atténuer leur impact, surtout si le conflit autour de Taiwan incite les États-Unis et leurs alliés à imposer des sanctions similaires à la Chine.

Si les États-Unis et la Chine commencent à s’imposer mutuellement des droits de douane et des sanctions, le monde entier en ressentira la douleur.

J'ai le sentiment que cette histoire ne va pas bien se terminer.

Malheureusement, l’Europe traverse également actuellement une grave crise économique. En particulier, les choses ne vont pas bien dans l'économie allemande, et Volkswagen   se prépare à des licenciements massifs pour la première fois de l'histoire ...

Des dizaines de milliers de salariés de Volkswagen participeront lundi à des grèves dans des usines allemandes, a annoncé le syndicat IG Metall. Il s'agit des plus grandes grèves dans les usines du constructeur automobile en Allemagne depuis 2018.

Les grèves, prévues depuis plusieurs heures, font suite à des semaines de négociations collectives au cours desquelles Volkswagen a refusé d'exclure des licenciements massifs et d'éventuelles fermetures d'usines sur son marché intérieur. Selon un représentant de l'entreprise, ces mesures radicales sont nécessaires pour maintenir sa position face à la concurrence chinoise et à la baisse de la demande en Europe.

L’économie mondiale est plus interconnectée que jamais et partout où l’on regarde, on constate des signes d’un ralentissement de l’activité économique mondiale.

2025 s’annonce déjà  comme une très mauvaise année , et désormais une guerre économique mondiale bien plus visible menace d’aggraver considérablement nos problèmes mais elle es tinévitable, toute reprise étant devenue impossible.

Les États-Unis ont désespérément besoin que le reste du monde utilise leur monnaie, car elle leur permet de jouir d’un niveau de vie bien au-delà de ce qu'ils méritent.

Ils avons aussi désespérément besoin que le reste du monde nous prête des sommes gigantesques, sinon nous ne pourrons pas payer nos factures. Le conflit en Ukraine, le vol des avoirs russes permettent de récupérer entreprises et investisseurs.

Ce serait donc une grave erreur de penser qu'ils disposent de tous les moyens de pression et qu'ils n'ont pas besoin du reste du monde.

Heureusement; il deviendra très bientôt évident à quel point ils sommes dépendants d’un système économique mondial qui s’effondre rapidement sous nos yeux.

Les autorités chinoises ont imposé une interdiction directe sur l'exportation vers les États-Unis d'un certain nombre de matériaux importants pour la production de composants semi-conducteurs.

L'exportation de gallium, de germanium, d'antimoine et de matériaux ultra-durs est interdite, a déclaré mardi le ministère chinois du Commerce. Pékin a également l'intention d'introduire des contrôles plus stricts sur l'utilisation des produits en graphite.

Cette décision était une réponse aux nouvelles mesures de contrôle des exportations contre la Chine annoncées un jour plus tôt par Washington, écrit le Financial Times.

"Les États-Unis ont élargi le concept de sécurité nationale, politisé et transformé en armes les questions économiques, commerciales et technologiques, en abusant des contrôles à l'exportation", a déclaré le ministère chinois du Commerce dans un communiqué.

"Pour protéger la sécurité nationale, la Chine a décidé de renforcer les contrôles à l'exportation sur la fourniture de produits à double usage aux États-Unis", note l'agence. Les mesures annoncées prennent effet immédiatement.

Les matériaux en question sont utilisés dans la production de puces et de batteries, ainsi que de composants pour équipements militaires et de communication.

L'année dernière, Pékin avait déjà imposé des restrictions sur les exportations de gallium et de germanium, ce qui a conduit à un quasi doublement des prix de ces matériaux en Europe.

L'US Geological Survey estime que la Chine représente 98 % de la production mondiale de gallium et 60 % de sa production de germanium.

La veille, l'administration du président américain Joe Biden avait limité les livraisons à la Chine d'équipements pour la production de puces produites par des entreprises américaines, y compris à l'étranger, ainsi que par des entreprises étrangères utilisant des technologies américaines dans leurs équipements.

En outre, de nouveaux contrôles à l’exportation s’appliquent aux expéditions de puces de mémoire à large bande passante (HBM), un composant important des puces d’IA, vers la Chine.

Tout va désormais aller très vite.