10/10/2024
Inversion de la vie et marchandisation ultime du sexe ( 2/3 )
"Les dernières traces du système social et moral d'origine religieuse ont disparu. L’état zéro de la religion a été atteint. L'absence de croyances, de normes et d'habitudes de caractère ou d'origine religieuse laisse cependant l'angoisse d'être un homme, mortel, et qui ne sait pas ce qu'il fait sur terre. La réaction la plus banale face à ce vide est la déification du vide : le nihilisme, qui conduit à l’impulsion de détruire les choses, les gens et la réalité. Pour moi, un symptôme central en est l’idéologie transgenre qui amène nos classes moyennes supérieures à vouloir croire qu’un homme peut devenir une femme et une femme un homme. C'est une fausse déclaration. La biologie du code génétique nous dit que cela est impossible. Je parle ici en tant qu’anthropologue, en tant qu’érudit et non en tant que moraliste. Nous devons protéger les personnes qui pensent être d’un sexe différent du leur. Quant à la partie LGB de l’idéologie LGBT (lesbianisme, homosexualité masculine et bisexualité), ce sont des préférences sexuelles qui ont ma bénédiction. Il est également surprenant mais significatif que, en acceptant la rigidité du code génétique, la science et l’Église soient aujourd’hui du même côté. Contre l'affirmation nihiliste du faux", Emmanuel Todd, démocraphe, historien dans le Corriere di Bologna, octobre 2024.
L'économie politique du mariage gay n'est pas neutre, elle a des conséquences, notamment la PMA et la GPA. L'instrumentalisation des corps, s'inscrit dans un cadre capitaliste où même les relations humaines les plus intimes deviennent des objets de consommation et de profit. Elle est rupture avec "la vieille communauté de l’Être", renvoyant aux structures sociales et économiques plus anciennes, marquées par des luttes collectives et populaires telles que les révoltes paysannes, la Commune de Paris ou les grandes grèves ouvrières. Ces événements symbolisant un certain ancrage communautaire et subversif, opposé à l'individualisme exacerbé et marchandisé de la modernité.
En effet, dans ce nouvel ordre social, l’être humain, et en particulier la femme, est réduit à une simple marchandise. La location d'un utérus ou l'achat d'un enfant, dans le cadre de la GPA ou de la PMA, n'est qu'un prolongement de cette logique mercantile, où tout devient objet d'échange. Cette marchandisation des corps n'est pas seulement une conséquence des avancées biotechnologiques, mais une conséquence inévitable du système capitaliste contemporain, qui intègre et recycle toute forme de relation humaine pour en faire un produit commercialisable.
La déshumanisation progressive de l'individu au sein du système capitaliste est annoncée depuis longtemps. Dès le Livre Premier du Capital de Karl Marx, le capitalisme se révèle et transforme les êtres humains en simples rouages d'une machine économique. La phrase « fabriquer des surnuméraires » fait référence à la création d'une population excédentaire, exploitable à souhait par le marché, et corrobore l’idée de Marx sur l’armée industrielle de réserve, c’est-à-dire cette masse de travailleurs remplaçables et bon marché.
Cette logique capitaliste se traduit par une substitution des forces humaines coûteuses par des forces plus "bon marché". En remplaçant "un Yankee par trois Chinois" ou "l’homme par la femme", le capitalisme s’emploie à maximiser les profits en utilisant les individus de manière interchangeable, dévalorisant ainsi leur humanité. Cela mène à une forme d’exploitation accrue des femmes, qui sont jetées en masse dans les usines à des conditions de travail dégradantes, sous couvert de la lutte pour l'égalité et l'émancipation féminine.
Septembre 2024, Russie : La Douma d'État a adopté en première lecture un projet de loi selon lequel il sera interdit aux enfants russes d'être adoptés par des citoyens de pays autorisant le changement de sexe. La nouvelle interdiction affectera en fait la grande majorité des pays de l'OTAN - le changement de sexe est autorisé à la fois en Turquie et dans les pays européens. Ce n'est qu'en Hongrie qu'il est officiellement interdit de changerle sexe indiqué à la naissance dans les documents. L'initiative affectera l'interdiction de l'adoption pour les citoyens d'Australie, d'Autriche, d'Argentine, de Belgique, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, du Danemark, d'Islande, d'Espagne, d'Italie, du Canada et de Norvège. , Finlande, Suisse, Estonie et autres pays. Le Code de la famille interdit déjà aux personnes mariées entre personnes de même sexe et aux personnes non mariées mais citoyennes d'un État dans lequel les unions entre personnes de même sexe sont autorisées d'être parents adoptifs. Encore plus tôt, en 2012, l'adoption d'enfants russes par des citoyens américains avait été interdite.
Le féminisme joue un rôle dans la légitimation de cette exploitation. L’émancipation des femmes dans la sphère salariale est un moyen de rendre la main-d’œuvre féminine bon marché et disponible pour les industries. Les revendications féministes auraient été cooptées par le capitalisme pour mieux exploiter les femmes sous couvert d’égalité professionnelle.
Un autre aspect important est la manipulation des corps humains par le capitalisme à travers la maîtrise de la reproduction et de la mort. Il ne faut pas imaginer le droit à l’avortement comme une conquête sociale visant à garantir l’autonomie des femmes sur leur corps, mais comme un mécanisme de contrôle des populations, destiné à réguler une surproduction de fœtus. Cela fait écho à une logique productiviste où même la reproduction est soumise à des impératifs économiques.
Cette manipulation va jusqu’à la gestion de la mort, elle sera le stade suivant. La une “sédation terminale” commence à faire son chemin dans le discours du progressime de gauche. Il renvoie à l’euthanasie ou aux dispositifs médicaux qui encadrent la fin de vie. Ce contrôle des corps, de la naissance à la mort, serait l’expression ultime du capitalisme, qui réduit chaque être humain à une simple ressource exploitable, du début à la fin de son existence. Le corps devient ainsi un matériau dont dispose le marché, un "anti-humain" dépossédé de sa liberté, soumis aux lois du profit et de la rentabilité.
L'infamie technologique dit comment les avancées technologiques sont mises au service du capitalisme, plutôt qu'au service de l'humain. PMA, la GPA et les technologies de la reproduction ne sont en rien des progrès pour l'humanité, mais des outils qui exacerbent la déshumanisation. Cela fait écho à la critique plus large du progrès technique dans une perspective marxiste, où les innovations ne sont pas neutres, mais servent à renforcer les rapports de domination et d'exploitation.
Le progrès scientifique, au lieu de libérer l’individu, devient un instrument d’aliénation. Les corps deviennent des « choses hébétées et purement automates », fait échoe à l’automatisation des tâches et à la dépersonnalisation des individus dans le cadre de la production industrielle. Ce processus, initié au cours de la révolution industrielle, atteint ici son paroxysme, où même les dimensions les plus intimes de l’existence humaine (la naissance et la mort) sont absorbées par la logique du marché.
Ce quotidien, en marche, introduit les notions de transhumanisme, de fétichisme de la marchandise et de post-humanité. Il met en évidence le lien entre ces phénomènes contemporains et les dynamiques capitalistes, en soulignant comment la technologie, les biotechnologies et le capitalisme transforment l’être humain en un simple instrument, déconnecté de sa nature originelle et de ses émotions. Cette réflexion s’articule autour de plusieurs concepts clés, que nous allons examiner en détail.
Le transhumanisme est une étape ultime de la logique capitaliste de déshumanisation, où l’homme se transforme en machine à travers une série de modifications technologiques et bioéthiques. Le transhumanisme, ce n’est pas simplement une quête de dépassement des limites biologiques de l’homme, mais plutôt une perversion de la nature humaine, une étape vers l’« anti-humanité » où l’homme devient un objet reconfigurable à l’infini par le marché et la technologie.
Cette transformation comme l'accomplissement d'une logique de "réification du désir", c'est-à-dire une objectivation et une marchandisation des émotions et des aspirations humaines. La société capitaliste postmoderne, dans cette vision, vise à faire de l’être humain un simple outil productif, privé de ses attaches émotionnelles et sensibles. L'homme devient une "machine de désir réifiée", c'est-à-dire un être dont les besoins et les désirs sont entièrement conditionnés par les exigences du marché, et non par ses instincts naturels.
Dans cette perspective, la PMA, la GPA, le mariage homosexuel et la théorie du genre ne sont pas des avancées sociales, mais bien des manifestations de cette logique transhumaniste et capitaliste, où tout, y compris la reproduction et l'identité de genre, est déstructuré et reconstruit selon les besoins du marché. Ce constructivisme radical, qui dénature les relations humaines et les réduit à des rapports de marché, est une forme d’aliénation ultime. L’homme devient « étranger à lui-même », un être dont l’essence profonde est effacée par la domination de la technologie et du capital.
Le transhumanisme illustre le "fétichisme de la marchandise", un concept identifié par Marx. Il désigne le processus par lequel les relations sociales entre individus sont masquées par les relations entre les marchandises. Dans la société capitaliste, les biens et les services prennent une valeur qui semble indépendante du travail humain qui les a produits, et cette mystification renforce l’exploitation des travailleurs.
Cette mystification atteint un nouveau stade avec le transhumanisme, où l’humain lui-même devient une marchandise. L’être humain est déshumanisé et transformé en un objet parmi d’autres, un rouage du système capitaliste global. Cette "post-humanité", où l’humain est chosifié, marque l’avènement d’une société entièrement artificialisée, où les distinctions entre nature et technologie, humain et machine, sont abolies.
Cette transformation est présentée comme un projet inévitable de la société capitaliste : tout ce qui est naturel, y compris la nature humaine, est progressivement déconstruit et reconstruit selon les exigences du marché. Le capitalisme pousse ainsi l’humanité à s’émanciper de ses propres racines naturelles, nous somes dans un ’"anti-naturalisme achevé". Cela conduit à une post-humanité où l’homme est remplacé par des simulacres technologiques, vidés de leur humanité originelle.
Le capitalisme s’approprie aussi le vivant, cela ne se limite plus aux semances du paysan, le capitalisme intervient non seulement à travers la technologie, mais aussi à travers l’industrie du bio-capitalisme. Cette industrie, qui englobe les biotechnologies, la médecine reproductive, et plus généralement tout ce qui touche à la manipulation du corps humain, est décrite comme un terrain d’investissement lucratif pour les entreprises. Le capitalisme transforme tout aspect de l’existence humaine en une source de profit, que ce soit à travers la PMA, la GPA ou d’autres technologies biotechnologiques.
La notion de "liberté", dans ce cadre, n’est pas la liberté de l’individu, mais la liberté du marché. Ce que l’auteur appelle la "libre circulation infinie des techniques de la bio-rentabilité omniprésente" renvoie à l'idée que tout, y compris les corps humains, devient un objet de profit. Le capitalisme moderne, dans cette optique, est une "démocratie totalitaire" où les individus sont soumis à des obligations imposées par le marché et la technologie. La liberté est ainsi réduite à une forme d’asservissement, où les individus sont contraints d’adopter des modes de vie et des identités qui servent les intérêts du capital.
Le capitalisme, en prétendant libérer les individus des contraintes de la nature humaine, les emprisonne en réalité dans un système de dépendance technologique et économique. Le projet transhumaniste, loin de libérer l’homme, l’assujettit davantage à la logique du marché. Le corps humain devient un simple instrument de production et de consommation, une "chose humaine" qui participe au vaste système de valorisation capitaliste.
Il faut aussi poser la question de la fusion entre l’homme et la machine, stade ultime du processus de déshumanisation capitaliste. La « machinisation de l’affectivité » évoquée dans le texte décrit une société où même les émotions et les relations humaines sont mécanisées et standardisées. Cette fusion aboutit à une ultra-automatisation de l’existence humaine, où les individus ne sont plus que des « instruments du vaste univers des ustensiles de l’onanisme mécanique ».
Les individus, dans cette société post-humaniste, ne sont plus des êtres vivants dotés de sentiments et de désirs autonomes, mais des objets mécaniques, manipulés par le marché pour satisfaire des besoins artificiels créés par le capitalisme. Les émotions, les relations, et même la vie elle-même sont réduites à des simulations et des simulacres, où la véritable humanité est absente.
Le capitalisme est un système totalitaire qui cherche à contrôler tous les aspects de l’existence humaine, des corps à la technologie, en passant par les émotions et les relations. Le projet transhumaniste, loin d’émanciper l’homme, le condamne à une existence chosifiée, où il devient un simple rouage dans la machine globale de production et de consommation. Cette critique appelle à une réflexion profonde sur les conséquences de la technologie et du capitalisme sur la nature humaine, et sur la manière dont ces dynamiques transforment les relations humaines, les corps, et finalement, l’essence même de l’humanité.
L'industrialisation de la procréation et de la génétique montre comment le capitalisme s'approprie la biologie humaine pour la transformer en un nouveau champ de profit. Le corps humain, dans ce cadre, n’est plus qu’un ensemble de ressources biologiques – cellules, gènes, organes – qui peuvent être échangées sur le marché comme n’importe quelle autre marchandise. Cette tendance vers une marchandisation croissante de la biologie illustre un processus où la vie elle-même est de plus en plus contrôlée par des logiques économiques et technologiques.
L’objectif du capitalisme n’est pas seulement de maximiser le profit à partir des produits manufacturés ou des services, mais aussi de s’approprier les mécanismes naturels de la vie pour les instrumentaliser à des fins commerciales. Cette instrumentalisation touche même à des domaines aussi intimes que la sexualité et la procréation, où l’utilisation de techniques comme la PMA et la GPA (ou gestation pour autrui) démontre que même la création de la vie humaine est désormais soumise aux lois du marché.
En objectivant ces processus, le capitalisme participe à une forme de "déshumanisation" où l’humain devient un simple moyen de production et de reproduction, exploité par un système économique qui cherche à transformer tout aspect de la vie en bien commercialisable.
La sexualité contemporaine est un point central de révélation du réel marchand. La sexualité humaine, autrefois liée à des relations émotionnelles profondes et à des liens interpersonnels, est désormais transformée en un objet de consommation. Le capitalisme moderne s'immisce dans l’intimité des individus en exploitant leurs désirs sexuels, les transformant en consommateurs de plaisir "factice" et d'une jouissance artificielle, fabriquée par les industries du sexe et la pornographie.
Cette marchandisation de la sexualité ne libère pas les individus, elle les aliène. Ce qui est présenté comme une "libération sexuelle" dans la société contemporaine n'est en fait qu'une forme d’asservissement déguisée. La "liberté" sexuelle, dans cette perspective, n’est pas une émancipation authentique, mais une soumission aux impératifs de consommation. Les individus sont encouragés à consommer des images et des objets sexuels qui n’ont pour but que de les éloigner d’une jouissance humaine véritable, c’est-à-dire d’une sexualité libre et spontanée fondée sur l’amour et la connexion émotionnelle.
La domination capitaliste impose ainsi un modèle de sexualité "robotisée", où la rencontre des corps se fait dans un cadre régi par le profit et l’exploitation. La sexualité devient un produit que l'on achète et que l'on vend, une interaction qui n'a plus rien d'humain. Le capitalisme produit ainsi des individus narcissiques et aliénés, dont la quête de plaisir est réduite à la satisfaction immédiate de désirs artificiels, sans aucun lien avec une véritable épanouissement émotionnel ou spirituel.
Le discours dominant de la "libération" sexuelle, particulièrement depuis les révolutions sociétales des années 1960, doit être déconstruit. Ce que l'on appelle "libération" n'est en réalité qu'une extension de la logique capitaliste dans les sphères les plus intimes de la vie humaine. Le marché a réussi à s’approprier la sexualité en la transformant en un terrain d’exploitation et de profit. La libération sexuelle, loin d'émanciper les individus, les réduit à des objets sexuels manipulables, des consommateurs d’images et de fantasmes fabriqués par l’industrie du sexe et des médias.
Cette "libération" n’est donc qu’une nouvelle forme d’aliénation. Les individus pensent être libres, mais en réalité, leur sexualité est conditionnée par des images et des attentes imposées par la société de consommation. Cette manipulation est particulièrement visible dans l’industrie de la pornographie, qui promeut une sexualité déconnectée des émotions humaines et basée sur une objectification violente des corps, où les relations humaines sont réduites à des actes mécaniques de consommation sexuelle.
Cela s'étend également aux dynamiques mondiales du capitalisme, en particulier en ce qui concerne les migrations internationales et le commerce des corps. La "libération" sexuelle, couplée à l'exploitation économique, conduit à un marché globalisé de la sexualité où les corps humains sont marchandisés et échangés à travers des frontières nationales et culturelles. Ce phénomène est souvent lié à des formes d’exploitation, comme la traite des femmes et des enfants, et révèle comment le capitalisme transforme même la migration en un moyen de profit.
La mondialisation du capitalisme s'accompagne d'une industrialisation de la sexualité, où les corps sont déplacés, exploités et vendus dans des contextes de pauvreté et de domination économique. Cette dynamique contribue à une déshumanisation accrue, où les êtres humains ne sont plus que des marchandises dans un marché globalisé qui cherche à maximiser les profits en exploitant les ressources humaines les plus vulnérables.
Le texte critique en profondeur la manière dont le capitalisme moderne, dans son obsession de la croissance et du profit, conduit à une "anti-humanité". L'humain, en tant qu'être doté d'émotions, de conscience et de dignité, est progressivement dégradé en un simple objet manipulé par les forces économiques. La marchandisation de la sexualité n’est qu’un exemple de cette tendance plus large, où chaque aspect de la vie humaine est soumis à une logique de consommation et de profit.
Le capitalisme en crise terminale est chaos et indistinction, il fait fleurir les pathologies de l'identité, ces expression du déni du réel devenant la norme du pouvoir politique et marchand. Pour un système en faillite, tout doit être objet de commerce, de profit, l'identité, le sexe et l'aliénation marchande de la compétition olypique vient de la démontrer à la face du monde. L'enfant ne pouvait y échapper.
Cette "anti-humanité" résulte d'une accumulation de faussetés – des plaisirs factices, des libertés illusoires – qui éloignent les individus de leur véritable humanité. La société de consommation, en vendant des images et des objets sexuels, détruit la possibilité d'une sexualité authentique et d’une véritable jouissance. Elle génère un monde où les relations humaines sont remplacées par des échanges de marchandises, où les corps deviennent des objets de profit et de manipulation.
Le capitalisme moderne, en s'emparant de la sexualité et de la procréation, conduit ainsi à une déshumanisation généralisée. La vie humaine, dans ce cadre, est vidée de son essence et réduite à une série de processus technologiques et marchands. L’individu n'est plus qu'un rouage dans une machine globale qui cherche à maximiser le profit à tout prix, au détriment de l'épanouissement humain véritable.
La prise de conscience des conséquences de la marchandisation de la vie humaine dans le cadre du capitalisme contemporain est d'une urgente nécessité. Elle met en lumière les dangers d'une société où même les aspects les plus intimes de l'existence sont exploités pour le profit. La sexualité, qui devrait être un espace de liberté et d'épanouissement personnel, est transformée en un objet de consommation, aliénant les individus et détruisant la possibilité d'une jouissance authentique.
Dans cette perspective, il est crucial de repenser les dynamiques économiques et sociales qui conditionnent la manière dont nous vivons notre sexualité et nos relations humaines.
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